NOM: Scorn. C’est simple, c’est court, c’est britannique. Un nom banal pour une famille qui, au final, est loin d’être ordinaire. PRÉNOMS: Quand deux juifs qui culpabilisent de ne pas être pratiquants ont des enfants, ça donne des patronymes pour le moins originaux et difficiles à porter. Ainsi, mes parents m’ont nommé Israël. Parce que, bien qu’ils n’aient jamais mis les pieds là-bas, c’est la Terre sacrée du peuple juif, un lieu emblématique et plein d’histoire qui méritait bien un petit hommage. Et, en parlant d’hommage, mes parents ont continué dans cette lancée en choisissant Shoah pour mon deuxième prénom. Un moyen pour eux de ne jamais oublier le génocide juif. Comme s'il était possible d'oublier une atrocité pareille... AGE: J’ai vingt ans et je suis né à Dublin, le premier avril. Chez les moldus, c’est le jour des blagues pas drôles et des poissons accrochés dans le dos. Du coup, tous les ans, ma famille s’amusait à me faire marcher en me disant que les cadeaux ou le gâteau avaient été perdus, qu’aujourd’hui ce n’était pas mon anniversaire mais celui de mon frère, que la super console que je devinais sous le papier d’emballage criard était en fait pour le petit voisin d’à côté qui allait faire sa barmitsva la semaine prochaine, etc. ANNÉE: Sixième année, le début de la fin de ma scolarité. Sortez les mouchoirs, je sens que je vais pleurer. STATUT: Marié. Ça vous en bouche un coin, hein ? PURETÉ DU SANG: Mes parents sont des moldus. Et, même si ça m’a valu des remarques désobligeantes et des insultes loin d’être intelligentes, j’assume complètement la nature de mon sang. MAISON SOUHAITÉE: Le Choixpeau Magique n'a pas eu à réfléchir bien longtemps avant de m'envoyer à Poufsouffle : ma loyauté sans faille était bien trop évidente. PARTICULARITÉ: Désolé, mais il y a erreur sur la personne : je n’ai aucun don exceptionnel.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Les réponses d’un devoir qui traînent dans les couloirs ? Ça me semble peu probable, mais admettons – l’espoir fait vivre après tout. Il faudrait être complètement idiot pour passer à côté d’une chance pareille, et je ne suis pas complètement idiot. Alors je ramasserais ce bout de parchemin et le fourrerais sans ménagement dans ma poche. Parce qu’une note optimale ne pourrait pas faire de mal à ma médiocre moyenne. Et puis je ferais tourner les réponses à mes amis, parce que je ne suis pas du genre à la jouer perso.
✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Je ne suis pas un héros, je ne suis pas un sauveur. Je ne suis pas courageux, et je suis encore moins bagarreur. On pourrait facilement penser que je serais du genre à serrer les dents et à regarder ailleurs, passant mon chemin comme si de rien n’était et laissant cette gamine se faire persécuter. A vrai dire, je crois que c’est ce que ferait la plupart des gens. C’est la nature humaine qui est ainsi, c’est notre instinct de survie et notre égoïsme qui veulent ça. On fuit, on se voile la face et on plie facilement. Et c’est ce que je ferais moi aussi si je n’avais pas de principes, d’idéaux auxquels je tiens ou de valeurs que je ne supporte pas de voir bafouées. On ne parle pas sur la famille, on ne touche pas aux amis, on ne juge pas quand on ne connait pas, on ne ment que si on ne peut pas faire autrement, on ne joue pas avec les sentiments des gens, on ne force personne à faire quoi que ce soit et on ne s’en prend pas à quelqu’un sans avoir une raison valable : voilà mes lignes de conduite. Elles définissent ce que je suis et j’y tiens. Ces types ne les respectent pas. Alors je prends ma baguette et je leur rentre dans le lard. Et puis, quelque part, ça tombe bien : ça faisait longtemps que je n’étais pas passé voir l’infirmière.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Je ne suis pas une balance. Alors je serre les dents, je ravale ma fierté et j’écoute cette vieille peau me sermonner à tort. A quoi bon protester ? Ça ne ferait qu’aggraver mon cas et énerver encore plus l’hystérique qui se tient devant moi. Je la boucle et j’attends que ça passe. Je pourrais espérer que le vrai coupable se dénonce, mais connaissant l’énergumène je sais qu’il n’y a aucune chance que ça se produise. Parce qu’il s’agit d’une enflure doublée d’une sous-merde. Et, même si je bous intérieurement car je sais qu’il jubile à cet instant, je reste impassible et je ne lui accorde pas le moindre regard. Je prends sur moi et j’encaisse en silence. Comme un homme, un vrai. Comme l’aurait fait mon frère à ma place.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Je n’ai pas les épaules pour faire face à la célébrité. La richesse ne m’intéresse pas, parce qu’au risque de paraître niais je n’en ai jamais eu besoin pour être heureux. Et, bien que j’aie envie de tout connaitre et que je sois avide d’apprendre, je doute que j’accéderais un jour à la sagesse – je ne suis pas assez brillant pour ça. Ce qui nous laisse l’amour. Oui, je crois que c’est ça qui m’intéresse le plus. Pas l’amour au sens cucul du terme, genre coup de foudre et conte de fée. Plutôt l’affection de mes proches, leur présence et leur estime. Parce qu’on ne va pas se mentir : le seul truc qui me fait vraiment flipper au point de ne pas pouvoir en fermer l’œil de la nuit, c’est de me retrouver tout seul comme un con.
« Tout est provisoire : l’amour, l’art, la planète terre, vous, moi. La mort est tellement inéluctable qu’elle prend tout le monde par surprise. Comment savoir si cette journée n’est pas la dernière ? On croit qu’on a le temps. Et puis tout d’un coup, ça y’est, on se noie : fin du temps réglementaire... »
Je ne crois pas en Dieu, mais je pense que les extra-terrestres existent. Ϟ Je suis claustrophobe. Ϟ Je suis très tolérant. Sauf avec les cons, les fils à papa et les filles nombrilistes. Ϟ Je ne suis pas cleptomane, mais par principe je vole toujours quelque chose lorsque je dois acheter des trucs quelque part. Ϟ J’ai toute une panoplie de mimiques et de tics qui peuvent laisser penser que je me suis échappé d’un asile psychiatrique. Ϟ Je suis toujours coiffé comme un épouvantail et habillé à la va-vite. Ϟ Je suis gravement atteint du syndrome de Peter Pan. Ϟ A force d’entrainement, les filaments informes de mon patronus ont fini par prendre l’apparence d’une girafe – certainement parce qu’il s’agit de mon animal favori et que le continent africain me fascine depuis toujours. Ϟ Ma famille, mes amis… C’est con à dire, mais je ne sais pas ce que je serais sans eux. Ϟ Un jour, les zombies n’ont attaqueront : c’est une quasi-certitude pour moi. Ϟ Je n’ai ni de tatouages, ni de piercings parce que je ne suis pas sado-maso. Ϟ La discrétion n’est pas mon fort. Ϟ Je peux être à la fois très mature et très irresponsable. Ϟ Je suis incapable de m’engager dans quoi que ce soit. Ϟ Je méprise l’autorité et je n’aime pas les ordres. Ϟ Plus maladroit que moi tu meurs. Ϟ Je souris sans raison et je ris tout le temps. Ϟ Je parle tout seul, parfois dans des langues étrangères. Ϟ Ma première baguette s’est brisée il y a trois ans, dans l’accident de voiture qui a fait exploser ma vie. Ϟ L’inconnu me fait flipper. L’âge adulte aussi. Ϟ Je dis toujours ce que je pense, parfois avec un cruel manque de tact. Ϟ Les sucreries du monde magique ont changé ma vie. Ϟ Je fume souvent, mais exclusivement de la weed : c’est la seule drogue à laquelle je touche. Ϟ Véritable estomac sur pattes, je suis de ces personnes qui mangent à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Ϟ Le cinéma moldu me passionne. Ϟ Mon épouvantard, c’est moi, en plus vieux. J’ai l’air triste, mon dos est vouté par le poids des regrets et des échecs. Je suis complétement seul et, c’est indéniable, j’ai raté ma vie du début à la fin. Ϟ Je suis dyslexique et j’ai énormément de mal à rester concentré. Ϟ J’ai toujours été un élève assez moyen. Ϟ La curiosité est un de mes nombreux défauts. Ϟ Je collectionne les chapeaux. Ϟ Je chante mal, mais je chante quand même. Ϟ Je tiens aussi bien l’alcool qu’un gamin de douze ans, mais ça ne m’empêche pas de boire pour autant. Ϟ Les femmes avec qui j’ai couché se comptent sur les doigts d’une main. Ϟ Je prends la vie comme elle vient, en essayant d’être le plus spontané possible. Ϟ Mon alimentation de base se compose de céréales, de cookies et de fruits. Ϟ Je suis capable d’en venir aux mains pour défendre mes proches et mes principes. Ϟ Je ne sais pas cracher, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Ϟ Une fois, à Londres, j’ai acheté pour 60£ de nougats à une association moldue. Je n’aime pas le nougat. Ϟ Je me prépare toujours au pire. De cette manière, quoi qu’il arrive, je ne suis jamais déçu. Ϟ Le regard des autres m’affecte, mais je fais tout pour l’ignorer. Ϟ Je suis incapable de me projeter dans l’avenir. Ϟ J’ai failli me tuer la première fois que je me suis retrouvé sur un balai. Ϟ Je déteste avoir à faire des choix. Ϟ Je ne crois pas en la justice.
Bruyant Ϟ La discrétion ? C’est décidément un concept qui m’est étranger. Et oui, malgré mes airs fluets, j’ai une voix qui porte et un rire sonore. Et puis je parle, je parle, je parle… En fait, le silence m’oppresse. Alors je le comble avec un flot perpétuel de paroles. Je suis parfois contraint de me taire et de faire du bruit d’une autre manière. Alors je fais craquer mes doigts, je fredonne, je tape des pieds, je joue des percussions sur les tables, je tousse : c’est juste incontrôlable – et insupportable. Drôle Ϟ Rire et faire rire, c’est mon credo. Je me moque, je fais des jeux de mots, je blague, je me ridiculise volontairement, je joue, je fais des trucs bêtes, je raconte des histoires, je fais mon théâtral. Parce que la vie est trop courte pour qu’on s’emmerde. Aimant Ϟ J’aime ma famille et j’aime mes amis. Mais comme je ne sais pas toujours comment le leur dire, je fais en sorte de le leur montrer. Ils peuvent venir à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, je répondrais toujours présent. Ils peuvent tout me dire, je ne les jugerais pas. Ils peuvent tout faire, je les soutiendrais du mieux que je peux. Ils peuvent tout me demander, je me plierais en quatre pour le leur donner. Je ris avec eux, je pleure avec eux, j’enrage avec eux. Je les prends dans mes bras, je leur offre des babioles, je leur fais des surprises, je veille sur eux, je suis présent. Ils ont les clefs de chez moi, juste au cas où. Ils ont mon respect et mon admiration. Ils ont ma confiance, et je les aime de manière inconditionnelle. Routinier Ϟ Ma vie me plait telle qu’elle est. J’aime mon train-train quotidien, si bien que mes journées sont organisées selon des habitudes et des rituels qui me tiennent à cœur, qui me rassurent. Peur de l’inconnu et angoisse du changement, dites-vous ? Peut-être. Mais je ne l’avouerais jamais, pas même sous la torture. Vivant Ϟ On dit que je suis joyeux et plein de vie. On dit aussi que je suis dans l’instant, que je vis à fond le moment présent sans me prendre la tête ou me poser de quelconques questions. Je ne sais pas si ces deux points sont l’exact reflet de la réalité, mais j’accepte ces compliments avec un réel plaisir. Grande gueule Ϟ Quand quelque chose me dérange ou me déplaît, je le dis. Quand on me demande mon avis, je le donne. Quand j’ai une question, je la pose. Quand j’ai besoin d’un truc, je le demande. Quand je n’aime pas quelqu’un, je le lui fais bien comprendre. Quand je m’ennui, je le montre. Je dis les choses avec franchise – parfois même avec un cruel manque de tact – et je ne masque la vérité qu’en cas d’extrême nécessité. Il arrive que ça en énerve certains, mais c’est ma façon d’être. Atypique Ϟ Je suis de ces personnes qui ne rentrent pas dans des cases. Je suis différent, avec des croyances un peu loufoques et des attentes qui ne correspondent pas à celles d’un mec normal. Je sors de l’ordinaire et, bien que je n’aime pas qu’on ne m’aime pas, j’ai appris à m’assumer tel que je suis et à ne pas laisser les gens me changer ou m’influencer. Je suis naturel, spontané et un peu bizarre, et il parait que c’est ce qui fait mon charme.
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Adam Brody . AGE: Déjà vingt-ans, je suis une vieille . PRÉSENCE SUR LE FORUM: Au moins 2/7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: Je crois que c'est grâce à PRD . TES IMPRESSIONS: Ouah ! Je l'ai déjà dis dans la partie invité, mais bon sang, le contexte, les annexes, le design, l'ambiance : tout est juste parfait . ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: Bonjour tout le monde .
Dernière édition par Israël S. Scorn le Dim 30 Juin - 14:02, édité 15 fois
« On dit souvent qu’il faut sauver les apparences. Moi je dis qu'il faut les assassiner, car c'est le seul moyen d'être sauvé. »
Je ne suis pas de ceux qu’on idolâtre. Je ne suis ni particulièrement beau, ni exceptionnellement intelligent, ni extraordinairement courageux. Je ne suis pas le mec qu’on voit au premier plan, celui qui est sous le feu des projecteurs, celui sur qui on écrit des histoires palpitantes. Je ne suis pas un héros, je ne suis pas au cœur de l’action. Non. Je suis le mec de l’ombre, le second, l’acolyte. Celui qu’on aime avoir à ses côté pour se mettre en avant. Celui qui est drôle et gentil et qui ne risquera pas de vous voler la vedette. Je suis celui qui est béat d’admiration, et pas celui qui est admiré. Je suis celui qui est là, passif, et qui la plupart du temps se contente d’observer sans agir. La majorité d’entre vous ne doit pas connaitre les comics. Vous les trouvez surement trop moldu ou trop geek pour vous y intéresser. Mais si je devais illustrer mon propos pour le rendre plus compréhensible, je dirais sûrement que, d'aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours était le Robin dévoué corps et âme à son Batman. Et Batman, c’était mon frère.
L’Irlande... Je ne suis pas roux, je ne m’appelle pas Patrick, le vert me répugne et je déteste la Guiness. Pourtant, c’est bien là que je suis né. Parce que, pour fuir leurs familles trop encombrantes et obnubilées par la religion et les qu’en dira-t-on, mes parents ont quitté leur Londres natales et se sont expatriés à Dublin. C’est dans cette ville cosmopolite et pleine de vie que j’ai passé mon enfance. Nous étions quatre à l’époque. Si mes parents m’ont logé, nourri et blanchi, c’est mon frère qui m’a élevé. Oh, je vous vois venir d’ici avec votre jugement facile. Vous vous dites que ce n’est pas la peine de faire des enfants si c’est pour les laisser livrés à eux-mêmes, que seul des parents indignes et inconscients pourraient accepter de confier l’éducation de leur petit dernier à son frère de six ans son ainé. Aussi, je vais être clair. Je ne suis pas violent, mais je n’hésiterais pas à vous arracher la langue et à vous briser les rotules si je vous entends dire des conneries pareilles au sujet de ma famille. Ma mère était infirmière, mon père pompier. Ce sont des métiers prenants, exténuants et mal payés. Alors, forcément, les heures supplémentaires se multipliaient au fur et à mesures que les factures et les frais s’accumulaient. Nos parents nous ont tout donné, se saignant aux quatre veines pour nous. Alors, pour les aider, mon frère, Abraham, s’occupait de moi comme il le pouvait – faisant sans hésiter une croix sur son enfance… C’est lui qui venait me chercher à l’école, qui m’aidait pour mes devoirs et qui m’emmenait chez le médecin, le tout au détriment de sa propre scolarité. C’est lui qui me préparait mon goûter, qui me donnait le chèque pour la cantine et qui signait les mots dans mon carnet de correspondance. Les professeurs de mon école publique ne s’intéressant absolument pas à leurs élèves, c’est lui qui a remarqué que je souffrais de dyslexie et qui a convaincu nos parents de me payer des séances d’orthophonie – séances auxquelles il s’est chargé de m’emmener, bien sûr. Abraham a tout fait pour moi. Tout. J’en étais parfaitement conscient et je lui en étais sincèrement reconnaissant. Alors je faisais tout pour lui rendre la pareille. Oubliez le clicher du petit dernier capricieux qui accuse toujours son grand-frère : moi, je faisais tout l’inverse. Si Abraham était privé de dessert, je lui passais le mien en douce. S’il cassait quelque chose, je me dénonçais à sa place. S’il devait faire le mur, je le couvrais. Je vantais ses mérites à qui voulait l’entendre, je prenais sa défense en toutes circonstances. Mon frère, c’était mon Dieu. Quant à mes parents, ils avaient mon respect et mon admiration. Vous savez, je crois que dans un sens cette vie-là nous allait très bien. Certes, ce n’était pas facile tous les jours et on en bavait chacun de notre côté, mais on était heureux parce qu’on était ensemble. Ça doit vous sembler terriblement niais ce que je vous raconte-là. Vous devez penser que, comme j’étais jeune à l’époque, j’idéalise cette période et que je ne suis pas objectif. Mais je me souviens de tout. Et je me rappelle du vide que j’ai ressenti lorsque tout a basculé. uc.
Dernière édition par Israël S. Scorn le Sam 22 Juin - 21:06, édité 8 fois
Merci beaucoup Abraxas . Fiou', ton pseudo déchire tout ! Et ta jolie bouille me fait penser que ça fait vraiment trop longtemps que je n'ai pas maté OUAT .
HAAAAN COMME JE SUIS FAN DE TON PERSONNAGE !! ton pseudo ton histoire enfin bref toi tout entier j'aime j'aime !! en tout cas bienvenue chez nous bonne chance pour ta fiche (a) réserve moi un piti lien qui déchire tout ^^ (a)
Haaan, Emma la plus belle ! Merci beaucoup pour ce superbe accueil, ça me fait vraiment plaisir . Et puis, dans le genre prénoms qui tuent tout, Galzra c'est juste ouah . Et bien sûr pour le lien, je viendrais embêter dès que je serais validée .
Dawn R. Blackwood
LA PRINCESSE DES GLACES
+ SORCIER DEPUIS LE : 18/08/2012 + PARCHEMINS : 6731 + LOCALISATION : Poudlard, la tanière des verts ou le terrain de quidditch
Déjà toi tu arrives en nous couvrant de compliments et là BAM un personnage qui a l'air trop cool... Ca va être parfait tout ça!
Pour ta question en partie invité je pense ne pas me tromper en te disant que c'est bon pour nous tant que tu as une bonne raison pour cette absence et ce retour et que bien sur ton personnage reprenne ses études là où il les a arrêtées
Bon courage pour ta fiche et si tu as d'autres questions n'hésite pas!
TONKIN ! Et puis Dawn, j'adore . Les compliments sont amplement mérités . Merci beaucoup pour ton accueil, et je suis super contente que pour l'instant Israël te plaise . Merci aussi pour la réponse . Ne t'en fait pas : le départ sera justifié et il reprendra ses études là où il les avait laissées