NOM: Assetan. PRÉNOMS: Roksiann Lula AGE: 17 ans. ANNÉE: 4 ème année. STATUT: Officiellement elle est fiancée, mais pour elle, elle est encore célibataire PURETÉ DU SANG: Pur et archi pur MAISON SOUHAITÉE: N'importe laquelle, sauf Poufsouffle. Je n'arriverais pas à la faire évoluer dans cette maison bien que je l'adore PARTICULARITÉ: Non
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Je jetterai un coup d'oeil, mais pas pour tricher, juste pour connaitre le sujet du document. Je trouve cela débile de tricher. Si on n'a pas apprit, on assume. Moi j'assume bien le fait que je ne travaille plus énormément. J'ai beaucoup de défauts, mais je ne suis ni menteuse ni tricheuse. Ma Mademoiselle m'a toujours apprise à être droite et franche et je mets un point d'honneur à l'être.
✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? J'irai aider le premier année, je ne suis pas un monstre. Enfin si , c'est un né moldu, je le laisse dans son problème. Je n'aime pas que les personnes attaquent les plus faibles de soi. Je suis peut être que en 4 ème année et eux en 7 ème année, je pourrais peut être finir à l'infirmerie, mais rien que pour ma conscience, je serais contente de ma décision. Si par contre je finis gagnante du combat et que le 1 er année est trop nais et tête à claque et qu'il me suit dans le couloir, je lui lancerai un Locomotor Mortis pour qu'il me laisse tranquille. Au moins moi j'ai une raison!
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Alors là, c'est tout une scène et devant tout le monde. Peut importe si le prof me punit encore plus ou non. J'ai horreur qu'on m'accuse pour un rien et je pourrais dire n'importe quoi pour avoir le dernier mot. De plus comme je suis très théatrale, ironique et impertinente, ça finit vite en dehors de la salle de classe. Mais peu importe au fond. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Ca serait définitivement l'amour. La richesse elle l'a déjà, la célébrité, plus ou moins et la sagesse, elle s'est envolée avec ma Mademoiselle. J'ai toujours eu une espce d'obsession pour l'amour en faite. Mes parents ne me montrait jamais de l'amour pur. Bien que je savais qu'ils m'aimaient à ma façon, il y avait que ma Mademoiselle qui me le montrait. Moi du côté de l'amour soit j'aime trop, soit j'aime pas. Je n'ai jamais réussi à être modérée, je suis trs excessive comme personne.
Je ne sais pas comment commencer mon histoire… En faite je ne sais pas qui je suis réellement. Je ne sais pas non plus si je subis une bénédiction ou une malédiction. Je ne sais même pas si je suis heureuse ou non. Ma vie est faite d’incertitude et de faux-semblants. Pourtant je m’engouffre gaiement dans ce manège infernal et malsain. Après tout si je savais ce qui me rendrait heureuse, je ferais tout pour l’atteindre sans me poser de questions. Hélas ce n’était pas le cas, et j’ai toujours eu peur de l’inconnu. Mais là je suis perdue, complètement à la dérive. Incapable par moi-même de décider de ma vie, de mon avenir. Ca doit être ça être les enfants de l’élite magique… Une bande d’enfants pourries gâtés sans grandes convictions de leurs avenirs à part peut être rendre fière leurs parents qui eux les délaissent sans regret pour leurs carrières. Ou non, c’est encore pire que ça, on se plie à tous leurs décisions, on est prêt à tout pour eux par crainte. Car oui on est leurs progéniture, la graine de champion, on n’a pas le droit d’échouer, c’est contre nature. Alors si un jour on ose les défier ou juste exprimer des pensées qui ne sont pas les leurs, on a le droit à un serment suivi par un bourrage de crâne intensif.
Je me rappelle quand j’étais toute petite quand toutes les grandes familles de sangs purs se réunissaient pour « parler ». Je me souviens de nos comportements entre nous, les enfants, de cette pureté qu’on avait et je nous vois dix-sept ans plus tard où on est devenu tout simplement des armes de guerre élevé par des « Mademoiselles ».
Je me rappellerai toujours de la mienne car avec ma sœur, on en avait une chacune. Au début je trouvais cela bizarre d’avoir une femme qui s’occupait de moi alors que j’avais déjà une mère. Elle s’appelait Marguerite, c’était une vieille sorcière française, qui débordait de culture, qui parlait parfaitement l’anglais. Mais ma mère m’interdisait de l’appeler par son prénom, elle ne voulait pas que je m’attache trop à elle. Il fallait que je l’appelle « Mademoiselle M. ». Je trouvais cela ridicule mais soit, si Maman demande quelque chose, je dois le faire sans rechigner. C’est la première leçon que j’ai appris dans mon existence. La deuxième leçon était contre les moldus et plus précisément ceux qui devenaient sorciers par la suite.
Flash-back
« -Je ne peux pas lui apprendre ça ! » s’exclama Marguerite, la Mademoiselle de Roksiann.
La mère de la jeune fille fronça les sourcils mais ne montra aucune autre émotion. Elle avait un charisme fou et savait très bien qu’au final, cette employé allait lui obéir car elle n’en avait pas le choix.
« - Et pourquoi cela? demanda-t-elle - Ca serait lui mentir et je lui ai toujours encouragée à dire la vérité et à être franche »
La jeune mère s’assit alors sur le canapé et tapota le cuivre à côté d’elle pour inviter la pauvre Marguerite à côté d’elle.
« -Ma chère Marguerite… La vérité n’est pas toujours bon en prendre. Est-il utile que je dise à Roksiann que son père lui a déjà trouvée un mari potentiel? Non. Pourquoi ? Parce qu’elle est encore trop petite pour comprendre les nécessités du monde et serait malheureuse. Mon rôle envers elle est de la préparer à ce monde qui va s’offrir à elle. Le votre par contre est de lui donner tous les armes pour qu’elle se protège. Or les moldus sont nocifs pour elle. -Mais pas au point de lui enlever ses pouvoirs ! - Les enfants retiennent beaucoup mieux en ayant peur Marguerite. - Je refuse de lui faire peur pour rien. - Je vais être plus claire… Vous n’êtes pas payer pour lui dire la vérité ou plutôt votre piètre avis, mais pour lui inculquer nos principes, ceux des Assetan. Si vous n’êtes pas d’accord avec ma façon d’éduquer mes enfants, vous pouvez partir, rien ne vous retiens. »
Puis la mère quitta la pièce fièrement sans attendre la réponse de Marguerite. On pouvait dire beaucoup de choses sur Mme Assetan, mais ce qui était sûre c’est qu’elle était élégante, savait ce qu’elle voulait et finissait toujours par avoir ce qu’elle voulait. Ce que Roksiann a hérité par ailleurs. La pauvre Marguerite était en mauvaise posture. Elle s’était trop attachée à la petite pour partir, et pour l’abandonner. Marguerite ne pouvait pas laisser seule Roksiann dans cet environnement malsain. Alors elle a obéit. Marguerite a crée la phobie de la pauvre enfant. Assise sur les genoux de la Marguerite, Roksiann, à peine âgée de 4 ans, s’était cachée derrière son immense Phoenix en peluche animée.
« - Mais pourquoi les moldus voleraient les pouvoirs des sorciers ? demanda Roksiann d’une petite voix - Parce qu’ils sont jaloux… Eux aussi voudraient avoir des pouvoirs magiques. Répondit la Mademoiselle avec regret. - Ils font comment pour nous prendre nos pouvoirs Mademoiselle M.? Ils nous tuent ? - Non… Pire que ça, ils feront tout pour être amis avec toi et au moment où tu t’y attends le moins ils te le prendront. Et tu deviens un Cracmol. - Mais c’est affreux ! Ce sont des monstres. Et ça fait mal ? - Je ne sais pas… Mais le mieux c’est que tu ne les approches pas. »
Cette histoire à dormir debout était bien faite… Marguerite s’en est beaucoup voulu après. Roksiann a fait énormément de cauchemars et ne voulait plus croiser de moldus et de sorciers moldus car c’était des monstres. Cela ne m’étonnerait même pas que son épouvantard soit un moldu.
Fin du Flash back
Je me suis longtemps demandée comment Marguerite a fait pour réussir à nous supporter pendant tant d’années, ma mère et moi. Dans les premières années de ma vie, j’étais plutôt sage, j’écoutais, je voulais toujours savoir plus de choses que tout le monde. J’adorais étaler mon savoir devant un public. Mon père était très fier et me promettait un bel avenir. J’étais assez précoce comme personne, j’ai eu ma magie très tôt. Mais mon problème c’était, et ça reste toujours ma lassitude. Je me lasse très facilement, trop même. Je n’arrive jamais à rester sur la même chose très longtemps, sinon je m’ennuie. Mais en grandissant, je suis devenue un peu plus… incontrôlable, impulsive. Je n’étais pas une mauvaise fille au contraire je pétillais, je m’amusais, je faisais des blagues, j’amusais la galerie. Je ne voulais pas devenir comme toutes ces femmes que je voyais pendant les réunions, des beautés froides, les reines des glaces. Je veux bien comprendre qu’il fallait être fier et digne de son rang, mais il y a des limites. Je ne les ai jamais vues rigoler de toute ma vie, ou des rires forcés ou méchants. Je ne voulais pas de ma vie soit celle-ci. J’étais contente que ce que je suis devenue, une jeune fille jolie, respectable, intelligente, curieuse et amusante bien que quelque peu impulsive et têtue. J’étais enfin décidé de prendre mon avenir en main et à faire quelque chose de ma vie sans que mon père soit derrière moi. J’avais enfin de l’ambition, ce qui me manquait terriblement avant. Je rayonnais dans les salons, j’ai appris le plaisir de la danse. Je suis devenue même amoureuse de cette discipline. Je suis rentrée à Poudlard Mais du jour au lendemain, lors de ma 3 ème année j’ai appris que j’étais fiancée depuis ma tendre enfance. Ce fut ce moment là qui m’a fait descendre sur terre. Je me suis sentie mal. Tout mon petit monde, mes projets et mon idéologie de vie s’écroulaient. Tout était déjà prévu, et ça depuis longtemps. Toutes les paroles de mon père et de ma mère étaient du vent, j’allais devenir un accessoire d’un homme. J’allais avoir le rôle de mettre au monde un enfant qui allait avoir la même vie que nous pour que notre ligné reste aussi pure et respectable. Tout était déjà écrit. Ce soir-là, je me suis effondrée dans les bras de ma Mademoiselle. J’étais de plus tellement triste que je n’ai pas vu qu’elle était terriblement malade. C’était ça le problème, j’ai toujours eu l’impression de Marguerite n’était pas humaine. C’était quelque fois un ange, un jouet ou juste ma chose. C’est peut être bizarre et horrible ce que je dis, mais elle m’appartenait. On me l'avait toujours présentée en me disant que c'était MA Mademoiselle. Elle était toujours avec moi, du matin au soir, à faire ce que je voulais. C’était moi qui guidait ses journées, alors ça me paraissait logique que ma Mademoiselle resterait avec moi jusqu’à que je meurs et qu’elle me suivrait même jusqu’à l’au-delà. Après tout elle était toujours là depuis que je suis née.
Flash-back
Roksiann était sur le lit de sa Mademoiselle en pleur. Cette dernière avait le teint étrangement blanc mais ne laissait rien paraître. Il n’y avait pas que les Assetan qui étaient doués pour les faux-semblants. Marguerite frottait tendrement le dos de la jeune fille. Roksiann avait toujours appris à ne pas montrer ses faiblesses, sauf qu’avec Marguerite c’était différent. Elle faisait partie d’elle. C’était la mieux placée pour la comprendre.
« - Je n’arrive pas à comprendre pourquoi il ne me laisse pas ma chance. Je suis douée, je pourrais réussir, donner une nouvelle renommée à la famille. -Ma pauvre petite… Tu sais, même mariée tu pourrais avoir une carrière… - Non, ça serait différent. Et puis ce n’est pas que ma carrière qui est remis en question, c’est toute ma vie. Rien que le fait de me fiancer contre mon gré m’horripile. Je… Qu’est ce que je vais dire à mes enfants plus tard quand ils me questionneront sur la rencontre avec leur père ? Que c’était un mariage arrangé ? Qu’ils vont vivre la même chose ? Je croyais au moins qu’ils passaient notre bonheur avec ma jumelle avant leurs intérêts. »
Marguerite se tut. Hélas, même si les parents de Roksiann et de sa sœur les aimaient à leurs manières. La dignité et la renommée de la famille est passée toujours avant elles. Mais la petite avait déjà l’air tellement bouleversée que la Mademoiselle n’avait pas eu le cœur de lui révéler tous les mensonges et les corps dans les placards de cette lugubre maison. Marguerite alla chercher sa vieille boite à musique à elle. C'était le seul objet personnel qu'elle avait. Un beau jour, quand Roksiann était encore un bébé, elle était inconsolable. Alors après avoir tout essayé, Marguerite a mis en route sa boite à musique, et ça avait réussi à calmer la petite. Depuis, à chaque fois que Roksiann est triste, Marguerite a pris l'habitude d'aller chercher sa boite à musique. Roksiann dormit dans la chambre de Marguerite cette nuit là.
Fin du flash back
Après cette nuit-là, j’ai fais plus de bêtises qu’avant mais Marguerite a toujours su me tempérer quand j’étais en vacance à la maison. Je me tenais à carreaux à Poudlard pour elle, par respect de son travail. Je n’ai pas vu la dégradation de ma Mademoiselle car je ne la voyais que pendant les vacances. J’avais certes remarqué qu’elle avait maigris, mais elle vieillissait c’était normal. Mais quand j’ai vu mon père en chair et en os franchir les portes de Poudlard. Je me suis dis qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas. Après tout pour que Mr Assetan se déplace, c’est que c’état vraiment important. Je fus surprise qu’il convoque que moi et pas ma jumelle.
Flash-back
Mr Assetan était mal à l’aise. Il ne savait pas par quoi commencer. A vrai dire, il ne connaissait pas énormément Marguerite en soi. Pour lui, ce n’était qu’une Mademoiselle, en plus elle était vieille et même pas jolie. Mais Roksiann avait l’air d’être fortement attachée à Marguerite. Avant l’annonce des fiançailles, Roksiann et son père était très proches, mais depuis il ne savait plus comment lui parler. Elle devenait trop impertinente. Quand Roksiann rentra dans la salle, elle fut dêçu
« -Mademoiselle M. n’est pas là ? -Un bonjour ne t’écorcherait pas la bouche Roksiann » répliqua son père en serrant les dents. Mais il n’insista pas, ce qui surprit la jeune fille. La politesse et les protocoles, c’était la devise de son père. « Assis toi si te plait, j’ai quelque chose à t’annoncer » -Mon tendre et cher fiancé ne veut plus de moi ? Chouette alors ! dit-elle ironiquement à son père avant de s’assoir à côté de lui. Bien qu’elle faisait sa maligne, à l’intérieur d’elle c’était tout autre chose. Quand son père était en colère, il n’était pas à moitié. De plus il se déplaçait jamais pour rien. -Ce que je vais te dire est dure pour moi d’accord alors ne me coupe pas la parole. »
Roksiann pour une fois hocha la tête docilement. Rien n’était assez dur pour un Assetan d’habitude, ça devait être vraiment important. La jeune fille commença à angoisser, se mit à jouer avec ses mains.
« -Roksiann… Mademoiselle N… euh… M était malade depuis un moment déjà… Et … »Il lui prit la main « Elle est morte ce matin… »
Sous un état de choc, Roksiann mit ses deux mains devant la bouche. Elle ne pleura pas tout de suite. La jeune fille n’avait pas encore réalisé que Marguerie était partie, elle l’avait abandonné. Son père reprit de plus belle
« - Elle n’avait pas grand-chose. Mais elle t’a laissé un mot avec une boite en bois…Un peu ancienne. Je voulais la jeter -Tu n’as pas fais ça j’espère ! »Exclama en panique Roksiann.
Son père secoua la tête avant de lui tendre la boite à musique. Roksiann la serra alors dans ses bras de toutes ses forces
« - Cette boite doit être rempli de microbes mais ta mère m’en a empêché de la jeter…. »
Et blablabla et blablabla. Roksiann n’écoutait plus. Sa Mademoiselle était morte. La personne qui l’a connaissait le mieux à part peut être sa sœur est partie. Roksiann s’est mis d’un coup à pleurer toutes les larmes de son corps. Son père qui ne savait pas comment se comporter, posa sur une main sur son épaule.
« -Tu sais Roksiann, si tu pleures car tu n’as plus de Mademoiselle, on peut t’en chercher une autre. »
C’était la goutte qui a fait déborder le vase. Roksiann s’est levé bruquement, le foudroie des yeux avant de partir en claquant la porte. De toute façon, plus rien n’avait d’importance pour Roksiann.
Fin du flash-back
Je fus dévastée, radicalement abandonné par ma mère de substitution. Tous les soirs, je mets la boite à musique en marche pour essayer de m’endormir et de ne pas pleurer. Tant pis si ça gêne les autres. Mais rien à faire, je pleure quand je suis toute seule et je n’arrive plus à dormir une nuit complète. Je suis devenue une insomniaque. De plus depuis la mort de Marguerite je fais clairement n’importe quoi. De toute manière je m’en fiche maintenant. Je n’ai plus de compte à rendre à personne. Etant donnée de toute façon que mon père pouvait réparer tous mes bêtises, je ne me gêne plus pour m’amuser. Je sors beaucoup, je ne travaille plus énormément, je suis impertinente, je teste beaucoup de choses pas forcément saintes pour mon corps. Je fais énormément de choses interdits. Je m’amuse beaucoup avec les garçons. Pourquoi se priver alors que dans quelques années je serais déjà mariée. Comme je l'ai dis au début de mon histoire, je suis juste un enfant perdue, complètement à la dérive, qui ne sait plus où elle en est. J'ai sû pourquoi un enfant avait besoin de deux parents. Quand il y en a un des deux qui meurt, il reste toujours l'autre pour remettre l'enfant sur pied. Mais moi, j'avais juste ma Mademoiselle, et elle n'est plus là. J'avais plus personne pour me remettre sur le droit chemin. La 4 ème année risque d'être drôlement mouvementée.
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: abbey lee kershaw. AGE: 18 ans. PRÉSENCE SUR LE FORUM: 5/7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: en me baladant de partenaires en partenaire. TES IMPRESSIONS: j'aime beaucoup le design et l'ambiance ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: C'est mon dernier mot Jean Pierre!
Dernière édition par Roksiann L. Assetan le Dim 4 Nov - 20:35, édité 22 fois
Dawn R. Blackwood
LA PRINCESSE DES GLACES
+ SORCIER DEPUIS LE : 18/08/2012 + PARCHEMINS : 6731 + LOCALISATION : Poudlard, la tanière des verts ou le terrain de quidditch
Avant toute chose, nous te souhaitons la bienvenue. Tu es désormais ici chez toi Roksiann L. Assetan. Le flood et les jeux t’attendent si tu le souhaites.
Félicitations, tu intègres Serdaigle !
C'est la maison de la sagesse et du savoir. Mais c'est également là que se trouvent ceux qui sont trop sérieux et prétentieux. Cette maison sera ta seconde famille à Poudlard. Mais avant de t'engager dans un combat sans merci contre les autres élèves pour faire gagner des points à ta maison, saches que le membre est qui tu es jumelé est Samaël A. Dolohov. Il/elle prendra contact avec toi prochainement. Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Tu peux également devenir préfet, joueur de Quidditch ou rejoindre un club.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage.