NOM : Leblanc. PRÉNOMS : Napoléon Olivier. AGE : 18 ans.  ANNÉE : 5ème Année. ÉTAT CIVIL : Célibataire. PURETÉ DU SANG : Sang-Mélé MAISON SOUHAITÉE : Gryffondor. ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro. PARTICULARITÉ : Aucune.
   

✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Ah, ah ah ah! Très drôle, vraiment très drôle. Non, non, je suis sérieux! Déjà la probabilité qu'Olivier remarque un papier dans un couloir est très faible étant donné qu'il est particulièrement tête en l'air et trop rêveur pour être assez observateur. Enfin, puisqu'il me faut répondre, je vais tâcher d'expliquer ce qu'il ferai dans la faible probabilité où il remarquerait les dites réponses traînant dans un couloir. En fait, au vu de sa nature disons...légèrement paranoïaque...il se demanderait en premier lieu si les réponses du devoir n'auraient pas été volontairement laissées là. Il s'imaginerait sans doute qu'un prof particulièrement sadique testerait ses élèves pour mieux leur tomber dessus ou qu'un autre élève souhaiterait le voir se faire punir pour rigoler ou parce qu'il ne l'aimerait pas, pour avoir conservé les réponses du prochain devoir. Donc, beaucoup de méfiance à la vue de ce document qui si il tombait entre de mauvaises mains pourrait...non en fait ce n'est pas si grave que ça. Bref, après la période de doute liée à sa petite paranoïa, cette fois-ci il se livrerai à un combat intérieur pour lire les questions et les réponses ou non. "Non ce n'est pas bien de faire ça...oh et puis personne le saura...après tout..." Tout ça pour au final balancer le document et le brûler sans le lire puisqu'il trouverait l'idée de tricher un peu idiote au vu des conséquences si jamais il se faisait prendre. Pourquoi ne pas simplement le rendre? Et bien parce qu'il n'a pas non plus envie de se faire plumer par un professeur qui pourrait venir lui faire passer un interrogatoire peu agréable pour savoir si il a lu les réponses au devoir ou non...ou encore parce qu'il n'aurait pas envie d'être montré par le prof comme le lèche botte de service qui aurait pu partager sa trouvaille mais qui a préféré de la rendre au prof...

   ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Et bien il est facile de dire que lorsque l'on est confronté à ce genre de situation on va agir pour aider la pauvre première année, c'est très facile de le dire, mais quand on est sur le fait...c'est plus difficile d'agir. Olivier pense souvent à ça, il se demande toujours si il serait capable d'aider quelqu'un en difficulté et si la peur d'être blessé voir pire ne prendrait pas le dessus. Il a un certain nombre d'idéaux, et pour lui la violence est une chose qu'il déteste même si il est conscient que face à des gens violents il n'y a des fois que la violence pour les stopper. Il déteste aussi que l'on s'en prenne à plus faible que soit pour satisfaire un besoin de supériorité superficiel - oui parce que pour les gens qui se comportent comme tel sont de simples abrutis qui frustrés de leur infériorité avec des personnes à leur taille, trouve le bon moyen d'aller enquiquiner plus faible qu'eux - et c'est quelque chose qui l'énerve à un certain point. Alors, sachant pertinemment que parfois on peut faire face à plus fort que soit et donc ressentir de la peur à intervenir, il a souvent lui même peur de ne pas agir selon ses pensées. Mais de vous à moi, si Olivier doute de lui même et de sa capacité à se montrer courageux quand il le faut, dans une telle situation il irai probablement défier ces septièmes années et trouverait un moyen de bien les ridiculiser pour qu'ils laissent la première année tranquille.

   ✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Houlà, placer Olivier dans une telle situation c'est s'exposer à de graves représailles! Ce dernier va tout d'abord tenter de se justifier auprès du professeur et bien évidemment protester malgré sa nature plutôt calme, parce qu'après tout qui ne s'énerverait pas? Il trouverait ça particulièrement injuste et dégueulasse, et outre l'élève il en voudrait aussi au professeur sur le coup. Toutefois, si son argumentation ne convainc pas le professeur ou si le dit prof ne lui en laisserait même pas le temps, il n'insistera pas plus et prendra sur lui tout en prenant le soin de jeter des regards noirs vers l’élevé putride et immonde qui aura osé réussir à le faire punir. Après ça, il se débrouillera pour avoir sa revanche même si pour cela il doit prendre tout son temps...Olivier à beau être quelqu'un d'extrêmement calme et de plutôt pacifique, il n'en reste pas moins très rancunier.

   ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Je répondrais sans hésitation l'amour! Et oui, Olivier est un grand rêveur et parmi ses rêves, trouver l'amour est l'une de ses plus grandes priorités! Il a peur de finir tout seul dans une maison sombre et triste et ça ça le rendrait complètement malade. Pour être plus exact, Olivier aimerait trouver l'amour de sa vie, la fille qui le rendrai heureux par sa simple présence et qui embellirai son existence, une fille avec qui il pourrait avoir toute une flopée d'enfants et une bien belle famille. En même temps pour Olivier, une vie sans amour c'est un peu comme un livre sans mots, un pain au chocolat sans chocolat, une forêt sans arbre, enfin vous voyez quoi! Une vie sans amour, c'est pour lui juste inimaginable, et autant vous dire qu'il s'active à trouver l'amour de sa vie - bien qu'il ne soit pas toujours doué avec les filles - histoire de s'assurer qu'il ne finira pas seul mais bien entouré! Après, même si il trouve cela totalement débile et inutile pour vivre, Olivier rêve aussi d'un peu de célébrité, de la célébrité positive bien sûr! Il ne s'agit pas d'être connu pour le boulet de service ou pour de mauvaises actions. Un peu de reconnaissance ça le tenterait bien, mais bon, pour lui ça n'est pas le plus important et franchement il se dit que ça restera sans doute un rêve qu'il n'a pas vraiment envie de réaliser. La sagesse? Mouais, sans doute que ça pourrait aussi l'intéresser, après tout il faut un bon cerveau pour se sortir de situations compliquées et surtout en fait pour ne pas en avoir du tout. Enfin, la richesse, il la maîtrise plutôt même si il aimerait bien sûr bien avoir plein d'argent pour pouvoir subvenir à tous ces besoins, mais du moment qu'il a de quoi vivre convenablement, ça ne l’obsédera pas plus que ça.
   

PSEUDO : K. AGE : 18 ans. PRÉSENCE : 4/7j. AVATAR : Drew Roy. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Top-site.  UN PETIT MOT POUR LA FIN : Nop.

Destiny guide our lives
Mon histoire commence en réalité il y a à peu près 20 ans, oui, 20 ans. C'est il y a 20 ans que la décision qu'a prise un homme, Christian Leblanc, mon père, a permis mon éveil dans ce monde, c'est grâce à cette décision qu'il a prise à ce moment là de sa vie, que j'ai pu naître. Mon père un sorcier issu d'une ancienne famille influente de sorciers français était alors un jeune homme qui sortait tout juste de Beauxbâtons et qui était en quête de changement, il voulait découvrir le monde, tant sous sa face magique que sous sa face moldue. Ce dernier au grand désespoir de sa famille, se décida à voyager un peu partout dans le monde, s’immisçant tant dans les sociétés moldues du monde que dans les différentes sociétés sorcières. Mon père avait souvent l'habitude de me raconter ses voyages quand j'étais petit, je dois dire que j'étais fasciné par toutes ces belles histoires, toutes ces civilisations, toutes ces manières de vivre. Ces moments que je passais avec mon père, font d'ailleurs partis des meilleurs souvenirs que j'ai. Enfin bon, revenons au cœur du sujet, je m'écarte un peu. Donc, je disais que mon père a disons fait...une sorte de tour du monde une fois diplômé de Beauxbâtons, et qu'après 4 ans à parcourir de nombreux pays et à rencontrer des civilisations bien différentes les unes des autres, il lui est venu l'envie de se poser quelque part.

En 1956, mon père se retrouvait en Angleterre, le vieux pays autrefois ennemi puis désormais ami de la France. Il avait beaucoup aimé son petit séjour là-bas, et même si l'Angleterre était loin de valoir autant que certains pays qu'il avait visité, et bien il est tombé sous son charme. Alors, il hésitait à s'installer là-bas ou à rentrer définitivement en France pour y faire sa vie et ses attaches. Pour une raison qu'il me raconte sans cesse - oh là là, à force je connais l'histoire par cœur je ne vous raconte pas l'horreur - il s'est décidé à rester dans ce pays où j'ai fini par naître. Pourquoi? Bon, je vois que vous voulez connaître la fameuse raison qui a fait qu'il s'est décidé à vivre en Angleterre à ce moment là, alors je vais vous la révéler. Et bien, en fait il s'en est éprit d'une jeune moldue qu'il avait rencontré dans un restaurant, une jeune moldue qui l'a bien aidé à s'installer en Angleterre...pas besoin de vous faire un dessin, cette jeune moldue n'était rien d'autre que celle qui allait me donner vie: ma mère Lisa Landson. Oui ma mère, sans qui je ne serai pas là non plus - oh quelle révélation - ma mère qui a fait chaviré le cœur de mon père et qui lui a donné l'envie de rester en Angleterre pour la conquérir.

Pour être franc, mon père n'a pas expliqué ça comme cela à ses parents à l'époque, il craignait bien trop qu'ils ne voient d'un mauvais œil le fait qu'un Leblanc tombe amoureux d'une moldue. Et oui, même si elle a perdu toute son influence et sa splendeur d'antan, ma famille paternelle et sorcière, du moins pour une certaine partie, était encore très conservatrice et pensait encore à cette histoire ridicule de sang-pur. Il m'a raconté, qu'à l'époque il leur avait simplement dit: "Je reste en Angleterre, je me sens bien ici." et il n'a rien rajouté de plus. Aujourd'hui que j'y pense ça me donne bien envie de rire, en m'imaginant la drôle de réaction de mes grands-parents, oncles, tantes et tout le reste, je suis sûr que ça devait être drôle! Bref, passons et poursuivons. Mon père a bien passé 4 ans à chercher un moyen pour avouer ce qu'il ressentait à ma mère - je comprends de qui je tiens - et il m'a raconté toutes sortes d'anecdotes et d'histoires - à mourir de rire - que je vais garder pour moi. Mais finalement, il y est arrivé, parce que sinon je ne serai pas là à vous raconter tout cela, vous vous en doutez bien! Au bout de 4 ans d'amitié avec ma mère, il s'ouvrait enfin et - merci pour moi - ma mère ressentait les mêmes choses pour lui. Sauf que là se posait ensuite un autre problème à mon père...comment annoncer d'une part à la famille qu'il avait l'intention d'épouser une moldue...et d'autre part à une moldue qu'il avait des pouvoirs assez particuliers.

Ah là là, combien de fois me disait-il, dans sa folle jeunesse, détestait-il ce secret dans lequel était condamné le monde magique, sans cela pensait-il, le problème de sang-pur n'existerai pas, et le monde moldu fonctionnerait avec le monde sorcier. A y repenser, mon père était sans doute un peu naïf à l'époque, lui même le dit après tout, car tout n'est pas aussi simple sinon on ne se compliquerait pas autant la tâche. Reste, qu'il devait tout annoncer à sa famille, et prier pour que ma mère ne se sauve pas lorsqu'il lui révélerai les choses...sans quoi un sortilège d'oubliette et patatra je ne serai pas né. Donc pour ma mère, vous vous en doutez elle ne s'est pas sauvée, mais attendez de savoir un peu tout. Première étape pour mon père, tout dire à sa famille et en particulier à ses parents. Malgré me disait-il un affreux stress, de l'inquiétude et une certaine appréhension, il était déterminé et si il le fallait était prêt à passer outre l'accord familial, quitte à se faire renier - ah l'amour c'est beau hein? - mais à sa grande surprise ses parents surtout sa mère - donc ma grand mère - qui était très stricte sur ce genre de choses, accueillirent la nouvelle plutôt bien. Même si, au début, il y eut un certain choc dans la famille, on peut dire que l'ouverture d'esprit était là, elle n'attendait qu'à ce que quelqu'un franchisse la ligne. La bénédiction familiale obtenue mon père devait donc tout avouer à ma mère. Et finalement, c'est en la présentant à sa famille que mon père lui a tout révélé, cette dernière bien évidemment bouleversée - on ne peut le lui reprocher - décida tout de même d'écouter son cœur et de rester avec mon père. Je dois te dire merci maman pour ne pas l'avoir quitté, sinon et bien je ne serai pas là! C'est donc en 1961 que mes deux parents se marièrent - en France alors pour faire plaisir à la famille paternelle - mais ils décidèrent de rester pour l'heure en Angleterre.


A little boy in this big world
Je suis donc né un 15 Juin 1962 à Londres faisant ainsi le bonheur de mes deux parents qui venaient enfin de fonder une famille, je complétais leur bonheur et eux allaient tout faire pour faire le mien. Napoléon Olivier...voici le nom qu'ils me donnèrent...Olivier d'accord...c'est cool comme prénom, j'aime bien! Par contre ils fallait qu'ils me donnent comme premier prénom Napoléon...non mais je vous jure...vous pouvez pas savoir comme je déteste ce nom! Même si j'admire l'homme qui a inspiré mes parents pour me le donner! Non mais, Napoléon ça fait ringard aujourd'hui! Y a-que Napoléon Bonaparte sur qui ça fait classe! M'appeler Napoléon c'est de l'inconscience complète! A cause de ce fichu prénom, moldus comme sorciers n'ont pas arrêté de m'embêter avec ça! Et ça leur faisait rire en plus...du coup j'ai décidé de mon propre chef que l'on m'appellerait par mon second prénom Olivier et puis c'est tout! D'ailleurs mes parents je ne leur ai pas laissé le choix, et je ne comprends pas non plus pourquoi ma mère a accepté de laisser mon père choisir mon premier prénom...ça m'énerve toujours quand j'entends les profs m’appeler par mon premier prénom...je m'empresse de corriger et si ils demandent pourquoi Olivier je leur lance un regard noir! En réalité, la seule qui m'appelle comme ça sans qu'elle ne me laisse le choix c'est ma grand-mère...et même si ça m'embête de toute manière j'ai vite compris qu'on ne la contestait pas elle. L'année où je suis donc né...1962...1962...l'année du retour triomphal du Général De Gaulle en France - enfin l'année où il a instauré le régime qu'il souhaitait quoi - Et oui je reste très attaché à mes origines, surtout que mon père m'a bien fait comprendre qu'il ne fallait pas négliger ce qu'il se passait en société moldue quelque fois ça pouvait interférer sur le monde sorcier. En même temps...je suis né à Londres mais j'ai en fait passé une bonne partie de mon enfance à Paris en France. Je vais un peu trop vite pour vous? Bon d'accord, je vais mieux expliquer comment de ma naissance à Londres, je suis passé à une enfance à Paris. En fait c'est simple...j'ai vite déménagé - oh que c'est évident - en raison d'un...soucis familial du côté de mes origines paternelles. En fait, quelques-mois à peine après ma naissance, mon grand-père est mort après un accident lié à son travail, il était un Auror en France et il c'est fait tué lors d'un affrontement avec un sorcier qui était considéré comme dangereux par les autorités magiques française. Dès l'annonce de sa mort, mon père avec l'accord de ma mère nous amena en France. Je n'ai pas de souvenirs de ce moment là, normal, je n'avais que quelques mois, mais nous étions accueilli dans la demeure familiale à Paris dans ce moment difficile...quoi de plus normal. Quelque chose que j'ai toujours admiré chez ma famille paternelle, c'est son unité...l'unité des Leblanc était indéfectible, en tout moment, à toute épreuve. C'est comme si cette unité était placée dans notre ADN. Mon grand-père était respecté chez les Leblanc, il était très écouté, et avec ma grand-mère ils menaient la famille, toute la famille. Pour le moment, ma grand-mère étant toujours vivante, c'est elle qui gère les affaires familiale, mais comme la tradition le veut, à sa mort, se sera l'un de mes Oncles, l'Oncle Pierre, leur enfant aîné, qui prendra la suite. Suite à cela, mon père ne se sentait pas de s'éloigner de sa famille, et après en avoir parlé avec ma mère ils décidèrent donc de rester vivre à Paris après les obsèques de mon grand-père.

Ainsi donc, je suis un franco-britannique né à Londres et ayant passé une bonne partie de son enfance à Paris! Ah Paris, quelle ville magnifique je dois l'avouer - et non ce n'est pas le côté cocorico que je tiens de mon père qui me fait dire ça - et j'y est passé une enfance vraiment très heureuse. Pour y avoir passé près 12 ans, je dois avouer que je me sens plus français que britannique en fait, et puis il faut dire que vivre à proximité de ma grand-mère paternelle a largement suffit à bien développer un esprit francisé parce que même si elle est ouverte esprit...et bien ma grand mère elle voue un culte à la France! Elle voue un culte à la République, et je pense qu'elle devait être la plus fervente des sorcières à la soutenir - non je n'exagère pas, si vous aviez vécu près d'elle, vous l'auriez remarqué - du coup hein, ben elle m'a bien influencé. Mais bon! Ma mère n'a pas pour autant abandonné la culture anglaise hein! Elle m'a bien obligé à apprendre à parler anglais avec le soutien de mon père bien sûr, et grâce à elle - merci maman - je réussi à bien m'intégrer à Poudlard. Pardon, pardon, je vais encore trop vite...bon on arrête de m'interrompre et je poursuis? Où en était-je...ah oui donc lors de mon enfance en France j'ai fait la connaissance de petits camarades eux aussi sorciers avec qui je me suis amusé à faire les 400 coups. C'était une belle période de ma vie, on aimait jouer au Quidditch, on aimait faire des blagues, jouer à se lancer de faux sorts - oui parce que vous imaginez bien que l'on ne racontait que du charabia - et moi j'aimais beaucoup passer du temps avec mon père qui lui avait trouvé un métier tout fait pour lui: "la diplomatie magique" si on peut appeler ça comme ça. Petit j'ai aussi apprit les codes et l'histoire des Leblanc, et quelle surprise d'apprendre à quelle point les Leblanc étaient influents par le passé dans la société magique française. Quoi? Vous voulez que je vous raconte? Pourquoi pas...


It's time for an other life
Finalement, comme si le destin m'y appelait à nouveau, j'allais retourner en Angleterre, dans mon pays de naissance, un pays où je n'est vécu que quelques petits mois après ma naissance avant de venir pour Paris. Certes, j'y suis déjà allé quelques fois par la suite avec mes parents pour voir ma famille maternelle, bien différente de ma famille paternelle d'ailleurs. C'est pendant l'été 1974 que mon père après avoir eu une promotion au sein du Ministère de la Magie français et alors un poste au sein du Ministère de la Magie Britannique en qualité de "diplomate de la communauté magique française" au sein du Département de la Coopération Magique Internationale. Resserrer les liens entre les deux communauté lui avait-on dit, tel était l'objectif. Tant mieux pour lui, et puis ma mère était ravie dans le fond de rentrer au pays, pour moi, j'étais enthousiaste, normal à 12 ans on ne se complique pas la vie, mais je dois dire que l'idée de quitter la France m'a toutefois assez marqué. Donc voilà, j'étais de retour à Londres, ma ville de naissance. L'adaptation fut assez particulière, j'étais certes né en Angleterre, j'avais certes une mère anglais qui passait son temps à me parler en anglais pour que soit capable de parler la langue de Shakespeare, mais mon oreille, mes habitudes, et donc ma langue étaient restés attachés à la France. Quoi de plus normal, mes amis étaient français, je vivais parmi des français, et ma famille paternelle me rabâchait sans cesse la fierté que nous devions avoir à être français. Donc, pour vous raconter quelques anecdotes, il faut savoir qu'à mon arrivée en Angleterre - enfin retour techniquement parlant - il m'est souvent arrivé d'avoir l'habitude de parler en français avant de comprendre mon erreur, m'excuser bêtement et redire ce que je disais cette fois-ci en anglais. Vive le casse-tête! A 12 ans, mon intégration parmi mes petits camarades anglais ne fut pas très compliquée, et mon côté francophone prêtait plutôt à sourire ou aux questions curieuses. Pour tout vous dire, aujourd'hui encore je parle bien mieux français qu'anglais, et j'ai d'ailleurs conservé un léger accent français quand je m'adresse à d'autres personnes en anglais - mais tout léger hein! - ce qui fait que l'on arrive à comprendre mes origines. Mais je ne m'en cache pas! Je suis tant fier d'être français du côté de mon père, qu'anglais du côté de ma mère!

Ah et d'ailleurs vous ne savez pas quoi! J'ai eu un petit-frère l'année suivant notre arrivée - à croire que mes parents aiment bien faire des enfants en Grande-Bretagne hum...hum - Charles-Léopold est son prénom...perso je me serai contenté de l’appeler Charles mais vu qu'ils m'ont appelé Napoléon, ça ne m'a pas tellement surpris. 1975, l'année de naissance de mon frère, mais aussi l'année précédent mon entrée dans la fameuse école de sorcellerie Poudlard. C'est d'ailleurs au grand dam de ma famille paternelle que mon inscription c'était faite là-bas, eux qui espéraient tellement que mon père privilégie Beauxbâtons, et ben non désolé. Pour ma part ça ne me dérange pas du tout, et puis on dit que c'est la meilleure école de sorcellerie alors ça ne pouvait que m'être bénéfique! De toute manière, ma mère même si elle est une moldue aurait eu du mal à l'idée que je sois en France pendant qu'eux étaient en Grande-Bretagne - même si techniquement la distance où se trouve Poudlard par rapport à Londres est tout aussi loin que la distance qui séparait Londres de Beauxbâtons - mais bon ça il ne faut pas comprendre. Et puis, on vivait là-bas, et j'avais été inscrit là-bas dès ma naissance puisque je suis né à Londres. Bref, bref, bref, cette année précédent mon année de rentrée à Poudlard fut la plus longue de toute ma vie tant j'étais pressé de m'y rendre enfin et d'apprendre à maîtriser la magie. Après pas besoin de vous faire un dessin, j'ai fini par avoir 14 ans en Juin 1976 et c'est donc dans la foulée en Août que j'ai reçu ma fameuse lettre m'informant du fait que je devais intégrer Poudlard en Septembre. Pas besoin de vous faire un dessin sur la joie que j'ai pu éprouver à ce moment là et à quel point j'étais très content d'aller avec mes parents au Chemin de Traverse afin d'acheter mes fournitures et surtout...obtenir ma baguette magique! Cette première année que j'allais vivre ça allait être l'année de l’excitation, ah bah oui, pour un sorcier apprendre enfin à maîtriser la magie c'est juste incroyable!

Donc voilà, vous savez plus ou moins tout, désormais ça va faire 5 ans que je suis à Poudlard et là et ben...je me prépare pour passer mes B.U.S.E.S. Mon apprentissage on peut dire que ça va, je suis peut-être tête en l'air quelques-fois mais je sais me débrouiller quand il le faut! Vous raconter comment se sont passé ces dernières années à Poudlard? Ah ah ah! Vous savez, au bout d'un moment ça devient la routine, on a les cours, les exams de fin d'année, les devoirs, les amis...les amours, rien d'exceptionnel hein! Oui je trouve mon apprentissage vraiment intéressant, je trouve ce que je fais vraiment passionnant mais bon, je ne vais pas vous raconter chacun de mes cours...c'est l'école quoi.


There is a long time ago...
Bon comme promis je vais faire une petite aparté sur ma famille vu que j'en ai fini avec moi. Alors, je vous ai rabâché que ma famille paternelle était autrefois influente dans la communauté française des sorciers, en fait, au vu de l'histoire de la sorcellerie c'est plutôt récent mais cette influence à commencé à se bâtir il y a quoi 200 ans environ? Oui c'est ça, 200 ans. Même si après cette influence s'est disons...évaporée la faute à une division familiale, l'une des rares, mais surtout des plus violente que le clan Leblanc n'est jamais connu. Ce qu'il c'est passé il y a environ 200 ans? Oh allons, une petite soustraction et vous devriez vite trouver. 1980-200 = 1780...on rajoute quelques années et...que trouve-t-on...1789! Oui bravo! La date de la Révolution Française! Et bien vous savez quoi? Cette dernière n'a pas été que moldue, car la communauté des sorciers elle aussi y a eu droit...quand mon père disait que la société moldue pouvait influencer la sorcière...ce n'était pas pour rien. Enfin, là j'y suis pas encore. Avant cela, ma famille était aux yeux des moldus de simples commerçants, de riches commerçants, mais que de simples commerçants...et ça c'était la vision qui était donnée, parce qu'en réalité le vrai commerce de ma famille était magique. Les membres de ma famille vendaient dans le monde magique des produits en tout genre, et avait de quoi vivre convenablement. Mais, l'influence dont je vous parlais n'était alors pas au rendez-vous, ils étaient de simples sujets si l'on peut dire. Reste que, comme beaucoup de sorciers mécontents du pouvoir  en place ou aspirant à donner son avis sur les décisions prises, les Leblanc ont eu vent de toutes ces idées sur la séparation des pouvoirs...ou encore sur une démocratisation de la communauté magique. Tout ceci au même moment où chez les moldus, la révolte grondait à la veille de la Révolution.

Enfin bon, d'après ce que ma grand-mère m'a raconté à ce sujet, les sorciers se sont soulevés contre leur pouvoir en même temps que les moldus l'on fait contre le Roi Louis XVI, une révolte un peu plus violente puisqu'elle s'est faite à coup de sortilèges en tout genre...mais c'est avec une certaine fierté que je peux dire que mes ancêtres ont participé de manière active à la révolte. Leur influence est alors née ici, lorsque comme la monarchie absolue française, le pouvoir qui régissait alors la communauté magique française est tombé. Mes ancêtres ont alors travaillé avec de nombreux autres sorciers pour mettre au point une nouvelle société, notre nom est connu notamment pour ça même si notre participation reste marginale à côté de celle d'autres familles de sorciers. Toutefois, rapidement les Leblanc ont su asseoir leur influence, discrète me disait ma grand-mère, mais très forte. Cette influence a du résister une soixantaine d'années, peut-être plus, en tout cas une forte division familiale l'a finalement détruite. Quelle genre de division familiale? Et bien c'est une bonne question, moi-même je ne le sais pas, c'est un secret très bien gardé, un secret que ma grand-mère doit connaître j'en suis sûr! Qu'es-ce que je donnerai pour le connaître ce secret...enfin bon, de toute manière ça ne changera pas ma vie, et même si je ne connais pas toute l'histoire je ne peux qu'être fier d'être un Leblanc! En tout cas, ce que je sais, c'est qu'après cette division,ma famille paternelle a décidé de se tenir à l'écart du pouvoir et que depuis la chose la plus importante à ses yeux, c'est l'unité, personne ne souhaite revivre un déchirement familial...et je le comprends parfaitement.

   

J'ai beaucoup aimé lire ta fiche Ça change écrit de cette façon et l'histoire de la famille, je suis fan, dans ma tête les sorciers ont toujours été derrière la révolution française (ou plutôt, ils ont été eux aussi touchés) donc j'ai beaucoup aimé .

Gryffondor, c'est la maison du courage et de la force. Mais c'est également là que se trouvent ceux qui sont trop téméraires et fiers. Cette maison sera ta seconde famille à Poudlard.
Mais avant de t'engager dans un combat sans merci contre les autres élèves pour faire gagner des points à ta maison, saches que le membre est qui tu es jumelé est Calypso Holmes. Elle prendra contact avec toi prochainement.

/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage. Enfin penses à voter aux tops sites du forum ;)
Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles :
Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Tu peux également devenir préfet, joueur de Quidditch ou rejoindre un club. Bien sûr tu peux aussi faire gagner des points à ta maison, pour voir de quelle manière il te suffit d'aller là, et pour les signaler c'est ici.