NOM : Ljungström, même si elle est loin de se considéré comme un Ljungström. Elle préférait de loin être associée au nom anglais de sa mère, malgré toutes les questions qu'elle aurait sur son accent, qui est tout de même moins fort que celui du reste de la fraterie étant donné l'éducation très serrée dont sa mère l'as couvée. PRÉNOMS : Majkalena est son premier nom, qui n'as trouvé aucune signification, mais qui sonne si bien aux oreilles de sa mère. Solja, son deuxième prénom, serait un petit village suédois, perdu quelque part. Valborg est le dernier, mais n'as pas plus de signification spéciale. AGE : Elle a aujourd’hui dix-sept ans, mais comme elle est née le 11 février 1963, elle atteindra ses dix-huits ans dans à peu près un mois.  ANNÉE : Elle est désormais en 4ème année d'études à Poudlard. ÉTAT CIVIL : Étonnement, elle est encore Célibataire. Ce n'est pourtant que le temps que maman lui trouve un fiancé. Elle aimerait bien lui trouver un petit sang pur, mais le plus important pour elle s'est qu'il ait beaucoup d'argent. Majka entend parler des fiançailles et elle s'en fiche complètement. Ça lui égale avec qui on la foutra. PURETÉ DU SANG : Les Ljungström sont des sangs-purs à la base. Du moins, leur père en est un. Leur grand-mère étant une sang-mêlée, les nouveaux-nés sont pourtant tous de sang-mêlés. MAISON SOUHAITÉE : Elle a cette lueur au fond du regard qui vous promet de vous retrouver dans vos cauchemar. Elle n'as pas le courage des lions, ni la persévérance des Serdaigles et encore moins le loyauté des Poufsouffles. Sa ruse et son égoïste la rendant presque ambitieuse l'on fait atterrir chez Serpentard. ORIENTATION SEXUELLE : Elle évite habituellement la question ou la détourne. Majka ressens une certaine attirance pour les filles tout comme pour les garçons. Il n'y a pourtant que les principales intéressées qui sont au courant. Elle étouffe et dément tout de son côté. PARTICULARITÉ : Depuis l'été de ses 16 ans, Majka s'entraîne pour devenir legilimens. Elle est encore bien loin de son but ultime, mais elle s'entraîne tous les jours, à s'en épuiser et à en épuiser sa soeur.
   

✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Potions ? Elle a pas besoin des réponses de potions pour passer l'exercice, elle a même pas besoin d'étudier, Majka. Les potions c'est son truc, c'est sa matière favorite. Ça s'inscrit tout seule dans sa cervelle. Elle connait plusieurs potions de bases par coeur. Pour soigner les furoncles par exemple, même les filtres d'amour, c'est plus du défi pour elle. Ses amis viennent souvent la voir pour toutes sortes de potions. Elle ne garantie en rien que son véritaserum fonctionnera, mais ce sera quand même plein prix. Pas même besoin de voler des ingrédients, elle a sa propre mallette d'ingrédients avec quelques potions en réserve. Alors, sincèrement, peut-être qu'elle gardera la copie du devoir et qu'elle le vendrait ou le donnerait en échange de quelque chose à un élève dans le besoin. Pour le plus grand bien, pas vrai ?

   ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Normalement, Majka ne lève pas le petit doigt sauf si elle peut en tirer un quelconque avantage. Elle n'est certainement pas de ceux près à sauver la veuve et l'orphelin, sauf si elle c'est assez facile et qu'elle peut en tirer de la gloire. C'est pas toujours le cas dans un couloir sans intérêts. De toutes façons, elle est un peu trop trouillard pour se foutre dans les ennuis comme ça, pour la justice, pour rien du tout. Elle se montre parfois téméraire, quand c'est dans son intérêt, mais cela n'empêche pas qu'elle ait peur. Si elle arrive devant cette scène, elle passera simplement son chemin.

   ✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Elle encre ses iris trop dorés pour votre bien dans les yeux du ou de la coupable et elle sourit. Ses lèvres se fendent en une risette, ses joue se creusent doucement de fossette et ses dents taquinent doucement sa lèvre inférieure. Vous trouvez ça mignon ? Tant mieux, c'est le but, mais pourtant ce petit sourire, à ce moment précis, lorsqu'on est à la place de la personne qui l'as fait accusée, ça donne froid dans le dos. Son sourire vous promet que vous ne dormirez plus sur vos deux oreilles, mais que ce sera pénible et qu'elle attaquera lorsque vous ne vous y attendrez plus. Vous ne pourrez plus rien avalé sans avoir peur d'un empoisonnement. Vous ne pourrez plus faire confiance à personne, parce que tout le monde aime Majka, qu'elle a beaucoup d'amis et qu'elle sait convaincre. Vous sombrerez doucement dans la paranoïa jusqu'à l'enferment et alors vous reviendra sans cesse en tête ce sourire si mignon, si angélique, si machiavélique que vous avez osé sous-estimé.

   ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Disons la célébrité, même si en fait, ce serait d'avantage le pouvoir. Elle n'as pas nécessairement un besoin d'aimer, mais elle a besoin d'être aimée, adulée, connue, crainte. Ce n'est donc pas d'un amour pur dont elle a besoin, mais plutôt d'un amour en quantité industriel, aussi superficiel soit-il. Elle se fiche bien de la richesse étant donné la fortune dans laquelle elle a grandis et la sagesse, c'est pour les gentilles filles qui rêvent de paradis. Majka elle fait rêver de paradis, tout en vous entraînant dans son enfer. Elle ne tient pas particulièrement à être célèbre pour le seul fait d'être connu, mais d'avantage par soif de pouvoir. Elle pourrait faire n'importe quoi pour un peu de pouvoir, que ce soit dans l'amour ou la haine.
   

PSEUDO : acidwolf/alexee. AGE : 21 whiskys PRÉSENCE : trop    AVATAR : Giza Lagarce COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM :  J'étais Lola avant, maintenant je me soigne....    UN PETIT MOT POUR LA FIN : Vous aimes bandes de fou.   

« Tu n'étais pourtant pas si exigeante. Tu ne l'avais jamais été, pas comme votre mère. T'attendais seulement plus du coucher de soleil, mieux, chaque soir.  Tu voulais qu'il soit plus spectaculaire, plus rose, plus sanglant. Tu étais tout autant raisonnable en amour, tu voulais que tout le monde t'aimes d'un amour fou dès ton premier sourire. C'était pas trop demandé, ça fonctionnait, mais ça, c'était avant lui...  »

 

~ 11 février 1963 ~

T'es née comme ça, sans t'excuser, sans faire attention. Les jumeaux allaient fêter leur anniversaire, mais ta mère regardait par la fenêtre plutôt que de s'attarder aux préparatifs comme le reste de la famille. Elle était déjà plus dingue de toi que des deux autres. Pourquoi ? Personne comprenait. Qu'est-ce qu'il manquait à la jumelle pour être le petit bijoux de ta maman ? Il lui manquait un peu de votre mère, parce qu'elle ressemblait trop à votre père et que dans ses yeux, ta mère ne se reconnaissait pas, tout comme dans ceux de Magnus. C'était là le malheur de la pauvre femme enceinte, dans se maisons, il n'y avait que des ennemis ayant cette flamme dans le regard de l'homme qu'elle détestait. S'aurait pu être la même chose avec toi, mais elle voulait si profondément que tu sois différente que ce fût le cas. Peut-être même se l'était-elle même imaginé rien que pour se faire plaisir. À la fête des jumeaux, ils étaient de pauvres orphelins perdus, tu étais le centre du monde de ta mère et de tous ceux qui croisaient ton charmant regard mordoré. Les jumeaux te détestèrent dès les premiers instants et c'était avec raison, t'avais gâché leur anniversaire. Ils avaient eut leurs jouets, leur gâteau, mais les yeux n'étaient pas posés sur eux. Tu étais le nouveau centre du monde et, pour des gamins, ça faisait mal. Ils ravalaient leur peine, se disaient que ça passerait, mais ça passait pas. Ça faisait qu'empirer. Avec les années, tu devenais plus charmante encore, plus parfaite. La parfaite petite poupée que voulait ta maman. Et déjà elle te fredonnait que tu valais mieux que cela, mieux que tous, mieux que le reste de ta famille. Elle disait que t'étais sa préférée et tu la croyais, même si tu ne le savais pas encore.

~ 10 juillet 1973 ~

T'avais grandis en te fichant d'eux, en sachant que tu étais bien meilleure. Gamine bourrée d'orgueil, aux jolies robes, aux longs cheveux et aux genoux propres. Tu t'amusais pourtant à entretenir ta rivalité avec ta soeur. Tu lui défaisais ses couettes que personne ne lui referait, tu brisais ses robes déjà pas très belles, tu volais ses jouait et tu ne te faisais jamais punir. Si elle osait lever la main sur toi, elle payait cher. Tu le savais et tu en profitais. Elle t'aimais pas défaut, parce qu'elle avait pas le choix. Pas comme lui, pas comme Magnus. Du haut de ses douze ans, il était inatteignable, il ne te regardait qu'à peine et ça t'énervais. Tu aurais voulu qu'on l'oblige à te faire un câlin, ce gamin aux regards sauvage que tu ne connaissais pas, ton frère qui t'étais inconnu. Ce jour d'été, vêtue de ta jolie robe blanche, tu le suivais de loin jusqu'au phare, ce phare, son phare où il regardait la mer au loin, où le vent salé embrassait son visage comme toi tu n'avais pas le droit de le faire. Tu l'avais suivis ce jour là, tu t'étais glissé dans son temple, poussant doucement la porte dans un grincement alors que ton coeur palpitait, que tu entendais sa respiration tout en haut, comme s'il était déjà proche. Dans la peur, tu t'avançais dans les escaliers très furtivement jusqu'à ce que t'arrives tout en haut du phare. Il était là, de dos à toi, le vent jouant dans ses cheveux, se glissant même dans les tiens. Tu souriais doucement alors que tu t'approchais dans son dos. Il fut alerté par ton arrivé, mais ça ne t'arrêta pas. Tu lui souriais, le narguant presque alors que t'entrait dans son antre. Tu t'approchais du bord, t'allais t'y asseoir comme si c'était chez-toi. Tu faisais de son phare le tiens. Avant que tu ne comprenne ce qui se passait, tu pendais au bout du phare, dans le vide, sous les yeux de quelques enfants de la famille.  Des cris des désespoirs s'échappait de ta poitrine alors que ton frère te regardait sans rien faire. Pourtant, pour la première fois de ta vie, tu le regardais pour vrai, avec tout cet amour que tu n'avais jamais osé lui porté, tu lui demandais de te sauver. Sa main attrapait la tienne après que tu te sois vue cent fois écrasées sur le sol. Il te tirait pour te jeter froidement sur le sol. Tu grelottais, tu pleurais, pleurnichais des merci, lui promettait que tu ne le dirais à personne, qu'il t'avais sauvé, même s'il t'avais poussée. Des adultes ne tardèrent pas à monter jusqu'en haut de la tour pour venir te chercher et te ramener à la maison. On vous demanda ce qui s'était passé. Tu avais regardé Magnus, puis tu leur avait dit que tu étais glissée, que Magnus t'avais rattrapée et t'avais sauvé la vie. C'est ce jour là que Magnus commença à t'aider un peu, mais pas assez, jamais assez. Magnus était comme un coucher de soleil à lui tout seul. À la maison, on vous avait enroulé dans des couvertures et donné des chocolats chauds. Tu avais passé ta tête sur l'épaule de Magnus et tu t'étais endormie dans ses bras, c'était la plus belle journée de ta vie.

~ 1 juillet 1979 ~

L'été de tes seize ans, tu t'en souviendra toujours. Les examens terminés, tu avais quitté Poudlard avec la bande, entreprenant votre long périple jusqu'à chez-vous. Quelques uns de tes amis de ta maison avaient promis de venir te voir. Tu allais enfin pouvoir essayer quelques nouvelles potions qu'il t'étais risqué d'essayer à l'école sans te faire pincer. Des poisons et même des choses pires, que tu allais probablement rater en rendant ta soeur malade, sans la tuer, malheureusement. Pourtant, tu n'avais pas prévu dans tes plans que ton premier amour d'été se pointerait et qu'il aurait beaucoup de barbe au menton. Siegfried. Le plus jeune des frères de ton père, âgé de seulement 29 ans, avait su te dérober ton coeur. Oh, comme tes yeux brillait cette été là et faisait briller ceux de tout le monde. Cet oncle sortis de nul part savait parler et toi, tu avalais ses mots, tu en demandais encore. Tu redevenais une gamine de douze ans alors que tu prenais sa main pour l'entraîner dans ta chambre et que tu le suppliais. Tu le suppliais de te raconter encore ses voyages. Tu lui faisais les yeux doux et lui, il pouvait pas résister. Il retirait ses chaussures et il venait te rejoindre dans ton lit. Il te racontait l'Égypte, les pyramides, les momies, la magie et tes yeux brillaient d'un amour peu commun pour tous ses endroits que tu ne connaissais pas. Ses mots, bien qu'enchanteurs, n'étaient pas. Tu voulais plus, tu voulais voir, toucher, goûter, qu'il t’emmène avec lui. En plus, il avait les même beaux yeux que Magnus. Tu lui demandais des clichés, mais il ne les avaient pas sous la main, alors il t'offrit quelque chose de bien mieux encore. Il remontait sa main jusqu'à ton cou et tu le laissais faire, tu fermais les yeux, tu le laissais t'entraîner. C'est bon, c'est incroyable, tu pourrais faire ça toute ta vie. Vous êtes ailleurs, vous êtes dans le désert. Il tient ta main, devant toi il y a les pyramides. Il te fait goûter un fruit, puis tout s'efface. Vous êtes de nouveau dans ta chambre et tu es déçue. De tes yeux fatigués, mais émerveillés, tu lui en demande encore. Il rit, puis t'en redonnes. Il t'entraîne dans cette salle sombre où dort une momie avec ses bijoux brillants, incrustés dans sa peau. Ça te fait peur, ça t'excite en même temps. Il te parle de malédiction, puis vous revenez dans la pénombre. Tu ne lui en redemande pas pourtant, tu lui demandes de te montrer comment il fait ça, comment il peut t'entraîner dans ses rêves avec lui. Il t'explique ce don de legilimens qu'il pratique depuis très longtemps. Tu lui demande de te montrer, il rigole, il t'embrasse sur la joue, puis te promets que ce sera pour demain. Il quittes ta chambre et tu gardes ta promesse, au creux de ta main, tu la colles sur ta poitrine et la serre toute la nuit et le lendemain, tu la lui ressort à la première heure. Il hésites, puis tu lui fait ce sourire, ce sourire...

~ 3 janvier 1980 ~

Elle revenais, elle te suppliais, pour quelques secondes de plus encore. Tu hochais de la tête et tu tentais de te défaire de son étreinte. Elle te serrais plus fort encore, sa voix se cassait, ses yeux coulait. Tu la regardais, ta grande soeur. Cette misérable chose. Tu aurais pu avoir pitié, mais ce n'était pas le cas. Tu la trouvais pathétique, mais en même temps, tu étais flattée qu'elle rampe devant toi. Tu la laissais te supplier encore de revoir ce garçons que tu lui avais fait miroiter. Celui aux yeux verts et à la peau basanée. Celui qui n'existait pas, mais qui s'était approché d'elle pendant dix petites secondes. Ce type sans nom et sans corps hantait les rêves de ta soeur. Elle voulait le revoir, elle voulait l'embrasser, ce mec qui n'existait que dans vos têtes. Tu soupirais longuement alors que t'attrapais la main de ta frangine, montant les escaliers du dortoir des filles. C'était déjà difficile pour toi de tenir aussi longtemps que la dernière fois, dans le vacarme de la sale commune, ça t'étais impossible. Tu verrouillais la porte derrière vous, ta soeur prenant place sur ton lit, t'attendais. Tu étais épuisée aujourd'hui, tu avais mal au crâne. Tu savais d'avance que ça ne fonctionnerait pas, mais tu tentais le coup. Si tu n'y arrivais pas avec elle, tu n'y arriverais jamais. Tu venais la rejoindre, Sera. Tu prenais place à ses côtés. Ton front se plaquait au sien, tes mains se glissaient dans son cou alors qu'elle t'enroulais dans ses bras. Elle te serrait contre elle, vos jambes se croisaient doucement, vos corps pressés, comme d'habitude. Tu fermais les yeux et tu te concentrais. Tu fronçais tes sourcils, plissait ton front, mais ta tête était complètement ailleurs. Ta fraîche engueulade avec Vil prenait toute la place. Rien n'était réglé entre vous et tu lui en voulais pas ses marques sur ton bras. Tu lui en voulais de ne pas t'en avoir fait plus de ne pas avoir saisis ta gorge de sa main lorsque tu lui avais dit que t'aimais ça et qu'il t'avais rejeté son regard dégoûté. Rien. Rien. Que des yeux bruns sauvages dans ta tête. La respiration de ta soeur se fracasse à la tienne alors que tu la repousses brusquement. Tu t'élances vers la porte pour t'enfuir, mais elle te rattrape, elle te tient par la taille, ses ongles s'enfoncent dans ton ventre tandis que ta main déverrouille enfin la porte. Tu la mords, son sang, ton sang, coule dans ta bouche, sur tes lèvres et ton menton alors que tu t'enfuie. Tu ne sais pas où tu vas, voir l'infirmière, ton professeur où ton cousin. Tu n'as aucune idée. Tu veux simplement que ton coup brûle et que dans vos baisers, tu sois malade dans sa bouche, qu'il veuille plus, qu'il lèche tes plaies ouvertes et y ajoute un peu de glace, qu'il étrangle des vices maladifs et que vous ne remarquiez même pas que les lumières sont allumées, que tout le monde vous voit. C'est trop demandé ?