NOM : Digglewit. DI-GGLE-WIT. Un soupir de dépit franchit ses lèvres à chaque fois qu’on prononce son nom. Il aurait aimé qu’il n’en soit pas ainsi, qu’il ne soit pas si… simple, banale, commun. Ne pouvait-il pas naître avec un nom plus éloquent, plus beau ? C’est un chant séraphin qui aurait dû frôler l’oreille en soufflant doucement son patronyme, c’est une histoire qui aurait dû être évoqué, une verve et un prestige que seules les vieilles familles possèdent. L’influence importe peu, tant que la musicalité solennelle est là. Mais non, l’on ne choisis le nom de la branche dont nous sommes l’engeance. Digglewit. PRÉNOMS : Basil Mortimer. AGE : Quarante-cinq balais et une crise existentielle qui se fait bien sentir. POSTE : Professeur d’arts et musique magiques. Critique d’art lorsque les fins de mois sont rudes. ÉTAT CIVIL : Marié à la bouteille. PURETÉ DU SANG : Mêlé. ANCIENNE MAISON : Serdaigle. ORIENTATION SEXUELLE : ce qui est Beau. CAMP : Neutre. En ce qui concerne la situation politique actuelle, Basil ne se positionne ni pour, ni contre l’avènement progressif des mangemorts. Ni contre car, d’appartenance idéologique aristocratique, il croit fermement en un sectarisme des classes sociales, il y a l’élite dirigeante et il y a le peuple. L’élite se doit d’affirmer son autorité sur la caste populaire et la supériorité de la classe magique, ‘pure’ comme on l’appelle ces temps-ci, n’est que logique. En revanche, que l’on expurge la société d’une certaine caste, cela n’engendre rien et empêche même l’aboutissement de certains chefs-d’œuvre. Que seraient les fresques de la Grotte des Elfes sans Von Azerbanoff, ou les cariatides du ministère sans Pontoin le nain ? Les jardins du château de Dunghall ou la fontaine dorée de Dun Ailin par les frères Puck et Brock ? Tous né-moldus ou hybrides de leur état ! Comment-ça vous n’avez aucune idée de quoi je parle ? Mais ouvrez vos livres de cours bon sang ! PARTICULARITÉ : Il n’est pas rare de le surprendre en pleine conversation avec les divers tableaux qui décorent Poudlard, en effet il trouve en la compagnie de ces figures enchantées et lointaines une satisfaction académique et une stimulation intellectuelle incomparable. Le cas le plus étrange de cet intérêt aux tableaux reste tout de même « Dame au bain » de Joshamee Fireshelter, datant des années trente. Vulgaire croûte sans importance pour les ignares et les gens de mauvais gout, véritable chef-d'oeuvre pour les initiés. Le tableau situé au deuxième étage représente une baigneuse allongée sur un plongeoir, elle regarde le ciel, pensive. On devine son profil mais l’envoûtante silhouette, pourtant enchantée comme les autres tableaux, ne se meut pas. Personne ne connait l’identité du modèle ou du personnage représenté. Le monde extérieur, celui qui la regarde, ne l'intéresse pas, elle reste captivé par ses pensées. Toujours est-il que ce mystère fascine Basil et que son idéalisme romantique est tel qu’il semble être éperdument amoureux de cette image de beauté absolue dont le sens lui échappera toujours.
✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? Est-elle convexe ou concave ? Brute ou ciselée ? Des gravures l’orne-t-elle ? Est-elle parcourus de veines de calcaires que l’on voit, sur d’autre formation rocheuse, dessiner des spirales et des lacs dont le cours naturel des courbes laisse contemplatif sur le pouvoir de création esthétique de la nature ? Est-ce un matériau noble ou de piètre qualité ? Là se trouvent les vraies questions ! Si pareille relique s’avère être un simple caillou grossier alors à quoi bon en discuter, jetez moi ça au fond d’une rivière et que l’on en parle plus. ✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Oh, formidable, il va sans dire que si l’on est un Jartier-Cresson ou une Diane Arbustre l’on dégaine l’appareil, ni une ni deux, pour immortaliser le moment dans son immédiateté décisive, fixant ainsi le temps dans une durée morte, un cycle fermé ou l’action se répète à l’infini. Ou bien Francis Jambon, lui, poserait toile et tréteau et s’en irait badigeonner son pinceau du sang de la victime tabassé pour l’incorporer dans sa toile, formant un véritable art supplicié et martyr, reflet de la condition humaine. Mais trêve de dissertation, que fais la police ? Plus sérieusement, le taux d'alcoolémie dans le sang de Basil dépassant de manière quasiment constante la limitation réglementaire il ne pourrait rien faire, même s'il le voulait. Quoique, même s'il le pouvait il ne ferait rien si ce n'est qu'observer. Qui sait, les ecchymoses seraient peut-être jolies sur le peau de cette pauvre personne, laissons les artistes faire leur travail. ✎ Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? Il est indéniable que le Ministère semble nécessiter des conseils et directives en matière de Culture et que, l’élite politique étant au plus haut de l’échelle sociale, l’on ne peut s’empêcher de s’imaginer le prestige que l’on aurait à appartenir à cette caste. De plus, un homme du monde se doit de s’intéresser un tant soit peu à la politique, mais un homme d’art lui en revanche reconnait la fébrile futilité des affaires humaines face à l’Esprit et au Beau qui se détache si bien de la froide et banale réalité, de l’ennui profond de la chose politico-sociale, de la crudité du monde qu’il n’est pas possible pour pareil homme de délaisser sa raison d’être pour se positionner sur l’échiquier politique. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? L’amour à deux ( ou plusieurs, ne jugeons pas ) est l’apparat de la sentimentalité faible. La Sentimentalité forte, elle, puise dans l’être et n’a besoin de personne pour être contentée, ce qu'il lui faut c’est de savoir qu’il n’est personne qu’elle puisse aimer ou supporter qu’elle-même, aussi Basil n’a besoin d’aucun compagnon de route, il se suffit à lui-même. Son amour est une idée, une image qu’il sublime et qui le contente fort bien car aimer une idée c’est beau, aimer les hommes cela est au mieux vulgaire, au pire désastreux. La célébrité ne lui incombe pas, ce n’est pas son rôle. Il ne possède ni le talent ni le génie qui lui mériterait la renommée et n’est en aucun cas indispensable à l’agencement du monde tel qu’il est, inutile de le mettre sous les feux de la rampe dans ce cas. Reste alors la Sagesse et la Richesse, le luxe matériel et l’abondance de l’esprit. Bien qu’il admire la sagacité et la culture, la réflexion à outrance l’insupporte, le pèse, et il préfère bien plus rêver. Collectionneur et dandy, il a un gout pour le luxe et un train de vie très onéreux, ce qui n’est pas forcément en accord avec la paie exécrable alloué aux enseignants. L’or rutilant le fascine comme un dragon.
PSEUDO : FILS DU LAC. AGE : 19 ans. PRÉSENCE : oui. AVATAR :
  La toile s’intitulait « Jeune artiste signant sa première commande ». Une scène de genre qui ne payait pas de mine, une perspective laborieuse, peu de lumière. Le tableau donnait sur l’intérieur d’une masure assez miteuse, modestement agencé d’un lit de paille et d’un tabouret. Au centre de la pièce, un jeune homme aux cheveux longs, debout. Une lucarne invisible dispensait une lumière atténuée mais l’éclairage ne venait pas de là, c’était le formidable manteau de brocart que l’artiste revêtait qui attirait le regard. Une tâche dorée au milieu d’un terne décor. Le mouvement continu du personnage dans le cadre, caractéristique propre aux tableaux magiques, donnait du volume au drapé. On le voyait jeter le manteau sur ses épaules, d’un geste ample, puis se contempler avec fierté, et répéter le même mouvement en boucle. On pouvait très facilement dénigrer l’œuvre, le dessin était assez mal définis, les couleurs, en dépit du contraste, semblaient fades, le sortilège qui avait servi à enchanter la toile avait été exécuté si lamentablement que le personnage était voué à réitérer la même action et ne possédait aucune liberté de mouvement. De plus, Olivarez de Tolède, l’artiste qui se mettait lui-même en scène, n’était doté d’aucun renom qui aurait pu faire bénéficier la toile d’un capital sympathie car, on le sait très bien, l’avis général est prêt à se pâmer devant les pires croûtes si tant est que son exécuteur soit connu. Non, Olivarez de Tolède n’avait pas eu d’impact sur l’histoire et son œuvre minime avait sombré dans l’oubli. Tout au plus quelques-unes de ces toiles se retrouvaient dans les salles d’attentes de certains médicomages heureux d’exposer des tableaux acquis pour quelques mornilles. Comprenez, ça embelli la pièce et ça fait chic.
  Basil lui-même avait jugé l’œuvre insignifiante au premier regard, il était pourtant revenu sur son jugement après l'avoir contemplé de longues heures. Et maintenant qu’il l’a revoyait elle semblait raisonner en lui plus que jamais. Il se retrouvait dans Olivarez. La scène, qui ne représentait absolument pas ce que le libellé de la toile indiquait, était l’allégorie d’un rêve. Un rêve de grandeur et de luxe. Un rêve de prospérité. Olivarez, artiste miséreux tout le long de sa vie, s’imaginait ayant enfin acquis la richesse grâce à son art. De modeste engeance il voulait se démarquer, s’extirper même de sa condition précaire en achetant, sitôt la commande finalisé, des atours luxueux, bien faible plaisir matériel lorsque notre esprit ou notre ventre ont faim, avouons-le, mais qui sert à satisfaire la voracité sociale de se faire reconnaître. Basil aussi provenait d’un milieu modeste et son esprit n’était pas seulement habité par les images des tableaux et sculptures qu’il avait étudié, mais aussi par des rêves de grandeur et des idéaux de beauté, de pureté. Une envie de prestige, non pas pour la gloire ou le pouvoir, mais pour l’aspect, pour l’élégance. Tout était dans l’image. Il se souvenait des visites du Ministère en accompagnant son père à son travail, simple agent d’entretien des transports magiques au sein du Ministère qui s’occupait de la maintenance des ascenseurs et cheminées de l’Atrium. Que c’était beau ! Le marbre noir reluisant et les fontaines d’or ! Ce hall gigantesque ! Ce devait-être là un palais et dans ses rêves les plus fou Basil s’imaginait régner dans pareil demeure, un roi mutique qui n’aurait eu qu’à regarder, contempler son royaume de beauté.
  Cependant son ambition professionnelle l’éloignait d’une carrière politique ou administrative. Il voulait se retirer dans les Alpes, en Lombardie, à la Scuola Gibardi del arte magico, plus prestigieux établissement en matière d’art magique, hélas fort élitiste et bien au-delà des moyens financier des simples quidams. Ce que voulait Basil c’était s’immerger intégralement dans cet art si grandiose et majestueux qui élevait l’âme et arrachait le rêveur à la pesanteur de la terre. Il n’avait jamais pardonné à sa famille de se contenter d’être ce qu’elle était. Simple, banale, populaire et absolument pas désireuse de devenir autre. Lui se sentait inspiré par de grandes choses, et ils lui semblaient si inintéressants et fades. Tout dans son train de vie et son apparence était une illusion qui cherchait à rompre ce lien qui le rattachait à une basse condition. Il se voulait un dandy esthète mais n’en avait ni le porte-monnaie, ni les bonnes manières. Bien pauvre est celui en qui les illusions brisées laissent un gouffre de désespoir. Morose, il s’était démené en vain afin de faire coïncider ses espoirs grandiloquents avec une réalité qui l’empêchait de les voir un jour se concrétiser. Il avait bien, une fois, effleuré du bout des doigts la réalisation de son vœu lorsqu’il avait été admis comme titulaire à Beauxbâtons. Le cadre était splendide, même si le baroque et les mièvreries du rococo n’étaient pas à son goût. Au cœur de la France, cadette de l’Italie en matière de patrie des arts, il sentait qu’ici il atteindrait son idéal, l’esthétique d’une vie évoluant totalement autour de l’art. L’image était belle mais fut de très courte durée, il fallut à peine un an au comité d’administration de l’école pour se rendre compte que le contenu de la cave à vin du château disparaissait à une allure inquiétante. On ne sait si ce sont les elfes de maisons qui ont vendu la mèche ou l’odeur de vinasse qui suivait toujours l’éméché qui l'a trahit, toujours est-il que Basil fut désigné comme responsable et fut bouté hors de sa position de professeur. Où en était-il donc arrivé à ce point de sa vie ? Comme Olivarez de Tolède, à s’imaginer autre et de plus haute nature, drapé d’habits dorés.
 « Professeur ? » « Hm ? » Basil s’extirpe de ses pensées et tourne la tête. Se dessine alors la classe et ses élèves. « Ah. Oui. » Il se racle la gorge et passe entre les rangs pour aller jusqu’au fond de la salle. Il les voit fixer sans un mot le tableau d'Olivarez. Quelques un bavardent, d’autres sont affalés sur leur pupitre, surement en train de roupiller. Soupir las. Depuis dix-sept ans qu’il occupe ce poste à Poudlard il désespère un peu plus chaque année de trouver des élèves qui soit véritablement inspirés et touchés par l’art. « Bien, quelqu’un voudrait-il partager ses impressions ? » Silence pesant. On se regarde, on étouffe quelques rires, on se chuchote de faire attention. Personne n’ose s’aventurer à extérioriser ses ressentis. On a peur de donner un discours trop académique, impersonnel, ou de faire des remarques trop superficielles. Dans tous les cas on est toujours repris par le professeur. Pendant quelques instants Basil laisse traîner cette atmosphère gênante, perdu dans une contemplation désespéré de sa vie. Que faisait-il là ? Lorsqu’il était sobre il la ressentait souvent, cette paralysie mentale qui le rongeait, une angoisse de l’immobilité. Il avait l’impression d’avoir fait du sur-place dans sa vie. Lui qui était gorgé d’ambitions avant se retrouvait bloqué au même stade depuis tant d’années. Mais que faisait-il là ? Il regarda par la fenêtre d’un air absent. Des nuages s’amoncelaient au-dessus du Lac Noir. Au dehors c’était des temps troubles. Tout ce que l'on entendait raconter sur les mages noirs... Au-dedans aussi, au vu des événements de Pré-au-Lard et du Bal d’Halloween. Basil, lui, essayait de trouver refuge dans son intériorité, comme il l’avait fait toute sa vie, car que sont les états d’âmes d’un individu face au vacarme des événements de l’Histoire ? Un simple murmure pour ceux qui n’ont pas de talent, un chant de cygne grandiose pour ceux qui arrivent à cristalliser leur douleur dans des œuvres grandioses. Basil n’avait pas de talent. Il essayait de se consoler en se disant que sa situation n’était pas si désagréable. Perdu dans les Highlands d’Ecosse, dans un château prestigieux, dont l’architecture gothique flamboyante est de toute beauté et dont l’histoire se fait ressentir au détour de chaque couloir, à la jointure de chaque pierre, aux flèches de chaque tour. Oui, cela aurait pu être pire. Une éclaircit adoucit le cœur de Basil. Puis revient la réalité. Les élèves n’ont pas pipé mots et attendent impatiemment d’être délivrés. « Je vois. Dans ce cas je vous invite tous à vous étendre amplement sur le sujet pour la semaine prochaine. Sur un minimum de trois parchemins. Le cours est terminé. » Houle de désapprobation et soupirs rageurs alors que tous s’activent pour ranger leurs affaires. Basil n’a que faire du mécontentement de ses élèves, tout ce qu’il souhaite à cet instant c’est de se rincer de leur ignorance et d’oublier dans de grandes rasades de vin.
Dernière édition par Basil Digglewit le Mar 6 Sep - 14:55, édité 36 fois
Ethan Ó Conchúir
+ SORCIER DEPUIS LE : 20/05/2015 + PARCHEMINS : 267 + LOCALISATION : dans la tour d'astronomie, l'infirmerie ( oui je suis partoutttttt)
Un vétéran du forum ? C'est-à-dire ? (re)bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche ! Et surtout, si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas
Dawn R. Blackwood
LA PRINCESSE DES GLACES
+ SORCIER DEPUIS LE : 18/08/2012 + PARCHEMINS : 6731 + LOCALISATION : Poudlard, la tanière des verts ou le terrain de quidditch
@Lumen : C'est à dire que je suis un ancien Devrais-je dire plutôt que j'ai joué un ancêtre ( entre autres )
Calixte M. Webster
LE CLAIR OBSCUR
+ SORCIER DEPUIS LE : 08/04/2013 + PARCHEMINS : 824 + LOCALISATION : Dans l'enceinte de Poudlard, peut-être dans un coin solitaire à boire pour oublier, ou avec ses amis pour faire bonne figure !
Si tu as des questions surtout hésites pas, tu a l'air de déjà bien connaitre DP!!! Je suis curieuse du coup, tu as joué qui par le passé????
J'ai hâte d'en savoir plus sur Basil, je suis sure qu'on pourra sans soucis se trouver des liens intéressants!!! Après tout, mon DC (Ezra Scodelario) est le référent du club de musique, il y a moyen de gérer un lieu dément!! Alors hésites pas !!!!
Et je suis partant pour un lien ui ! Je vais zyeuter tes infos et on se mpotte pour discuter de ça, je te donnerai des infos sur Basil en attendant que j'ai finis d'écrire son histoire
PS : ON A LA MÊME SIGNATURE TROP CHOUETTE
Bellamy S. Carrow
MONSIEUR PILE OU FACE
+ SORCIER DEPUIS LE : 19/04/2015 + PARCHEMINS : 258 + LOCALISATION : londres.
Et Willy, j'ai pensé à toi aussi, avec le gif au début de la fiche
Calixte M. Webster
LE CLAIR OBSCUR
+ SORCIER DEPUIS LE : 08/04/2013 + PARCHEMINS : 824 + LOCALISATION : Dans l'enceinte de Poudlard, peut-être dans un coin solitaire à boire pour oublier, ou avec ses amis pour faire bonne figure !
Haaaaaan trop bien!!! Moi qui voulait un lien avec Mordred!!!! J'ai tellement désertée qu'on a jamais été au bout mais c'est trop chouette je suis contente de te savoir de nouveau parmi nous!!!
Lumen Macmillan
CŒUR DE LIONNE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/08/2012 + PARCHEMINS : 5770
Quelle jolie fiche que voilà ! Courte et concise, elle se lit très bien.
Tu deviens l'un des membres du personnel de l'école de magie, ce qui apporte un grand prestige. Mais gare aux élèves un peu trop rebelles contre l'autorité. Avant de t'engager dans un combat sans merci pour affirmer ton autorité face aux élèves, saches que le membre est qui tu es jumelé est Willem Pearson. Il/elle prendra contact avec toi prochainement.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage. Enfin penses à voter aux tops sites du forum ;) Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Bien sûr tu peux aussi faire gagner des points à ta maison, pour voir de quelle manière il te suffit d'aller là, et pour les signaler c'est ici.