➝ 20 ans ➝ célibataire mais dans un triangle amoureux ➝ serdaigle ➝ Marie Avgeropoulos
Intelligente – patiente – généreuse – prétentieuse – se comporte comme une princesse – peste – manipulatrice – loyale – imprévisible.
Sa famille est connue pour être fier de leur pureté de leur sang. Et le fait savoir à tout le monde ❖ Elle ne sait pas qu'elle n'est pas leur fille biologique.❖ Elle traîne toujours avec un livre car elle aime se cultiver. ❖ D'après ce qu'on dit d'elle c'est une pourrit gâtée et se comporte comme une princesse. ❖ Les dires de ses propos sont la science infuse. S'ils disent que le sang pur est supérieur, elle les croit sur parole sans remettre en doute leurs propos.❖ Son meilleur ami est un sang mêle et ne le cache pas. ❖ C'est une pure Serdaigle même si sa mère aurait préférée qu'elle aille chez les Serpentard.❖ Elle affectionne énormément le cours de sortilège et déteste le cour de botanique.❖ Si elle ne prend sa dose de caféine, elle est d'une humeur massacrante. ❖ Elle s'est déjà fait coller pour avoir trop répondu à un professeur. ❖ En tant que sorcière, elle aime regarder le Quiddicht.❖ Fleury & Bott est sa deuxième maison. ❖ Elle n'aime pas le jus de citrouille.❖ Elle s'en fou de la maison qu'appartiennent les gens. Tant qu'ils ne sont pas moldus, elle vous apprécieras ou peut pas.❖ Elle a pour but d'être première de sa promotion.❖ Elle n'a rien d'une fille coincée accro à ses livres.
Lorelei Eilee Wilbert ou l'inconnu de son passé. Fille d'un Wilbert et d'une ancienne Rosier, elle a toujours grandit dans un milieu aisé où la famille est proclame haut et fort sa sa fierté pour les sangs purs. Les Wilbert sont connus pour être une de ses familles qui ont un/e seul/e descendant/e faisant ainsi la sorcière une fille unique. Ce qui ne la dérange vraiment pas aimant être le seul centre d'intérêt de ses géniteurs. Ainsi, depuis qu'elle a l'âge de comprendre ses parents lui ont rabâché et l'ont éduqué que le sang pur est supérieur aux autres et que les moldus/né-moldus sont des ingrats de la société. Ses parents lui ont aussi notamment que le pouvoir, pour son père est le savoir, et pour l'autre sa mère est la manipulation. Elle s'instruit en maitrisant l'art de la manipulation tout en étant une véritable petite princesse aux yeux de ses parents. Lorelei adore lire, se cultiver et assouvir sa soif de connaissance. Mais, n'allez pas croire que c'est une miss-je-sais-tout ou un rat de bibliothèque. Elle adore certes s'instruire et veut être la meilleure dans tout elle n'est pas moins une jeune femme qui aime s'amuser et profiter de la vie. Son crédo : quand je veux, je l'obtiens. Déjà petite, l'entourage de ses parents la compare à une enfant pourrit gâté jusqu'à la moelle qui tire les marionnettes que sont ses parents. Ça c'est tout ce que le monde pense mais la vérité est ailleurs Ses parents lui achètent tous ce qu'elle désire car même si Lorelei Eilee, comme ils l'appellent, est leur fille elle n'est pas moins leur fille adoptive. Il n'y a aucun lien du sang entre les Wilbert et Lorelei car les deux sont stériles et voulant poursuivre l'héritage Wilbert et leur fierté des sangs purs ils ont fait appel à une très jeune sorcière qui lui a donné son bébé contre une importante somme d'argent n'étant pas prête à devenir mère. . Et cela, seuls les parents Wilbert et un bout de parchemin dissimulé dans l'un des coffres à Gringotts sont au courant de la vérité. Lorelei n'est pas au courant de son adoption et n'est pas prête à le savoir.
La sorcière est entrée à l'âge de 14 ans à l'école des sorciers et a intégré sans surprise les Serdaigles. Elle est connue pour être une élève sérieuse en cours, voulant être la meilleure de sa promotion, récoltant de nombreux points à sa maison et d'être une défenseuse du sang pur. Hors des cours, c'est une jeune femme qui profite de la vie, suivant les matchs de Quiddich étant l'un des sports qu'elle admire avec son père. Même si la plupart de son temps, vous la verrez avec un livre à la main. Elle est actuellement en septième et dernière année, une année qui allait être riche en émotion car un évènement ou plutôt une personne, va la faire choisir entre sa loyauté du sang pur par ses parents ou un amour pour un sang pur qui se relève être un né moldu. Affaire à suivre de très près.
Dernière édition par Lorelei E. Wilbert le Lun 16 Fév - 21:08, édité 7 fois
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
« Fascination, sentiment, mensonge. » Mon binôme. Lorenzo. Trois syllabes. Un seul prénom. Chaque fois, que je le vois ou que je pense à lui, innocemment mon cœur bat plus vite. Je pourrais le reconnaître n' importe où. Si je suis honnête envers moi-même je dirais que je suis simplement et purement amoureuse de ce gryffondor. Mais préférant nier l'évidence, je préfère garder notre relation actuelle. Depuis que notre professeur de sortilège nous a répartit en binôme pour le restant de l'année scolaire, on se voit souvent pour faire les devoirs. Un italien au sang pur. Notre relation est particulière. On se cherche, on se trouve. On se taquine, on filtre ensemble. Sans jamais aller plus loin que les allusions même si nous savions tout deux qu'on est attiré par l'autre. Ce n'est pas pour rien que j'ai accepté d'aller au bal de la st valentin avec lui. Il m'attire. Il me passionne, il m'ensorcelle. Mon cœur m'hurle que je l'aime. Je refuse d'y croire. Peut-être que tout sera plus simple si le mensonge n'était pas de la partie. Car, après tout son sang n'est pas aussi pur qu'il le prêtant et mon éducation sur la hantise de tout ce qui touche de près ou de loin aux moldus est bien encrée dans mon crâne. L'amour plus fort que le sang ?.
crédit avatar; angel dust.
Seth Avery
« Relation interdite et sentiments qui s'en mêlent. » Le sortilège l'une de mes matières préférée. Depuis que je suis enfant, j'accumule les livres pour apprendre un maximum de sorts possible. Après tout, une sorcière doit se lancer des sorts même pour une carrière professionnelle ce n'est pas pour rien que j'adore ce cour. Pour être aussi le fait que j'ai entretenu une relation purement physique secrète avec le professeur lors de ma sixième année et que je continue de temps en temps à coucher avec, y est pour quelque chose. Personne n'est au courant de cette liaison. Tout cela, avait commencé lors des grandes vacances d'été et qu'on a fini a avoir cette liaison dangereuse quelque mois plus tôt. Il me fascine par sa hantise des moldus comme moi. il me fascine avec son corps désirables et ses cours de sortilèges. Ce n'est que de la fascination et que du sexe entre nous et cela nous convient. Le danger c'est excitant ! Avec lui, je suis perdu. A force de le côtoyer, je commence à m'attacher. Beaucoup. Je suis totalement paumé. Comme si malgré moi je suis tombé dans un triangle amoureux.
crédit avatar; shiya.
Azazel p. carrow
« Meilleur ami malgré le destin. » On devait se haïr. Comme cela avait été le cas de nos père durant leur scolarité à Poudlard. C'était programmé qu'on suive ce même schéma. Mais on en a décidé autrement. On n'a jamais été doué pour obeir, on n'en faisait qu'à notre tête. Au lieu de nous hair, on s'adorait. Il est mon meilleur ami. Ma moitié. Mon âme sœur amical. Mon jumeau. C'est surement pour ça que je suis autant jalouse et protectrice dès qu'une fille a un lien un peu trop important selon moi. Et inversement. Je veux le protéger mais il n'en fait qu'à sa tête. C'est peut-être aussi pour cela que je l'adore.
crédit avatar; shiya.
Nash p. Beaumont
« Un terrible passé, le demi-frère caché. » Le passé revient en force. La vie nous réserve beaucoup de surprises et celle-ci en est une belle. Une grosse. Une vérité impossible à accepté. Suite à son transfert d'une autre école, il a fait son entré à Poudlard. Je ne savais pas pourquoi mais il me faisait penser à quelqu'un. Pourtant j'étais persuadé de ne l'avoir jamais vu. Ce qui n'était pas son cas vu ses questions à mon sujet comme s'il espérait que je trouve la solution par moi-même. Je n'avais jamais mis les pieds en France et encore moins dans son école. Alors non, je ne le connaissais vraiment pas même si j'avais l'impression qu'il ressemblait à quelqu'un sans mettre un nom dessus. Pourtant, il aurait fallu que j'examine attentivement mon visage pour voir que j'avais des ressemblances physiques avec lui. Car il était nulle autre que mon demi-frère. Un demi-frère que je ne connaissais pas et que je n'avais jamais pensé en avoir surtout que mes parents m'ont bien affirmé qu'il n'aurait jamais d'autres enfants. Le passé. Une abominable vérité qui va bientôt être révéler au grand jour car mon sang n'étaient pas le même que celui de mes parents..
crédit avatar; red lips.
Néron Lestrange
« Le filleul qui est plus mon cousin. » Néron. Que puis-je dire à ce sujet ? Nos mères étaient des comme des sœurs à leur scolarité et c'était naturel pour elle de rester en contact même après Poudlard. Une Rosier et une Lestrange. Une merveilleuse amitié qui dure encore aujourd'hui. Même si elles n'étaient pas de sœur de sang elles voulaient avoir un lien de famille. Et l'évidence les frappa quand elles nous eurent Néron et moi. Je suis devenue sa marraine étant âgée de plus d'année que Néron. On se considère à présent plus comme des cousins vu qu'on a presque vécu ensemble. On était tout le monde fourré ensemble quand on était petit, par nos mères. Au début, je faisais tout pour n'avoir rien à faire à lui. Mais plus, le temps passa plus une passion commune nous rattrapa : la connaissance par les livres. Depuis, on est très proche. Je suis devenue en quelque sort son pilier quand il intégra Poudlard dans ma maison alors que tout le monde pensait qu'il allait finir à Serpentard. J'espère l'avoir fait aimer notre maison. On traine encore parfois ensemble, on aime faire des bêtises ensembles. On se taquine, on se provoque, on se met au défis. Il est de ma famille.
crédit avatar; schizophrenic
Gale Rosier-Nott
« Un cousin interdit à fréquenter, des rencontres secrètes. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; arterton-gem
Elwan Callaghan
« Ce sang de bourbe perturbateur. » S'il y a bien quelque chose qui ont eu raison de mon éducation c'est ce mec : Elwan. Un né-moldu, fier de l'être qui me pourrit la vie. Et que je lui rends bien. Au départ, les petits accidents je les mettais comme le hasard, une malédiction. Tout ça jusqu'à que je le chope en flagrant délie. Depuis, la guerre est déclarée. Je m'en contrefiche du règlement et il se contrefiche de faire des crasses à une femme. Comme quoi, les moldus ne connaissent pas le respect et être gentleman. Je le déteste, que dis-je je le hais. Et il me le rend bien. Une haine pure comme je les aime. C'est un déchet, un impur, un être inférieur pour moi et je lui fais bien savoir. Il me doit le respect !
crédit avatar; blue romance
Aiden Prewett
« La gêne existe. » Aiden. L'auror que j'aurais voulu faire mon quatre heure lors d'une soirée où j'avais abusé de l'alcool. C'était lors d'une soirée où j'avais été contrainte de suivre mes parents, que je l'avais rencontré. Il était chargé de la surveillance de la fête mondaine qui regroupait les grandes familles de sang pur. Tandis que moi j'enchainais les bierraubeurres et tout autre alcool pour oublier cette soirée mondaine qui ne rimait en rien. Trop d'alcool dans le sang, j'ai fini par le draguer ouvertement. Je me souvenais qu'il m'avait repoussé et était là pour permettre de garder l'équilibre devant mes parents. Par la suite, je ne l'ai plus jamais revu jusqu'à que j'accompagnais mon père au ministère. Ministère où je suis tombé en plein sur lui. On dirait qu'il ne m'a pas oublié et se moque ouvertement me faisant rappeler la fameuse scène de la soirée..
crédit avatar; izzy.
Teruki b. Tsuki
« Un professeur qui ne doit pas fourrer ses yeux dans ma vie. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; halstead.
Mickey s. Ollivander
« Il était hors de question de me marier avec lui ! Ennemi » Mickey et moi on se connait depuis que je suis rentrée dans la boutique de son père pour m'acheter ma baguette magique accompagné de mon père. J'avais quatorze ans et lui vingt trois. Entre nous, ça n'a pas du tout collé ce qui n'était pas le cas de nos pères. Chacun voyait une opportunité pour redoré le blason ou augmenter sa popularité chez les sangs purs. Ils avaient omni l'idée d'un mariage arrangé entre Mickey et moi. Juste omni car nos querelles ont poussé à bout nos pères d'oublier l'idée du mariage arrangé. C'était bien la seule fois où on était d'accord sur ce point. Nous marier hors de question. On préférait de loin se marier avec une créature magique ou un/e née-moldu que de se marier avec l'autre sang pur. Les années n'ont pas changé à nous faire détester. On se croisait forcément au chemin de travers pour des achats ou ailleurs en Angleterre. Je ne pouvais vraiment pas piffrer l'Ollivander. C'était surement son côté poufsouffle qui me répugnait chez lui. Ou alors c'était qu'il savait autant de choses sur les baguettes magiques alors que je savais que peu de choses. Lui je ne savais pas ce qu'il n'aimait pas chez moi. Peut-être mon côté princesse ou autre chose. Mais je m'en fichais. On aurait pu en rester là, à se détester mais le destin en avait décidé autrement. On m'avait attaqué un jour et un individu m'avait sauvé. Quelque temps après Mickey avait dit quelque chose qui me laissa douter sur l'identité de mon mystérieux sauveur. Pourtant, je ne vois vraiment pas pourquoi ça serait lui mon sauveur, il me déteste comme je le déteste. On s'était déjà balancer à la figure qu'on préférait voir l'autre mort que vivant. Alors non, ça ne pouvait pas être Mickey mon sauveur surtout qu'il dit que non. Pourtant c'était vraiment lui cette nuit qui m'a sauvé … .
crédit avatar; purple haze.
barry g. Brown
« Un mec avec sa musique qui m'insupportable. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit junkiie; subrosa.
Caelen c. Yeats
« tu m'insupportes »Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; furiedheart..
Eden a. Wilson-Grey
« Le professeur inacessible. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; prométhée.
Hannibal MacNair
« a définir. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; loee.
Bellamy s. Carrow
« Mon premier amour, ma première fois et ma première déception. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; red swallow.
Mackenzie Todd
« L'arroseur arrosé qui est devenu mal vu. »[spoiler="CODE"]t, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; applestorm.
Ezekiel m. Yaxley
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; merenwen.
prénom p. nom
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; subrosa.
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<center> <table><tr><td><img src="http://i.imgur.com/VIGouOa.png" style="border: 2px solid #F3F2EA; padding: 2px;"></img><div style="width: 200px; margin-top: -5px;font-size: 20px; font-family: times new roman; letter-spacing: -2px; text-align: center;"><b><i>[color=#8D9FCA]prénom[/color] [color=#9ED863]p.[/color] [color=#8D9FCA]nom[/color]</i></b></div><div style="width: 190px; padding:5px; border-top: 2px solid #9ED863; border-bottom: 2px solid #8D9FCA; text-align: justify; line-height: 11px; font-size: 11px; height: 80px; overflow:auto;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.</div><div style="width:200px;font-size: 8px; text-transform: uppercase; color: #B7B7B7;text-align:center;">crédit avatar; subrosa.</div></td><td><img src="http://i.imgur.com/rLL3H.png" style="border: 2px solid #F3F2EA; padding: 2px;"></img><div style="width: 200px; margin-top: -5px;font-size: 20px; font-family: times new roman; letter-spacing: -2px; text-align: center;"><b><i>[color=#9ED863]prénom[/color] [color=#8D9FCA]p.[/color] [color=#9ED863]nom[/color]</i></b></div><div style="width: 190px; padding:5px; border-top: 2px solid #8D9FCA; border-bottom: 2px solid #9ED863; text-align: justify; line-height: 11px; font-size: 11px; height: 80px; overflow:auto;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.</div><div style="width:200px;font-size: 8px; text-transform: uppercase; color: #B7B7B7;text-align:center;">crédit avatar; subrosa.</div></td></tr></table> </center>
Dernière édition par Lorelei E. Wilbert le Mar 22 Sep - 10:51, édité 37 fois
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
« partenaire de bibliothèque. » a venir prochainement..
crédit avatar; wildworld.
Dawn r. Blackwood
« la raison de ma première déception amoureuse. » Dawn. Je suis persuadé que c'est à cause de cette serpentard que Bellamy m'a brisé le cœur deux fois. Je ne vois que cette solution pour avoir disparu après qu'on est couché ensemble. Vous dites que je suis parano et que je n'ai aucun preuve ? Foutaise, j'ai des preuves. Si ce n'est pas à cause d'elle qu'il m'a quitté, il n'aurait pas été la voir la première le lendemain matin pour lui dire je ne sais quoi. Certes, c'est peu mais ça m'a suffit pour ne pas l'aimer. Et on peut dire qu'elle me rend plutôt bien. Cela aurait pu s'en terminé là depuis la fin de scolarité de Bellamy mais non les professeurs se sont mêles à m'ordonner de donner des cours d'arithmancie à Dawn car celle-ci a arrêter le programme de divination à cause d'un accident qui s'était passé durant un de leurs cours. Accident qui m'a éveiller ma curiosité et c'est bien le seul avantage que j'ai à lui donner des cours. Rien d'autre. Ou peut-être de comprendre pourquoi Sienna et Bellamy l'aime tant. Maso je suis, maso je resterais toujours.
crédit avatar; pennyboat.
Zephir t. Yaxley
« Amitié ou ennemi ? » Zephir. Plus une connaissance qu'une amie. On s'est rencontré lors de son intégration à Poudlard. Elle cherchait une place dans le Poudlard Express et en a trouver une dans le box où je m'étais poser. De la, une certaine amitié à commencer à naitre. On se reparlait quelque fois à Poudlard mais beaucoup de choses changèrent. On n'était pas d'accord sur différent points, sans compter que des rumeurs disaient qu'elle n'avait pas un sang pur. Des rumeurs que je ne prétais pas attention, préférant aller lui demander directement. Réponse que je n'ai pas eue. Puis des choses en entrainant des autres, une pointe d'étincelle était lancé dans notre relation. On n'était pas amie ni ennemie. On gardait un semblant de politesse même si on pouvait vite se gueuler dessus n'ayant pas la même vision des choses.
crédit avatar; prper.moon
Lumen Macmillan
« Une ancienne amie qui est vite devenue en ennemie. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; amortentia.
Phèdre e. Montgomery
« Ma Némésis. » Phèdre alias la sale peste. Ma rivale. Une autre septième année de ma maison où elle prend un malin plaisir à être en rivalité avec moi. Elle veut aussi devenir première de notre maison mais elle n'y arrivera pas. Je la déteste pour ça encore plus quand elle s'amuse à placer des objets moldus sous mes oreillers. Tous les coups sont permis entre elle et moi. C'est explosif, le calme ne connait pas notre salle commune. On a rien en commun a part notre pouvoir à être la meilleure et être de sang pur. Elle un sang pur qui adore les moldus, une insulte à notre sang. Alors, on continue a être meilleure que l'autre. Répondre à plus de questions, voir carrément a couper la parole à l'autre en cours pour donner la fameuse réponse. On cumule de ce fait de nombreux points pour les serdaigles mais ça on s'en fiche. Je veux la mettre bat que terre.
crédit avatar; sulky.
Delilah b. Maccarthy
« Faire du chantage à sa prof, ce n'est pas bien du tout. »Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; silkstocking.
Alisson a. Whelen
« Petite jalousie. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; lux reterna.
Lycoris a. Rowle
« Meilleure amie malgré la volonté de mes parents à traîner avec elle. »Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; prométhée.
Zelena a. Von Staël
« Une professeur mitigé sur mon sort. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; datura.
E. Adenora Lestrange
« à definir » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; rose red.
Caroline Sangster
« Ne la sent vraiment pas. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; endlesslove.
Dillawn Yeats
« les ennemis ne mes ennemis sont mes amis » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; irwin.
C. Faye. Black
« Préfère pour sa sœur, un rapprochement. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; Psychozee.
Cassie d. Standford
« Trop proche de Lorenzo ou la jalousie est mal placée. » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; Crick.
Cassiopée Lewis
« une qui s'approche un peu trop près de Seth » Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; Merenwen
Bluenn e. Carter
« la rancune tenace. »Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; merenwen.
prénom p. nom
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; valingai.
prénom p. nom
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
crédit avatar; valingai.
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<center><table><tr><td><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/141533faceless07.png" style="border: 2px solid #F3F2EA; padding: 2px;"></img><div style="width: 200px; margin-top: -5px;font-size: 20px; font-family: times new roman; letter-spacing: -2px; text-align: center;"><b><i>[color=#E67996]prénom[/color] [color=#F2C875]p.[/color] [color=#E67996]nom[/color]</i></b></div><div style="width: 190px; padding:5px; border-top: 2px solid #F2C875; border-bottom: 2px solid #E67996; text-align: justify; line-height: 11px; font-size: 11px; height: 80px; overflow:auto;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.</div><div style="width:200px;font-size: 8px; text-transform: uppercase; color: #B7B7B7; text-align:center;">crédit avatar; valingai.</div></td><td><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/736459faceless09.png" style="border: 2px solid #F3F2EA; padding: 2px;"></img><div style="width: 200px; margin-top: -5px;font-size: 20px; font-family: times new roman; letter-spacing: -2px; text-align: center;"><b><i>[color=#F2C875]prénom[/color] [color=#E67996]p.[/color] [color=#F2C875]nom[/color]</i></b></div><div style="width: 190px; padding:5px; border-top: 2px solid #E67996; border-bottom: 2px solid #F2C875; text-align: justify; line-height: 11px; font-size: 11px; height: 80px; overflow:auto;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.</div><div style="width:200px;font-size: 8px; text-transform: uppercase; color: #B7B7B7;text-align:center;">crédit avatar; valingai.</div></td></tr></table> </center> <center><table><tr><td><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/141533faceless07.png" style="border: 2px solid #F3F2EA; padding: 2px;"></img><div style="width: 200px; margin-top: -5px;font-size: 20px; font-family: times new roman; letter-spacing: -2px; text-align: center;"><b><i>[color=#E67996]prénom[/color] [color=#F2C875]p.[/color] [color=#E67996]nom[/color]</i></b></div><div style="width: 190px; padding:5px; border-top: 2px solid #F2C875; border-bottom: 2px solid #E67996; text-align: justify; line-height: 11px; font-size: 11px; height: 80px; overflow:auto;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.</div><div style="width:200px;font-size: 8px; text-transform: uppercase; color: #B7B7B7; text-align:center;">crédit avatar; valingai.</div></td><td><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/736459faceless09.png" style="border: 2px solid #F3F2EA; padding: 2px;"></img><div style="width: 200px; margin-top: -5px;font-size: 20px; font-family: times new roman; letter-spacing: -2px; text-align: center;"><b><i>[color=#F2C875]prénom[/color] [color=#E67996]p.[/color] [color=#F2C875]nom[/color]</i></b></div><div style="width: 190px; padding:5px; border-top: 2px solid #E67996; border-bottom: 2px solid #F2C875; text-align: justify; line-height: 11px; font-size: 11px; height: 80px; overflow:auto;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.</div><div style="width:200px;font-size: 8px; text-transform: uppercase; color: #B7B7B7;text-align:center;">crédit avatar; valingai.</div></td></tr></table> </center>
Dernière édition par Lorelei E. Wilbert le Lun 7 Déc - 19:55, édité 38 fois
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
Tu le sais pas encore mais tu vas souffrir :DAWNIKA: Elwan déteste les sang-pur, et je crois que Lorelei pourrait être dans son colimateur Pendant ses années d'études à Poudlard il s'est lié d'amitié avec Alix, une sang-pur considérée comme une traite à son sang (ou presque) et a mené la vie dure aux sang-purs avec elle, en se moquant d'eux, leur faisant des blagues à leurs dépends, les insultant ou se bagarrant même parfois (de vraies petites terreurs). Elwan ne se bat jamais avec les filles mais je me dis que Lorelei a le profil parfait pour avoir été l'une de ses victimes (trafiquer son shampoing pour lui donner les cheveux verts, la faire tomber devant toute la Grande Salle grâce à un sortilège bien placé, exposer ses sous-vêtements dans le parc etc. des trucs enfantins mais assez mesquins quand même). Si ça te tente on pourrait partir sur cette base et développer le reste en fonction de la réaction qu'aurait eu Lorelei face à tout cela
Alors, comme je te disais en MP je pense qu'il y a vraiment matière à se faire un bon lien entre Lorelei et Nika. Elles ont eu toutes les deux un père qui leur a donné une éducation stricte pour que la valeur du sang pur et de leur famille soit respectée. Du coup, je me dis qu'elles auraient pu se comprendre et que Lorelei aurait été une des rares amies de Nika dans son enfance quand la plupart des autres enfants de sang pur étaient jaloux parce qu'elle était toujours mise sur un piédestal durant les soirées mondaines. Après, pour corser le tout, il faudrait voir ce que Lorelei pense de la Nika de maintenant. Lorsqu'elle était enfant, elle était encore à peu près normal mais plus les années ont passées et plus elle est devenue froide et distante comme si plus rien ne la touchait. Dans le futur, elle va évoluer en se brisant face à des désillusions mais pour l'instant elle est encore bien lobotomisée par l'éducation de son père.
J'adhère totalement à ton idée. Surtout que venant d'un moldu fier de l'être, ça va faire réagir Lorelei. Elle n'est pas du genre à parler aux nés moldu, les considérant comme une décoration de Poudlard. Mais le fait, que l'un d'eux la dans son collimateur peut donner du piment dans sa vie. Au départ, elle pourrait mettre ses frasques sous le coup d'une malchance (du genre elle tombe dans la grande salle) jusqu'à qu'elle capte une conversation d'Alix qui félicite Elwan pour son nouveau coup de génie. En apprenant cela, elle fait de plus en plus gaffe jusqu'à répliquer au gryffondor vu qu'elle ne se laisse pas faire du tout. Après tout, ça joue sur son image. Elle aura même à rentrer dans son jeu et faire les mêmes coups qu'Elwan (elle lui lance un sort pour qu'il soit couvert de furoncle, elle se retrouve en sous-vêtement devant un professeur, il fini dans le grand lac etc.) Ils seraient même arriver à se bagarrer à coup de sort dans un couloir au point de se faire coller et perdre de nombreux points à leur maison. A force de coups, une haine aurait pu naître. Elwan est sa némésis comme l'est Lorelei pour lui. Cette haine pourrait même la faire tenter de rejoindre l'alliance. En tout cas, ça va être explosive
(d'ailleurs, ça serais bien d'avoir aussi un lien avec ton DC, après tout la mère de Lorelei est une Rosier comme l'un des parents de Gale )
Dis moi ce que tu en pense
NIKA : Ma jumelée d'amour
Oui les deux se ressemblent beaucoup et j'aime beaucoup l'idée qu'elles se connaissent depuis qu'elles sont enfants et ont fait de leur points communs une force . On peut dire qu'enfant, Lorelei l'admirais beaucoup sans être jalouse comme tous les autres enfants. Elles auraient pu parler de leur hâte d'entrer à Poudlard et leur envie de se retrouver dans la même maison. Mais au bout d'un moment, Nika est devenu distante même envers elle et Lorelei ne comprenait pas sa réaction. D'une certaine manière, elle l'avait trahit sans compter qu'elles sont dans des maisons différentes. Lorelei ne la reconnait plus mais elle se souviens des moments passé avec Nika quand elles étaient petites et que la serpentard était "normale". Lorelei est plutôt quelqu'un de têtue mais pas rancunière. Même si la distance de Nika lui a fait comme un coup de poignard dans le dos, elle sait que si Nika est comme ça, il lui est arriver quelque chose. Un certain moment, les deux femmes auraient pu s'éviter si Nika est distante et personne n'aurait su qu'elles se connaissaient depuis qu'elles sont toutes petites. Au bout d'un certain moment ou un événement (à savoir) Lorelei aura pris les devants pour reparler à Nika et justement retrouver l'amitié qu'elles avaient eu autrefois. Après, à voir si Nika va laisser faire ou être encore plus distante et froide qu'elle l'est. Mais, Lorelei ne lâchera pas l'affaire de son amitié perdue même si elle doit se prendre des vents monumentales.
J'espère que ça te plait
LORENZO : Je n'oserais pas
Dawn R. Blackwood
LA PRINCESSE DES GLACES
+ SORCIER DEPUIS LE : 18/08/2012 + PARCHEMINS : 6731 + LOCALISATION : Poudlard, la tanière des verts ou le terrain de quidditch
Alors je me disais qu'on pourrait se servir du lien Nika/lorelei (du moins si vous le gardez comme tu le proposes ^^). Nika est la meilleure amie de Dawn, elles sont vraiment faites l'une pour l'autre et c'est l'amour fou entre elles. Je me disais que Lorelei pourrait peut être être jalouse de Dawn? Elle considérerait que c'est en partie de sa faute si Nika et elle se sont éloignée et du coup elle lui en voudrait un peu. C'est à creuser mais voilà ce à quoi j'ai penser
Après elles ont quand même quelques points communs, leurs familles sont connues et très sombres et elles sont toutes les deux considérées comme des petites princesses par les autres (Dawn c'est surtout parce qu'elle considère qu'elle n'a de comptes à rendre à personne et puis bon c'est un peu une keunasse aussi ). Et cerise sur le gâteau elles sont toutes les deux des héritières de sang pur qui sont amoureuses (enfin c'est en cours ) de né-moldu (coucou Elwan ). Je ne sais pas trop comment on pourrait utiliser ça mais je me disais que ça valait le coup de le souligner
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
Alors, oui c'est une très bonne idée de partir du fait que Lorelei peut en vouloir à Dawn qui la rend en partie responsable de l'éloignement de Nika envers elle (si on garde le lien Nika/Lorelei défini). Surtout que bon, Nika et Lorelei se connaissent depuis toutes petites donc Lorelei ne comprend vraiment pas pourquoi Nika est distante envers toute le monde sauf avec Dawn. Ça fait mal à Lorelei qui pourra ressentir une jalousie et une méfiance envers Dawn.
Après pour corser le tout vu que Dawn et Lorelei ont quand même pas mal de points que tu as souligné sans compter le fait qu'ils auront toutes les deux un amour pour un né-moldu, même si Lorelei est jalouse de Dawn forcément elles vont s'entendre. Du genre, Lorelei va se dire un truc du genre "si je laisse ma jalousie de côté pour devenir amie avec Dawn, Nika va forcément me reparler et on recréer notre ancienne amtiié". Dawn peut être d'abord un peu méfiante surtout qu'au départ Lorelei l'a toujours regarder avec un regard noir donc forcément du genre au lendemain elle change, il y a de quoi se méfier xD . J'avais pensée (si ça te dis et si ça va dans ton perso) que vu que Lorelei est une 7ème année et Dawn une 4ème année, Lorelei pourrait faire comme un soutien scolaire. Du genre, Dawn n'est pas très forte dans tel matière, Lorelei peut lui proposer de l'aider et après un nouvel échec (genre Dawn se tape un D sur un devoir) Dawn accepte la proposition de la serdaigle. Se voyant, leurs points communs pourraient justement enlever la tension entre les deux femmes et encore plus quand elles vont être surmonté à leur amour naissant pour un né-moldu.
C'est tout parfait pour moi et du coup je me dis que pour l'évènement c'est un peu compliqué de prévoir la réaction de Nika. Elle est pas mal chamboulée en ce moment donc c'est un peu aléatoire. Du coup, je pense que le plus simple serait de le jouer en RP, non ?
je viens demander un petit lien ! Je débarque avec un début d'idée
J'adore les liens familiaux en tout genre du coup, j'te propose un truc o/ Maman Lestrange et Maman Wilbert auraient pu être copines, depuis l'époque de Poudlard. A la naissance de Néron, j'vois bien maman Lestrange demander à ce que Lorelei soit la marraine du petit ou quoi (vu qu'ils ont 4 ans d'écart, ce serait plus pour faire plaisir aux mères qu'autre chose ) Du coup, tous les deux auraient plus ou moins pu grandir ensemble, un peu comme le feraient deux cousins, un truc du genre :3 fin c'est un début d'idée, mais j'vois bien Néron être un petit emmerdeur qui enquiquinerait Lorelei pour qu'elle vienne jouer avec lui
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
NIKA : Oui c'est une très bonne idée de faire l'événement comme rp. Comme ça, ça sera notre premier rp de jumelée Pour le lien, tu veux rajouter quelque chose ou tout est parfait ?
NERON : Serdaigle pawa on est les meilleurs * tousse * C'est une très bonne idée. Je vois très bien leur mères les meilleures amies du monde qui se considèrent comme des soeurs, sang pur oblige. Elles seraient promis de toujours se voir en dehors de Poudlard et quoi de mieux qu'une naissance pour les t'approcher ? Quand leur enfant est né, elles ont signer un accord comme quoi Lorelei serait la marraine de Néron.
Ce que je peux trouver intéressant à faire c'est que les deux "cousins" auraient pu avoir un début difficile d'entente. Je m'explique. Lorelei est éduquer dans le sens que les sang purs sont meilleurs que tout le monde et que le pouvoir passe par le savoir et la manipulation. Elle pourrait être plus intéresser par les livres que par le gamin qu'était Néron. Sans compter s'il l'emmerdait pour jouer avec lui ça embêtait Lorelei. Ses parents lui ont dis d'être proche de son cousin mais elle ne voyait vraiment pas l'intérêt de répondre aux caprices de Néron. Après à savoir si ça faisais mal ou pas à Néron de cette indifférence.
En grandissant ils auraient pu se rapprocher quand ils eurent un intérêt commun pour la culture. Ou par exemple, quand elle sauva Néron de quelque chose (noyade ? Un enfant plus grand embêtait Néron et Lorelei l'a protéger ? Ou autre chose) Par la, Lorelei ne l'aurait plus juger comme un gamin mais comme son cousin et au fil des jours, elle appris à l'apprécier et réciproquement. Elle aima même le côté enquiquineur de Néron et on peut dire que même à Poudlard, il s'amuse à la taquiner et Lorelei pourrait rentrer dans son jeu. Du genre "oh Néron tu me fais ch*er" avec un sourire amusé qui dit le contraire. Et Néron aurait rajoutée d'autres couches.
dis moi ce que tu en pense et désoler pour le retard de la réponse
Alors, oui c'est une très bonne idée de partir du fait que Lorelei peut en vouloir à Dawn qui la rend en partie responsable de l'éloignement de Nika envers elle (si on garde le lien Nika/Lorelei défini). Surtout que bon, Nika et Lorelei se connaissent depuis toutes petites donc Lorelei ne comprend vraiment pas pourquoi Nika est distante envers toute le monde sauf avec Dawn. Ça fait mal à Lorelei qui pourra ressentir une jalousie et une méfiance envers Dawn.
Après pour corser le tout vu que Dawn et Lorelei ont quand même pas mal de points que tu as souligné sans compter le fait qu'ils auront toutes les deux un amour pour un né-moldu, même si Lorelei est jalouse de Dawn forcément elles vont s'entendre. Du genre, Lorelei va se dire un truc du genre "si je laisse ma jalousie de côté pour devenir amie avec Dawn, Nika va forcément me reparler et on recréer notre ancienne amtiié". Dawn peut être d'abord un peu méfiante surtout qu'au départ Lorelei l'a toujours regarder avec un regard noir donc forcément du genre au lendemain elle change, il y a de quoi se méfier xD . J'avais pensée (si ça te dis et si ça va dans ton perso) que vu que Lorelei est une 7ème année et Dawn une 4ème année, Lorelei pourrait faire comme un soutien scolaire. Du genre, Dawn n'est pas très forte dans tel matière, Lorelei peut lui proposer de l'aider et après un nouvel échec (genre Dawn se tape un D sur un devoir) Dawn accepte la proposition de la serdaigle. Se voyant, leurs points communs pourraient justement enlever la tension entre les deux femmes et encore plus quand elles vont être surmonté à leur amour naissant pour un né-moldu.
Voila, voila dis moi ce que tu en pense
Me voilàààà
J'aime énormément ton idée! au départ Dawn va être super méfiante et froide, elle connait le caractère et la réputation de Lorelei (qui a le même prénom que sa mère je précise ) et elle va la soupçonner de vouloir la manipuler, voire l'écarter de son amitié avec Nika. Mais elles apprendront à se connaitre et là elles verront qu'elles ont des points en commun et qu'elles peuvent se lier sans se méfier/jalouser. J'aime aussi l'idée du soutient! Dawn a d'excellentes notes (obligation de maman Blackwood) mais aux incidents qui ont eu lieu pendant un cours de divination (ils ont bu des thé hallucinatoires et elle a été particulièrement traumatisée par ce qu'elle a vu) elle a laissé tomber cette matière. Elle a été obligée de reprendre une option pour valider son année, surement étude des runes, elle a un an de retard et même si elle est loin d'être bête c'est difficile à rattraper, c'est là que Lorelei peut intervenir. Les profs lui auraient demandé d'aider Dawn, ce que la Serpentarde n'aimerait déjà pas à la base parce que elle ne veut rien devoir à personne. Lorelei pourrait aussi être un peu curieuse de ce qu'il s'est passé en cours de divination (tout le monde en a entendu parlé dans le château vu que le prof a été viré à cause de ça) et elle chercherait à interroger Dawn. Suivant ce que Dawn lui explique elle pourrait comprendre que au fonds elle n'est pas juste une garce froide et hautaine mais quelqu'un à qui elle pourrait finir par s'attacher. Je ne sais pas si c'est très clair, mais dis moi ce que tu en penses
NERON : Serdaigle pawa on est les meilleurs * tousse * C'est une très bonne idée. Je vois très bien leur mères les meilleures amies du monde qui se considèrent comme des soeurs, sang pur oblige. Elles seraient promis de toujours se voir en dehors de Poudlard et quoi de mieux qu'une naissance pour les t'approcher ? Quand leur enfant est né, elles ont signer un accord comme quoi Lorelei serait la marraine de Néron.
Ce que je peux trouver intéressant à faire c'est que les deux "cousins" auraient pu avoir un début difficile d'entente. Je m'explique. Lorelei est éduquer dans le sens que les sang purs sont meilleurs que tout le monde et que le pouvoir passe par le savoir et la manipulation. Elle pourrait être plus intéresser par les livres que par le gamin qu'était Néron. Sans compter s'il l'emmerdait pour jouer avec lui ça embêtait Lorelei. Ses parents lui ont dis d'être proche de son cousin mais elle ne voyait vraiment pas l'intérêt de répondre aux caprices de Néron. Après à savoir si ça faisais mal ou pas à Néron de cette indifférence.
En grandissant ils auraient pu se rapprocher quand ils eurent un intérêt commun pour la culture. Ou par exemple, quand elle sauva Néron de quelque chose (noyade ? Un enfant plus grand embêtait Néron et Lorelei l'a protéger ? Ou autre chose) Par la, Lorelei ne l'aurait plus juger comme un gamin mais comme son cousin et au fil des jours, elle appris à l'apprécier et réciproquement. Elle aima même le côté enquiquineur de Néron et on peut dire que même à Poudlard, il s'amuse à la taquiner et Lorelei pourrait rentrer dans son jeu. Du genre "oh Néron tu me fais ch*er" avec un sourire amusé qui dit le contraire. Et Néron aurait rajoutée d'autres couches.
dis moi ce que tu en pense et désoler pour le retard de la réponse
Alors oui, je pense que Néron aurait été un petit emmerdeur jusqu’à ce qu'il apprenne à lire correctement tout seul après je le voit bien passer son temps le nez dans un bouquin, en bon serdy qu'il est D'ailleurs, il aurait pu venir demander à Loreleï, quand il comprenait pas un mot ou quelque chose du genre, donc, rapprochement Pour ce qui est de sauver Néron. Pourquoi pas xD j'y avait pas du tout pensé mais ça peut être intéressant à développer. Par contre je pencherait plutôt pour la noyade ou carrément un accident de Quidditch, genre grosse chute qui lui aurait cassé un bras ou deux/trois dents (Et donc Loreleï le tractant tant bien que mal à l'intérieur pour qu'il se fasse soigner) Si quelqu'un l'embête, même si l'autre est plus grand il est pas du tout du genre à se laisser marcher sur les pieds
Après à Poudlard, sa répartition chez les Serdaigle il l'as très mal vécue au début, sachant très bien que son père allait le punir pour ça. Ne pas être à Serpentard,ça l'a pas mal retourné. Voir que sa "cousine" était elle aussi à Serdy ça aurait pu l'aider à relativiser, à se dire que finalement il est pas le seul gosse de mangemort à pas être chez les vipères. Et du coup oui, je pense qu'il la taquinerait toujours un peu de temps en temps, pour genre lui prouver son affection