NOM : Morgan. PRÉNOMS : Leila. AGE : Née le six novembre 1961, elle est désormais âgée de vingt ans.  ANNÉE : Sixième. ÉTAT CIVIL : Célibataire, libre et sans limite. PURETÉ DU SANG : Née moldue. MAISON SOUHAITÉE : Gryffondor. ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle. PARTICULARITÉ : écrire ici. Pour doter votre personnage d'une particularité rendez vous ici. Attention, vous devez envoyer votre demande avant d'avoir posté votre histoire car il est important que votre don y soit traité.
   

✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ?C'est en me dirigeant vers mon cours de botanique d'un pas lent, considérant le retard que j'avais, que j'aperçue à ma gauche un papier qui semblait s'être égaré de son propriétaire. Je me penchai pour le ramasser, de toute façon que je sois en retard quelques secondes de plus ne changera rien. En le défroissant je reconnu instantanément l'écriture de Madame MacCarthy, la professeure de potions. Était-ce les réponses du prochain examen ? Je ne pus retenir un rictus de satisfaction ; je n'aurais pas cru que cette journée pouvait être encore meilleure. Même si j'avais toujours en haut de la moyenne en potions, un peu d'aide n'est jamais de refus. Et puis, il n'y a aucun témoins, les couloirs se sont vidés depuis que la cloche a retenti. Je lus quelques lignes puis replia le précieux document et le dissimula dans mon manuel de botanique entre deux pages concernant les filets du diable.
   ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ?Je montais les marches qui m'aurait normalement conduites à mon dortoir, si seulement elles n'avaient pas changer de directions. Un groupe de jeune fille de  troisième année parlaient fort et riaient excessivement aigu pour se faire remarquer par les plus vieux de l'autre côté des couloirs. Je me dépêchai de les dépasser pour atteindre mon dortoir et  consulter loin de tout les regards les réponses de l'examen de potions. En changeant d'escalier je vis la petite soeur née-moldue d'une de mes amies aux prises avec des septièmes. Quels abrutis, pensais-je. Je serrai mon poing droit automatiquement. Bien sûr, les représailles de mon acte et le fait que les brutes furent armées de leurs baguettes me traversa l'esprit, mais pas plus d'une demi-seconde. À environ deux mètres de celui qui semblaient le plus agressif envers l'adolescente, je me donnai un élan. Mon poing se fracassa violemment contre la tempe de ma cible.
   ✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ?À la dernière moquerie de mon voisin de pupitre je ne pu me retenir de rire. C'était si drôle, c'était plus fort que moi. Mes heures de sommeils perdues à fêter me rattrapaient. Je crois que le professeur ne l'a pas trouver aussi drôle que moi. Il me punit si sévèrement, pour aucune raison, que je pouffai de rire une nouvelle fois. : « Qu'est-ce que j'ai fait ? » , arrivais-je à dire en essayant d'atténuer mon fou rire. Pour toute réponse le professeur pointa la porte et me sortit de la classe. Je jetai un dernier regard vers le réel auteur de la moquerie. J'aurais bien voulu le fusiller des yeux ou même l'insulter, mais j'étais pliée en deux. En fait, ce professeur ne m'apprécie guère, surtout depuis qu'il a intercepté une bataille avec un septième année il y a quelques jours. C'est probablement pour cela qu'il m'a sortit, moi, au lieu de ce bouffon. Ça ne me dérangeais pas d'être sortie de la classe, ce qui me dérangeais c'est que le professeur laissait le vrai coupable impuni.
   ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Sans hésitation je choisirais la célébrité. Pourquoi me demandez-vous ? Car selon moi la richesse sert à s'acheter des possessions dans le but de faire l'envie des autres. Quand on est enviée, on devient célèbre. J'ai appris ça dès mon plus jeune âge dans le monde des moldus. Et pourquoi donc vouloir l'amour? Par peur d'être délaissée, ignorée, oubliée. Alors qu'avec la célébrité personne ne m’oubliera, personne ne m'ignorera. Et la sagesse je n'en ai que faire, je la laisse pour ceux qui la convoitent. Je n'en ai pas besoin pour faire ma vie, je trace mon propre chemin et écris mes propres règles. Un jour tout le monde connaîtra Leila Morgan comme celle qui ne se soumettait pas aux restrictions des dirigeants et qui restait fidèle à ses convictions.
   

PSEUDO : Charlie. AGE : Seize ans. PRÉSENCE :   Environ quatre jours sur sept. Pour cause sociale et scolaire je peux parfois m'absenter plus de cinq jours. AVATAR :

Code:

[b]ALYCIA DEBNAM-CAREY[/b] [color=#c24132]◊[/color] Leila Morgan

COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Je ne me souviens plus, ça faisait un petit bout de temps que je flânais sur ce forum en hésitant de m'y inscrire, probablement sur un top-site ou un partenariat.UN PETIT MOT POUR LA FIN : Je suis italo-québécoise, j'aime les chips au ketchup, la poutine, Imagine Dragons et le tiramisu. Passionnant, n'est-il pas ?

Dès mon plus jeune âge on m'inculqua le pouvoir de dieu, du tout-puissant. Je fus baptisée à la plus grande église de Londres au deuxième jour de mon existence. Mes parents, faute d'imagination ou simplement pour rattraper leurs péchés présents et futurs, ne m'ont jamais raconté de contes farfelus sur les princesses qui embrassent des grenouilles ou même de preux qui partent guerroyer pour sauver une  demoiselle captive dans une tour. Ils me racontaient plutôt comment Judas avait trahi Jésus, comment celui-ci avait dû souffrir pendant quarante jours avant de se faire crucifier sur une place publique. Quoi de mieux avant de s'endormir que l'image d'un homme devant boire du vinaigre jusqu'à déshydratation en portant le fardeau de la croix ? Je ne leur en veux plus pour cela, j'aurais juste préféré les frères Grimm.

Plus je grandissais, plus la religion prenait une place importante dans ma vie. Je n'en pouvais plus. La messe du dimanche, le carême, les restrictions, la confession des pêchés. Désormais avec tout mes pêchés, il me faudrait plus qu'un simple quart d'heure par semaine pour pouvoir me les faire pardonner.

Vers l'âge de six ans je commençais à voir ma magie se manifester. Des jouets tombant des étagères lorsque j'expulsais ma colère en criant, des élèves m'embêtant qui, quelques fois, se paralysaient pendant de brèves secondes. Déjà à cet âge j'avais un désir évident de me rebeller, de contrevenir aux règles qui m'oppressaient depuis toujours. Quand, à quatorze ans, je reçus une étrange lettre venant d'une école de sorcellerie, mes parents furent horrifiés. Leur plus jeune fille serait une sorcière ? De plus, ma confirmation approchait, je ne pouvais pas partir maintenant. Ils ne voulurent accepter cette découverte. Je n'appris jamais l'existence de cette lettre avant qu'un certain samedi ce soit mon tour d'aller jusqu'à la boite-aux-lettres. Une chouette était posée sur celle-ci. Je tentai de la faire partir en faisant des grands signes près de son visage, mais elle se reposa aussitôt. Quand je levai la tête vers elle je remarquai qu'elle avait une enveloppe qui m'étais désignée dans le bec. Je la pris, puis l'oiseau s'envola.

Je n'ai jamais réussi à convaincre mes parents de me conduire au chemin de traverse. Il ne voulaient pas voir leur fille se prendre pour dieu, défier les lois de la nature et de ce qu'ils croyaient normal. Je dus me débrouiller seule. Une nuit je remplis silencieusement mon sac à dos de nourriture, d'argent que je volais progressivement à mon paternel depuis quelques semaines, de la lettre et d'une carte de Londres. Je pris l'autobus et me rendit jusqu'au Chaudron Baveur. Aidée par une famille de sorcier je réussis à atteindre le Poudlard Express.

Dès ma première année je me fis plusieurs amis. Je crois que le fais d'avoir renier ma famille moldue aussi brutalement m'a permis d'éviter les désagréments de plusieurs pur-sang. Malgré le fait d'avoir eu la chance de me forger un entourage fiable, je me suis souvent battue. J'ai eu certains problème avec la direction, mais ils se sont tous arrangés avec le temps. Maintenant je n'ai que peu d'excès de violence, car tout le monde sait qu'il faut un niveau de stupidité élevé pour me provoquer à ce point.

J'ai passer ma troisième, quatrième et cinquième année à fêter presque tout les vendredis. J'avais un groupe d'amis qui n'hésitait pas, comme moi, à faire les fous, se déchaîner après une semaine chargée. Nous nous lancions des défis, que quelques uns qualifiraient de stupides, mais que nous qualifions simplement de défis normaux. Un défi n'est pas un defi s'il est trop facile.

En quatrième année les impacts de ses écarts de comportement et des soirées de déchéance commencèrent à surgirent dans mes résultats. Je passais du A- au B-, puis du B- au C. Lentement je commençais à être engloutie par mon mode de vie malsain. Évidemment je n'étais pas l'élève parfaite, mais je ne souhaitais tout de même pas couler ma quatrième. Je redoublai d'efforts pour mes études, sans pour autant m'empêcher de m'amuser. Les samedis matins, j'avais toujours aussi mal à la tête, mais je ne stressais plus sur le fait de passer mon année.

Durant les grandes vacances je ne suis jamais retournée à la maison des Morgan. La famille de mon amie m'accueillait avec générosité, je leur en serai reconnaissante pour toujours. Par contre, l'année dernière, j'ai décidé de me prendre un petit appartement avec les galions que je gagnais en travaillant à temps pleins au Fleury et Bott durant l'été. Tout ce passait merveilleusement bien, jamais je n'avais été aussi sure de moi. Seulement, un lundi matin, je me sais pas par quel moyen elle sût comment me contacter, mais ma tante appella chez moi. Mon père était sur son lit de mort, deux ans plus tôt il aurait été touché par une maladie dégénérative dont j'ai oublier le nom et il ne lui restait pas plus que quelques semaines à vivre. Sa dernière requête fût que je sois présente lors de son extrême-onction qui aurait lieu le samedi suivant. Après six années d'absence, après ma fuite, après tout ce que j'ai fait, j'ai encore ma place parmi eux? Une larme coula sur ma joue. Je pris congé pour la fin de semaine qui venait et j'assistai, comme désiré par mon père à son dernier sacrement. Il m'avoua que malgré le fait que je les ai quitter six ans auparavant, il ne cessait de penser à moi en se demandant ce que j'étais devenue. Je n'aurais pu être plus fier de toi, Leila. , m'avait-il dit.

Avant que je puisses commencer mon année finale à Poudlard mon père s'éteignit. J'assistai à ses funérailles et, le lendemain, je partis de la maison familiale pour prendre le Poudlard Express. Jusqu'à présent, ma sixième fut plus axée sur l'étude que sur l'alcool même si je ne m'empêche pas quelques soirées entre amis.