NOM : Harlow, aussi anglais qu'ellePRÉNOMS : Jazz, Harriet, en l'honneur de sa grand-mèreAGE : 23 ans, 21 si on lui demandePOSTE : Actrice, et principalement serveuse de barÉTAT CIVIL : Célibataire. Non, y'a vraiment rien à rajouter ...PURETÉ DU SANG : Sang-mêlée, de sa mère moldueANCIENNE MAISON : Si seulement elle avait mis les pieds à Poudlard, ou dans une quelconque autre école ...ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle, quoi que certaines jolies demoiselles la feraient bien douterCAMP : Neutre, pour l'instant PARTICULARITÉ : Cracmol. Hé ouais.
✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? Si Jazz avait la moindre petite idée de ce que cette pierre représentait, elle la ramasserait certainement, peu sûre quant à ce qu'elle en ferait. Elle la garderait cachée et se jurerait de ne jamais s'en servir. Pourtant, si un malheur frappait ses proches, elle n'aurait probablement pas la force de s'en remettre en sachant quel pouvoir elle avait en sa possession. Consciente de ça, après des jours et des jours de doute, elle finirait par jeter la pierre, quelque part où - elle l'espère - personne ne pourrait la retrouver, elle-même inclus. Mais bon. Après des années de rupture avec le monde magique, Jazz n'a aucune idée de l'importance de cette pierre, et si elle venait à tomber dessus un jour, elle continuerait son chemin sans même la remarquer.
✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmené par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Jazz a grandi en tant que garçon manqué en plein cœur des années 60, tandis que les mœurs invitaient fermement les femmes à rester au foyer et surtout à rester à leur place. Du fait, elle a vite appris à se défendre et a très vite appris à avoir du répondant. Alors, si elle tombait sur un moldu en train de se faire malmener, elle foncerait dans le tas. Elle se ferait passer pour une moldue également, si la situation le permet, histoire de s'assurer qu'aucune baguette ne soit dégainée. Puis en quelques joutes verbales, elle renverrait ces moins que rien chez leurs chères mères. Pas qu'elle soit trop sûre d'elle ou qu'elle ne se croit supérieure aux autres, mais elle sait parfaitement que ceux qui ont besoin de rabaisser les autres pour se sentir mieux dans leurs peaux n'ont pas la tête bien remplie.
✎ Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? Il en est hors de question. Jazz déclinerait cette offre, bien qu'alléchante, à la seconde où elle aurait compris ce que ça impliquait. Travailler à la botte de quelqu'un, avoir à suivre des ordres, des directives ... Bien sûr, elle se dirait aussi qu'elle a été choisie et en serait honorée, peut-être même qu'elle s'estimerait un peu mieux. Mais dans tous les cas, elle refuserait. Même si en étant actrice ou serveuse, elle doit aussi répondre à des ordres et dépendre d'autres personnes, elle a au moins le plaisir de faire le travail qu'elle a toujours voulu faire. Une certaine liberté aussi. Accepter ou non un contrat, prendre ou non une journée de repos, alors qu'allez dire non au Ministre de la magie. Et Merlin sait à quel point Jazz tient à sa liberté.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Par élimination, la richesse. Jazz n'a pas grande foi en l'amour, elle a bien trop vu à quel point ce sentiment pouvait manipuler, changer ou détruire des vies. Elle espère secrètement un jour le trouver, histoire de savoir ce que ça fait, mais elle en a surtout peur. La célébrité ne l'intéresse pas tellement, contrairement à ce que son métier pourrait faire croire. Elle aime pouvoir sortir de chez elle en jogging, ne pas être maquillée et pouvoir passer inaperçue. La sagesse elle non plus ne l'intéresse pas, pas dans l'immédiat en tout cas. Elle est bien trop joueuse et aime beaucoup trop faire les quatre cents coups, comme l'adolescente éternelle qu'elle est. Alors oui, la richesse est ce qui l'intéresserait le plus. Pas pour se pavaner au volant d'une voiture dernier cri ou pour ne porter que du Chanel, mais pour pouvoir se consacrer entièrement à sa carrière d'actrice, sans avoir à jongler avec un autre travail en même temps pour assurer ses fins de mois.
PSEUDO : Jazz, comme mon perso (çafaitunpeuschyzo,ouais) AGE : Still the same PRÉSENCE : Réduite à cause d'une période de révisions, 5/7 en temps normal ! AVATAR :
Code:
[b]Elizabeth Olsen[/b] [color=#c24132]◊[/color] Jazz Harlow
COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Le gang de requins ! (Ou les envahisseurs soudain, au choix) UN PETIT MOT POUR LA FIN : Désolée pour ce changement de compte, j'espère que ma Jazzie vous plaira tout autant. Pour ceux avec qui j'avais déjà des liens, je reviendrais les chercher, promis ♥
Dernière édition par Jazz Harlow le Lun 24 Aoû - 23:23, édité 2 fois
monsters are real and ghosts are real too. they live inside us and sometimes they win.
1.1 Abnormal
Mon père est un grand explorateur et romancier du monde magique. Il parcourt le monde en quête de découvertes et les retranscrit en livre d'aventures qui se vendent comme des petits pains. Ma mère fût sa plus merveilleuse découverte, comme il me le décrivait tandis que j'étais encore enfant. Il était en vacances en Angleterre lorsqu'il était tombé fou amoureux de cette étudiante qui venait chaque jour boire un thé dans le même salon que lui. Elle était douce et avenante et c'est ça qu'il aimait chez elle. Rapidement, ils s'installèrent ensemble et multiplièrent les tentatives d'avoir un enfant. J'arrivais rapidement. Mon père était si fier de moi. Je ressemblais à s'y méprendre à ma mère et j'avais le même caractère fort que lui. Il était persuadé que je suivrais ses pas et deviendrais exploratrice à mon tour, rendant célèbre le nom d'Harlow. Il m'entraînait avec lui à ses dédicaces de livres, me présentait aux personnalités importantes du monde magique et quelquefois, il m'emmenait en voyage à l'autre bout du monde.
Pourtant, plus je vieillissais, et plus il se montrait froid. En fait, il lui arrivait de ne plus m'adresser la parole, pendant de longs jours. J'étais comme toujours, la fille à son papa, mais peu importait mes actes, il ne me portait plus la moindre attention. Il n'était plus un bon mari non plus, il lui arrivait de gifler ma mère lorsqu'elle prenait ma défense. Elle m'expliquait que c'était normal, que les femmes, comme les enfants, doivent être remis à leurs places parfois et qu'on était chanceuse, parce qu'au moins papa ne buvait pas, lui. Pourtant les gifles se transformaient en coup de poings, en coups de pieds et malgré les dires de ma mère, je ne trouvai jamais ça normal.
Tout s'expliqua à mon quatorzième anniversaire. Ma mère, couverte d'ecchymoses, tentait de retenir mon père qui bouclait ses valises. Je pleurais de tout mon saoul et la seule explication qu'il donna tint en un mot ; “ Cracmol ”
1.2 Unstoppable
J'avais quatorze ans, aucun pouvoir magique, plus de père, et la vie toute tracée qui s'offrait à moi venait de se briser. Je n'avais jamais été scolaire et j'avais passé l'âge de scolarisation obligatoire. Aucune école ne voulait de moi. Mon père m'avait toujours encouragé à ne travailler que la littérature, parce que “ Ce sera utile quand tu écriras tes livres ! Le reste, ça ne te servira jamais à rien. Être explorateur c'est une question de caractère, pas une question d'éducation. ” Je n'avais que quatorze ans et je croyais déjà ma vie fichue.
Suites aux nombreuses sollicitations de ma mère, je m'étais trouvé un travail. J'aidais une vieille dame à tenir son commerce, mais en raison de mon âge, personne ne me laissait la moindre responsabilité. Alors j'étais assise toute la journée sur un tabouret, dans la réserve, à faire et refaire l'inventaire. Et puis un jour, elle y installa une télévision. Des tas et des tas de films y défilaient et je n'avais plus d'intérêts que pour eux, si bien que je fus rapidement mise à la porte. Mais je m'en fichais. Voilà ce que je voulais faire. Être actrice. Bien que réticente, ma mère me paya quelques cours de théâtre et il s'avéra que je n'étais pas mauvaise. Je persévérais et ne vivais plus que pour ça, si bien que je décrochais mon tout premier rôle - à peine plus important qu'un figurant - dans un téléfilm londonien. Et puis ce fût l'effet boule de neige. Je fus invitée à tourner dans plusieurs films, je fis même une apparition dans l'une des toutes premières séries anglaises qui fut. Les années 70 battaient leurs pleins et à chaque fin de tournage, on savait s'amuser.
En fait, on s'amusait même un peu trop. Je n'étais pas encore majeure que je levais mon verre comme les autres à chaque journée achevée. Et puis l'ambiance faisant, on a fini par consommer plus que de l'alcool. Rien de bien méchant pour commencer. Un peu d'herbe. Puis de l'ecstasy. Et l'effet boule de neige m'est retombé dessus. Le crack. Le LSD. La cocaïne. Je venais d'avoir 21 ans et tandis que j'aurais dû profiter de ma jeunesse, je suppliais pour quelques grammes de plus.
1.3 Unlikely
Une fois de plus, ma mère avait pleuré lorsque j'étais rentrée chez moi. Elle ne supportait pas de me voir dans cet état, et je ne supportais pas de la voir pleurer par ma faute. On était lundi soir, il pleuvait des cordes et je n'avais plus un cent. A cause de mes addictions, plus aucun directeur ne voulait de moi et je n'avait plus tourné depuis belle lurette. Ça me rendait triste mais, pour oublier ça, il suffisait de quelques cachets. Le serpent qui se mord la queue. Je déambulais dans les rues, sans trop de but. Mes mains tremblaient sous l'effet de manque mais personne ne voulait plus rien me donner, j'étais d'ores et déjà bien trop endettée. Je n'avais nulle part où aller et j'étais trempée. J'avais fini par m'allonger sous un banc public pour échapper à la pluie et m'y étais endormie. C'est une voix familière qui m'avait réveillé, sans que je puisse mettre de nom dessus. On m'avait fait marcher et, en plein bad trip, j'étais loin d'avoir la force de résister. Les jours qui suivirent furent flou. Je dormais beaucoup, et quand ce n'était pas le cas, je vomissais sous les crampes que le manque causait. Je sais juste que quelqu'un prenait visiblement soin de moi, vu que les draps sur lesquels je vidais mon estomac étaient régulièrement changé et que chaque fois que je me réveillais, de quoi manger était à ma disposition, bien que je sois incapable d'avaler quoi que ce soit.
Cependant, au fur et à mesure, j'allais mieux. J'étais faible, j'avais atrocement maigri et chaque partie de mon corps était douloureuse, mais pourtant, je pouvais rester éveillée assez longtemps pour avoir conscience de ce qui se passait autour de moi. Et un jour, je parvins même à rester éveillée assez longtemps pour que cette voix ait enfin un visage dans mon esprit. Lucas.
2.0 Unsteady
Ça faisait déjà plusieurs semaines que j'habitais chez le vieil ami qui m'avait recueilli lorsqu'il me fit cette proposition complètement dingue. Il connaissait mon appartenance au monde magique, pour cause, il y appartenait aussi. Il avait décidé que la petite pâtisserie qu'il tenait ici, à Baker Street, déménagerait pour Pré-Au-Lard ! Mais pire que ça, il me proposait de le suivre. Hormis quelques rechutes, je ne touchais plus à la drogue, et il savait à quel point je voulais me reprendre en main et regagner ma place d'actrice. Il me présentait le monde magique comme une nouvelle chance, comme une renaissance même. Personne ne me connaîtrait là-bas, et si on me demandait si le fameux écrivain du même nom que moi était de ma famille, je n'aurais qu'à répondre non. Malgré ma réticence et ma répulsion pour le monde magique, je devais avouer n'avoir aucune autre possibilité. Et une renaissance, c'est exactement ce dont j'avais besoin.
A Pré-Au-Lard, je décidais de récupérer mon indépendance. Je dépendais déjà de Lucas pour me faire basculer entre monde moldu et monde magique, alors je refusais d'en plus continuer à vivre à ses crochets. Je me trouvais un poste de serveuse aux Trois Balais et emménageais dans une minuscule maison non loin de là. Après plus d'un an à vivre ici, je pensais que j'avais enfin trouvé mon petit Havre de paix. Je commençais à m'entourer d'amis à nouveau, à retrouver quelques petits rôles par-ci par-là. Pourtant, l'incident du dernier marché nocturne a prouvé que si m'installer ici m'offrait une renaissance, ça ne m'offrait pas pour autant la bonne ambiance et le calme auquel j'aspirai.
Cracmol peut-être, mais s'il faut un jour agir pour protéger ce village, je serais là.
Dernière édition par Jazz Harlow le Mar 25 Aoû - 0:03, édité 1 fois
Je t'aurais bien souhaité bon courage pour la rédaction de ta fiche mais je vois que c'est déjà trop tard alors si tu as des questions tu sais où aller
Jazz c'était déjà cool, l'avatar, c'était encore plus cool, mais alors là... UNE CRACMOL c'est juste fabuleux ** Bon courage pour ta fiche, j'espère qu'on se reverra au détour d'un lien **