NOM: Harwicks. Une famille respecté et fière. Elle tire ses origines de clans Anglo-Saxon dont elle détient une part importante de son histoire. Depuis longtemps, cette famille à perpétué des idéologies et une position très clair quant à la pureté du sang. PRÉNOMS: Sid. Ce n’est pas en l’honneur du célèbre Sid Vicious, vous vous en doutez. S’ils avaient su d’une manière ou d’une autre, jamais leur enfant n’aurait porté ce nom chargé d’anarchie. Ce prénom fut surtout le choix de sa mère qui souhaitait sortir du cadre strict imposé par son mari. Celui-ci avait donné son accord à contre cœur, ne considérant pas Sid comme un prénom acceptable, mais plutôt comme un pseudonyme qu’on donne à un chien. C’est sans surprise que ce premier prénom fut étouffé. Seule sa mère l’utilisait. Marshall. Le prénom de son arrière grand père. C’était une coutume d’offrir le nom d’un de ces ancêtres à ses enfants et le choix se posait entre Marshall et Phineas. Heureusement ils ont pris la bonne décision.AGE: Dix-huit ans ANNÉE: 5ème année STATUT: Célibataire PURETÉ DU SANG: Sang-mêlé purifié. Le mariage de ses grands-parents mit fin à la honte. Un de ses ancêtres avait brisé l’héritage familiale. Il avait souillé le sang des Harwicks, en épousant une sang-mêlé. L’honneur perdu à été acquis de nouveau, mais le sujet reste tabou. MAISON SOUHAITÉE: Hufflepuff. Son tempérament de feu n'a pas su prendre les devants sur sa loyauté sans faille. Sinon c'est à Gryffondor qu'il aurait été envoyé. Il croit qu'il aurait eu véritablement sa place parmi les rouge et or, mais la décision du choixpeau est indiscutable.PARTICULARITÉ: Aucune
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Autant se servir. Marshall est le plus misérable lorsqu’il est question de résultats scolaire. Le cours de Potion est justement le sujet d’une de ses grandes faiblesses. Trouver les réponses sur un bout de parchemin, c’est une chance qui ne se produit pas tout les jours. Avoir l’opportunité de faire monter sa moyenne est un argument de taille pouvant excuser son écart de conduite *ahem*. Et s’il pouvait le faire sans y mettre d’effort c’était encore mieux. Il avait beau être à Poufsouffle, il ne s’acharnait à l’effort qu’envers les choses lui tenant à cœur. L’école n’en faisait pas parti. C’est donc sans réfléchir à la provenance de ses réponses qu’il recopierait sans scrupule la moindre information. Il ne se soucierait pas des conséquences et ne prendrait pas la peine de vérifier l’exactitude de sa trouvaille. Il agirait comme n’importe quel être censé. ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Défendre la veuve et l’orphelin n’était pas un rôle qu’il savait jouer, mais il ne pourrait fermer les yeux devant un tel spectacle. Lui-même était souvent la proie des moqueries et s’imposer dans un tel contexte ne l’aidait pas à se faire oublier des mauvaises langues. Son manque de malice l’empêchait d’avoir une répartie cinglante. Il n’avait pas les mots pour faire taire une brute et son manque de finesse en sortilège l’empêchait de répliquer avec un sort bien contrôlé. Il interviendrait, maladroit et plein de bonne volonté, mais ses moyens étaient vacillant et peu convaincant. Cela déraperait inévitablement. Son instinct lui dicterait de se servir de ses poings, mais c’est lui qui prendrait cher au bout du compte. C’est ce qu’on appel un courage aveugle ou bêtement de la stupidité.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Et c’est ainsi que la colère du blaireau déferla. Il tiendra tête à l’autorité, défendra sa position et ne se taira pas avant qu’on ne répare cette injustice. Il criera haut et fort sa frustration et préfèrera adopter une attitude de gamin plutôt que de répondre avec des arguments solides. Il répliquera sous le coup de l’émotion. En ce qui concerne l’élève qui le ridiculise, il ne se laissera pas marcher sur les pieds longtemps par lui et lui balancera sans doute ses bouquins avant que tout ne dégénère encore une fois. C’est son attitude prompte qui le mettra dans l’eau chaude. Quoiqu’il en soit, ce genre d’évènement jouera sur l’opinion qu’il a de son professeur. L’injustice a le don de le mettre hors de lui. De quoi le dégouter un peu plus de l’école…
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Sincèrement, la célébrité est quelques chose de très tentant. En tant que joueur de Quidditch souhaitant percer au professionnel, le contraire aurait été surprenant. La richesse ne l’intéresse pas. Il n’a même pas conscience de la pauvreté autour de lui, ni même de la différence entre les bien nantis et les autres. L’amour est un élément très flou et inexistant dans sa vie. Que dire de plus sinon qu’il ne l’a jamais connu. Quant à la sagesse c’est pour les vieux. Ne reste plus que le désir d’être quelqu’un. Être reconnu pour de bonne raison et ne plus être traité comme un perdant. Être celui qui peut enfin se permettre de regarder de haut ceux qui l’ont humiliés autrefois. Voilà qui lui permettrait d’obtenir une victoire sur les autres.
« Sid, vient manger » Le diner était prêt. Ma mère avait préparé un rôti avec des pommes de terre. Pour moi il n’y avait pas meilleur moment dans la journée. Après avoir passé ma journée à jouer à dehors, le repas signait la fin d’une belle journée. Je m’étais attablé face à ma mère. Mon père attendait déjà au bout de la table, jugeant mon allure de gamin malpropre d’un regard sévère. « Va te laver les mains! » À cet âge personne ne pense à se laver les mains, mais il y a longtemps que j’aurais du assimiler se détail à ses yeux. Je m’exécutai silencieusement et retourna m’assoir. «Ce sont les porc qui se roulent dans la boue. Regarde-toi bon sang!» . Heureusement ma mère était là, veillant sur moi, prête à prendre mon parti. C’était surement ce qui rendait leur couple si fragile. «Eliaz, c’est un enfant. C’est normal qu’il s’amuse» «Il y a moyen de s’amuser sans avoir l’air de ca. C’est un manque de respect de se présenter à table avec cette allure de clochard» . J’avais été heurté, les mots de mon père me bousculèrent. Je l’affrontai d’un regard fâché, blessé par des mots si durs. «Ne fait pas cet air, veux-tu!» . J’avais tenu tête et je sursautai lorsqu’il frappa son poing sur la table. Il m’ordonna d’aller dans ma chambre, j’étais privé de repas ce soir.
La vie familiale chez les Harwicks n’avait rien de féérique. Les apparences, c’était tout ce qui importait. Préserver les valeurs fortes dominées par une image aristocratique. Le cadre dans lequel je fus plongé malgré moi n’est que l’essence même du mensonge. Les Harwicks n’étaient pas des gens heureux et épanouies. Ils n’entretenaient aucune relation franche et amicale en dehors du « clan ». Ils n’étaient pas baignés par la richesse et leur sang était souillé. Ils n’avaient que le talent inouï de bien paraitre et de se hisser parmi les puissants, pour s’y faire une place. Je suis le dernier et unique descendant de ma famille. Tout dépendait maintenant de moi, mais moi j’en avais décidé autrement. Au grand désespoir de mon père, je n’avais aucune droiture. J’étais le genre de gamin très explosif. Le contraire de ce qu’il espérait d’un fils en fin de compte. Je n’étais pas vulgaire ou impolis, je ne cadrais simplement pas dans ce contexte frigide. Je ne pensais qu’à jouer du matin au soir. J’ai grandit dans la campagne Anglaise, vivant au cœur de l’univers magique, n’ayant que très peu conscience de l’existence des Moldus. On me les décrivait comme de la vermine indigne. Un discours souvent suivit d’insultes gratuites pour bien m’enfoncer cette vision des choses dans le crâne. Déjà à cet âge j’étais un solitaire, mais j’étais un enfant heureux qui ne s’en faisait pas avec la vie. Les problèmes du monde ne m’effleurèrent pas. Je pouvais passer mes journées à jouer dans le jardin ou dans le boisé près de la maison familiale. Jeter des roches dans la rivière, effrayer ma vieille voisine et grimper dans les arbres. J’ai passé le clair de mon enfance en solitaire. Une attitude que mon père n’approuvait pas tellement, trouvant anormal de n’avoir que le chien de la voisine comme meilleur ami. Il me força donc à rencontrer d’autres enfants de mon âge. Un échec cuisant. Je n’ai jamais été doué dans les relations interpersonnelles. Surtout que mon père ne m’aurait jamais laissé jouer avec des enfants de « mauvaise famille ». Les autres gamins dont on m’imposa la présence étaient de ceux toujours bien mis, mimant les gestes de leurs parents avec un snobisme à en vomir. Des exemples pour mon père qui passait le clair de son temps à me comparer à eux. Malgré tout, j’étais un enfant épanouie du moment où les règles ne venaient pas me freiner. Mais chez nous les règles étaient omniprésentes. On attendait de moi une attitude irréprochable, mais je m’exécutais avec fracas, bâclant les tâches qu’on m’imposait dans l’espoir de pouvoir retourner jouer le plus tôt possible. Très tôt, je me butais aux soirées pompeuses, j’étais incapable de me conformer à l’étiquette et je ne trouvais aucun intérêt à déblatérer sur l’impureté du sang. C’était là les désavantages d’être un Harwicks. Nous étions trop banal pour certains et trop bien pour d’autres. Nous étions condamnés à vouloir être reconnu, mais de n’obtenir que très peu de cette reconnaissance.
J’étais « L’héritier », c’était ce que mon père me répétait continuellement. Eliaz Harwicks a toujours eu la trempe d’un sorcier de renom. Il est responsable du département de la sécurité et de la gestion des risques à Gringotts. Un poste important qu’il campe avec professionnalisme. Il a l’audace, la classe et une tête de tueur. J’en ai eu longtemps peur et c’est peut-être pour cela qu’il a eu le dessus sur moi aussi longtemps. Ce n’était pas un homme méchant. Il aimait sa famille, mais il ne le démontrait pas de la bonne manière. Il aurait tout donné pour moi, mais constater jour après jour que j’étais un raté, avait le don de le mettre hors de lui. Il misait énormément d’effort dans mon éducation, pour si peu de résultat. Au fil des années, Éliaz devint un homme dur, autoritaire et inflexible envers moi. Ne pas déroger de sa position était sa solution à lui et les tensions suivirent. La relation entre lui et moi n’était pas enviable. Son rôle n’était pas d’être aimé par son fils, mais de m’offrir les outils qu’il jugeait essentiel. Malheureusement nous étions d’un caractère opposé et incapable de nous entendre sur quoique ce sois. Heureusement, ma mère arrivait à tempérer les choses, jouant souvent le rôle de médiateur. Ma mère…Elle était passionnée de botanique et une brillante herboriste. Elle pouvait passer des heures dans le jardin sans que je ne comprenne ce qui la faisait vibrer en regardant des plantes. Quoiqu’il en soit, j’étais beaucoup plus proche d’elle. Elle était plus ouverte d’esprit que mon père, mais cela ne l’empêchait pas de prendre souvent le parti de son mari. Puis il y eu cette lettre…
Mon père me fit entrer dans son sinistre bureau. Jamais il m’était permis d’entré en ses lieux et lorsqu’on m’y conviait ce n’était jamais de bonne augure. Assis dans l’un des fauteuils, j’attendais. Comme un de ses accusés attendant leurs sentences, priant pour ne pas séjourner à Azkaban. J’ai toujours su qu’il prenait plaisir à faire durer ce genre de silence. C’était évident à sa façon d’allonger chacun de ses gestes, le temps qu’il prenait à allumer son cigare et réfléchir à chacun des mots qu’il allait prononcer. Il savait pertinemment que je détestais ca. Ma patience était si fragile dans ces circonstances et lui il s’en moquait comme si me buter au silence allait renforcir mon caractère. Il faisait dos à moi et c’est après cette longue torture silencieuse qu’il me demanda de lui répéter la devise des Harwicks. Mon père avait le sens du spectacle…enfin dans son genre. Il aurait très bien pu sauter dans le vif du sujet, mais non. Il avait cette manière perverse de tester ses interlocuteurs. Je le savais, mais cela ne m’empêcha pas de répondre avec une certaine surprise. «Semper recte et fortiter». Toujours droit et fort…Il daigna enfin me faire face, avec un certain soulagement en travers se regard frigide. Il déposa finalement une enveloppe devant moi et me fixa avec insistance. Poudlard. Je m’en doutais et maintenant que j’avais la preuve sous les yeux, j’étais…inquiet. Dans un pareil contexte, l’ambiance n’était pas à la fête, bien au contraire. Ce n’était pas la joie, mais une pression immense qui venait de se poser sur mes épaules. «Tes années de béatitudes se terminent aujourd’hui.» Méprisant, j’eu droit à un sermon qui perdura des heures. Les hommes de la famille étaient tous issus de Serpentard qui aux yeux de mon père était le symbole qui les menèrent à la réussite. Il me jugea avec mépris, mais je sentais qu’il mettait énormément d’espoir en moi. Il m’indiqua les dogmes des verts et argents et me fit apprendre par cœur la moindre bribe d’information les concernant, comme si j’avais une chance d’être reçu dans cette maison. Plus j’en apprenais sur eux, moins l’envie me prenait. Je ne voulais pas être condamné à vivre mes années scolaires dans un milieu identique à chez moi et je voulais encore moi devenir comme eux tous. Pour mon père c’était un passage obligé, mais il savait pertinemment qu’il faudrait un miracle pour que je parvienne à préserver la tradition.
Le jour J arriva et il me laissa à la gare, ma mère tout sourire à ses côtés. Lui en revanche était toujours aussi impassible. Avant mon départ il me mit en garde une énième fois sur mon comportement, sur les gens peu respectables que j’allais rencontrer et qu’il me fallait éviter, ainsi que des valeurs familiale que je devais respecter. Je représentais le nom des Harwicks et il me fit promettre de ne pas le gâcher. Le voyage en train fut long et pénible. L’unique camarade auquel j’avais eu droit pendant le trajet, avait gerbé la moitié du voyage. Aussitôt arriver sur les lieux que ma promesse ne pu tenir très longtemps. On me présenta le choixpeau et les choses dérapèrent. Un silence, une hésitation. Serpentard n’était pas l’ombre d’une option possible. Mon caractère brouillon et explosif, ainsi que mon soi-disant courage me faisait tanguer vers les rouges et or. Mais rien ne fut joué lorsqu’on souligna ma loyauté et mon sens de la justice. Je voyais venir la réflexion du choixpeau et je m’y opposai avant qu’il n’eu prononcé son verdict. Ce qui amusa la loque que je portais sur la tête. « Tu ne veux pas rejoindre les justes? Pourquoi donc? » Je répétai soigneusement les paroles de mon père sans trop y croire. « Je dois être à Serpentard! » Les rires de la chose suivirent pour finalement reprendre ses paroles sages « Tu es bien un Harwicks, mais tu n’as rien d’un Serpentard. Tu ne peux être qu’un…Pouffsouffle! » On m’avait à tel point répéter l’inverse qu’une fois ma maison annoncé, je restai figé sur le petit tabouret en ne sachant plus trop quoi faire. Certain aime encore me rappeler cet incident pour s’en moquer. Il faut dire que pas un seul sang de bourbe n’avait agis aussi maladroitement ce jour là. J’avais rejoins les jaunes et malgré ma surprise, ce choix me plaisait. On m’accueillit avec le sourire et je m’y senti plus à ma place que n’importe où ailleurs. Mon père n’avait pas répondu à cette annonce par le moindre message, mais je n’avais pas besoin d’une lettre pour savoir que j’avais rompu la promesse que je lui avais faite malgré moi. J’avais mis une tâche jaune au noble vert que se léguait ma famille de père en fils. Ma première année à Poudlard fut une année de découverte. Jamais je n’avais réellement sorti du cadre imposé par mon père et s’était un peu l’occasion que j’avais à cette école. Ne vous méprenez pas, j’étais un garçon tout de même coincé dans son genre. J’avais appris à être tolèrent face aux élèves de rang différent par exemple. Alors qu’on m’avait présenté les né moldu comme étant des monstre, j’eu du mal à comprendre lorsque je m’aperçu qu’au fond ils étaient comme tout le monde. En se qui attrait aux cours, j’eu beaucoup de mal à m’y intéressé. Mais les choses étant ce qu’elles sont, j’y mettais les efforts nécessaires pour parvenir à des résultats…médiocres. D’année en année, je ne m’améliorais pas, de quoi finalement me dégouter des études. Mon père rageait de me voir quitter la route qu’il m’avait tracé pendant des années. Je faisais honte à mon nom en agissant de façon aussi puéril et ma mère rejoignait son avis, sans adopter son comportement imposant et sévère. Pire encore, je rejoins tôt l’équipe de Quidditch. Un sport que ne détestait pas mon père et il en fut très fier pendant une seconde…avant de savoir que je délaissais mes études pour m’attarder à des pratiques, avant de savoir que je voulais en faire une carrière. Une autre erreur. Il n’avait pas prévu le scénario qui impliquerais un fils aussi brouillon et aussi loin de ce qu’il en attendait.
Socialement je n’étais pas très entouré. J’étais le mec dégourdit, sympathique et attachant, mais parfois maladroit dans ses relations. Je n’étais pas très populaire, mais je n’étais pas non plus à la merci des brutes. Je faisais acte de présence, voilà. À la maison, pendant les vacances, ca ne tournait plus rond. Mon père était distant, silencieux et entre lui et ma mère on pouvait sentir des tensions. À ma troisième année, ils se divorcèrent et le reste parti en vrille. Ma mère ne voulait pas me laisser auprès de mon père et vice-versa. Chacun se disputait l’exclusivité de ma garde et c’est mon père qui parvint à avoir le dessus à mon plus grand désarroi. Ma mère ne pouvait que m’écrire de temps à autre, mais un an plus tard, je n’eu plus de nouvelle d’elle. J’avais questionné mon père, mais jamais je n’eu de réponse clair sur ce silence imposé entre moi et ma mère. Après cet évènement rien ne fut vraiment pareil. Il m’envoya chez mes grands-parents pendant qu’il s’absentait de plus en plus, pour cause de son travail. Il préférait me voir en compagnie de ceux-ci plutôt qu’à mettre le bordel ailleurs. Cela ne me dérangea pas réellement. Je m’adaptais assez vite à leur mode de vie moins bien rangé que j’en avais l’habitude. Comme si en prenant de l’âge mes grands parents étaient devenus plus simple. J’étais un peu plus libre de mes actes et je me sentais libéré de l’opinion de mon père sur chacune de mes réflexions. C’était tout de même triste de constater que je me sentais chez moi n’importe où ailleurs qu’à la maison. À Poudlard je m’intégrai assez bien chez les jaunes, mais j’ai toujours eu le sentiment que j’aurais finalement eu ma place chez les Gryffondor. J’avais un caractère que je considérais comme étant plus compatible et plus les années avançait plus cette possibilité me paraissait logique. De toute façon le mal était fait et c’était bien peux important par rapport à ce qui allait ce passer…
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Jamie Bell AGE: Un quart de siècle *meurt* PRÉSENCE SUR LE FORUM: 6/7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: Avec mes dons psychiques TES IMPRESSIONS: Raawwr!
Dernière édition par S. Marshall Harwicks le Mer 5 Sep - 23:41, édité 10 fois
Jamie Bell ! Billy Elliott trop mignon Tintin, trop classe Et puis Jimmy dans King Kong (2005 et juste pour lui que j'ai regardé en entier ) Bref, mon choupinounet. 8) Bon choix d'avatar
Bienvenue ici et bonne chance pour ta fiche ! Et puis je veux un lien aussi
Mon dieu c'est troublant, les quatre personnes m'ayant souhaité la bienvenue sont tous de Serpentard. Ca promet! En tout cas, merci. Je vais terminer ma présentation le plus vite possible!
PS: Avec autant d'enthousiasme je ne peux que dire oui à un lien Ambre
JAMIE BELL Personne le prend jamais sur les RPG alors que..... Quand j'ai vu j'étais en mode toute excitée derrière mon PC Bref, bienvenue ! Je viendrais sans doute te réclamer un lien, Poufsouffle oblige (on est voie de disparition visiblement)
Les Hufflepuff Rock's! Je suis particulièrement attaché à cette maison, bien que Gryffondor aurait très bien pu faire l'affaire. Mais leur sous-nombre aide toujours à faire pencher la balance. Il nous faudra assurément un lien, oui!
Avant toute chose, nous te souhaitons la bienvenue. Tu es désormais ici chez toi S. Marshall Harwicks. Le flood et les jeux t’attendent si tu le souhaites.
Félicitations, tu intègres Poufsouffle !
C'est la maison de la loyauté et de la patience. Mais c'est également là que se trouvent ceux qui sont naïfs et discrets. Cette maison sera ta seconde famille à Poudlard. Mais avant de t'engager dans un combat sans merci contre les autres élèves pour faire gagner des points à ta maison, saches que le membre est qui tu es jumelé est W.-Theodore K. M.-Adams. Il/elle prendra contact avec toi prochainement. Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Tu peux également devenir préfet, joueur de Quidditch ou rejoindre un club.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage.