NOM: Delaney, nom très banal en Grande-Bretagne, inconnu dans le monde magique. PRÉNOMS: Jamie-Hope, Dylan. Prénoms choisis par mon père, qui fort déçu de ne pas avoir eu un sixième fils donna à sa fille des prénoms peu féminins. Seul ma mère à tenu à m'appeler "Hope" car, je représentais, selon elle, son espoir. Mais je préfère que l'on m'appelle simplement Jamie.AGE: Dix-huit ans.ANNÉE: 5 ème. STATUT: Célibataire. J'aime flirter mais la plupart des garçons n'osent pas s'engager dans une relation avec moi, de peur des représailles de mon frère. PURETÉ DU SANG: Née moldue. Seul mon frère jumeau et moi sommes des sorciers. MAISON SOUHAITÉE: Gryffondor. PARTICULARITÉ: Je suis issue d'une famille moldue pauvre de six enfants donc je suis l'unique fille. J'ai un frère jumeau avec qui j'entretiens une relation conflictuelle. Il m'a fait jurer de ne dire à personne nos origines moldues. Mon frère aîné est en prison pour cambriolage.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Si beaucoup d’élèves seraient plus que ravis de tomber sur ces réponses, ce n’est pas vraiment mon cas. Je lirais le bout de papier, avant de le ranger dans ma cape. Je ne le ressortirais que quelques heures avant l’examen afin de retenir quelques réponses rapidement. Les études et moi, on est pas vraiment amies. Les devoirs, les révisions, tout cela m’ennuie. Pour moi, un bon cours est un cours vivant. Je ne suis malgré tout pas une mauvaise élève, je suis une élève disons moyenne. Très bonne dans les matières qui m’intéressent, comme la métamorphose, plutôt stable dans la plupart des autres et catastrophique en botanique et histoire de la magie. Si j’arrive à avoir tout de même de bons résultats c’est grâce à mon écoute en cours, car en ce qui concerne mon travail personnel, je l’avoue, je suis bien trop paresseuse ! ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Je ne suis pas une Gryffondor pour rien. Impulsive, vive, juste et courageuse je n’hésite pas une seule seconde à intervenir lorsque je vois ce genre de situation. Dans mon quartier d’origine St Pauls, il n’était pas rare de voir une bande de grands s’en prendre à des plus jeunes. J’ai eu la chance de ne jamais subir ce genre de traitement, car j’avais cinq frères prêts à se battre avec le premier qui m’approchait. Bon nombre d’élève à Poudlard n’ont pas cette chance, et je suis prête à être leur « grande sœur ». S’en prendre à plus petit que soit et ce, en plus, à plusieurs contre un, c’est d’une telle lâcheté ! Ces petits cons moi, j’en ai pas peur. J’ose leur dire ce que je pense d’eux et de leur comportement minable, et je n’y vais pas en douceur. Ne faut pas hésiter à brusquer leurs minuscules cervelles à ces crétins. La plupart n’oseront pas me cogner parce que je suis une fille et que je suis la sœur de Caleb Delaney, et quand à ceux qui osent, je connais un sort provoquant de violentes diarrhées assez dissuasif. Quant à la jeune première année, je la prendrais instinctivement sous mon aile, faisant en sorte qu’elle apprenne à se défendre pour ne plus que ce genre de situation se reproduise.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ?Ma réaction ? Et bien sachez que je ne serais pas contente, mais pas du tout. J’ai une réputation de « grande gueule » et ce n’est pas pour rien. Je dirais clairement au professeur que sa punition est injuste et que ce n’est pas moi qui suis en faute. Qu’importe si je me prends une seconde punition. Il m’est impossible de prendre sur moi et de supporter l’injustice. Quand quelque chose ne me plait pas, je n’attends pas pour le faire savoir, quitte à ce que cela dérange. Et quant à l’élève moqueur, je n’aurais aucuns scrupules à lui faire une crasse, pour qu’il se souvienne que je ne me laisse pas faire facilement. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Je choisirais probablement l’amour, la richesse et la célébrité. L’amour, car j’ai l’impression d’en avoir beaucoup manqué. Entre le déces brutal de ma mère, la haine que mon père me portait, mes frères grandis trop tôt. La seule personne à qui j’ai pu me raccrocher dans ma vie est mon frère jumeau. Il est sans aucun doute la personne que j’aime le plus au monde. Je peux tout lui dire, pleurer dans ses bras, rire, me faire remonter le moral. Il m’a toujours défendu, soutenu, et aidé lorsque j’en avais besoin. Mais malgré tout l’amour que je lui porte, j’ai l’impression d’être parfois trop dépendante de lui. Et lui a tendance à me surprotégé et à faire en sorte que je n’ai plus que lui. Mais comme toutes les jeunes filles de mon âge, je rêve de trouver le garçon idéal. Celui qui me fera tourner la tête, qui me rassurera et qui me donnera enfin l’amour dont j’ai tant été privé.
L’argent a toujours été quelque chose de rare chez les Delaney. Nous n’avons jamais baignés dans la richesse et cela a toujours été notre principale cause de soucis. Tant de fois j’ai rêvé de gagner à la loterie, de pouvoir quitter notre vieil appartement, pour une grande maison avec jardin, avoir une voiture, acheter une maison pour mes frères, faire en sorte que nous puissions vivre ensemble sans avoir à toujours se démener pour quelques billets. Il n’y a pas une seule journée où je me rappelle que si j’avais eu la chance de naître dans une famille plus aisée que ma mère serait encore en vie. Que mon frère Michael ne serait pas en prison. Notre famille n’aurait pas la réputation d’être misérable. Mes frères ne seraient pas considérés comme des voyous. Toutes les erreurs qu’ils ont commises, les vols, les trafics c’était pour gagner de l’argent, pour nous. Pour essayer de nous sortir de cette galère. Mais ils utilisent des méthodes bien trop dangereuses. Je jure que dès que j’aurais fini mes études, trouvé un travail convenable, je ferais en sorte de pouvoir mettre tous mes proches à l’abri du besoin, et qu’ils n’aient plus jamais à commettre des crimes pour survivre.
J’ai choisi en troisième choix la célébrité, car je l’avoue, j’adore être au centre de l’attention. J’aime que les gens savent qui je suis, entendent parler de moi. Je veux exister, j’ai trop supporté n’être que la « fille Delaney ». Ce garçon manqué constamment enfermé chez elle à s’occuper de la maison et de son ivrogne de père. C’est à Poudlard que j’ai constaté que j’étais charmeuse et que j’aimais cela. J’aime être entourée d’amis, de toujours avoir de la compagnie, et que les gens se disent quand ils me voient « Eh ! C’est Jamie Delaney ! » Je ne veux plus être invisible.
Que je me présente ? Ce n’est pas dans mes habitudes… Mais si vous insistez… C’est bien la première et dernière fois que je fais ça.
Je m’appelle Jamie-Hope Dylan Delaney. Mais j’imagine que ça vous le savez déjà et que vous vous en foutez. Je suis née le 30 aout, il y a maintenant dix-huit ans. Je suis née de l’union de Ray et Maggie Delaney. Leurs noms ne vous disent rien, c’est tout à fait normal. Comment pourriez-vous connaître deux vulgaires moldus ? Oui, mes parents sont des moldus et je le vis parfaitement bien, je me fiche de vos insultes et de vos regards dédaigneux. Mes parents ne descendaient pas d’une vielle et puissante famille, loin de là. Mes parents sont d’origine afro-caribéenne et se sont installés en Grande Bretagne un peu après la Seconde Guerre-mondiale alors qu’ils n’étaient encore que des enfants. Ils se sont installés avec leurs familles dans le quartier de St Pauls à Bristol, ce qu’on appelle communément un quartier noir. Dans ce petit quartier assez misérable, tous les jeunes se connaissent. Il était évident que Ray Delaney et Maggie Richards se rencontrèrent. Ils avaient respectivement dix-neuf et vingt et un ans lorsqu’ils se marièrent. Ils s’installèrent dans un petit appartement, toujours à St Pauls et eurent en l’espace de sept ans six enfants. Oui, j’ai bien dis six. Cinq garçons et une unique fille. Moi. Je fus une vraie déception pour mon père, tellement fier de ses fils et qui aurait tant aimé en avoir un sixième. Il était tellement impatient d’avoir des petits jumeaux mais ne se doutait pas une seule seconde que ses jumeaux n’auraient pas le même sexe. Ma mère, elle, était ravie. Avoir enfin une fille après cinq garçons c’était un espoir inespéré. Espoir. C’est d’ailleurs de là que vient mon prénom. Jamie-Hope. Voilà l’histoire de ma naissance, et oui, rien de très intéressant. Si vous voulez je peux m’arrêtez là… Bon, si vous insistez…
Je n’ai pas grandis dans un palais avec des domestiques et des nourrices. J’avais un lit pour moi seule et c’était déjà pas mal. Mon père était mécanicien dans un petit garage et ma mère travaillait comme couturière. Mais ce n’était pas avec leurs deux petits salaires qu’ils allaient subvenir aux besoins de six gamins. Du coup, nos repas étaient composés principalement de boites de conserves et les plus jeunes récupéraient les vêtements des aînés, ce qui fait que j’ai été un garçon manqué pendant la plus grande partie de mon enfance. Une enfance que j’ai d’ailleurs trouvée, malgré tout, assez heureuse. Je passais la plus grande partie de mon temps avec mes frères et j’adorais ça. Michael, Jason et Zachary les aînés veillaient sur nous, Devon, Caleb et moi, les plus petits. A St Pauls, comme dans tous les quartiers défavorisés c’était loin d’être très joyeux tous les jours. Entre les règlements de comptes, les rackets et les vols, j’avais la chance d’avoir cinq frères pour veiller sur moi et me protéger. La seule ombre au tableau c’était mon père. Autant il adorait mes frères, autant il me détestait. Je ne me souviens pas d’une seule fois où j’ai eu le droit à un mot gentil. Mon seul défaut ; être une fille. J’ai tout fait pour qu’il m’aime. J’ai appris à jouer au football, étudier la mécanique, essayée de lui rendre des services, j’ai tout essayé pour lui plaire. En vain. Ma mère me répétait sans cesse « qu’il m’aimait à sa façon ». Mais je sais très bien que c’est le genre de phrase niaise que l’on dit aux enfants que l’on n’aime pas. Ma mère… Je pourrais en parler durant des heures et des heures. Elle était tellement géniale. Si douce, rassurante et d’une bonté sans fin. Elle était ma raison de vivre, ma bouffée d’oxygène. Et on me l’a arrachée, tellement brutalement.
La maladie de ma mère fut détectée lorsque j’avais onze ans. A cette époque, je croyais encore qu’elle pourrait guérir, qu’il y avait encore un espoir… Qu’est qu’on est naïf à onze ans ! Bien sûr que ma mère aurait pu être soignée… si on avait eu l’argent pour ! Quand on est pauvre personne ne vous aide, on vous laisse dans votre merde… On vous laisse crever ! Lorsque ma mère est morte toute ma famille fut complètement chamboulée. Mon père commença à boire et arrivèrent ainsi ses problèmes de foie qui lui firent perdre son travail. Michael et Jason n’avaient que dix-huit et seize ans mais ils décidèrent de devenir les hommes de la famille en « utilisant les moyens qu’il faut » comme disait Michael. Les moyens qu’il faut ça signifiait faire du trafic, vols, voitures, drogues et j’en passe. J’ai du devenir la femme de la maison et m’occuper des tâches ménagères et plus je passais du temps à la maison, plus ma haine envers mon père ne cessait de grandir. Il faisait de ma vie un enfer, toujours à me rabaisser, critiquer le moindre de mes gestes. Je ne voulais pas de grands remerciement, c’était normal que je m’occupe de notre famille. Mais il n’avait pas à déverser sa colère et sa tristesse sur moi. C’est horriblement dur de s’occuper de quelqu’un que l’on déteste. Il passait son temps à m’insulter et à me faire des reproches, que ce soit lorsque je préparais le dîner tandis qu’il buvait son whisky devant la télévision, lorsque je lui lavais ses vêtements ou les fois où je le trainais complètement ivre jusqu’à son lit, avant de nettoyer la flaque de vomi qu’il venait de laisser… J’attendais avec impatience mes dix-huit ans pour pouvoir quitter cet enfer, mais par je ne sais quelle chance, un miracle arriva le jour de mes quatorze ans.
C’est moi qui ouvris les lettres en première. Deux lettres aux noms de Caleb et Jamie-Hope Delaney. Les fameuses lettres nous annonçaient que nous étions des sorciers et que nous étions attendus à l’école de sorcellerie Poudlard auquel nous étions inscrits depuis notre naissance. Je crus d’abord à un canular, des sorciers ? Et pourquoi pas des licornes non plus ! Ce jour-là, mon père était encore en train de se descendre des verres de whisky quand il m’arracha les lettres de main, m’accusant de lire son courrier. Si ce pauvre débile savait que c’est moi qui fait en sorte que les factures soient payées… « Poudlard ?! C’est quoi ces conneries encore ?! » Se mit à beugler mon père. Je me contentai d’hausser les épaules. Qu’est-ce que j’en savais moi. « Réponds-moi quand je te parle ! » Me cria-t-il. « J’en sais rien putain ! » Répondis-je en criant à mon tour. Il fut plus rapide que moi et une claque s’abattit sur ma joue. Je le regardai surprise et folle de rage. « NE ME TOUCHES PLUS JAMAIS ! » « Je fais ce que je veux dans ma maison petite conne ! » Il releva la main, je le voyais déjà prêt à m’en remmettre une mais le coup fut subitement arrêté. Je tournai les yeux vers Caleb. A peine âgé de quatorze ans, mon jumeau était déjà bien plus grand que mon père. « Laisses là papa. » Caleb est depuis toujours le petit préféré de mon père, à croire qu’il ne pouvait aimer que l’un des jumeaux. Mon père marmonna dans sa barbe avant de sortir sur le balcon fumer une cigarette. Mon frère prit les lettres et les observa attentivement. « J’crois que c’est des conneries Caleb… » Lui lançai-je en me massant la joue. Il resta silencieux avant de plonger son regard dans le mien « Jamie…Et si c’était vrai ? » Je levai les yeux au ciel « C’est pas possible. » J’attrapai les lettres et les jeta à la poubelles. « Tu m’aides à préparer le dîner ? » Lui demandai-je, reprenant mes activités. Il ne répondit pas, figé devant la fenêtre. « Qu’est ce qui … » Je m’arrêta subitement, je venais de voir la vision que contemplait mon frère depuis quelques secondes. Une vingtaine de chouettes venaient de se poser devant notre fenêtre. Toutes portées entre leurs griffes la même enveloppe, portant l’insigne de Poudlard.
Lorsque Caleb annonça à notre père que nous étions réellement des sorciers ce dernier fut ravi … pour son fils ! A ses yeux, moi, je n’étais qu’un monstre et mon départ dans cette école l’arrangeait bien. Ce fut avec un rare enthousiasme qu’il nous emmena à Londres au Chemin de Traverse acheter nos affaires scolaires. Peut-être était-ce parce qu’il n’avait pas l’habitude de faire les magasins… J’étais fascinée par ce nouvel univers auquel nous appartenions, j’étais curieuse, je regardais, observais tout ce que je croisais. Mon frère lui avait déjà commencé à lire les manuels scolaires avant même la rentrée. J’étais soulagée d’être avec lui. Il était la personne la plus cher que j’avais au monde, avec lui, j’étais en sécurité. Il me racontait tout ce qu’il lisait. Poudlard était composée de quatre maisons : Gryffondor, Serdaigle, Poufsouffle et Serpentard et nous serions répartis dans nos maisons en fonction de nos personnalités. Je ne savais pas dans quelle maison où je voulais aller, tout ce qui m’importait c’était rester avec Caleb. Notre arrivée à Poudlard se déroula étonnamment bien. Nous avions déjà réussi à sympathiser avec d’autres élèves dans le train et tout et nous étions encore ensemble… Jusqu’à la répartition. Caleb me tenait par la main et nous regardions attentivement le Choixpeau se poser sur la tête des jeunes élèves. « Caleb Peter Delaney » Je serrai instinctivement la main de mon frère, il me lança un regard qui voulait dire « Tout va bien se passer. » Je le crus. Il s’avança fièrement vers le tabouret et le Choixpeaux se posa sur sa tête. Il eut un moment de réfléxion avant de déclarer « Serpentard ! » Je vis un sourire radieux éclairer le visage de mon frère qui me fit un clin d’œil avant de partir s’asseoir à la table des Verts et Argents. J’étais morte de trouille quand mon nom retentit. Je m’avançai à mon tour, bien plus maladroitement que mon frère, jusqu’au Choixpeau. Une fois posée sur mon crâne, je l’entendis marmonner avant de finalement s’écrier « Gryffondor ! » Je me dirigeai vers la table de ma maison quelque peu perdue. Comment mon jumeau et moi avions pu être envoyés dans des maisons ennemies ?
Les années passèrent sans aucuns réels soucis, Caleb et moi nous sommes remarquablement bien intégrés à notre nouvelle école. Poudard est notre maison, je redoute à chaque fois les vacances et attends avec impatience la rentrée. C’est dans cette école que nous avons enfin pu nous épanouir. Caleb est devenu un jeune homme brillant, populaire, sportif, grand joueur de Quidditch et très séducteur. Quant à moi, je pense m’en être plutôt bien sortie. Adieu le garçon manqué, je suis fière de dire que je suis devenue une vrai jeune femme. Moins bonne élève que mon frère je ne me distingue qu’en métamorphose et en divination. Mais je suis tout autant populaire que lui, à cause de mon caractère « de feu ». Ce n’est pas ma faute si je n’ai pas peur de dire ce que je pense et d’agir. Tout semblait parfait… Jusqu’à cette année. Notre cinquième année. Mon père nous contacta –fait rarissime- pour nous annoncer que notre frère aîné Michael venait d’être arrêté pour cambriolage. Cette nouvelle m’attrista, je ne supportais pas l’idée de savoir mon grand frère en prison et lorsque j’ai voulu en parler avec Caleb sa réaction me surprit. Il s’en foutait. Royalement. C’est à cet instant que je compris que mon frère que j’aimais tant avait bien changé. Il n’était plus aussi sympathique, aussi joyeux, il était désormais devenu froid, hautain, toujours plongé dans des bouquins étranges et constamment en train de me faire jurer la même promesse depuis maintenant cinq ans. Ne jamais révéler à qui que ce soit que nous sommes des nés moldus. Je lui ai juré au départ, sans vraiment comprendre pourquoi. Caleb s’est débrouillé, il a trouvé les mensonges qui allaient. Nous étions des sangs mêlés, sorciers du côté de notre mère décédée qui était une sorcière caribéenne. Je me contentais de confirmer cette version, mais je le vois bien ce mensonge obsède mon frère et je n’ose pas imaginer de quelle manière il réagirait si quelqu’un apprenait la vérité. Et malgré tout l’amour que je lui porte, je ne cesse de me demander s’il est toujours celui que je connais…
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR:Antonia Thomas. AGE: Bientôt seize ans. PRÉSENCE SUR LE FORUM:6 /7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: Par un ami. TES IMPRESSIONS: écrire ici. ▻ Très joli design, forum vivant avec une bonne ambiance. UN PETIT MOT POUR LA FIN:Je sens que je vais me plaire ici !
Dernière édition par Jamie-Hope D. Delaney le Mar 4 Sep - 9:57, édité 2 fois
BIENVENUE Très bon choix d'avatar, super original Et je craque trop pour les personnages nés moldus issus de la "pauvreté" moldue (ça me rappelle un de mes personnages préférés de RPG) Bon courage pour ta fiche !
Antonia Thomas, rare choix mais bon choix ! J'ai trop un truc avec ses sourcils, ne me demandez pas pourquoi xD Bienvenue parmi nous, ton personnage me plaît trop
Avant toute chose, nous te souhaitons la bienvenue. Tu es désormais ici chez toi Jamie-Hope D. Delaney. Le flood et les jeux t’attendent si tu le souhaites.
Félicitations, tu intègres Gryffondor !
C'est la maison du courage et de la force. Mais c'est également là que se trouvent ceux qui sont trop téméraires et fiers. Cette maison sera ta seconde famille à Poudlard. Mais avant de t'engager dans un combat sans merci contre les autres élèves pour faire gagner des points à ta maison, saches que le membre est qui tu es jumelé est N. Alix Dolohov. Il/elle prendra contact avec toi prochainement. Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Tu peux également devenir préfet, joueur de Quidditch ou rejoindre un club.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage.