NOM: Wolff est le nom de famille de sa mère et elle le porte fièrement. Même si pendant son enfance, on lui a souvent fait des plaisanterie quant au loup, elle s'en fiche pas mal. Elle accepte très bien d'être une petite louve qui sort parfois ses crocs. Wolff est d'origine germanique et signifie ben entendu; loup. Ce nom a été très souvent porté par de israélites, comme kinnui (terme hébreux), ou terme de substitution métaphorique. Wolff correspondrait à Benjamin, l'un des fils de Jacob, dans la bible. Il y était écrit : Benjamin est un loup, il déchire, le matin il mange encore, et le soir il partage les dépouilles. Bref, je ce nom s'est enfuis de l'Israël pour venir jusqu'en Angleterre où sa mère l'as porté avant elle. Son père, un sang pur, a refusé de lui donner son nom qu'il considérait comme trop noir pour une petite ange comme elle. PRÉNOMS: Elle en porte un seul, qui est en fait un prénom composé. Pourtant, elle le déteste et refuse de se faire appeler ainsi. Loletina-Rosalinette, une folie née dans la tête de ses parents qui n'arrivaient pas à s'entendre entre les deux prénoms assez moches de Loletina et de Rosalinette. Il n'y a que les professeurs qui l'appelle ainsi, s'ils arrivent à retenir le tout, par miracle. Elle se fait couramment appelé : Lola. AGE: Il y a maintenant dix-sept ans qu'elle sème la terreur partout où elle passe comme un ouragan. ANNÉE: Elle en est maintenant à sa quatrième année d'études à Poudlard et ne sait toujours pas ce qu'elle souhaite être plus tard. Ses parents mettent beaucoup de pression sur elle pour qu'elle performe académiquement. Pas étant étant donné que sa mère était une serdaigle lors de son passage à Poudlard et que son père était un serpentard qui avait tout autant le nez dans ses bouquins que sa mère. STATUT: Mariée et mère de six enfants roux. Nan, je déconne. Elle est célibataire et va probablement le rester jusqu'à la fin de ses jours. Sa famille en est découragée tellement elle se fou des garçons. C'est loin d'être une priorité pour elle et ça ne l'as jamais été. Bien entendu, elle n'est pas une petite sainte non plus, mais elle aspire à autre chose pour le moment. PURETÉ DU SANG: Les sangs-purs la traite de bâtarde ou de souillerie, mais elle s'en contre-balance. Elle se fiche royalement des status de sang. Elle est l'enfant d'une sang-mêlée et d'un sang pur et elle en est très fière. MAISON SOUHAITÉE: Sa mère voulait qu'elle aille chez les Serdaigles pour avoir une éducation digne de ce nom et des amis sérieux. Son père espérait secrètement qu'elle trouverait le chemin de la grandeur chez les serpentard et rendrait sa grand-mère moins malheureuse par la même occasion. Pourtant c'est chez les gryffons qu'elle a trouvé sa place. PARTICULARITÉ: Métamorphomage de naissance. Elle s'en sert plus souvent qu'autrement pour se sortir du pétrin en changeant son apparence physique lors de ses crimes. Heureusement, sinon elle serait toujours collée.(demande en cours)
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Elle se dit : Merde, pourtant c'est toujours à moi que des trucs du genre arrive ? Les rendre ne serait pas une bonne idée, elle serait probablement accusée de les avoir volés. Elle enfouirait le parchemin au fond de ses poches et filerait au dortoir faire ses devoirs de potions. Elle tenterait de les faire sans regarder les réponses, pour ne pas tricher. Parce que prendre les réponses comme ça sans bosser, ça ne l'aiderait certainement pas lorsqu'elle en serait à son examen final. De plus, sa mère ferait une syncope si elle était prise à copier la feuille de réponse du devoir de potion qu'elle aurait ''volé''. Bref, elle ferait le devoir comme une bonne élève et cette fois, pas à la dernière minute. Puis elle comparait ses réponses avec les bonnes réponses. Changerait ou pas ses quelques erreurs, puis ferait brûler le parchemin vite fait tout en priant qu'il ne soit pas pourvu d'un sortilège qui l'empêche de brûler et qui la mettrait encore plus profondément dans les ennuis. ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? La rage prendrait probablement possession d'elle. Elle ne questionnerait aucunement la situation de qui est fautif dans cette histoire. De toutes façons, il est bien rare de voir un première année chercher des noises à des septièmes, sauf lorsqu'on se prénomme Lola. Malgré qu'elle soit plus jeune que ses sorciers, Lola s'opposerait à eux en leur faisant le moral sur le fait qu'embêter un première année est mal. Si cela n'est pas suffisant pour les convaincre et qu'ils en viennent aux baguettes (comme ce serait étonnant qu'une fois de plus, Lola se foute dans la merdre), elle tiendrait bon. Elle se battrait valeureusement, du mieux qu'elle peux, sauf si elle se rend compte qu'elle n'as vraiment aucunes chances. Dans un cas pareil, soit elle utiliserait son don pour les bernés, soit elle attendrait le moment opportun pour s'enfuir, le première année sous son bras. Encore une fois, elle aurait sauvé le monde.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Furie assurée. Quelqu'un d'autre tenterait certainement de discuter, de faire des beaux sourires aux prof de métamorphose pour éviter la punition. Pas elle, oh ça non. Elle refuse de faire les beaux yeux et dans des situations d'injustice, ça la prend droit au ventre. Elle aurait râler que c'était de l'injustice de la plus infâme qu'elle ne connaisse. Elle se serait levée debout en parlant fort et ne se serait pas calmée tant qu'elle n'aurait pas été écoutée sur son point. Si la décision ne change pas, elle sauterait probablement au cou de l'idiot ou l'idiote qui l'as foutue dans cette merde. Comme ça ils se battraient et seraient tous deux punis. Ainsi, justice serait faite, même si pour cela elle aurait payé le prix de quelques bleus. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? L'amour est important pour elle alors qu'elle concerne l'amour avec un petit ''A''. Pas l'amour le grand amour et l'amour de sa vie. Non l'amour de tous les jours. L'amour qu'elle porte à sa famille, à ses copines, à son chat. Elle n'accorde que très peu d'importance à l'amour d'un homme avec lequel elle partagerait éventuellement sa vie. C'est totalement secondaire pour elle. La richesse, elle s'en fou royalement. Elle préférait vivre dans la pauvreté la plus extrême accompagnée de la joie plutôt que du malheur dans la richesse. La célébrité, très peu pour elle. Au contraire, elle déteste lorsque les professeurs se souviennent de son nom. Habituellement, ce n'est pas bon signe. La sagesse, ce n'est pas mal, quoi que ce n'est pas suffisant. Les connaissance c'est bien, mais la pratique elle ? Je dirais donc l'amour avec un petit ''a''.
« OH...OH... » S'était exclamée la demoiselle aux cheveux châtains tirant sur le blond à cause de l'été. Son amoureux la regardait sans comprendre, eux qui habituellement n'avaient même pas besoin de mots tellement leur complicité était grande. Une ride apparaissait au dessus de ses sourcils, se creusant dans son front tellement l'incompréhension était immense. L'expression souffrante de la demoiselle se changeant soudainement en un sourire qui ne disparaissait plus. « Je crois que notre petit miracle est arrivé plus tôt que prévu. » Et voilà comment ma mère annonçait à mon père que j'étais en route. Je n'étais probablement pas plus grosse qu'une crevette, mais j'étais la malgré tout. Déjà dans le ventre de ma mère, je lui jouais de tours. Je lui jouais des symphonies en tapant dans son ventre alors qu'elle avait le nez foutu dans ses bouquins. Comme si je sentais que ma maman devenait nase, je cognais toujours lorsqu'elle allait foutre son nez dans son livre. Dès qu'elle levait les yeux de son bouquins, je cessais. Je n'étais pourtant pas consciente de cela, je n'étais qu'un fétus après tout. Ce fut par un jour de mars, alors que le printemps ce faisait hâtivement sentir que je décidais de sortir mon nez pour profiter un peu du soleil. Je m'y pris très tôt, dès un heure trente ce matin la, je tentais de m'extirper. Ce n'est pourtant qu'à 5h15 alors que le soleil montrait le bout de son nez qu'on me déclara enfin née à l’hôpital de Ste-Mangouste. La guérisseuse sursauta en entendant le prénom que mes parents souhaitaient me donner. Elle leur fit d'ailleurs répété et épeler pour être bien certaine de pas se tromper. Elle ne fut même pas étonnée qu'ils ajoutent vouloir lui donner le nom de sa mère plutôt que celui de son père. Malgré leur côté très sérieux, le couple que formait mes parents n'avait rien d'ordinaire. Ils étaient tous les deux assez marginaux comme sorciers. Puis ils n’emmenèrent à la tanière qui était surchargé de cadeaux pour moi. Par contre, quelque chose clochait. Habituellement, lorsqu'on attend une petite fille, tout est rose, des murs jusqu'au plafond en passant par les pyjamas. Pas moi. Ils étaient tous convaincus que le bébé naissant serait un petit garçon. Étonnamment, non. J'étais une jolie petite fille aux yeux et aux pyjamas bleus. Les ballons '' Félicitation, c'est un garçon. '' étaient probablement ce qui clochait le plus dans l'histoire. Ils m'aimaient quand même, beaucoup, énormément. La famille de mon père, c'est une autre histoire. Les MacNairs nous on reniés. Ils on rayé mon père et moi de l'arbre généalogique et refusent de nous parler. Nous sommes morts pour eux et mon père le prenait très mal au début. Pourtant, son amour pour Lily lui a fait tout oublié. Très vite, ils remarquèrent que je n'étais pas une enfant ordinaire. Lorsque j'avais faim, ils ne pouvaient pas l'ignorer. J'hurlais à en casser les coupes de verre et une phénomène étrange se produisait. Je devenais rouge et pas qu'un peu. Mes iris devenaient rouges, mes cheveux, ma peau. J'avais l'air d'un petit démon affamé. Dès qu'on me donner à boire, tout rentrait dans l'ordre et je reprenais mes allures de petit angelot. Ils ne relièrent pas immédiatement ce comportement avec une particularité magique. Pourtant, il vient un jour où c'était inévitable. J'avais six mois et mon père jouait avec moi, tous deux couchés sur le tapis du salon. Il me faisait des grimaces affreuses et la pouponne que j'étais rigolais. Soudainement, je décidais de l'imiter et de lui faire des grimaces aussi. Mes yeux devenaient immensément grands alors que mon nez et ma bouche se changeaient en un bec d'oiseau d'où sortait une petite langue. Reprenant mon apparence angélique, je rigolais sous le visage surpris de mon papa. «LILY ! LILY ! VIENS ICI, IL FAUT QUE TU VOIS ÇA !» La blondinette accourait, espérant ne pas avoir manqué mes premiers pas. Mon père lui fit signe de s'asseoir et d'attendre. Il me fit alors une autre grimace, provoquant mes éclats de rire. Puis je répliquais. Changeant mes cheveux au bleu alors que ma bouche prenait la forme de celle d'un poisson. Nous rigolions tous en coeur alors que ma mère me prenait doucement dans ses bras avec joie. « Notre petite Loletina est une métamorphomage, tu te rend compte Sam ? » Ils s'émerveillait de cette capacité magique sans savoir comment elle me sortirait des ennuis plus tard. Déjà à cet âge, s'avait commencé. Je me traînais un peu partout et je fouinais, je mettais mon petit là où il n'allait pas. Coincé ma tête entre deux barreaux de grille n'était que le début des ennuis. Je renversais beaucoup de truc, j'allais me cacher aux endroits les plus improbables. Tout cela ne fit qu'empirer alors que je grandissais. Trop occupés par mon petit frère qui était né un an après moi, je faisais les 400 coups seule ou avec des copains. Parfois j’entraînais mes voisines dans des aventures pas possible. Souvent, c'était innocent comme geste, dépourvu de méchanceté. Par exemple la fois où j'avais du aller chercher notre ballon-magique chez la vieille voisine grognonne qui m'as surprise et qui avait envoyé son chien à deux têtes me poursuivre. D'autres fois c'était rien que pour le plaisir. Par exemple la fois où on avait installé un piège pour que le frère de mes voisines se retrouve attaché à un arbre, la tête en bas. Qu'est-ce qu'on avait rigoler. Encore aujourd'hui, moi et les filles sommes inséparables. Il y a aussi ma cousine Léonie qu'il ne faut pas oublié dans l'équation. Elle a l'âge de mon frère, mais elle s'est toujours mieux entendue avec moi qu'avec lui. Nous étions très proches, malgré le fait que nous étions constamment surveillée lorsqu'elle venait chez-moi. J'étais un petit ange cornu et elle était malade. Il fallait donc s'assurer que tout se passe bien. Pas de sports extrêmes, pas d'aventures, pas de tours. Pourtant nous n'en faisions qu'à notre tête. Nous sommes allées de nombreuses fois dans la forêt à côté de chez-moi. Tous disaient qu'elle était hantée et que des créatures dégoûtantes s'y trouvaient. Nous savions la vérité, ce n'était que pour faire peur aux gamins cette histoire. La forêt était magnifique et nous profitions des journées ensoleillés pour aller jouer à cache-cache. Pourtant, il y a une scène que je n'oublierais jamais et qui m'as fait comprendre ce qu'était la maladie de Léonie. Nous courrions comme deux folles alors qu'elle est tombée violemment. Ses mains avaient étés écorchées par les pierres et des genoux aussi. Pourtant, elle riait aux éclats. « ÇA VA NINI ?» M'inquiétais-je en voyant ses mains. Elle hochait de la tête positivement et rigolait. Je ne comprenait pas. À sa place, j'aurais hurlé comme une martyr. « Tu n'as pas mal ? Tu saigne ... » Elle continuait de se tordre de rire, tentant de retrouver son souffle alors qu'elle me faisait signe que non. Elle s'arrêta enfin, restant malgré tout souriante. « Je ne ressens pas le mal.» Je fronçais un sourcil, lui rétorquant immédiatement. « Arrête de me mentir. » J'étais persuadé qu'elle plaisantait, mais son sourire s'effaça alors qu'elle devenait très sérieuse. « Je te jure, frappe-moi pour voir. » Je refusait de la frapper, me reculant. Elle insistait, elle osa même me frapper moi, sachant très bien comment cela allait finir. Incontrôlable, je la giflais avec force. Elle ne réagis même pas. J'aurais pu lui caresser la joue que s'aurait été la même chose. « T'es bizarre. » M'exclamais-je, sans vraiment réfléchir avant de parler. Elle me souriait avant d'ajouter. « Je sais. Toi aussi. » Répliqua-t-elle alors que je changeais mon visage et mes cheveux pour ressembler à une asiatique, provoquant nos rires mutuels. Bien entendu, nous furent disputés pour avoir été imprudente cela menant à ce que Léonie se blesse. Pourtant, ce n'est pas ce qui nous arrêta de faire nos bêtises. Ce fut Poudlard qui nous sépara. Nous mettons dans deux maisons très différentes et créant ainsi un ravin entre nous. Bien entendu, on se parle toujours lorsqu'on se croise. Souvent je m'ennuie des jeux ridicules auxquels on jouait à cet âge. Que voulez-vous ? On grandis, c'est la vie. Poudlard n'est pas pour autant une mauvais expérience. J'adore l'école de magie et je suis plutôt naturellement douée pour toutes les matières. Je me démarque tout particulièrement en défense contre les forces du mal. Chez les lions, j'ai trouvé des amis qui ne me lâcherons jamais. Je m'y plait bien, beaucoup trop même. La fin de mes études à Poudlard me fait vraiment peur. Je n'ai pas envie de quitter le château. J'aime trop la vie ici et je ne sais pas ce que je voudrais faire du reste de ma vie.
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Amber Heard. AGE: 19 baguettes. PRÉSENCE SUR LE FORUM: 5/7, plus présente les week-ends. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: Grâce à Léonette . TES IMPRESSIONS: Woah. ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: PÉCARI.
Dernière édition par Lola R. Wolff le Mer 26 Sep - 20:50, édité 20 fois