Il a rencontré Seila avec la personnalité de Soeren et ça a bien collés entre eux. Malheureusement Bellamy est la personnalité la plus présente et quand il reprend possession de son esprit, sa relation avec la jeune jaune et noir change du tout au tout. Il ne se gène pas pour balancer des sous-entendu méprisants et des regards noirs sur Seila. La Poufsouffle est tellement naïve, elle capte pas que Bellamy à deux côtés de sa personnalité et qu'elle fait face à celui qui n'aime pas les nés-moldus.

Elle était sa petite amie alors qu'il était en septième année à Poudlard, et elle en quatrième. Tout de suite les parents des deux sorciers y vont vu une sublime occasion, un nouveau mariage de sang bien pur à l'horizon. Sauf que rien ne se passa comme prévu. Bellamy a toujours considéré Loreleil comme une de ses meilleures amies, ils était même persuadé d'en être réellement tombé amoureux. Elle aussi, l'aimait. Mais le hic, ce fût lors de leur première fois, quand au réveil ce fût Soeren qui se réveilla à la place de la personnalité dominante de Bellamy. Et patatra. Il a prit la fuite, tout simplement, ne comprenant pas ce qui lui arrivait. Bellamy a vite compris que son second lui avait tout fait foirer aussi essaya t-il de la reconquérir. Elle décida de lui accorder une seconde chance, mais Soeren refit surface au mauvais moment et la coupe fût pleine du côté de Loreleil. Et tout se termina ainsi. Ils ne se sont pas recroisé depuis que Bellamy à quitté Poudlard. pourtant de son côté, il cherche à améliorer les choses, il aimerait au moins redevenir ami avec elle, puisqu'il la considère comme une personne influente et importante.

Le rêve des parents Carrow et Dolohov, unis leur deux enfants. D'une part, les parents Carrow voulait que leur fils unique se trouve une femme de bonne famille, et de l'autre, il sont eux même une bonne famille pour les Dolohov. Alors marché conclu, les deux sont désormais fiancé. Avant ça Tanya et Bellamy étaient plus ou moins amis, du moins, il se connaissaient quand même un peu. Elle n'est pas amoureuse, il n'est pas amoureux mais pourtant, malgré le fait qu'il en veuille terriblement à ses parents de l'avoir casé si tôt, il est plutôt content d'être tombé sur elle, une fille qui saura sans o=doute respecter ses affaires et ne pas y mettre le nez. Après tout, être fiancé signifie que personne ne sache pour son orientation sexuel, et en plus de ça, Tanya n'est pas encore au courant de son... léger soucis de personnalité. Et de son côté, pour Tanya, ces fiançailles font taire toute les rumeurs sur elle et son jumeau. Alors pour le moment, sa fiancé, il l'apprécie et pourquoi pas apprendre à mieux la connaître ?

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.

Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.