Je me présente : Teruki Bryan Tsuki. Je viens d'une famille qui vit en Écosse, et non je ne porte pas de Kilt. Je vais vous racontez mon histoire mais d'abord nous allons commencer par ma famille. Voyez-vous mon père a des origines japonaises, datant de ses grands-parents. Mon nom de famille signifie Lune, tandis que mon premier prénom veut dire Espoir Brillant. Oui je m'appelle Espoir Brillant de la Lune, et alors. Mon second prénom est celui que ma mère voulait me faire porter à tout prix. Je n'ai jamais vraiment était gêné par mon nom et prénom peu commun dans mon pays. Malheureusement pour mon père, j'ai hérité de tous les côtés européens de ma mère. Ma jeunesse n'était pas des plus simples. Dès que j'ai réussi à marcher mes parents ont tout de suite voulu que je prenne des cours de sport de combat. J'ai compris très vite que c'était pour m'apprendre à me protéger des autres enfants qui ne m'aimaient pas trop. Je ne savais pas pourquoi car j'essayai d'être courtois et d'être amicale. Mais il semblerait que j'étais un peu trop différent d'eux. Mon père m'enseigna le Samedi à maîtriser le Kendo, utiliser des Kodachis et le Dimanche à faire du Jujitsu, tandis que chaque soir de la semaine j'allais m’entraîner à la boxe dans un club. Cela continua jusqu'à mes quatorze ans. Le jour de mon anniversaire je reçu une lettre un peu étrange. J'étais convié à aller à une école que je n'avais jamais entendu parler. Mes parents n'en savaient pas plus que moi, c'est alors qu'un homme sonna à la porte. Il était grand et habillé d'une robe sombre comme la nuit. Il se présenta comme étant un intermédiaire pour les enfants né moldus avec pouvoir.

C'est ainsi que je fis mes premiers pas vers le métier de sorcier. Cette personne m'expliqua tout ce qu'il y avait à savoir et me prépara à l'intégration. Je ne me sentais pas vraiment rassuré d'aller dans cette école mais si c'était la meilleure chose pour moi tant mieux. Une fois à Poudlard j'étais submergé par la beauté environnante. Moi qui croyais à la magie quand j'étais petit voilà que je suis face à elle, et que je pourrai l'étudier et apprendre un maximum. Lorsqu'on m’appela pour être dans la maison choisit, j'avançais à petit pas. J'étais parmi les derniers vu mon nom de famille. Et quasiment tout le monde avait était placé. Le choixpeau magique m'étudia en peu de temps qu'il ne faut pour respirer. Poufsouffle était ma maison. Ma première année était pleine de problème, en effet j'ai du apprendre tout ce que les autres connaissait déjà, vu que la plupart était déjà dans des familles de sorciers. Malheureusement certains sorciers étaient, comment dire….. ah oui. Ils étaient racistes par rapport au sang. Je l'ai appris à mes dépend quand je voyais tout mes cours s'envoler sans aucune raison ou que l'on me projetait contre le mur. Ce n'était pas facile. Mais j'avais des camarades qui m'aidaient tant bien que mal. Ils m'apprirent à utiliser convenablement les sorts, à me défendre, et avoir les connaissances de base sur le monde magique. J'étais assez surpris qu'il n'y avait pas de cours d'auto-défense. Enfin il y avait les cours de défense contre les forces du mal mais rien de physique que du magique. Tout les sorts j'allais m’entraîner, après avoir fait mes révisions, au sport de combat que je connaissais pour ne pas perdre la main. J'ai eût le droit à plusieurs reprises à des moqueries mais quelques coups bien placé me fit le plus grand bien, et me laissa tranquille.

Mes camarades tentèrent de faire partir de l'équipe de Quidditch et me demandèrent de venir car je cite "Avec un frappeur ou un gardien comme toi vu tes compétences physiques, on gagnera à coup sur". Or il y avait un petit problème. Certes voler ne me gênait pas mais faire des figures acrobatiques en utilisant un balais…….. non merci.
Voilà, mes années à Poudlard restèrent-les même. Toujours à travailler, à exercer les sports qu'on m'avait enseignés. Au fil des années, j'ai remarqué que j'étais très bon contre les attaques sur l'esprit. On me demandait souvent ce que je voulais faire plus tard dans ma vie. Sauf que je n'avais aucune idée. Le monde magique était plein de découverte et d’horizons attirants. Mais comment choisir ce que je voulais vraiment faire…..

C'est lors de ma dernière année à Poudlard que mon père est mort. C'était pendant la période hivernale. Je venais passer les vacances chez moi pour voir mes parents. Sauf que je ne pensais pas que mes vacances allaient se passer de la sorte. Lorsque je fusse chez moi je vis ma mère dans le salon les larmes aux yeux. Je ne compris que tardivement ce qui se passer. Je montais quatre à quatre les escaliers pour aller dans la chambre. Ce que je vis me foudroya sur place. Mon père était attaché à une machine qui le faisait respirer. Je ne pouvais plus bouger. Mon père se tourna vers moi et me dit de m'approcher. Tremblant je m'avançais pas à pas et je m'assis à côté de lui sur une chaise. Sa main contre la mienne je sentis sa faiblesse dans ses gestes. Il me parla comme quoi il avait une maladie incurable et qu'il allait mourir dans peu de temps. Les larmes aux yeux je repoussais cette idée, je lui dis qu'il devait y avoir un moyen magique pour le sortir de cet état. Je refusais qu'il soit mort. Il ne pouvait pas mourir, pas maintenant. C'est dans cette folie grandissante que mon père serra ma main du plus fort qu'il pouvait encore, et qu'il me dit ces phrases. Ces phrases que je mis du temps à comprendre. Ces phrases qui sonnaient comme un glas. Je ne le lâchais pas du tout. Ma mère nous rejoignit et nous restâmes avec lui. Il partie dans la nuit, sa famille autour. Il dit qu'il meurt heureux. Moi je me sens vide, comme si on avait détruit une partie de mon âme. Je n'en pouvais plus. Je sortais de la chambre et allait dans le jardin hurler à la mort sous la lune. Je mis toute les vacances à comprendre le sens des phrases de mon père. Même s'il mourrait, je devais continuer à vivre et même s'il est mort il continuera d'être avec moi.

C'est dans cet état d'esprit que je rentre à Poudlard. Le reste de l'année je deviens renfermé, ne laissant rien paraître. Je travaille sans relâche. Puis le dernier jour arriva. J'étais enfin libre de faire ce que je souhaitais. Sauf que voilà le problème je ne savais pas ce que je voulais faire. J'entrepris alors de faire un voyage à travers le monde pour voir toute les créatures possibles et trouver ma voie.

Je voyageais en Europe, en Asie et en Amérique. Dans tous les coins du monde je rencontrais des gens plus ou moins fréquentable. Certains étaient très gentils et m'offrirent de rester dormir chez eux. Ces gens avaient le coeur sur la main et je me sentais bien avec eux. Durant mon voyage, j’avais coupé les ponts avec le monde magique ou tout du moins les changements qui s’occupaient dans le monde par rapport au ministère de la magie et autres futilités. Mon voyage fût tellement bénéfique qu’il faut que je vous raconte quelques unes de mes aventures.
Durant mes premières années de voyages, je suis restais beaucoup en Angleterre. À Folkestone je vis pour la première fois de ma vie des Croups. Vous savez ces fox-terriers qui ont une queue fourchue… Vous ne voyez pas ? Bon sang. Enfin ces créatures sont généralement fidèles aux sorciers qui les ont. Mais ils sont agressifs envers les moldus. Les sorciers ayant les Croups doivent faire l'ablation de leur queue très jeune pour que les Moldus ne se posent pas de question. Ces créatures mangent de tout, mais surtout des gnomes. Je pus aisément suivre pendant plusieurs années, un sorcier qui élevait ces créatures et cela me permis de connaître cet animal bien mieux que dans les livres.

C'est deux ans plus tard que je me dirigeais vers l'Espagne pour admirer leur magnifique Boutefeu Catalan, sauf que malheureusement pour moi les visiteurs étaient interdits et je ne pus repartir qu'avec une image du dragon crachant du feu. Je dormi près du lieu où ils élevaient les dragons et cela me fût fort utile. Durant la nuit, plusieurs sorciers tentèrent de voler les dragons. Ils désarmaient chaque sorcier de leurs baguettes et les assommèrent. La sécurité était vite anéantie. Cette nuit là j'ai eût la chance que le sommeil ne m'ai point trouvé et que je faisais une balade nocturne. C'est ainsi que j'ai pu remarquer que l'un des gardes était assommé. Me dirigeant lentement vers l'ouverture, je vis ces voleurs. Je les réduis à l'impuissance un à un de la manière la plus discrète possible. Une fois les voleurs mis hors d'état de nuire, j’allai prévenir les autorités locales magiques et réveiller les éleveurs de dragons pour leur expliquer la situation. Pour me remercier ils me donnèrent libre accès pour regarder comment élever ces dragons pendant 3ans. Je fis en sorte d'éviter les journalistes pour ne pas faire parler de moi dans les journaux comme l'homme qui a stoppé les voleurs.

Puis je repartis sur la route en direction de l'Asie. Et là ce n'est pas des éleveurs que je recentre mais un expérimentateur. Avant de le rencontrer je ne savais pas précisément qu'est-ce que c'était ce métier. Ce vieux monsieur recherchait un assistant pour l'aider dans ces travaux. Voyant une nouvelle opportunité de comprendre mieux le monde magique j'acceptais sans hésiter. J'appris que ce métier était fait pour quelqu'un de patient et de consciencieux. Le doc, comme j'aimais l'appeler m'expliquer sa recherche sur un nouveau type de sort qui serait capable de découper le ciel de ses nuages. Je ne savais pas si cet homme était fou ou tout simplement brillant. Un sort capable de faire ça serait incroyable. Nous cherchâmes pendant cinq longues années comment faire fonctionner ce sort. Il était très dur à matérialiser et nous n'avions même pas trouvé quel geste il fallait faire.
Sauf que chaque année, des gens que je ne connaissais pas venaient faire pressions sur le doc pour qu'il finisse son travail. Puis un beau matin je l'entendis hurler de joie. Je me précipitais en direction de sa voix et je le vis le sourire aux lèvres. Il m'annonça qu'il ne fallait pas prendre le sort comme un sort. Et que son nom était Getsuga Tensho. Ce fût la dernière chose qu'il m'ait dit. Puis il reçut un sort mortel. Je ne le vis pas venir et il fût mort dans mes bras. Je cherchais partout après le tueur mais rien à faire. J'appelais les autorités locales magique et leur expliqua la situation.

Ce fût ainsi que mon voyage en Asie se termina, sur un mort. Je parti ensuite en Amérique pour connaître ce continent que les Moldus appelaient le nouveau monde. J'y vis des Fangieux, des Doxys et plein d'autres créatures. Pour visiter le continent en entier et voir toute ces créatures il me fallut encore cinq ans.

Dans ma trente-sixième année, après l'Amérique, j'étais de retour en Écosse chez moi. Ma mère était toujours là. Et je laissais tout mes tracas aux bords de la porte. Ma mère me dit qu'un homme souhaitait me parler et qu’il m’attendait dans le salon. Étant sur mes gardes, je me dirigeais vers le salon. C'est ainsi que j'ai rencontré un homme, plutôt vieux que j'avais déjà vu. Enfin je pense….. Il se présenta en tant que Professeur Dumbledor. Il m'annonça qu'il aurait besoin de moi pour un travail spécifique. Il avait entendu comme quoi j’avais beaucoup voyagé et que j’avais vu un grand nombre de créature et que je savais comment m’en occuper. Je lui relatais les faits de mon voyage. L'homme écouta sans broncher. Il aurait pu lire dans mes pensées mais il s'abstint. Je ne voyais pas ce qu'il attendait de moi. Une fois mon discours fini, il me proposa de prendre un poste de Professeur à Poudlard, et de devenir un membre à part entière d'un groupe de gens qu’il était entrain de former. Un groupe qui empêcherait les crimes d’arriver, comme celui de mon ami doc. Je voyais une porte s'ouvrir à moi vers un avenir où je ferai quelque chose qui me plairait. Je mis une condition à cette demande, ou plutôt un souhait. Ce souhait était de pouvoir faire des recherches à mes heures perdues sur des recherches de nouveaux sorts. Ce Professeur accepta me disant que pendant mon temps libre je pouvais faire ce que je souhaitais. J'allais chercher mes affaires et me prépara à partir, disant au revoir à ma mère et je me dirigeais vers Poudlard avec le directeur.