Finlay Guthrie ▬ 22 ans ▬ Célibataire ▬ Plutôt hétérosexuel ▬ Sang mêlé (une grand mère moldue, le reste de sang à peu près pur) ▬ Apprenti professeur de DCFM, assistant de Fox Selwyn ▬ Officiellement neutre, mais soutient l'Ordre
CARACTÈRE
Réservé sans être timide ▬ Ne sait pas s'imposer ▬ Rêveur ▬ Idéaliste ▬ Parfois franchement naïf ▬ Romantique ▬ Gauche avec les femmes ▬ Malgré tout sûr de lui dans les domaines qu'il maîtrise ▬ Très doué en combat magique ▬ Bons réflexes ▬ Bon sens de l'observation ▬ Courageux mais prudent ▬ N'arrive à dormir qu'à la belle étoile
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Absolument tout ! Le p'tit Finn ne connaît encore personne dans le coin et a besoin de VOUS
Dernière édition par Finlay Guthrie le Sam 28 Sep - 23:47, édité 1 fois
Soins aux Créatures Magiques, c'est vraiment la matière que Finn aurait pu prendre pour une récréation avant l'heure. Sauf que, comme la plupart des jeunes Poufsouffles, le charme de la jeune professeure lui donnait un petit extra de motivation. Aujourd'hui qu'il n'est plus son élève, il peut profiter davantage de la compagnie de Delilah, qu'il cherche autant qu'il peut. C'est que, malgré leurs dix ans d'écart et cette petite gêne persistante due au fait qu'ils ne sont après tout toujours pas de statut égal, ils s'entendent remarquablement bien. Il ne serait d'ailleurs pas exagéré de dire qu'une bonne amitié est née entre eux, favorisée par la proximité de leurs caractères. Même si, de la part de Finn, demeure une petite attirance qui tient de toute autre chose... Mais il se doute qu'il ne se passera rien entre eux et n'est de toutes façons pas assez fou pour le tenter ; alors les choses sont bien, telles qu'elles sont.
J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors, je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.
J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors, je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.
J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors, je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.
J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors, je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.
J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors, je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.
J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors, je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi.
Huum une Serpentard de 19 ans, qu'est-ce que ça pourrait donner... Je ne pense pas qu'ils se seraient franchement fréquentés ni même connus à l'époque où Finn était encore élève, vu la différence d'âge et de maison, donc il vaudrait mieux partir sur du (semi)prof/élève. Shakespeare se comporte/débrouille comment en DCFM ? Pour l'instant je dirais que, Finn prenant son (futur) métier très à cœur, il aurait pu essayer de comprendre ce qui ne va pas voire de l'aider s'il s'était rendu compte que quelque chose clochait avec Shakespeare. Après je te laisse voir la réaction qu'elle aurait eu : accepter cette tentative d'aide ? l'éviter ? profiter de l'inexpérience et de la naïveté de Finn pour se foutre un peu de lui ?
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Sam 28 Sep - 21:30
