✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? Il regarde le petit objet dans sa main. Il le porte devant ses yeux, il le détaille. Longuement, il réfléchit. Une sensation désagréable se fait sentir, une qu'il connaît bien : le stress qui vous tord les boyaux et vous humidifie l'épiderme. La bonne chose à faire serait de la donner à l'Ordre – qui qu'ils soient, où qu'ils soient, il pourrait toujours trouver un moyen de leur faire parvenir. Sauf que voilà : il sait très bien qu'il ne le fera pas. Il ne se l'admet peut-être pas encore tout à fait, mais au fond de lui quelque chose l'a décidé, dès le moment où il l'a prise entre ses doigts. Ce n'est ni là question d'ambition, de soif de pouvoir ou d'avarice ; simplement, il pense à ce que cette petite pierre peut faire. Il pense à sa mère, à son père, à sa petite sœur adorée ; à tous les gens qu'il aime et à tous ceux qui méritent de vivre. Et puis n'est-il pas quelqu'un de bien ? Ce pouvoir n'est-il pas entre de bonnes mains ? Alors doucement, sans précipitation, il la glisse dans sa poche. Il la garde pour ses proches.
✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmené par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Il compte : combien d'attaquants ? Quelles sont ses chances de réellement sauver le moldu sans finir victime à son tour ? S'ils sont deux ou trois, quatre au maximum, il intervient : il a confiance en ses capacités, et puis l'élément de surprise est avec lui. S'ils sont plus, mieux vaut chercher de l'aide : les grandes actions héroïques mais profondément inutiles, quand elles ont des chances de se finir par deux morts au lieu d'une, dont la sienne, il les laisse aux Gryffondors...