Abraxas soupira, il avait un chapitre à lire entier sur les potions et même si la matière l'intéressait, il s'en fichait un peu et préfèrait s'amuser. Il se leva brusquement et regarda par la petite fenêtre qui se trouvait dans la salle commune des Gryffondor. Sa meilleure amie n'était pas là pour l'accompagner dans ses aventures et tout le monde était sorti pour faire du quidditch ou tout simplement profiter de la journée ensoleillée. Le jeune homme s'étira, puis bailla un instant et attrappa ensuite sa veste qu'il revêtit sur ses bras (musclés), puis ouvrit la porte en titubant un peu, car il était fatigué. Fatigué d'avoir presque rien fait de la journée. Abraxas descendit les quelques escaliers qui étaient en mouvement, qu'il commençait vraiment à maîtriser maintenant, il devait avouer que même s'il n'avait peur de rien (humhum), ces satanés marches l'avaient toujours stressé, car elles n'allaient presque jamais là où on le souhaitait et vous amenez à des endroits invoulus. Comme une fois, où il venait tout juste de quitter une fille, plutôt malheureuse, elle s'était cachée dans une salle de classe à un étage où Abraxas n'avait presque jamais pas cours, et pourtant les escaliers l'avait mené là. Mais maintenant tout allait mieux, il était en sixième année et commençait à comprendre le fonctionnement de la bête. Lorsqu'il arriva au rez-de-chaussée il soupira, mon dieu, une journée comme celle-ci était bien barbante ! Il se frotta les yeux et se pinca le bras pour être bien sûr d'être réveillé. Puis lorsqu'il ouvrit ses yeux, Marcia, son ex petite-amie se trouvait devant lui. Elle le regarda, puis fronça les sourcils, depuis qu'ils n'étaient plus ensemble, le jeune homme avait beaucoup de mal à l'oublier, vraiment beaucoup de mal. Et tout ce qu'il voulait c'était la récupérer, encore et toujours, mais la chose s'avérait être un tout petit peu plus difficile que prévue, puisque la jeune fille connaissait quelques manigences du côté du garçon et n'était pas prête de retomber dans ses filets, même si elle l'aimait encore ! Elle tourna ses épaules à droite, puis s'en alla, laissant le garçon là, au milieu du hall complètement perdu dans ses rêveries, qu'un jour elle allait lui pardonner tous ces écarts qu'il avait fait. Il se gratouilla le haut de la tête et continua sa route vers le parc où il s'assit confortablement contre un tronc d'arbre. En fin de compte il commençait vraiment à croire que l'amour, c'était nul, c'était peut-être gamin et innocent de dire ça, mais c'était malheureusement très réaliste. Abraxas mit ses mains derrière la tête et profita du soleil en fermant lentement les yeux. Le bruit des élèves qui marchaient tout autour de lui ne le dérangeait pas, il profitait de son calme intérieur et ne s'intéressait à rien d'autre. Puis, quelques minutes plus tard, le jeune homme revint à la réalité, lorsqu'une ombre vint se poser devant lui. Il ouvrit brusquement les yeux et fusilla la personne du regard. Ce n'était que sa meilleure amie, qui le regardait d'un air désespéré et surtout en colère. « T'as pas rendu ce devoir Abraxas ! » dit-elle en lui montrant une feuille en potions. Voilà pourquoi il devait lire le livre, c'était parce qu'il devait faire un travail en groupe avec sa meilleure amie. La brunette le fusilla du regard et lui jeta le paquet de feuilles à la tête. Entre eux ça avait toujours été très fusionnel, toujours très attachés l'un à l'autre, on pouvait toujours croire qu'ils étaient un couple, fou l'un de l'autre, mais au fond, même si des sentiments se mêlaient à leur histoire, ils ne voudraient rien changer, car chacun était le pillier de l'autre. Qu'elle soit en colère contre lui n'avait rien d'étonnant, c'était peut-être parfois un bon élève, mais il pouvait aussi se montrer être très agaçant et très flemmard. Abraxas prit rapidement les devants et se leva pour prendre Rita dans ses bras. Elle était en colère, certes, mais elle lui rendit l'enlacement. Puis lorsqu'ils se détachèrent, elle lui donna un coup de pied dans le tibia et dit « T'es con. » Puis elle lui tourna le dos pour s'en aller vers le château, alors que lui se penchait pour frotter la douleur ressentit dans sa jambe après le coup. Il sourit bêtement. Toutes les filles avaient tendances à lui dire qu'il était con, mais ça ne faisait réellement que effet avec deux filles, Marcia et Rita. Toutes les deux avec un fort caractère et une frimousse qui ne se laisse pas faire. Perdu dans ses pensées, Abraxas regarda au loin et vit une petite blonde. Il s'était peut-être trompé, il y en avait une troisième et c'était Galzra, la terreur, qui ne le laissait pas la séduire, compréhensible, mais très agaçant pour le garçon qui avait toujours eu l'habitude d'être un homme vantard et très fier. Il n'avait pas laissé tomber, puis ils avaient parlé, sympathiser et bizarrement la jeune fille l'apaisait. C'était devenue une sœur, une camarade pour bien rigoler et se taquiner, puis surtout une très bonne amie avec qui il pouvait parler de ses problèmes, mais en même temps bien s'amuser. Le rouge et or, s'avança lentement vers la dite jeune fille et lui posa ensuite les mains sur les yeux pour qu'elle ne puisse pas voir que c'était lui. Puis il les enleva et dit « Alors ma belle. Seule ? Ton caractère a fait fuir tous tes amis ? » Il disait ça avec un sourire d'abruti, sachant très bien que c'était pour rire, il s'assit en espérant qu'elle aussi le fasse. C'était épuisant de discuter !

♈I don't want your money, I don't want your crown. See I've come to burn your kingdom down.
Asoupire, encore un et encore une fois. quel ennuie. ce sentiment si peu intéressant avait eu raison de toi depuis quelques secondes, à vrai dire depuis que votre professeur de botanique avait eu l’excellente idée de revenir sur les points précédents pour un pauvre serpentard n'ayant toujours pas comprit la différence entre une mandragore et une simple plante verte. soupirant tu levas les yeux aux ciel avant de laisser tomber ton visage entre tes mains et de laisser ton regard se balader dans la fameuse salle de classe. heureusement, ou peut être malheureusement tu trouvas rapidement son regard, il te souri de manière crédule te faisant quelque peu sourire secouant la tête avant de revenir sur ton parchemin ou tu te mis à faire des cercles avec ta plume en attendant que le cours se finisse. heureusement la cloche eu rapidement vent de ta demande et le cours prit fin. soupirant tu balanças tes parchemins dans ton sac avant de te diriger vers la sortit. c'est à peine un pas en dehors de la classe qu'un bras vint se blottir autours de ton cou. ⊱ alors ma fleur des champs on ne peut s’empêcher de me regarder durant tout le cours ! ⊰ tu eus un petit sourire amusé avant de soupirer et de prendre le bras du jeune homme pour le balancer hors de ton corps. bien entendu tu avanças le sourire aux lèvres te tournant vers lui et marchant en marche arrière pour pouvoir lui répondre. ⊱ tu sais bien que je ne peux pas te résister ! ⊰ avant de rire quelques peu et de reprendre le sens de la marche a ses côtés te dirigeant vers un banc exposé au soleil pour t'y installer à ses côtés. le jeune homme tout sourire ne manqua pas de balancer son sac a terre avant de sauter sur le banc pour s'y allonger déposant sa tête sur tes genoux. il ferma ainsi les yeux sous un de tes nombreux soupires. c'est ainsi fait que tu pris un de tes bouquins pour te mettre à lire posant une partit de la couverture sur le nez de ce pauvre garçon. cela dura une petite heure dans un silence complet, lui dormant à moitié et toi étudiant comme à ton habitude. c'est quand à nouveau la cloche résonna que tu relevas ton livre de son nez pour donner un petit cou à l'aide de tes jambes dans la tête du jeune homme ayant trouvé les bras de Morphée accueillant. ⊱ debout tu as cours de métamorphose op op ⊰ lui lanças tu tout en bougeant les jambes pour le faire déguerpir en vitesse. malheureusement, comme à son habitude le jeune homme resta là ouvrant un œil puis l'autre avant de s'étirer péniblement et de se blottir un peu plus sur tes jambes. levant alors les yeux au ciel tu donnas des accoue un peu plus féroce pour qu'il tombe ce qui ne manqua pas. roulant au sol les bras croisés sur son torse. sa course folle fini il se releva pour s’asseoir en tailleur là à tes pied croisant les bras devant lui avec une mine boudeuse. ⊱ tu es cruel avec moi ! ⊰ tenta-t-il alors comme si tu allais le supplier de rester. pourtant tu n'en fis rien plongeant ton regard dans le sien lui montrant le chemin du regard. il tenta alors de te supplier mais tu ne flanchas pas et il se décida enfin a se lever après quelques minutes, boudeur. pourtant malgré son non enthousiasme il déposa un baiser sur ta joue avant de se mettre à trainer des pieds direction sa salle de classe. c'est ainsi que tu l'observas prendre la direction du château un joyeux sourire posé sur tes lèvres. il avait ce dons de te donner le sourire, de te rendre heureuse et de te faire oublier toute peine. il était cet essentiel, cette présence indispensable dont tu avais besoin chaque jour. beaucoup avait aux lèvres les mots couple quand on vous voyez ensembles, pourtant tu nier l'évidence à chaque fois. il n'était qu'un simple ami, ton meilleur ami, cela était certain, mais jamais plus. à vrai dire tu n'est pas vraiment de ces femmes à tomber amoureuse ou à t'attacher a quelqu'un du moins sentimentalement parlant. malheureusement peut être, car tu secrètement tu le savais il saurait te rendre heureuse. c'est ainsi qu'avec un nouveau soupire tu laissas ton regard retourner a la lecture. mais après quelques minutes celle-ci fut interrompue par des mains se nichant sur ton visage. surprise, celles-ci s'enlevèrent rapidement pour laisser place à un visage souriant. ⊱ Alors ma belle. Seule ? Ton caractère a fait fuir tous tes amis ?⊰ abraxas. tu eus un sourire agréable fermant ton livre sur tes genoux le voyant prendre place à tes côtés. le jeune homme faisait partit de ton entourage proche. un ami, un confident connaissant chaque instant de ta vie. il était de ces garçons charmeurs qui tente de vous séduire et qui pourtant on un bon fond derrière leur lourdeur certaine. tu avais ainsi apprit à le connaitre et vous étiez devenue comme inséparable, même si encore souvent il décidait de te draguer de manière taquine ce qui te faisait beaucoup rire à vrai dire. ainsi souriant à sa présence, tu croisas les jambes sous ton livre avant de passer une main dans tes cheveux blond. ⊱ si tu savais je suis si insupportable ⊰ dis tu le sourire aux lèvres avant d'ajouter ⊱ et toi aucune fille est tombé dans tes bras pour que tu te rabatte sur moi ?! ⊰ tu eus un sourire taquin avant de prendre ton livre pour le ranger dans ton sac niché à tes pieds sachant pertinemment que tu n'allais plus lire avant la fuite de ton compagnon rouge et or.

♈

Abraxas avait toujours eu cette relation de taquineries avec la jolie blonde. Il l'aimait bien, malgré les quelques piques qu'il lui lançait, c'était souvent par amitié. Qui aime bien, châtie bien n'est-ce pas ? Le rouge et or regarda la jeune Serdaigle pendant quelques secondes, elle était belle et charmante, ce n'était donc absolument pas étonnant qu'il avait maintes et maintes fois essayé de la charmer et surtout de la draguer. Mais malheureusement il n'avait jamais reçu un retour très positif, elle avait bien mis les points sur les i, elle ne voulait pas de lui et ça ne lui plaisait pas trop qu'il continu à la draguer toujours et encore. Maintenant qu'elle faisait partie de ses amies proches, il avait bien sûr arrêté, mais pour la taquiner et l'énerver l'Abraxas romantique et encore très lourd revenait à la charge juste pour voir, satisfait, sa moue mécontente. Mais à part ça, ils s'entendaient très bien et rigolaient toujours ensemble, se moquant de l'un et de l'autre, mais toujours sans méchanceté, c'était une relation saine où il n'y avait que très rarement des frictions. Le brun se mit en tailleur et s'appuya sur le tronc avec son dos, il profita de la brise légère qui vint ébouriffer ses cheveux. Le jeune Gryffondor profitait bien de ses années à Poudlard, même si parfois les cours pouvaient sembler très ennuyeux, il réussissait toujours à les rendre plus intéressant grace à sa meilleure amie, qui botte à botte, rendaient les professeurs complètement dingues. Même si les parents McAdams étaient loin d'apprécier les écarts de leur fils, ils n'étaient plus en droit de lui dire quelque chose. Il en avait marre d'eux, de leur caractère et le leur faisait bien comprendre. Ne pas s'aimer et rester si longtemps marier, c'était du n'importe quoi et Abraxas n'hésitait jamais à leur faire comprendre, que lui ne voulait jamais vivre ainsi. C'était peut-être injuste de leur reprocher quelque chose dont ils n'étaient peut-être pas ravis et que même s'ils voulaient briser ce mariage, ils ne pouvaient pas, même s'ils en avaient très envie. Mais ils avaient ruiné l'enfance du jeune garçon, qui avait dû écouter disputes sur disputes, puis il lui avait aussi gâché sa vie sentimentale, c'était bien à cause d'eux qu'il était complètement perdu et qu'il avait peur du réel et grand amour. Galzra représentait bien le genre de filles qu'on avait envie d'apprécier et d'aimer, ce n'était pas une Serdaigle toujours plongée dans ses livres, du moins elle ne le laissait pas paraître ! Elle était jolie, populaire et c'était donc pour ça qu'Abraxas s'était senti attiré vers elle. Mais c'était fini maintenant, les choses avaient été mis au point et il se disait que c'était pour le mieux, car c'était toujours mieux une vraie et réelle amitié que de se tourner autour pour un rien. C'était un peu le jeu qu'il jouait avec chaque filles, sauf deux, Marcia et Rita. Mais il n'avait pas envie de penser à elles deux, parce que bizarrement ça le perturbait et son cerveau ne pouvait incarcérer qu'une seule information et fille en une minute. Lorsque la jeune fille répondit au petit affront du jeune homme, il lui sourit. Elle savait quoi dire et n'était pas une de ses filles complètement écervelées et sans répartie. C'était bien la provocation, surtout quand elle ne dépassait pas les limites, et là c'était plutôt du titillement que de la méchanceté. Puis elle fit la remarque sur les filles, il l'avait bien mérité, c'était vrai. Il sourit, on le prenait un peu pour le don juan des bacs à sables parfois, c'était drôle de reconnaître lui-même qu'il n'avait rien d'un vrai dragueur. Parce qu'au fond il était amoureux et se servait de ses talents de charmeur pour oublier ce sentiment fort et vraiment très .. chiant. Le rouge et or se racla la gorge et regarda la jeune blonde avec un petit air amusé et malin. Il décida donc de répondre « Oh ne t'inquiète pas, je sais que tu es insupportable, mais j'aime bien les filles difficiles. » Oui, il se la jouait gros macho des plages, mais ça l'amusait et il savait qu'elle allait répondre quelque chose. C'était même obligé. Une petite mouche s'approcha de son oreille, et il fit un mouvement las de la main avant de poursuivre « Y a trop de filles qui me courent après, c'est moi qui les fuit. » Quel mensonge, quel gros mensonge. Certes, il était entouré de filles, mais il s'en fichait royalement d'elle, mais alors comme de l'an deux mille. Il se racla la gorge et dit « Puis, être en ta magnifique compagnie me suffit amplement, je n'ai besoin de rien d'autre. » Puis il lui fît son petit sourire malicieux qui voulait tout dire, il allait se lancer dans une mission qui allait bien embêter la jeune fille, c'était même obligé.

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