NOM: Mabel-Adams. Mabel, c'est le nom de ma mère. En fait, c'est un nom royal, voilà pourquoi je le garde. Oui, ma mère est princesse des sorciers des Philippines. Après, Adams, c'est de mon père. Sang-Pur très respecté, je fais souvent jouer de mon nom. On est une très vieille famille, qui a beaucoup de branche, et que mon père soit marié à une princesse est encore mieux. On est partisan de Voldemort, la preuve, mon père est un Mangemort. Il a une bonne place au sein d'eux d'ailleurs. PRÉNOMS: William-Theodore Keegan. William c'est le prénom de mon père. C'est de coutume qu'on le récupère. Theodore ça vient de mon grand-père paternel. Je suis son chouchou, vous voyez le genre. Keegan, c'est Philippin. Ma mère a insisté pour que je porte un prénom rappelant mes origines. Elle m'appelle toujours comme ça. Je dois avouer que j'aime bien.AGE: 18 ans. ANNÉE: 5ème année. STATUT: Fiancé. PURETÉ DU SANG: Pur. MAISON SOUHAITÉE: Serpentard. PARTICULARITÉ: Je suis prince des sorciers aux Philipinnes.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Déjà, ça ne risque pas d'arriver. Personne n'est assez fou pour laisser traîner ses devoirs. Mais, si ça arrive, je prends. Pas pour tricher, non, je connais toujours toutes les réponses. Après tout, les potions c'est mon domaine, je ne suis pas à Serpentard pour rien. Mais il faut bien réviser. Alors, en lisant ces réponses, je révise. Je ne fais rien de mal, comment pourrais-je savoir qu'il s'agit des réponses exact ? Non vraiment, je ne vois pas comment... ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Ca dépend qui est cet élève, la maison etc... si un Sang-de-Bourbe maltraîté, ou un Gryffondor, je reste et j'encourage les grands, peut-être même que je participe. Sinon, je passe mon chemin. J'ai pas vraiment envie d'avoir d'embrouilles. Et puis, je suis certains qu'ils savent ce qu'ils font. Et si je lance un sort contre lui, vraiment sans faire exprès je vous jure, il n'a pas à se plaindre, sinon il est vraiment mal.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Déjà, je ne me donne pas en spectacle. Alors, à la fin du cours, je vais voir le professeur et lui explique la situation. Normalement, en jouant de mon nom et de mon pouvoir de persuasion, il punira l'autre élève. Dans ce cas-là, ce dernier va souffrir. Si le prof' maintient sa punition contre moi, là, l'autre va pleurer. Je le trouve, j'amène avec moi des amis, de préférence bien battit et lui fait comprendre qu'on ne se fout pas de ma gueule. Et je l'oblige bien sûr à aller se dénoncer. Non mais, faut pas non plus qu'il croit pouvoir faire n'importe quoi avec moi. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Je suis déjà riche, et je vais devenir pas mal célèbre. J'ai déjà une bonne réputation. Richesses et célébrité vont ensemble pour moi. Hors de question que je perdre un des deux. Après, il y a également de l'amour. Normal, je l'avoue, je suis du genre romantique. Je dois avouer que de me marier avec Aloysia ne me branche pas du tout, mais mon père le désir. Seulement, là, j'ai Faust aussi. Lui je l'aime, et je ne sais pas si je suis capable de tout perdre pour lui. C'est un peu le flou total de ce côté là. Mais j'ai tellement peur de le perdre également, alors dès que je pense à ça le mal de tête n'es jamais loin.
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Darren Criss. AGE: 14 ans. PRÉSENCE SUR LE FORUM: 7/7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: Bazzart. TES IMPRESSIONS: J'adore, même si le design est un peu sombre pour moi . ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: C'est TIA.
Dernière édition par W.-Theodore K. M.-Adams le Sam 18 Aoû - 11:05, édité 5 fois
« Père, je veux ce hibou. » « Bien sûr fils. » « Mais enfin Monsieur mon fils l’a dans ses mains, prenez-en un autre ! » « Père je veux celui-ci ! » « Ne t’inquiète pas Theodore, ce sale Sang-de-Bourbe va vite déguerpir en tant laissant ton oiseau. » « Comment savez-vous que… » « Un Sang-de-Bourbe ? Hors de ma vue ! Je ne veux pas des gens de votre espèce dans ma boutique ! » Chassé comme un malpropre, le pauvre homme et son fils se précipitèrent à l’extérieur, sous les regards haineux et dégoutés des personnes présentes. Moi, j’étais satisfait. Ça y est, j’avais tout. L’animal était la dernière chose qu’il me fallait. J’étais prêt pour Poudlard. J’avais tellement attendu ce moment ! Depuis tout petit, je rêvais de rejoindre les rangs des prestigieux Serpentard. Car oui, j’irai dans cette maison, c’est obligatoire. Tous les Adams y ont été. Et puis, vu mon caractère, je me vois mal aller autre part. Gryffondor ? Non, foncé tête baissé comme ces imbéciles n’est pas du tout mon genre. Serdaigle ? Non merci, beaucoup trop axé sur les études, j’aime m’amuser moi. Poufsouffle, même pas la peine, je m’imagine déjà en train de les martyriser alors… non, Serpentard c’est parfait pour moi. Et puis, mon père n’apprécierait pas que je ne sois pas un serpent. Les Adams, sang-pur. On est respecté, je vous le garantis. Mais mon père, et ses enfants – donc ma jumelle Alysson et moi – nous le sommes plus que le reste de la famille. Pourquoi ? Simplement parce que ma mère est une princesse. Sa famille est royale, aux Philipinnes, chez les sorciers bien sûr. C’est une pur aussi, bien qu’elle ne soit pas du tout comme mon père et moi. En fait, elle irait très bien chez les Poufsouffle, ou les Gryffondor. Elle est gentille, douce, maternelle, raisonnable, courageuse. J’adore ma mère. Ma sœur aussi, je l’adore. En fait, elle, c’est moi, mais au féminin. Et en beaucoup plus intelligente et elle se la raconte moins aussi. C’est la petite princesse de la maison, et je donnerai mas vie pour elle. Autant vous dire que ce n’est pas rien. Sinon, en plus éloigné, j’ai six cousins/cousines. Trois anglais et trois Philippins. Côté Grande-Bretagne, on est cousin par Charles, le frère de mon père. Ils avaient deux sœurs, qui étaient jumelles, mais elles sont décédées il y a quelques années. Donc, Charles à deux filles, et un garçon, d’à peu près mon âge. On se voit plutôt souvent, mais on ne s’apprécie pas vraiment. Simplement parce que moi je suis prince et pas eux. Et honnêtement, je m’en fiche. Oh, et aussi parce que je suis le chouchou de grand-père. Je suis le plus prometteur d’après lui. Le plus à même de faire monter le prestige des Adams encore plus haut. Et j’en suis vraiment fier. En fait, c’est juste de la jalousie. Mais j’adore le fait qu’ils m’envient. Côté Philippin, on ne s’est jamais vu, je ne les connais que de noms. Ils sont royaux aussi, ce sont les enfants de la sœur de ma mère. Enfin bref, le plus important, c’est moi non ? Bien sûr, quelle question. Je suis le fils aîné, le plus prometteur, le plus à même d’être un Adams. D’ailleurs, à cause de ça, je suis déjà fiancé à une fille. Depuis mes 12 ans, on est promis l’un à l’autre. Mais on a passé un accord secret. On a le droit d’être infidèle, car on n’est pas amoureux l’un de l’autre. Seulement, cette fille est une vraie garce. Une diva. Une espèce de vipère. Mais bon, je n’ai rien à dire. Tant pis. De toute façon, c’est juste pour perpétuer la pureté et mon nom de famille. Rien d’autre.
(…)
« Tu m’appelles si tu as des soucis Aly’. » « Oui Theo, ne t’en fais pas. Je sais me défendre. » Ma jumelle, Alysson, me fit un léger sourire. On n’étale pas nos sentiments en publique. Mais personne ne me comprend mieux que ma sœur. Après tout, nous sommes jumeaux. Un simple regard, et on est sur la même longueur d’ondes. Seulement, je ne veux pas la priver de ses amies, alors elle s’en va avec elles dans un compartiment. Moi, je préfère m’isoler un peu, pour mon premier voyage à bord du Poudlard Express. Je connais des gens, bien sûr, mais je n’ai juste pas envie de papoter avec eux. Ils m’insupportent parfois, à toujours me lécher les bottes. Je me glisse donc dans un compartiment vide. Enfin, il paraissait vide, vu qu’il y a un jeune homme à l’intérieur. Il est plutôt mignon, avec ses cheveux châtains et ses beaux yeux. Seulement, je suis sûr que ce n’est pas un sang-pur. Ça se voit à ses vêtements. Ce n’est pas de la grande qualité. Je suis presque sûr que c’est un futur Poufsouffle. Comment je le sais ? La façon qu’il a de se recroqueviller quand il croise mon regard, qui est, je le sais, glaciale. « Dé..désolé je… je vais y…y aller » « Non c’est bon. Juste, ne commence pas à babiller. » Il hocha vivement la tête. Fier de mon petit effet, je m’assaillais en face de lui, le fixant. « C’est quoi ton nom ? » « Faust. » « Faust comment ? » « Kelvin. » Je faisais mentalement la liste de toutes les familles de Sang-Pur que je connaissais, mais pas de Kelvin. « Moi c’est Theodore. Theodore Adams. » Sa réaction ne se fit pas attendre. Il pâlit brusquement, et jeta un coup d’œil nerveux en direction de la porte du compartiment. Je suis presque sûr que c’est un Sang-de-Bourbe. Mais il est pas mal, et on est seul. Je vais lui laisser le bénéfice du doute. « Calme-toi, je vais pas te bouffer. » « Je..je.. » « T’es un Sang-de-Bourbe c’est ça ? » Il grimaça. Je sais, j’aurais pu dire Né-Moldu, mais je ne compte pas devenir gentil pour sa belle gueule. Déjà que je le tolère près de moi. « Oui. » « Ta famille a de l’argent ? » « Pas vraiment non. » « M’étonne pas, ça se voit à tes fringues. » « Oh. » « T’es au courant que tu vas morfler à Poudlard ? » « Je sais. » Et ça à continuer ainsi. Tout le trajet, je lui posais des questions et lui, il répondait. Une fois à arriver à la gare, je savais beaucoup de choses sur lui et lui, il ne savait presque rien sur moi. « Je te préviens, si tu commences à dire qu’on a discuté, je te tue. C’est clair ? On n’est pas amis. » « Je sais. » J’ignorais pourquoi, mais son regard triste me fit mal au cœur. Rapidement, je repris mon masque de froideur, qui s’était légèrement effrité et je m’enfonçais dans la masse de personnes sortant du train. Rapidement, les lèches-bottes furent là. Ma sœur s’approcha de moi, attrapant ma manche, comme quand nous étions enfants. Ma fiancée quant à elle, s’agrippa à mon bras libre comme une moule à son rocher. Merlin, elle me gonflait vraiment parfois. Et puis, le sourire qu’elle avait aux lèvres ne me disait rien qui vaille…
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Ça y est, j’en suis à ma deuxième année à Poudlard. Ma maison ? Serpentard bien sûr. J’adore ce château. Et j’ai vite trouvé mes habitudes. Déjà, il y a mes « amis ». Une bonne partie n’en est pas. En fait, je n’ai que cinq amis sincères. Tous les autres, soit je me joue d’eux, soit seul mon rang ou mon argent les intéresse. Mais je m’en fiche, j’aime être entouré. Alysson a été envoyé à Serdaigle. Contrairement à ce que je pensais, père ne s’est pas énervé. Quand je vous dis que c’est la petite princesse. Et puis, Serdaigle, c’est synonyme d’intelligence, alors cela est parfait. Ma fiancée est bien sûr à Serpentard et ô joie, elle me lâche les basques. Seulement, avant cela, elle a fait une chose que je ne lui pardonnerai jamais ; elle a cafté à mon père que j’ai discuté avec Faust dans le Poudlard Express. Mon cher paternel m’a alors envoyé une lettre, menaçant de me déshérité et tout ce qui suit si je fréquente encore le Sang-de-Bourbe. Autant vous dire que je l’ai vite oublié le petit Gryffondor – car oui, il a fini chez les lions, ne me demandez pas trop comment. Seulement, il s’est fait maltraité par des Serpentard plus âgés. Et je n’ai pas pu m’en empêcher, je me suis occupé qu’on le laisse en paix. Je ne sais pas trop comment je me suis débrouillé mais désormais, il est tranquille. En même temps, le voir arriver en cours avec un œil au beurre noir ma mit hors de moi. Car malgré tout, il me plaît toujours autant. Et ce qu’il fait, à cet instant, c’est inadmissible. Non mais c’est vrai, de quel droit il roule des pelles à un imbécile de Poufsouffle ? Personne ne doit poser un doigt sur lui. Il m’appartient. Non je ne l’aime pas. Mais il est à moi. Point. Alors, je fais ce que je fais de mieux ; j’intimide. Cette imbécile qui ose s’afficher avec Faust vit désormais un véritable enfer. Je n’avais cependant pas prévu que le Gryffon vienne me demander ce qu’était mon problème. Déjà, je me demande comment il a fait pour réussir à me bloquer dans une salle de classe seul. Enfin, je vais quand même l’écouter. Pour une fois qu’il ose s’exprimer sans bégayer face à moi. « Non mais il t’as fait quoi ? Tu n’as aucune raison de l’embêter ainsi ! Le pauvre, il a peur de se balader dans les couloirs ! » « Tant mieux, il l’a cherché. » « Mais qu’est-ce qu’il a fait à la fin ! Franchement je ne comprends pas à quoi tu…» Parfois, on fait des trucs vraiment, mais alors vraiment con. ON se contrôle pas, on laisse notre corps faire ce qu’il veut et généralement, ça finit en bourde monumentale. Comme maintenant. Car oui, actuellement, moi, Theodore Adams, Serpentard et Sang-Pur de mon état est en train d’embrasse Faust Kelvin, un putain de Gryffondor Sang-de-Bourbe. Merde. Je crois que le pire, c’est que c’est agréable. Même un peu trop agréable. D’ailleurs pourquoi il met ses bras autour de mon cou lui ? Et puis pourquoi je le serra par la taille contre moi d’abord ? Oh et puis zut, j’ai juste l’impression d’être sûr un petit nuage alors au diable les principes. « Il t’embrasse, voilà ce qu’il fait. Il t’embrasse, te fait des câlins, te tient la main et j’en passe. Il n’y a que moi qui aie le droit de faire ça. Et c’est sans discussion. » Et je l’embrassais de nouveau. « Tu t’afficherai ? Avec moi ? » « Faust on s’est embrassé deux putains de fois. Je ne vais pas tout perdre pour deux baisers. » « Oh. » « J’y réfléchirai aux alentours du cinquantième… » Même pas le temps de finir ma phrase qu’il me saute déjà dessus. Finalement, je crois que je comprends pourquoi il est arrivé à Gryffondor.
(…)
Vous voulez un conseil ? Ne débutez jamais une relation caché à Poudlard. C’est absolument mission impossible. Il y a des gens partout. Mais quand je dis partout, c’est partout. Et puis les amis de Faust sont vraiment collants, et il pose pleins de questions dès qu’il s’absente dix minutes. De mon côté, j’ai dévoilé à ma jumelle la vérité. Après tout, elle me connaît trop bien. Elle m’aide à trouver des stratagèmes pour me retrouver seul avec mon copain. Il a fallu se débarrasser de la fiancée aussi. Bon, j’ai juste eu à lui dire que je sortais avec une autre fille, mais qu’il fallait que nos fiançailles restent parfaites aux yeux des autres, alors je restais caché avec la demoiselle. De toute manière, elle fait désormais pareilles de son côté. Donc, elle s’est ok. Mes amis ne posent pas de questions, ils font leurs vies, je fais la mienne. Ça, c’est ok. Mais le plus dur, c’est de trouver un coin seul. Généralement, c’est de la salle de classe vide où l’on s’est embrassé la première fois mais ce n’est pas toujours simple de l’atteindre sans se faire repérer. Je vous jure, la galère totale. Ça fait maintenant trois ans qu’on a nos petites habitudes, et je n’arrive pas à me rassasier de Faust. C’est idiot je sais. Et accrochez-vous bien, en trois ans, on a couché une seule putain de fois ensemble. Et c’était il y un an actuellement. Autant vous dire que je n’en peux plus, je suis à bout là. C’est pire maintenant qu’on l’a fait, parce que je sais ce que ça fait. Et l’occasion ne s’est plus présentée. En même temps, c’est tellement rare que je ne rentre pas pour les fêtes de Noël. C’est simple, en cinq ans, c’est arrivé une fois ; l’année passée. Je me rappellerai toujours de la confiance qu’il a eue. Je crois bien que c’était le plus beau cadeau de Noël que j’ai eu, et que j’aurai. Super, maintenant je n’arrive pas à le quitter du regard. Pourquoi je pense à ça en classe moi ? Non d’un scroutt à pétard, je suis mal maintenant tiens. Quoique, c’est la fin du cours. Et… est-ce qu’il tourne dans un couloir vide ? Non il fait vraiment ça ? Pas possible, il a dû remarquer mes regards. Tant pis, je ne peux pas rater une occasion pareille. Hop, je sème mes amis, j’accélère un peu le pas, je le chope par la taille, le mets contre un mur et l’embrasse. Par Morgane ça me manquait déjà, après seulement deux petites heures. C’est limite pathétique. « Theo…Pas ici.. » « Tais-toi et profite. » Comme je vous le disais, être seul, à Poudlard, impossible. Voilà pourquoi, alors que j’étais en train de refaire un suçon à mon homme qu’une voix féminine retentit. « Theo, du monde arrive. » Béni soit ma sœur. Caressant un instant la joue de Faust, je le regardais droit dans les yeux. Merlin qu’il était beau comme ça. « Il faut qu’on se voit ce soir. Je dois te parler. » « D’accord, allez file. » « Je t’aime. » Pour toute réponse, je déposais un léger baiser sur ses lèvres. Rapidement, il disparut au coin du couloir. « Pourquoi tu ne lui dis pas ? » « J’en suis incapable. » Oui je l’aime. Bien entendu. Mais lui dire ? Non, pas possible. J’ai bien trop peur pour ça. Ça rendrait mes sentiments bien trop concrets. Je sais que ça le blesse, mais je sais aussi qu’il comprend par mes gestes que je l’aime. Sinon, je n’aurai pas pris le risque de l’embrasser à cet instant. Sinon, je ne prendrai pas autant de risque à le voir tous les jours en cachette. Et surtout, sinon, je ne serai pas aussi gentil avec lui.
(…)
« Je suis désolé, je n’ai pas beaucoup de temps à te consacrer aujourd’hui chéri. » « Ce ne sera pas long. » Je n’aimais pas du tout ce qui était en train de se passer. La distance entre lui et moi me faisait vraiment mal. Si seulement il n’y avait pas eu tous ces contrôles à réviser, ces devoirs à rendre, je serai resté avec lui une bonne heure de plus. Mais là, nous n’avions que dix petites minutes. C’était bien trop court. Je me contentai de prendre ses deux mains, entrelaçant nos doigts. Ses eux brillaient de larmes, mais aussi d’un éclat déterminé. J’ignorai pourquoi, et ça me fendait le cœur. « Ecoute Theo… ça fait... ça fait trois ans qu’on a cette relation et… et je n’en peux plus. Je t’aime, je t’aime même trop mais… vivre caché comme ça… non là, je suis à bout. Je veux… je veux que tout le monde soit au courant de notre relation. Je veux pouvoir me balader dans les couloirs de Poudlard en te tenant la main, je veux pouvoir clamer haut et fort que Theodore Adams est mon petit-ami. Alors… alors si d’ici Noël, tu ne décides pas de t’afficher avec moi, nous deux… nous deux c’est terminé. Je t’aime comme un fou mais… » « Je te demande pardon ? Tu sais ce que tu fais là ? Tu sais très bien que je ne peux pas m’afficher Faust ! Je perdrai tout ! Tout putain ! Mon nom, mon argent, ma popularité, mon rang ! Tout ! Je ne suis pas prêt à perdre tout ça ! » De colère, je m’étais écarté de quelques pas. La situation m’échapper, j’avais horreur de ça. Oui d’accord c’était dur de vivre caché mais je pensais vraiment qu’on pouvait continuer ainsi. Après Poudlard, cela aurait été plus simple. Il ne restait que deux ans… « Et moi ? Moi tu es prêt à me perdre ? » L’horreur de ces mots eu comme l’effet d’une bombe. Perdre Faust ? Non, jamais. Impossible. Je l’aimais beaucoup trop. Mais si je le choisissais lui… alors je perdais tout le reste. Mais il était tellement plus important que le reste. Oh Merlin c’était un vrai casse-tête. « Je vois. » Génial, il avait pris mon absence de réponse pour une réponse affirmative. Merde. « Non Faust non ! Non tu sais bien que je… enfin tu le sais bien quoi ! » « Je sais quoi ? Que tu n’es pas capable de me dire que tu m’aimes ? Oui, merci, ça je le sais ! Mais j’en ignore la raison ! Tu ne m’aimes peut-être tout simplement pas ! » « Je t’interdis de dire ça ! Je t’interdis de douter de mes sentiments pour toi ! C’est simplement… simplement que j’ai peur de dire ça. J’ai peur que si je te le dis, tu vas te mettre à rire ou je ne sais quoi, que tu vas te foutre de moi et… et ça je ne pourrai pas le supporter. » « Theo je ne me moquerai jamais de toi. Tu le sais bien. Je te demande juste de me le dire. Une seule fois. » « Je suis désolé. Je ne peux pas. » Je préférais coller mes lèvres aux siennes. Dévoiler mes faiblesses comme ça, c’était vraiment dur. Mais l’entendre douter de moi, cela l’était encore plus. J’avais jusqu’à Noël pour prendre ma décision. Et en attendant, je comptais bien profiter au maximum.
Dernière édition par W.-Theodore K. M.-Adams le Sam 18 Aoû - 10:40, édité 1 fois
Avant toute chose, nous te souhaitons la bienvenue. Tu es désormais ici chez toi W.-Theodore K. M.-Adams. Le flood et les jeux t’attendent si tu le souhaites.
Félicitations, tu intègres Serpentard !
C'est la maison de l'ambition de la ruse. Mais c'est également là que se trouvent ceux qui sont froids et sans pitié. Cette maison sera ta seconde famille à Poudlard. Mais avant de t'engager dans un combat sans merci contre les autres élèves pour faire gagner des points à ta maison, saches que le membre est qui tu es jumelé est Maxilynn A. Peters. Il/elle prendra contact avec toi prochainement. Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Tu peux également devenir préfet, joueur de Quidditch ou rejoindre un club.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage.