✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? Sur le coup, il n’y croirait même pas. Un double, une réplique sans doute… Quelque chose d’acheter dans un magasin de farces et attrapes ou un sortilège qui a plutôt bien fonctionné. Après tout, les reliques de la mort sont à l’origine d’un comte pour enfants, et Sebastian est assez réaliste, terre à terre. Il serait sceptique et incertain. C’est pourquoi il l’essaierait. La tourner trois fois dans sa main, c’est ça? Qui ramener à la vie, qui humilier au point de le déranger dans son sommeil mortuaire? Sebastian déciderait sans doute de ramener sa créatrice, celle qui a fait de lui le monstre qu’il est aujourd’hui et celle qu’il a tué froidement de ses propres mains. En voyant que cette babiole n’en est pas vraiment une, Sebastian la cacherait. Il la garderait secrètement dans sa petite boutique d’apothicaire. Qui penserait à venir fouiller un endroit miteux dans l’Allée des Embrumes? Il se dirait qu’un bon jour, il en aurait bien besoin, et la garderait jusqu’à lui trouver une utilisation particulière. Ce ne serait pas son genre de s’en vanter et de le crier partout. Le jeune homme se ferait discret et n’en parlerait à personne.

✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Il s’incrusterait sans doute et entrerait dans la danse, emmenant un peu de son sadisme et de sa sauvagerie au petit groupe de sorciers, qui déguerpiraient sans doute devant le côté bestial de Sebastian. Ce dernier, comme à l’habitude, serait incapable de se retenir devant un peu de violence, et ne ferait pas que malmener ce moldu, pouvant même aller jusqu’à torturer la pauvre victime sans défenses. Lorsqu’il commence, Sebastian ne s’arrête plus. Impulsif et ayant parfois beaucoup trop de misère à garder son côté animal endormi lorsqu’il est sous forme humaine. Ce pouvoir de domination et de soumission plairait énormément au loup-garou, qui aime sentir qu’il est en position de force. Le moldu n’aurait tout simplement aucune chance et finirait sans doute mort, si le destin lui est favorable.