Je ne comprenais pas du tout ce qui se passait. Depuis que j'étais à Poudlard, tout avait toujours été comme sur des roulettes. Peu importait la nature de notre sang, les sorciers que je fréquentais n'en avaient jamais fait des tas à propos de mon ascendance. Cependant, maintenant les choses changeaient. Pour une raison que je ne comprenais pas, les sang-purs commençaient à croire en leur supériorité à cause de leur sang qui serait plus pur, plus digne de vrais sorciers. Des foutaises selon si je peux parler franchement. Malheureusement, mon opinion n'avait aucune importance ni aucune influence dans ce qui se passait. J'aurais bien voulu, mais la vie ne fonctionnait pas aussi facilement que ça, cela aurait été beaucoup trop beau.
La vie pouvait être belle malgré tout. Je me débrouillais moi-même pour que ma vie soit belle, comme je le désirais. Je faisais ma petite vie de mon côté sans me soucier réellement de ce que les autres personnes pensaient de moi. Cependant et malheureusement, même si je me suis endurcie avec les années que j'ai passé avec ma mère, je ne suis pas faite en pierre. Je ne suis pas un statut de marbre, sans émotion qui ne ressent rien. Je suis faite de chaire et d'os, comme tout le monde. Il y a des moments où, bien que je veuille être forte, je ne peux le faire. Tout le monde a besoin d'une soupape pour évacuer mes émotions négatives pour recommencer en neuf. Ce jour-là, j'étais rendue au maximum de ce que je pouvais endurer. Depuis, ce truc de sang-pur, les gens aimaient bien ramener sur le tapis que mes parents étaient des humains complètement nuls. Le pire dans tout ça, c'était qu'ils avaient raison. C'était ce qui faisait le plus mal.
Je revenais de l'un de mes cours lorsque j'ai reçu la première pique. Hey ! T'as rien à faire ici sang-de-bourbe. Retourne chez ta moldue de mère. Chez ma moldue de mère, si seulement ils savaient. Bande d'idiots. Je me suis tournée vers l’imbécile de service, les mâchoires serrées de rage devant cette insouciance qui faisait mal.
« Tu devrais la fermer au lieu de dire des conneries...connard. »
J'ai continué mon chemin, essayant d'isoler mes pensées de cet idiot de sorcier qui devait être un sang-pur et qui me suivait en lançant des piques comme si sa vie en dépendant. C'était tellement marrant de me voir rager comme ça. Le bouffon devait se marrer avec son copain qui ne disait rien. Des larmes de rage vinrent se glisser dans mes yeux alors que j'espérais réellement que ce mec allait se fatiguer de jouer les idiots. La belle affaire. Il ne semblait pas vraiment e fatiguer et son copain ne semblait pas vouloir l'arrêter de jouer. Je serrais mes livres contre moi, les serrant plus frt que jamais pour m'aider à me contrôler. Faire une scène en plein centre des couloirs ne m'aiderait pas du tout. Au contraire, j'aurais l'air d'une quiche hystérique plus qu'autre chose. Je me suis arrêtée en plein centre du corridor, serrant mes mâchoires et mes livres, voulant ne pas paraître faible devant eux. J'ai pris la parole à voix basse et mes yeux devaient lancer des éclairs.
« Je te suggère fortement d'arrêter de dire tes conneries ou je te jure que tu vas repartir chez ta mère la queue entre les jambes. »
Malheureusement, j'ai bien vu qu'ils ne semblait pas réellement réceptif à mes paroles. Qu'est-ce que tu comptes me faire, sang-de-bourbe ? Le premier mec a regardé son copain, une lueur malicieuse dans les yeux. J'ai levé les yeux au ciel, découragée devant tant de stupidité. J'ai décidé de continuer mon chemin, avec les deux idiots derrière moi.
Qu’est-ce que c’était agréable de revenir à Poudlard, après les vacances que j’avais passé en famille. Avec ma sœur à me chamailler et mes parents qui n’arrêtaient pas de nous saouler en nous disant de nous taire ou d’autres choses. Mais j’adorai la faire sortir de ses gonds... Enfin, c’était passé et je devais maintenant revenir sur terre, car a Poudlard, c’était différent de la maison. J’adorai cet endroit, tout le monde était plus ou moins gentil avec moi, sauf les serpentard évidemment. Mais je savais qu’au fond, tous n’était pas forcement méchant avec les gryffondors. Il faut arrêter un peu avec cette rivalité, franchement ou ça mène ?! Je ne comprendrai jamais cette haine envers les Serpentard, qu’avaient certains camarades de ma maison. J’avoue que, j’étais méfiant vis-à-vis de certains serpents mais pas tous.
Alors que je voulais me rendre à la bibliothèque pour rendre un livre que j’avais emprunté. Je fus stoppé par des paroles qui me mettaient en rogne. Apparemment, une Serpentard se faisait malmener par des idiots de sa maison. J’en avais même entendu un qui disait « Retourne chez ta moldue de mère ». Je ne pouvais pas laisser passer ça. Pourquoi les sangs-purs se moquaient-il de leurs camarades ? A cause de leurs sangs ? Mais faut arrêter un peu ! Ce n’est pas parce qu’une de leurs camarades avait du sang-moldu et qui était à Serpentard, qu’il fallait l’insultée de la sorte ! Je me dirigeai vers ce groupe, ils n’étaient que trois et cette Serpentard ne s’était pas laissé faire, elle avait même répondu. A sa place, j’en aurai fait autant ! Mon sang ne fit qu’un tour quand j’entendis ce que ces idiots lui disaient. Ça les gênait qu’elle était différente d’eux ?!
Hé bouffon, qu’est-ce qui te prend d’insulter une de tes camarades ?! Ça te gène qu’elle ne soit pas de sang-pur ? Qu’est-ce que ça peut vous faire, d’ailleurs ?! Bandes de connards !
Avais-je dit en les regardant dans les yeux. Je n’avais pas peur d’eux et encore moins qu’ils me lancent des piques également. En principe, je ne me mêlais pas de ce qui ne me regardait pas mais là, je ne pouvais pas laisser une Serpentarde se faire insulter de la sorte !
Eh ben, elle avait de la répartie, celle-là ! Je n’aurai jamais osé dire ça à un Serpentard... Mais bon, j’étais content qu’elle ne se laisse pas faire. Tiens, mais qui voilà ? Ce traitre a son sang. Qu’est-ce que tu vas me faire, sale bouffon ?! M’avait répondu cet idiot de serpent. Quelle immaturité franchement. C’était tellement stupide que je ne répondis même pas à ses paroles. Au contraire, j’aidais cette serpentard.
Un conseil, arrête de la traiter de sang-de-bourbe ou je te jure que tu vas le regretter.
Lui avais-je rétorqué avec un regard de tyran. Les deux idiots qui suivaient comme un petit chien la serpentard, s’était brusquement arrêté et s’était barré. Mais quels crétins, ces deux la franchement !
Sang de bourbe...sang de bourbe. Bordel que ces mecs étaient cons. Ce qu'ils pensaient de moi, sincèrement, ça ne me retroussait pas plus le poil que ça. Je ne connaissais pas ces deux sorciers et je n'avais jamais particulièrement envie de mieux les connaître. Alors leur avis sur ma personne ne me faisait pas vraiment mal. Par contre, ce qui faisait mal, c'était leur commentaire à propos de mes parents. Si seulement ils savaient ce qu'ils étaient en train de dire. Retourner chez ma mère...j'aurais bien aimé, mais ce n'était pas possible. J'aurais aimé avoir une mère et un père qui pouvait me supporter dans ces épreuves aussi ridicules que blessantes. Que j'aurais pu contacter par hiboux pour leur raconter ce qui arrivait ici et qu'ils puissent me consoler. Je n'avais pas droit à cela. J'avais bien ma grand-mère, une femme sage que je respectais plus que n'importe qui, mais ce n'était pas la même chose. Je l'adorais, il n'y avait pas de dessin à faire, mais je n'avais pas une complicité avec elle comme j'aurais pu en avoir avec des parents qui m'auraient élevée depuis mes premières heures de vie.
Par contre, je lui envoyais régulièrement des hiboux pour lui raconter mon train-train quotidien ici, sans réellement lui confier ce qui se passait avec cette histoire de pureté du sang qui prenait de plus en plus de place dans nos vies, dans ma vie. Je n'aurais jamais cru qu'une idée aussi ridicule puisse sincèrement trouver des adeptes, mais je m'étais trompée sur toute la ligne. Les sang-purs étaient plus que ravi d'apprendre qu'ils étaient supérieurs aux autres. Quoi de plus flatteur que d'apprendre que nous faisons partis des sorciers de premières classe. C'était ridicule... Malheureusement, mon avis n'intéressait personne et encore moins puise que j'étais née-moldue. Mais bon, la vie suivait son cour malgré tout, j'essayais de faire profil bas, comme j'avais toujours eu l'habitude de le faire, me concentrant sur mes études et mes amis.
De vrais amis et non pas des gens que je connaissais et qui se plaisaient à dire qu'ils avaient des tas d'amis à qui ils ne parlent presque pas. Non. Je parlais à ces rares personnes plus que de raison et j'avais en eux une confiance aveugle que peu de gens pouvaient se vanter d'avoir. Je ne voulais pas être entourée d'un troupeau de gens, je n'en voyais pas l'intérêt, je désirais avoir quelques personnes en qui je pouvais avoir confiance et qui pouvaient, eux-aussi, avoir une confiance aveugle en moi. Malheureusement, ce jour-là, je n'avais aucun ami à mes côtés pour m'aider dans ce petit conflit qui commençait sérieusement à me faire voir rouge. Ils ne pouvaient pas simplement passer leur chemin comme tout le monde et me laisser en paix ? Bien sûr que non, c'était beaucoup trop facile. Hé bouffon, qu’est-ce qui te prend d’insulter une de tes camarades ?! Ça te gène qu’elle ne soit pas de sang-pur ? Qu’est-ce que ça peut vous faire, d’ailleurs ?! Bandes de connards ! J'ai regardé à mes côtés pour voir qui était ce bonhomme qui prenait la défense d'une pure étrangère. Les gens gentils existaient encore, c'était rare.
Bon, mon orgueil en pris un petit cou en sachant que je n'avais pu me débrouiller seule, comme à mon habitude, mais je devais le lui donner, ça faisait plaisir d'avoir quelqu'un à ces côtés. Tiens, mais qui voilà ? Ce traitre a son sang. Qu’est-ce que tu vas me faire, sale bouffon ?! Traitre à son sang ? En plus, ce mec était un sang-pur ? Je n'étais pas au bout de mes surprises. J'ai lancé un regard au roux qui semblait être aussi en colère que moi contre ces idiots. Des points pour lui encore une fois. Un conseil, arrête de la traiter de sang-de-bourbe ou je te jure que tu vas le regretter. Si des yeux avaient pu tuer, je crois que les deux mecs face à moi seraient morts de combustion spontanée avec le regard que leur lançait l'étranger. Est-ce que ça va ? J'ai lancé un regard au jeune homme à mes côtés et je lui ai souris. Il fallait bien que je pile sur mon orgueil, il le méritait.
« Beaucoup mieux maintenant qu'ils sont partis. Merci en fait. C'est rare ces jours-ci les gens qui font ce que tu as fait pour moi. »
Un petit sourire sincère s'immisça sur mes lèvres alors que je réfléchissais. Je ne connaissais pas du tout ce garçon. D'où sortait-il ?
J’étais très fier de ce que j’avais fait pour défendre cette serpentard. A croire qu’ils y avaient des idiots partout, même ici, a Poudlard ! Pff malheureusement, la plupart des serpentards sont et resteront des crétins, tout ça parce qu’ils se croient supérieurs aux autres avec leurs sang. Pff quels gamins alors ces deux-là. Ils avaient réagi comme des enfants de 4 ans. Enfin, ils étaient partis. Tant mieux, ça nous fera des vacances !! Je me demande même encore maintenant, pourquoi la plupart des élèves de cette maison se bagarrent souvent avec les autres. Je les regardais fuir et répondit a la jeune fille qui m’avait remercié.
De rien. Mais ces deux-là... ils sont vraiment stupides de s’en prendre à une de leurs camarades. Ils n’ont que ça à faire de leurs journées, je pense. Tu as raison mais, je ne suis pas le genre de garçons à laisser des gens dans le pétrin. Même s’ils ne sont pas de ma maison.
Lui avais-je répondu en soupirant. Je ne comprendrai jamais pourquoi Gryffondor et Serpentard se livre une bataille sans merci, à cause de leur sang ? Mais c’était vraiment ridicule !! Bref, c’était comme ça et on ne pourra jamais les changer malheureusement...
Je m'appelle Léo Jonhson. Tu dois certainement connaitre ma sœur, Azure...
Je ne passais pourtant pas inaperçue dans le château... Avec ma sœur, on faisait les 400 coups ensemble et les professeurs ne nous avaient jamais attrapés. Enfin, pour l’instant seulement. J’été surpris qu’elle ne me connaisse pas encore, enfin ce n’est pas grave. Du moment qu’on s’entend bien elle et moi, c’était le principal après tout !
Pourquoi s’en prenait-il à toi comme ça ?
Demandais-je sérieusement. Il fallait que je sache pourquoi ses camarades l’embêtaient comme ça, à longueur de journée. Puis, sérieusement, pourquoi faut-il que des personnes fasse du mal aux plus faibles qu'eux et si en plus, ils sont de la même maison, pourquoi se lancent-ils des piques à longueur de journée?
Tu vas certainement me prendre pour un crétin mais, en général les Serpentard, je ne les apprécie pas trop. Mais ça n'a rien à voir avec toi je te rassure. En fait, je t'explique. Je suis un sang-pur et certains de mes camarades m'insultent en me disant que je suis un traitre à mon sang... Comme tu as pu le constater avec ces idiots qui s'en prenaient à toi.
Moi qui pensais que j'allais passer une bonne après-midi, ça n'était pas du tout le cas. Non seulement avec ces idiots de Serpentard mais aussi parce que je n'aimais pas trop parler avec eux. Enfin, ça dépendait des gens en fait.
Je ne sais même pas qui j'ai défendu... Comment t'appelles-tu?
Demandais-je en l'aidant à ramasser ses affaires. Car non seulement, ils l'avaient cherché ces deux crétins mais en plus, ils l'avaient bousculée. Si je les revois, ils passeront un sale quart d'heure!
Tu es en quelle année? Et tu te plais à Poudlard?
Je ne pus m'empêcher d'être bavard... Dès que je parlais à quelqu'un, impossible de m'arrêter! Pourtant, je parle beaucoup avec mes camarades de maisons mais jamais avec les autres. Sauf les Poufsouffles ou les Serdaigles, mais les Serpentard c'est rare.
Désolé, je parle trop. Je suis une vraie pipelette, c'est pas possible!
Avais-je dis en rigolant. Rire c'est ce qu'il y a de mieux pour la santé!
Je commençais réellement à croire que j'étais entourée d'idiots. Comment aurais-je pu croire autrement, dans ma maison je semblait que ne voir des étudiants de la trempe des deux idiots qui semblaient vouloir me voir grimper dans les rideaux. Cependant, même si j'aimais me dire que j'étais seule dans un nid de serpent, merci de noter ici le jeu de mot merveilleux de ma part, je généralisais énormément. J'avais des amies chez les vert et argent, Ambre en était un bon exemple, tout comme Caleb. Malheureusement, à ce moment-là, elle n'était pas présente à mes côtés pour me soutenir contre les deux brutes épaisses qui me suivaient. Par contre, j'avais eu de la chance dans ma malchance, si je pouvais m'exprimer ainsi. Mes amis n'étaient pas présent, mais il y avait ce rouquin que je ne connaissais ni d'Ève ni d'Adam qui était venu à ma rescousse. Je ne croyais pas cela possible, mais j'étais contente de m'être trompée.
De rien. Mais ces deux-là... ils sont vraiment stupides de s’en prendre à une de leurs camarades. Ils n’ont que ça à faire de leurs journées, je pense. Tu as raison mais, je ne suis pas le genre de garçons à laisser des gens dans le pétrin. Même s’ils ne sont pas de ma maison. Il savait reconnaître sa valeur, c'était plutôt bien, je devais le lui donner. Disons que de nos jours, faire ses trucs chacun pour soit était devenu la norme. Penser aux étrangers ? Pourquoi le faire ? Ça ne nous donne rien on ne les connait pas. Belle façon de pensée ça, pfff. Comme si nous devions toujours avoir quelque chose en retour pour agir. La simple bonne foi ne suffit plus à ce qu'il faut comprendre. Je m'appelle Léo Jonhson. Tu dois certainement connaitre ma sœur, Azure... Ce nom me sonnait une cloche, mais rien de bien précis. Je devais l'avoir déjà croisé dans les couloirs ou bien l'avoir eu avec moi dans une classe je ne savais plus du tout. Il y a tellement de gens ici qu'à la longue on s'y perd un peu côté nom et visage, surtout quand on est plutôt du genre solitaire comme moi. Je suis plutôt du genre à rester de mon côté à faire mes petites affaires tranquillement sans me mêler aux autres, je laissais ça aux gens à l'aise avec les relations publiques. Pourquoi s’en prenait-il à toi comme ça ? Je ne pus que sourire à la question du jeune roux. Belle naïveté, il ne fallait plus grand chose pour provoquer les gens maintenant. Une simple question de sang faisait l'affaire de certains, dont ces deux ploucs.
« C'était plutôt évident non ? Je suis née-moldue voilà pourquoi. Il n'en faut pas plus à ma maison pour réagir. T'as de la chance de ne pas y être...même si je vois que ça ne change pas grand chose dans ton cas d'être pur je me trompe ? »
Il confirma mes dires quelques instants plus tard en disant qu'il était considéré comme un traitre à son sang, comme j'avais pu l'entendre de la bouches des deux garçons qui nous avaient finalement laissé en paix. Je ne sais même pas qui j'ai défendu... Comment t'appelles-tu? Tu es en quelle année? Et tu te plais à Poudlard? Désolé, je parle trop. Je suis une vraie pipelette, c'est pas possible. Je ne pus que rire légèrement en entendant les multiples questions de Léo alors que je me penchais avec lui pour ramasser mes bouquins éparpillés un peu au sol. Le plaisir de se faire bousculer. Je n'étais pas trop bavarde en générale, mais je me disais que je pouvais bien faire une exception pour le rouquin, il m'avait tiré d'un mauvaise pas après tout.
« Ça va t'en fais pas. Heum, je suis Lilith Lancaster, je suis en quatrième année. Disons que je me plaisais ici avant, mais disons que maintenant c'est plutôt tendue c'est un peu moins rigolo. J'imagine que c'est pas trop facile pour toi non plus à les voir te parler comme ça... »
Je me suis redressée, rangeant mes livres dans mon sac alors que Léo en ramassait un ou deux de son côté. Ce n'est pas facile pour personne ces jours-ci à Poudlard et dans le monde des sorciers. Rien n'était facile pour personne.