Lorsqu'il était petit, Léo ne tenait tout simplement pas en place. Il devait sans arrêt faire ceci ou cela, quitter la maison pour x ou y raison ou même essayer toutes sortes d'engins moldus. Avec sa sœur, ils étaient deux monstres, inséparables et intenables, il fallait toujours les avoir à l'œil lorsqu'ils étaient ensemble. Il a toujours été bercé dans la magie, ses parents sont deux sorciers : Mr. Walder-Jonhson travaille pour le ministère de la magie, c'est un Auror, quant à sa mère, elle est guérisseuse à Sainte Mangouste. A son entrée à Poudlard, il s'est vite fait une réputation de clown et ait devenu le pitre de sa classe. Toujours le mot pour rire, il a beaucoup de fois donné le sourire à un bon nombre de gens.

Scolarité à Poudlard

Première année.
Léo avait reçu sa lettre d’admission à Poudlard quand il avait quatorze ans. Quand il est arrivé dans le château avec les autres élèves, il ne s’attendait pas à voir quelque chose d’aussi immense ! Il pensait que c’était plus petit que ça dans ses souvenirs, il s’était légèrement trompé ! Un homme s’était approché des adolescents et leurs avaient expliqué qu’ils étaient à Poudlard pour apprendre tout un tas de chose sur la magie et ses cours. Léo n’en revenait pas d’être ici ! Pour lui, c’était un rêve de gosse et voilà qu’on lui offrait ça... Jamais il n’aurait pu imaginer une telle chose ! L’homme était assez âgé et avait emmené les adolescents dans la grande salle pour leur expliqué que le choixpeau magique les enverrait dans différentes maisons. Les maisons en question étaient : Gryffondor, Serdaigle, Poufsouffle et Serpentard. Léo en avait entendu parler par ses parents et sa sœur. Quand il entendit son nom, Léo s’avança pour mettre le choixpeau magique sur sa tête et celui-ci n’attendit pas longtemps avant de l’envoyer à Gryffondor. Les applaudissements se firent entendre et Léo rejoignit sa maison respective. Il était vraiment heureux d’être dans la même maison que ses parents, quand ils étaient encore étudiants bien sûr !!

Deuxième année.
Ca faisait maintenant un an que Léo était à Poudlard et déjà, il s’était fait plusieurs amis et ennemis. Il ne s’entendit absolument pas avec les élèves de Serpentards. Pourquoi me diriez-vous ? Tout simplement, parce que les élèves de cette maison étaient tous plus ou moins, des sans-cœur et ils s’amusaient a malmenée des premières années ou qu’elles étaient. La colère de Léo était à son maximum quand il voyait des Serpentard faire ce genre de chose. Il s’en était mêler la première fois pour sauver une première année, mais il ne recommencera pas. Pourquoi ? Parce qu’il n’a pas envie de se faire tabasser par eux. Ses cours se passèrent à merveille et il avait eu d’excellentes notes lors de ses premiers cours. Léo espérait vraiment que ça continuerait...

Troisième année.
Lors de sa troisième année à Poudlard, Léo se sentait vraiment bien. Jamais il n’aurait pensé qu’il se sentirait mieux ici que chez lui, avec sa sœur... Tiens, en parlant de sa sœur justement, elle était aussi à Poudlard et Léo ne l’avait pas encore croisé. A croire qu’ils s’évitent ces deux-là ! Enfin... Léo adorait ses cours et surtout ceux de métamorphose et d’histoire de la magie. Ses parents lui manquèrent un peu mais Léo avait su qu’il pouvait envoyer des lettres par hibou par une élève de sa maison dans la volière. Il n’avait pas hésité une seule seconde. Il espérait que ses parents reçoivent ses lettres afin qu’ils lui répondent.

Quatrième année.
Ah la quatrième année se révéla être la plus dure pour Léo. En effet, il venait de fêter ses 17 ans mais sans ses parents. C’était vraiment un coup dur pour lui mais, heureusement, sa sœur était venue lui offrir un cadeau, ce qui avait remonté le moral de Léo. Il ne pensait pas que ça serait aussi dur d’étudier sans passer du temps avec ses proches. Oh bien sûr, il avait envoyé plusieurs lettres pour ne pas que ses parents s’inquiètent mais voilà quoi... Au bout d’un moment ça pesait... Bref, Léo était resté dans sa salle commune afin de ne plus penser à ça. Même ses amis dans le château le trouvaient un peu déprimé… Mais Léo savait qu’il ne fallait pas se laisser abattre.