Chaque instant de cette journée avait été fait comme une journée ordinaire à Poudlard, les élèves avaient vaqués à leurs occupations, les professeurs avaient tenté de maintenir l’ordre, les fantômes s’étaient baladés perturbant certains cours sans se rendre compte qu’ils traversaient des murs et les elfes de maison s’afféraient à rendre tout possible. Le temps était donc passé tranquillement entre magie, camaraderie et cours en tout genre, ses camarades avaient eu une journée singulière et n’avaient rien vu de différent, Elynn semblait être restée la même… en façade… et pourtant si l’un d’entre eux avait été dans sa tête, un flot de pensées parasites l’aurait à coup sur submergé.
Tout avait commencé un jour plus tôt, lors du cours de divination du professeur Cavanagh. Il était du genre à faire des cours étranges mais là il s’était surpassé. Déjà que la jeune fille n’aimait pas particulièrement cette matière, depuis cette heure épouvantable, elle pouvait dire qu’elle la détestait. Les évènements saugrenus qui avaient eu lieux lui trottaient en boucle dans la tête. Elle avait passé la fin de journée à y penser mais ça ne s’était pas arrêté là, malheureusement. Elle n’avait pu fermer l’œil de la nuit, revoyant irrévocablement son double maléfique, livide et effrayant, glisser derrière ses paupières clauses et lui murmurer des insanités au visage, ce qui l’avait maintenu éveillé, de peur surement de faire des cauchemars dérangeants. La journée avait donc été longue pour la demoiselle qui, par manque de sommeil évident et un esprit tourmenté, avait eu un mal fou à suivre les cours, surtout que sa concentration n’était pas présente ou tout du moins pas sur le sujet présenté par ses professeurs. Elle n’avait de cesse de se répéter que chaque élève présent lors de ce cours démentiel avait vu une apparition de lui dans le futur. Mais que pouvait bien essayer de lui dire son futur ? Pourquoi était-elle apparue entourée de flammes ? Qu’est-ce-que tout cela pouvait bien vouloir dire ? Elle ne savait ou la mènerait toutes ses questions qui ne trouvaient pas encore de réponse mais elle avait une seule certitude : les sorts et potions n’étaient jamais fait par hasard et le hasard n’avait pas sa place dans la magie. Il y avait donc une réponse rationnelle, cohérente, raisonnée à ce fait ésotérique et son double n’avait pas prononcé ces mots en particulier juste pour faire jolie. Le plus perturbant était qu’elle avait l’impression de trouver écho à cette tirade digne d’une prophétie au plus profond d’elle-même.
Elle qui était du genre à s’appliquer sur la tâche à effectuer et ne jamais être dissipée par le moindre petit bruit, ne pouvait pas en dire autant de cette journée. Tout s’était déroulé comme dans un brouillard épais et la fin des cours avait été une délivrance pour la jeune fille. Après avoir prit son repas dans la grande salle, toujours obnubilé par ses pensées encombrantes, elle était remontée dans sa salle commune comme un zombie, sans faire attention à ses déplacements. Elle aurait pu se faire attaquer sur le chemin ou se retrouver dans un passage secret que rien ne l’aurait sorti de ses songes. Arrivant bien avant ses camarades qui devaient encore s’amuser au diner, elle pu à loisir choisir où elle se poserait pour la soirée. Une fois assise à une table, la plus reculée de la pièce, afin que personne ne puisse percevoir son désarroi, sa détresse, ses doutes et incertitudes, elle avait tenté d’avancer son devoir de potion, cette matière avait beau la passionner d’ordinaire, ce soir-là tout devenait difficile. Elle relut plusieurs fois la même consigne et au bout de ce qui lui sembla être la quinzième fois, elle soupira et gribouilla un dessin. Elle se concentra une minute sur la courbe des ailes et l’arrondie des yeux. Ce n’était pas la première fois qu’elle dessinait sa chouette pour se détendre et se recentrer sur ce qui était important. Elle aurait tellement aimé avoir une relation moins compliquée avec sa grand-mère et pouvoir lui dire les choses simplement, sans avoir peur de ses réactions souvent brutales. Car à cet instant précis elle ne pouvait s’empêcher de se demander s’il y avait un lien entre la conversation qu’elle avait surpris quelques années plus tôt et ce qu’il venait de lui arriver.
Elle entendit d’autres poufsouffles passer le tonneau qui protégeait leur salle commune et bientôt la salle fut remplie. Elle essaya de se concentrer sur ce qu’ils faisaient. Elle sourit doucement lorsqu’elle reconnu un certain Sid Harwicks qui préférait être appelé Marshall pour des raisons qu’elle ignorait et qui comme souvent avait fait un boucan épouvantable en arrivant. Ils ne se connaissaient pas mais étant un joueur de quidditch, il avait une certaine notoriété dans leur maison. Son attention se reporta bien vite sur l’entrée qui venait à nouveau de s’ouvrir et un sourire franc vint fleurir sur son visage juvénile. Celle qui se rapprochait le plus de ce qui pouvait être une meilleure amie venait de faire son entrée. Elle était rayonnante comme à son habitude et Elynn ne savait toujours pas pourquoi c’était sur elle que la jeune fille avait porté son dévolu. Depuis la première année, elles se parlaient et tout de suite le courant était passé. De fil en aiguille, une amitié était née et maintenant la blondinette savait qu’elle pouvait faire confiance à une autre personne qu’elle-même. Rubis Wilbert, Bi', Bibis ou Bibiche dans leur plus folle échappée, était devenu en trois ans une confidente, une amie sur qui compter et certainement quelqu’un qui l’aidait à avancer sans penser tout le temps aux représailles de sa grand-mère. La brune l’aperçu enfin, leurs regards se croisèrent et un sentiment d’apaisement envahi la jeune fille qui ne se sentait plus seule avec son tourment. Elle pourrait avoir l’avis aiguisé et souvent pertinent de sa belle alliée.[/size]
@destiny.
Dernière édition par Elynn F. Ambrose le Mer 27 Mar - 23:00, édité 1 fois
ubis venait de sortir de classe. Elle en avait marre. De toute façon elle n'aimait que la métamorphose et le reste la saoulait à un point.. Elle n'osait même pas imaginer les professeurs qui devaient enseigner une matière à des élèves endormis et pas très attentif. La Poufsouffle était vraiment dans la bonne maison, elle n'en avait jamais douté, elle n'aurait jamais pu aller à Serdaigle, là-bas ils étaient trop travailleurs et ambitieux. Elle avait un plan, mais n'était prête à tuer quelqu'un pour y parvenir, elle ferait ça à l'amiable, sans tricher et honnêtement. La jeune fille prit sa sacoche, descendit les escaliers et se rua vers son dortoir, elle comptait aller rapidement au terrain de Quidditch, pour se détendre un peu. En fin de journée, alors que les nerfs sont à flot, monter sur un balais, était excellent. Rubis ne faisait pas ça souvent, mais lorsqu'elle en avait l'occasion elle s'éclatait et en profitait pleinement. En plus, elle avait le temps cette fois-ci, même si la journée l'avait fatigué, ce n'était pas une des plus difficiles. Lorsqu'elle récupéra seshabits de Quidditch et son balais, ele sortit rapidement de sa chambre et descendit les escaliers qui menaient à la salle commune. Elle s'attendait à ce que des gens l'accompagnent, car le stade était toujours très demandé, mais pour une fois les Poufsouffles avaient l'occasion d'y aller ! Elle s'assit pendant quelques minutes sur un des fauteuils et ferma les yeux pendant quelques minutes, mais fût vite réveillé par les bruit des joueurs qui entraient dans la salle, habillé et prêt à se faire des passes. Il n'y avait pas toute l'équipe, juste deux et quelques camarades qui s'amusaient à jouer au Quidditch juste pour s'amuser. Peut-être des futurs candidats pour l'équipe ? La jeune fille leva son buste, s'étira et empoigna son balais. Elle était prête à mettre des coups de batte et à se défouler un peu, car mine de rien elle était redoutable sur un balais. Le quidditch était réellement difficile comme sport et elle avait eu beaucoup de mal au début, rien que pour l'agilité, car Rubis a toujours été très maladroite. Mais elle était rapide, grâce à sa taille de guêpe, puis le fait de s'entrainer la rendit agile et son côté vilain petit canard s'évapora avec le temps. C'était bien un des seuls endroits où la brunette avait confiance en elle et où elle ne doutait pas des capacités. En bref, elle adorait ça. Puis son physique choquait toujours lorsqu'elle disait son rôle dans l'équipe, on pourrait penser qu'elle avait opté pour attrapeuse, mais non. Son bras paraît bien mou, mais en fait elle s'entrainait déjà depuis toute petite pour devenir une batteuse, ce rôle lui plaisait, en ne sachant réellement pas pourquoi. Mais elle était bien là. A son poste, plus motivée que jamais. Rubis s'attacha les cheveux et se dirigea determinée vers le terrain de Quidditch qui l'accueillait à bras ouvert. A chaque fois qu'elle y posait un pied, elle sourait bêtement, mais se reprenait vite. Elle alla rapidement récupérer sa batte dans les vestiaires et s'installa ensuite sur son balais. C'était exactement ce dont elle avait besoin, un vol, une montée d'adrénaline avant d'aller faire ses devoirs dans la salle commune. Elle prit lentement de la hauteur puis fit quelques tours, profitant de la vue qui l'étonnait toujours beaucoup. C'était à ces moments-là qu'elle se dit qu'elle avait de la chance qu'elle était une sorcière et qu'elle était arrivée à Poudlard, une si belle école, avec tant de personnes.. incroyables ? Enfin bon, pas toujours. La Poufsouffle ne s'imaginait pas dans une école normale, avec des moldus, sans pouvoirs magiques, sans magie tout court. Elle rêva encore quelques secondes, puis revint à la réalité. Elle fit un entrainement comme tous les autres, aucune chute, juste des sourires, fou rires, de l'amusement, du sérieux, des balles. Enfin le rêve quoi. Rubis toute essoufflée se posa sur le sol et s'assit pendant quelques minutes puis regarda l'heure et vit qu'elle était en retard.. Comme toujours d'ailleurs en ce moment. Elle ramassa toutes ses affaires et s'en alla prévenant les autres qui décidèrent de rester là, pour fumer. Rubis savait que c'était mal, mais au fond elle s'en fichait un peu que ses camarades soient des ''voyous''. La brunette courut vers les douches et prit une bonne douche chaude, tous ses membres s'étirèrent, elle se sécha rapidement les cheveux avec sa baguette magique et se rua vers sa salle commune. Lorsqu'elle entra, la chaleur du lieu la fit sourire, c'était si bon d'être là. Elle regarda un peu autour d'elle, voir si elle ne connaissait pas quelqu'un et apperçut son amie, enfin sa meilleure amie Elynn. Elle le ressentait comme ça du moins. C'était sa plus proche camarade, à qui elle disait vraiment tout, timide, retenue, Lyloute, comme Rubis aimait bien l'appeller avait des points communs avec la jaune et noire qui ne connaissait pas beaucoup de personne comme la jeune blonde. Elle s'approcha d'elle lentement, en évitant de percuter quelqu'un et s'assit à côté d'elle, en faisant mine de regarder le dessin que Elynn tenait dans ses mains. La brunette, se racla la gorge et dit « Lyloute, contente de te voir. » Avec un sourire franc elle regarda sa meilleure amie et poursuivit « Bon je viens te déranger dans tes occupations, on a pas parlé depuis un petit moment. Je suis sûre tu as des choses à me dire » Comme toujours, deux filles qui parlaient, c'était impossible qu'aucunes d'elles n'aient rien à dire !
Ezra Scodelario
LA BLESSURE DE L'INSOMNIE
+ SORCIER DEPUIS LE : 24/01/2013 + PARCHEMINS : 358 + LOCALISATION : Principalement dans l'enceinte du château de Poudlard depuis septembre dernier
La brunette se dirigea directement vers Elynn qui était contente de revoir sa meilleure amie. Elle la regarda éviter un poufsouffle qui passait par là et s’assoir près d’elle, elle la laissa regarder par-dessus son bras pour voir le dessin qu’elle avait gribouillé un peu plus tôt. Le portrait d’Hermès, sa jolie chouette, était assez ressemblant et Rubis souri tranquillement. Ce sourire, pourtant sincère, ne disait rien qui vaille à la demoiselle, qui sentait bien que l’intérêt de la brune pour son dessin n’était qu’un prétexte. Un prétexte pour effleurer certainement un point que Rubis avait particulièrement envie d’aborder. Et le sujet ne se fit pas attendre, Bi’ engagea directement la conversation, lui assurant qu’elle était contente de la voir et le large sourire qu’elle fit ensuite finit de conforter Elynn dans son idée que Rubis avait une pensée derrière la tête bien définit. La délivrance arriva rapidement : « Bon je viens te déranger dans tes occupations, on n’a pas parlé depuis un petit moment. Je suis sûre que tu as des choses à me dire. ». Elynn étira un large sourire sur ses lèvres à mesure que la phrase retentissait et que la demoiselle appuyait bien sur les derniers mots. Rubis était plutôt quelqu’un de réservé et discret d’ordinaire, mais avec elle, la jeune poufsouffle était toujours directe, n’allant pas par quatre chemins pour dire les choses. La brunette gagnerait à être comme cela tout le temps, mais Elynn savait que ce n’était pas évident, elle la première se cachait derrière une image. C’était cela qui était bien dans son amitié avec Rubis, elles pouvaient toutes les deux être elle-même. Elynn décida donc d’enquiquiner un peu la jeune poufsouffle à côté d’elle et la faire mariner, car oui, elle avait vraiment des choses à lui dire, elle voulait son point de vu sur un sujet qui la hantait depuis la vieille, c’était indéniable mais avant elle pourrait rire un peu et surtout c’était devenu comme un petit jeu entre elles, avant d’aborder les sujets délicats, elles commençaient souvent par d’autres plus frivoles : « ça va très bien Bi’. Toi tu reviens de ton entrainement je suppose, tu sens encore le savon à plein nez. ». Elynn adorait l’odeur de la savonnette qu’utilisait sa meilleure amie ce qui lui permettait d’éluder sa question principale avec un sujet des plus banal. La blondinette détournait ainsi son attention de façon délibérée, cela lui permettait de gagner du temps et en même de faire enrager son amie. « Oh et tu sais quoi ? Quand je t’ai emprunté ton balai pour aller voler lundi en cachette, j’ai du attendre la pénombre pour ne pas être vu comme d’habitude, et bien je n’étais pas la seule ! J’ai tellement été choqué que j’en suis tombée et mes fesses s’en souviennent encore ! Suzie Mayer et Joshua Reed étaient en train de fricoter derrière les gradins des gryffondors. Je ne pense pas qu’ils m’aient vu, je n’ai d’ailleurs pas attendu de me présenter, tu te doutes bien. Imagine s’ils m’avaient vu, ils se seraient surement demander pourquoi une fille comme moi vient en pleine nuit sur le terrain de quidditch. Tu vas finir par croire que je vois le mal partout mais si ça revenait aux oreilles de Grand-Mère, je ne donne pas cher de ma peau. Enfin, cela serait tellement plus simple si je n’avais pas peur de la réaction de ma grand-mère si elle apprenait que je vole et aime le quidditch. » Car c’était vrai ! Elynn enviait cette partie là de la personnalité de sa meilleure amie, ne pas avoir peur de faire ce qui la rendait heureuse ! A part Rubis, il n’y avait surement personne qui savait qu’elle se débrouillait bien au quidditch et qu’elle n’était en aucun cas crispée comme un manche à balai. Au contraire, elle rêvait même de faire partie un jour de l’équipe de sa maison mais le courage n’était pas encore là et la peur des représailles encore trop présente. Le souaffle était son ballon, la technique était encore incertaine mais il y avait une part innée chez elle. Des fois, les deux jeunes filles s’amusaient à voler ensemble, mais toujours en cachette, histoire qu’aucun sang-pur n’aille vendre la mèche. La grand-mère d’Elynn n’accepterait pas cet énième affront, déjà qu’il avait été difficile pour la jeune fille de prendre en option les arts magiques, alors rentrer dans l’équipe de sa maison, alors que cela ressemblait à un sacrilège pour une fille d’y participer… Encore les idées farfelues et complètement idiotes de Grand-mère Tyrannic’. Le plus sage était donc de rester dans les rangs et de s’amuser de temps en temps avec sa meilleure amie. « Quoi d’autres… ah oui ! J’ai eu un Optimal en potion, j’aime toujours autant cette matière et le fait de réussir s’est toujours un plus. C’était le cours où j’étais en binôme avec un serdaigle assez mignon, sa cravate était mise parfaitement et il avait une tâche sur sa chemise, il ressemblait un peu à... ». Elynn s’arrêta dans ses élucubrations. Qu’était-elle en train de faire ? « Je ne sais pas pourquoi je te parle de lui puisqu’il est insignifiant mais bon, je raconte vraiment n’importe quoi des fois… ». Ajouta la blondinette brusquement et sur un ton beaucoup moins annonciateur de banalités. Un vent de panique arriva droit sur elle, la jeune poufsouffle tenta de le canaliser comme elle savait si bien le faire afin de ne pas mettre en alerte le radar de son amie. Rubis était incroyable, elle avait la capacité de détecter tout ce qu’il se passait autour d’elle, que ça soit caché ou non. A croire qu’elle avait un sixième sens accru dans l’art de toujours tout sentir. Elynn n’était pas encore prête à parler du petit coup de cœur qu’elle avait pour un élève de serdaigle plus âgé. Surtout que c’était complètement idiot et que jamais il ne la remarquerait un jour. Il devait être le genre de garçon à avoir certainement tout un tas de filles bien plus belles et bien plus intelligentes qu’elle, donc c’était peine perdue. Et pourtant, elle ne pouvait s’empêcher de le chercher du regard dès qu’elle le pouvait, ou même de croire le voir un peu partout, ça en devenait presque une drogue. Il fallait à tout prix qu’elle arrête de penser à lui. « Hum ?... Oh je suis désolée Bi’, je t’écoutais je t’assure, et puis à un moment je me suis perdue. ». Il était sûr qu’avec une phrase comme celle-là, Rubis n’allait en aucun cas avoir des doutes. Elynn s’infligea une gifle mentale, quand il était question de Rubis elle ne réfléchissait jamais avant de parler, si bien qu’il y avait toujours des ratés, c’était terrible ! Le problème était que son essaie de changer de conversation était tellement lamentable que Rubis finirait toujours par savoir ce qu’elle voulait. Maintenant qu’elle avait sortie tout ce qu’elle pouvait, il ne restait qu’une alternative : cracher le morceau et attendre son avis. Mais autant y aller franchement et lui poser la question directement. « oooh et à propos du cours de divination d’hier, je suppose que tu n’attends qu’une chose, que je t’explique ce que j’ai pu voir de si terrible pour pousser un cri appelant à la mort ? »