NOM : Keller PRÉNOMS : Sebastian AGE : 31 ans POSTE : professeur d’études des moldus ÉTAT CIVIL : Célibataire PURETÉ DU SANG : Sang mêlé. Quelques nés moldus se sont insérés dans l’arbre généalogique.ANCIENNE MAISON : Serdaigle ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel (et une nana de temps à autre pour se rappeler pourquoi il est gay)CAMP : Neutre. PARTICULARITÉ : polyglotte.
✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide-t-il de faire ? Quoi ? Un vulgaire caillou ? Mais enfin ! Qui se soucie des cailloux de nos jours ? Non, non. Vraiment. Il insiste. Il veut des noms. Au mieux, il donne un coup de pied dedans si elle est par terre. Ou alors il fera des ricochets dans le lac avec. Oh certes, ce n’est pas très malin mais vous croyez qu’on en croise tous les jours des pierres de résurrection ? Et que ça se reconnait au premier coup d’œil ? Après, si quelqu’un avait l’obligeance de lui expliquer ce que c’est, ou alors qu’il la trouve avec son manuel d’utilisation, ou même si elle est exposée dans une vitrine surgie au milieu de la rue par un hasard des plus total – avec en légende « pierre de résusrrection » – Sebastian est d’une nature trop méfiante et réfléchie pour se lancer tête bêche dans la résurrection des gens qu’il a pu aimer à un moment donné de sa vie. Non. Le deuil, la mort et la souffrance font partie intégrante de nos vies. Seulement la tentation serait là, tapie dans l’ombre, fourbe serpent prêt à mordre si jamais il se rapprochait de trop. Alors il la cacherait. Loin. Peut-être même se ferait il lancer « Oubliettes » pour ne plus se souvenir de l’endroit où il l’aura mis.
✎ Votre personnage tombe sur un Moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? à vrai dire ça dépendra du Moldu. De la situation. Des sorciers. Du nombre de pintes aussi – oui, c’est un sorcier mais oui, il préfère la bière à la bierauberre, n’insistez pas ! – Sebastian est du genre à démarrer au quart de tour quand la situation l’impose. Mais il apprend à se contrôler. Oh ben non. Tiens. Il a trouvé ! Voilà un bon usage pour la pierre de résurrection. La balancer sur la trogne des agresseurs, en visant le nez ou l’œil de préférence. Finalement, elle aurait une utilité cette pierre, vous ne trouvez pas ? Plus sérieusement, si le Moldu est du genre gros vicelard à poil sous son imperméable, ne comptez pas trop sur Seb pour intervenir. Même s’il aime la bagarre – quel bon allemand n’aime pas un viril pogo après quelques pintes bien fraiches ? – il ne faut pas croire qu’il ira agresser quelqu’un gratuitement. Ni le défendre en fait, si ce n’est pour une bonne raison. Et non, un 3 contre 1 sorcier vs. Moldu n’est pas forcément, à ses yeux, une raison valable. Il est dans la nuance Sebastian. Ou alors dans la mouvance « Ho c’est pas mes oignons et mon cul prévaut sur celui des autres ».
✎ Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? Hein ? Quoi ? Quel ministre ? Quel pays ? En bon binational, Sebastian est tiraillé par ses origines. Il n’est jamais bien certain d’être plus anglais ou plus allemand. Il est… un mélange des deux. Heureusement pour lui, la bière est LA boisson nationale de ses deux pays. Mais rien de vaut, selon lui, une bonne wurtz, dans une bonne pie (non, ceci n’est pas une métaphore sexuelle. Tout de suite !) Du coup, pour lui, il est très difficile de se sentir suffisamment patriote, engagé et déterminé pour un seul pays pour s’y consacrer pleinement. Chose qu’est théoriquement sensé faire quelqu’un qui travaille au ministère, non ? Et puis ce serait sacrifier sa liberté. Alors non. Sebastian refuserait surement. Il préfèrera continuer à voyager, apprendre, rencontrer des gens. Faire des choix et courir après l’aventure (ou les aventures, selon les jours). Et garder ce qui lui tient à cœur. Et puis la politique, hein. Vraiment. On en parle ? à qui faire confiance dans ce monde de folie ?! Sans être paranoïaque, Sebastian tient à rester à l’écart des conflits le plus possible.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? C’est une question de Moldu ça, non ? Avec un peu de sagesse, vous apprendrez que la célébrité n’est que de la poudre aux yeux et que jamais vous n’emporterez votre argent dans la tombe. Alors ne gardez que l’essentiel. L’amour. Et ayez la sagesse de le comprendre. Sebastian ne considère l’argent que comme un mal nécessaire pour avoir ce dont les gens ont besoin. Et son cynisme lui dit que si certains en manque, c’est pour que d’autres en abusent. Comme le pouvoir en fait. Quant à la célébrité, sans façon pour lui. D’un naturel discret, il n’aime pas vraiment être sous les feux des projecteurs. Même quand il jouait au quidditch, il avait choisi gardien, parce que c’est celui qu’on ignore le plus volontiers. Par contre, en bon Serdaigle, il a un amour profond et sincère pour le savoir. Toujours curieux de tout, Sebastian a toujours un livre dans son sac. Et jamais deux jours de suite le même. A se demander comment il fait pour lire autant. Néanmoins, ne comptez pas sur lui pour négliger l’amour. Si, là encore, il se montre excessivement discret, sa vie sentimentale est un facteur clé de son histoire.
PSEUDO : Seby AGE : majeur, tatoué et vacciné PRÉSENCE : Active AVATAR :
Code:
[b]MAX RIEMELT[/b] [color=#c24132]◊[/color] Sebastian Keller
COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : on m'a vendu que je pourrais utiliser Reeve Carney comme avatar... (NO COMMENT) UN PETIT MOT POUR LA FIN : Un seul mot ? Alors que je suis hyper bavard ? Sérieux ? Zêtes mal, mal, mal !
Sebastian leva les yeux au ciel. C’était LA question bateau qu’on posait à chaque entretien d’embauche. Que ça soit chez les Moldus ou chez les Sorciers, ça revenait toujours. Comme si le passé des gens éclairait sur leur avenir. Avec l’expérience, il n’en était pas vraiment sûr. Mais les gens pensaient comprendre les autres sur cette seule question. Alors il se prêta au jeu. Il afficha un sourire poli et calme, avec une pointe d’assurance. Son visage était légèrement baissé et il remontait ses yeux vers son interlocuteur, lui lançant un regard de biche, à travers ses cils. Ça marchait de toute façon à chaque fois ou presque. Et ça ne manqua pas, cette fois-là encore. Son interlocuteur bougea un peu dans son fauteuil, ce qui élargit le sourire de Sebastian.
Je m’appelle Sebastian Keller. J’ai 31 ans. Je suis le fils de deux sorciers. Ma mère, Anika, est née à Berlin et mon père, Thomas, à Londres. J’ai les deux nationalités. Allemande et anglaise.
Mes parents se sont rencontrés lors d’un échange scolaire entre leurs deux écoles. Et ils n’ont jamais pu se quitter par la suite.
Le coup de l’amour fou et éternel. A la fois si vrai et si éloigné de la vérité. La réalité c’est qu’ils s’étaient rencontrés à l’âge de 15 ans, que ça avait été le premier grand amour pour chacun d’eux et que lui était né deux ans plus tard. Leurs familles avaient été tellement fâchées de cette grossesse qu’elles avaient poussé le couple au mariage. Si on demandait à Sebastian son avis, du peu qu’il s’en souvenait, si son père n’était pas mort si jeune, de toute façon, leur couple n’aurait pas tenu beaucoup plus. Il y avait longtemps que la passion adolescente s’était éteinte pour laisser place à une indifférence qui tirait sur le mépris les derniers temps.
J’ai grandi en Angleterre, dans la banlieue de Londres, jusqu’à mes 6 ans. Mon père travaillait pour le ministère et ma mère comme journaliste freelance pour le Die magische Welt, où elle a présenté la vie des sorciers anglais, leurs habitudes. Voilà.
Et puis mon père est décédé alors que nous étions en vacances en Allemagne pendant l’été. Un bête accident moldu. En bon anglais, pour traverser, il a regardé à droite et non à gauche. Et il s’est fait renverser. On était loin de tout. Même des hopitaux Moldus. Il était mort avant d’arriver là-bas.
Et lui, dans l’ambulance, avait tenu la main de son père et l’avait senti glisser, abandonner, devenir trop lourde pour l’enfant qu’il était. C’était quand même bête quand on y pensait. Sa famille maternelle était à moitié moldue. Grand Maman était née de famille Moldue, en Roumanie. Elle avait intégré l’école allemande et y avait rencontré son mari. Et si elle aimait la magie, elle avait appris, dans la sphère privée, à agir sans aucun pouvoir. Et elle entendait que tout le monde fasse de même. Du coup, les vacances d’été ressemblaient toujours à s’y méprendre à la vie que devaient adopter les cracmols. Pour son père, c’était horriblement frustrant. Surtout que de son côté, s’il y avait aussi des origines moldues, ils s’étaient toujours efforcé de ne pas s’en approcher. Et ce jour-là, en tout cas, il était fâché quand Grand Maman avait dit qu’il fallait aller au village acheter du pain. Mort pour une bête baguette.
Ils étaient rentrés en Angleterre pour mettre son père en terre, dans le village familial, perdu dans le Cornwall, balayé par les vents et la pluie. Sebastian était trop petit pour comprendre pourquoi il y avait tant de tombes et pourquoi tout le monde pleurait et en voulait à sa mère. La situation n’était guère tenable pour la pauvre veuve.
Ma mère a choisi de rentrer en Allemagne. J’avais bien de la famille du côté de mon père, mais personne sur Londres et elle préférait se retrouver en terrain familier. Donc on s’est installé à Berlin. Et on a inversé. Vie quotidienne là-bas, vacances d’été chez Granny. J’ai eu la scolarité classique des enfants de mon âge.
A ceci près qu’il avait côtoyé le monde journalistique, venu de tous pays. La carrière de sa mère avait enfin pu prendre son essor. Et lui s’était découvert un don pour les langues. A l’âge d’entrer dans une des écoles de magie, il parlait couramment, outre l’anglais, l’allemand et le roumain, langues dans lesquels il baignait depuis l’enfance, français et espagnol. Ainsi qu’un peu d’italien. Cette prédisposition pour les langues lui avait toujours fait comprendre qu’il était fait pour voyager et apprendre. Encore. Et encore. Inlassablement.
à 10 ans, j’ai reçu deux lettres d’admission en école de magie. Une pour l'Allemagne, une pour la Grande Bretagne. A l’époque, mon grand-père venait de mourir et ma grand-mère s’était installée chez nous. Le temps de faire son deuil. On vivait comme des Moldus et ça me frustrait parce que mes pouvoirs jaillissaient sans arrêt et que j’étais invité à faire attention. Non pas pour que les Moldus ne le voient pas. Mais parce que ça court-circuitait le Shi de ma grand-mère. Ou un délire du genre.
Du coup, j’ai choisi non pas l’école que je voulais ou en fonction d’un éventuel rêve de carrière qu’on a quand on est enfant. Non. J’ai choisi celle qui était le plus loin et qui ne m’obligerait pas à rentrer tous les week-end ou pour les vacances. Poudlard.
Après, vous connaissez mon dossier scolaire.
Il en avait bavé à vrai dire. Après des années à ne presque jamais voir sa famille paternelle, l’anglais, même courant, c’était teinté d’une pointe d’accent allemand. Subtile mais présent. Il avait été raillé par ses camarades des autres maisons. Et si, à Serdaigle, on lui avait fichu la paix, personne n’avait non plus réellement pris sa défense. Sauf qu’en 4è année, il avait soudain poussé comme un champignon et s’était étoffé assez pour songer à se défendre. Après quelques allées et venues à l’infirmerie au cours de cette année-là, pour lui comme pour certaines personnes, Sebastian avait eu une paix royale. Et puis il était devenu pas mal, à ce qu’il parait. Et s’était posé la question de… bref.
Et quand vous avez été diplômé alors ? Je ne savais pas trop où j’en étais. Vous savez, tout d’un coup j’étais libre de faire ce que je voulais. Et en parlant plusieurs langues, je pouvais le faire où je voulais. Je crois qu’il y a pire que de ne pas avoir le choix. C’est d’en avoir trop. Alors j’ai pris un sac à dos, un sort pour qu’il y a de quoi mettre la moitié d’une maison dedans, et je suis parti à l’aventure. A pieds. En balai. Parfois en voiture. J’ai même pris l’avion.
J’ai découvert que le monde ne se voyait pas qu’au travers de la magie. Et j’ai commencé à accepter les excentricités de ma grand-mère concernant les Moldus. J’ai passé les dix années qui ont suivi mon diplôme à traverser le monde pour y découvrir Sorciers et Moldus. Ce qui m’intéressait, c’était de tout comprendre. Passer par le Japon pour y découvrir d’antiques sorciers samouraïs, cachés au fond d’une vallée au pied du mont Otaka, près de Nagano. Puis aller voir les pêcheurs à Niigata. Et recommencer au Brésil, au Canada ou encore au Cameroun.
J’ai travaillé bien sûr, pour pouvoir voyager. J’ai fait comme ma mère avant moi. Freelance pour des journaux. Et puis aussi des emplois Moldus parfois. Quand il fallait prendre le bateau par exemple.
Et un beau jour, tout ça s’est arrêté. Un peu brutalement. Ma mère est tombée malade et je suis rentré en Allemagne. C’était il y a quatre ans. Je me suis posé un peu, j’ai réfléchi à ce que je voulais faire. Elle s’est remise et j’ai commencé à enseigner. Il y a, dans Berlin, une école pour les jeunes sorciers. Pour ceux dont les familles vivent en totale autarcie, loin des Moldus. Avant qu’ils n’intègrent un vrai cursus sorcier. Et j’ai vu combien ils étaient ignorants de la vie.
Vous vivez comme un Moldu ? Non. Bien sûr que non. J’aime la magie. Et la vie sans magie est très… étrange. Même après tout ce que j’ai vécu. Et je crois que c’est pour ça que je suis un bon prof d’études des Moldus. Ne comptez pas sur moi pour faire l’apologie de leur mode de vie. Ou de les dénigrer. Si vous me demandez de les décrire je dirais qu’ils sont en général, ignorants et étroits d’esprit, dès qu’ils ne sont pas au centre du monde. Mais ils sont inventifs et parfois capables de choses étonnantes.
Et pourquoi Poudlard ? Je n’avais pas choisi l’option étude des Moldus durant mon cursus. Je ne le regrette pas. Mais c’est comme un sentiment d’inachevé pour moi. Je viens finir ma formation, là où je l’ai commencé.
Dernière édition par Sebastian Keller le Ven 19 Fév - 22:55, édité 2 fois
Cillian A. Dolohov
+ SORCIER DEPUIS LE : 31/12/2015 + PARCHEMINS : 153 + LOCALISATION : Douche des vestiaires du terrain de Quidditch
Damn ! J'adore Max Riemelt (surtout pour Die Welle et Freier Fall) et ton personnage me semble déjà fort sympathique. J'ai l'impression qu'on s'est déjà aperçu dans un recoin du net. Des coïncidences m'y font penser. Nous verrons ^^
Bon courage pour la suite !
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
Entre l'Allemagne et la Grande Bretagne le cœur de ton sorcier balance ! J'aime beaucoup ce côté international, je pense que c'est vraiment intéressant à jouer ! Est-ce que les petits sorciers de Poudlard vont apprendre la vie moldue à l'Allemande ? J'ai hâte de voir ça !
Tu deviens l'un des membres du personnel de l'école de magie, ce qui apporte un grand prestige. Mais gare aux élèves un peu trop rebelles contre l'autorité. Avant de t'engager dans un combat sans merci pour affirmer ton autorité face aux élèves, saches que le membre est qui tu es jumelé est Zacharius Hamilton. Il prendra contact avec toi prochainement.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage. Enfin penses à voter aux tops sites du forum ;) Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Bien sûr tu peux aussi faire gagner des points à ta maison, pour voir de quelle manière il te suffit d'aller là, et pour les signaler c'est ici.
Zacharius Hamilton
LA NÉBULEUSE DES SENTIMENTS
+ SORCIER DEPUIS LE : 11/01/2016 + PARCHEMINS : 516
Et oui, Cillian, il est très bon dans Die Welle (un de mes films préférés). Et du coup j'ai regardé Freier Fall. Ceci dit, il me fait un effet de fou dans Sense8. (et il est effectivement possible qu'on se soit très brièvement croisés).
Ezra Scodelario
LA BLESSURE DE L'INSOMNIE
+ SORCIER DEPUIS LE : 24/01/2013 + PARCHEMINS : 358 + LOCALISATION : Principalement dans l'enceinte du château de Poudlard depuis septembre dernier