NOM: Mallory. PRÉNOMS: Que ce soit le premier ou le deuxième, si possible garder Oreste, pour l'autre c'est libre sans aucun soucis.. AGE: 19 ans. ANNÉE: Sixième année. STATUT: Libertin. PURETÉ DU SANG: Sang Pur. MAISON SOUHAITÉE: Serpentard. PARTICULARITÉ: Ce Mallory ci est le bon côté de la médaille tandis que son oncle est un cracmol qu'il s'est marié avec une moldue, et qu'il a eu des jumelles dont une à Poudlard. C'est vraiment la honte de sa famille.
✎ Caractère du personnage : Arrogant, charmeur, sur de lui, il a tout du garçon populaire et il l'est. Plutôt intelligent, il réussit sans problème ses études et sans vraiment forcer. Il connait ses valeurs et il les suit. Il n'aime pas les Né-moldus et n'hésite pas à le montrer notamment avec sa cousine qu'il ne considère pas comme un membre de famille. Plutôt malin et rusé, il n'est pas partisan des coups dans le dos préférant s'afficher. Il aime également le pouvoir qu'il peut avoir sur les gens. Mais derrière ce garçon perturbateur se cache un ami parfait, protecteur, joviale, enjoué, à l'écoute, on sait qu'on peut compter sur lui. Une fois son amitié acquise c'est pour la vie. Par contre en amour il n'arrive pas à se poser, il change de copine comme de chemises, testant tous les genres.
✎ Histoire du personnage : Pas vraiment d'exigence particulière. Il faut juste noter qu'il est un sang pur qu'il a été éduqué selon leurs principes, donc pas forcément un cadre joyeux en guise d'enfance. De plus il a souvent du entendre énormément de mal de la père de son père sur son oncle et sa famille de moldus. Concernant encore son père l'été dernier, avec certains de ses amis il a été torturer sa belle soeur de même qu'une des jumelles, ce qui rendit la première folle et ammena l'enfant à la mort. Même si il est pas forcément au courant des détails, il n'est pas gêné par cette histoire, après tout ceux sont des moldus. Sinon le reste est libre également.
La relation entre les deux cousins est simple mais parfois ambigu, surtout aux yeux des autres. Oreste déteste sa cousine parce qu'elle représente tout ce qu'il a appris à détester. c'est une né-moldu, son père est un cracmol, elle est timide, peu sûre d'elle, et surtout innocente. Elle se croit innocente alors que pour lui, elle l'est l'une des responsables de cette tâche qui ternie l'arbre généalogique des Mallory. Alors lors de la première année de la demoiselle (il était alors en troisième) il s'est fait son bourreau personnel. Depuis qu'il a entendu le nom, son nom de famille lors de la répartition il a compris qu'elle était l'une des tares dont son père lui avait parlé. Donc au début tout les oppose, il la déteste lui fait ressentir, et Ophelia a peur de lui. Vraiment peur, mais avec cette peur il y a aussi cette haine qui prend vie dans ses pleurs. Mais au fur et à mesure que le temps passe, ce qu'il prenait pour une obligation est devenue un passe temps. Sa cousine a évolué de chose à éliminer à tout prix à jouet. Un peu bizarre l'évolution. De même que parfois ses amis s'interrogent, et qu'il veut vraiment la faire souffrir ou est-ce qu'il veut juste attirer son attention. C'est bien ça le problème, c'est qu'on pourrait croire qu'il est amoureux d'elle. Il la veut toujours dans son champ de vision, il veut qu'elle le regarde tout le temps, même si c'est par crainte. On pourrait donc en effet penser qu'il peut y avoir de sentiments derrière sa façon d'agir envers Leda (son véritable prénom qu'il ne veut pas utiliser.)
Dernière édition par Leda O. Mallory le Jeu 23 Aoû - 3:45, édité 1 fois
Tout d'abord merci d'avoir lu Je me permet de laisser en dessous au cas où il y aurait des intéressés mon histoire où il intervient et donc une façon d'illustrer les deux cousins :
Spoiler:
Leda, Leda était heureuse. Elle était heureuse avant. Elle souriait facilement malgré sa timidité et sa pudeur. Mais ça c’était avant. Ca c’était quand tout allait à peu près bien. Quand elle était heureuse. Heureuse. Plus maintenant, elle a perdu son sourire quand elle a du enterrer sa soeur dans son jardin, quand elle a du regarder cette personne si semblable, sa moitié descendre dans une boite parce qu’on ne peut pas la mettre dans le caveau de la famille, papa ayant été renié. Elle a perdu son sourire et ses pleurs et ses peurs se sont multipliés. Leda n'aime pas tellement Poudlard, elle adore le monde de la sorcellerie, la Magie, mais elle n'aime pas Poudlard. Poudlard et ses guerres, Poudlard et sa tyrannie. Poudlard c’est un peu comme un enfer sur Terre. C’est tentateur mais c’est vicieux. On ne sait pas ce qu’on va trouver à chaque coin de couloir. Un ange ou Un démon ? Parfois elle aurait préféré être Calliope sa jumelle, pas magicienne mais juste normale, pas peureuse mais brave et sociale. Mais Leda est une sorcière et Calliope repose sous terre. C’est le destin. Parfois elle maudit son père, parfois elle le respecte. Elle n'arrive pas à avoir des sentiments concrets, mais son père est le responsable de son état. Ne pouvait-il pas être sorcier et non cracmol ? Elle s'en veut souvent de penser ça, parce que si son père avait été sorcier elle ne serait pas là, et sa mère n'aurait pas été heureuse. Pourtant aujourd'hui encore elle le maudissait aujourd'hui encore elle maudissait les Mallory sur terre et spécialement Oreste Mallory son cousin. Oreste Mallory l'héritier parfait de la famille, et elle, elle n'était qu'une épine dans son pied, une épine dans les pieds de cette famille, ce gamin prétentieux et de son oncle qui la regardait toujours avec un dégout certain. Pauvre petite fille de cracmol qui ne méritait pas de vivre. Une main qui glisse dans ses cheveux puis sur son visage, la forçant à relever la tête tandis qu'elle essayait de récupérer les morceaux de son devoir de Métamorphose qui avait été réduit en bouillie. « Oh mais tu pleures Ophelia ? Ce n'est pas si grave, ils ne te renverront pas juste avec un devoir non-rendu. Ils devraient pourtant. » Oreste qui ne l'appelle qu'Ophelia, Oreste qui ajoute souvent pompeusement que le nom de Leda ne lui va pas. C'est celui d'une reine, elle n'est que l'héroïne d'une tragédie, oui vraiment Ophelia c'est parfait, et bientôt on la retrouvera noyée dans le lac. Il aimerait bien. Mais elle n'en n'a pas le courage. Pas le courage d’affronter la vie, et pas le courage de la quitter non plus. Vraiment petite Leda n'a pas le courage de faire face à ses tortionnaires et surtout à son cousin. Mais depuis que sa sœur est morte elle doit prendre sur soi parce qu'elle n'aura plus de lettre réconfortante de sa part, alors n’aura plus rien pour la soutenir. Il n’y a plus personne. Alors d'un geste elle enlève la main qui la gène et récupère les morceaux de parchemins avant de lancer un sort pour le rafistoler. Ce n'est pas trop ça mais ce n'est pas grave. Elle fera avec. « Pauvre petite demoiselle. Ne t'inquiète pas, bientôt tout sera fini comme avec ta soeur. » Elle relève la tête indigné. Même si elle n'a pas du courage à revendre elle en a de la dignité, alors elle serre les poings, froissant le parchemin déjà bien abimé et relève la tête, sa chevelure sanglante volant un instant autour d'elle. « Je vais te tuer Mallory, et c'est toi qui ira saluer Calliope pour moi. » Ceux ne sont que des paroles en l'air et elle le sait bien tout comme lui aussi le sait. D'une douceur infinie elle ne connait pas la vengeance, mais elle connait la rancœur. La rancœur face à ce cousin qui suit les instincts de son père, face à ce garçon qui est toujours là pour lui faire face. Elle sait qu'il n'est pas coupable de la mort de sa soeur, de la folie de sa mère, mais elle sait aussi que son oncle en est le responsable. C'était un avertissement, un avertissement parce que sa famille n'avait pas le droit d'être heureuse. Son père est un cracmol, et il s'est marié avec une moldue, pourquoi aurait-il droit d'être heureux ? Et bien c'est réussi, Leda n'est pas heureuse, son père ne le sera plus jamais, surtout pas quand on enterre sa fille dans le jardin et qu'on regarde la deuxième qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau, et sa mère, sa pauvre mère, elle a peur même de son ombre. Non ils ne seront jamais heureux, à moins qu'on ne lui lance un bon sortilège d'oubli, elle ne serait plus jamais vraiment heureuse. « Tu comptes me tuer Ophelia ? » Il lui demande avec son air narquois et elle ne peut que baisser les yeux. Bien sûr que non, mais la justice le fera. Elle tente encore de croire en la justice, parce que Dieu l'a abandonnée. Il l'a sans doute abandonné quand elle a appris qu'elle était une sorcière. Les sorciers ne croient pas en Dieu, et pourtant elle aurait voulu son assistance parce que dans le monde actuel, elle n'avait pas grand chose à quoi se retenir pour ne pas sombrer. Elle le regarde alors de ses petits yeux avant de fuir. Ophelia le lapin, on l'appelle souvent ainsi. Parce qu'elle n'est pas très courageuse, parce qu'elle instinctive, discrète et plutôt jolie. Ophélia le jolie Lapin, Ophélia la proie oui.