NOM : Black. Un nom qu'on ne connaît que trop bien PRÉNOMS : Faye Cora AGE : Dix-neuf ans. ANNÉE : Sixième année. ÉTAT CIVIL : Fiancée. Etat plutôt étonnant vu qu'elle n'est pas la chouchoute de la famille mais étant donné le prétendant... PURETÉ DU SANG : Aussi pur que le cristal lunaire. Ce qu'elle proclame haut et fort sans être réellement touché par cette ségrégation hautaine. Pourtant, tentant encore et toujours comme une poupée désarticulée d'obtenir un regard de son père, elle se conduit comme son sang le doit. Aussi hautaine et détestable que possible. Un jouet démembré qui tente de ne pas perdre la tête. MAISON SOUHAITÉE : Gryffondorienne se prenant pour une serpentarde, trompant sa nature profonde pour des simagrées d'enfants. ORIENTATION SEXUELLE : Héterosexuelle. Au moins sur ce point, elle ne décevra pas son paternel. PARTICULARITÉ : Aucune. C'est bien çà le problème.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Le dilemme est de taille. Comme il a toujours été trop présent chez la demoiselle. Entre l'être et le paraître, elle s'est ternie, abîmée par le temps et les tentatives vaines. Alors si par hasard, Faye tombe sur les réponses du prochain devoir de potion, elle resta là, patente, à les regarder en ne sachant que faire. D'un côté, elle refuserait de les prendre, ni même de les regarder, trop fière et sage pour avoir l'idée de tricher aussi honteusement. Elle ne pourrait sans nul doute plus se regarder dans une glace, se sentant alors trop fourbe pour mériter sa note. Mais d'un autre côté, cela lui permettrait peut-être d'avoir une note si excellente qu'elle attirera le regard de son paternel, obtenant enfin une approbation, un geste tendre, un mot gentil ou tout simplement une attention fugace. Étrange dilemme, douloureux dilemme. Mais la jeune fille finirait par partir en baissant la tête, se sentant honteuse de n'avoir fait que penser à la solution de tricher. Car cela ne résoudra rien : elle avait beau avoir de bonnes notes, le regard obscur de son père n'était tourné que dans une direction... et surement pas vers elle. ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? En un minimum de sept lignes ✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? En un minimum de sept lignes ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? En un minimum de sept lignes
PSEUDO : écrire ici. AGE : écrire ici. PRÉSENCE : écrire ici. AVATAR : écrire ici. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : écrire ici. UN PETIT MOT POUR LA FIN : écrire ici.
Dernière édition par Faye C. Black le Mer 21 Jan - 21:53, édité 1 fois
Solitude : Etat d’une personne seule. Engagé dans aucun rapport avec autrui.
« La solitude rend sensible, non étranger à autrui. » - Mika Waltari
Premier enfant de Caïn et Erel Black, cette petite demoiselle a tout pour plaire. Aurait dû avoir. Le teint délicat et frais d’une rose. Le sourire aussi chatoyant que ne l’est son rire cristallin. Une main tendre sur le cœur et une sensibilité à en faire frémir les princesses de contes de fées dont elle s’est tant abreuvée, toute petite. Fille de bonne famille, on l’habillait précieusement en vue de faire d’elle une petite princesse qu’on puisse voir sans forcément entendre. Car, si Caïn et Erel étaient fiers de ce petit ange qui grandissait surement dans le ventre de sa mère, ne tarissant pas d’éloges et de prévisions pour cet enfant de Merlin, la réalité de sa naissance en fut tout autre. D’un futur père anxieux et prévisionnel, Caïn était devenu un père lointain et strict au fur et à mesure que sa petite première ne grandissait. Peut-être était-ce dû à ses cris de bébé qui résonnaient au creux de la nuit ou à son obsession du câlin tendre qu’elle donnait à n’importe quelle créature – qu’elle ne soit réelle, humaine, esclave, poilu ou de laine. Durant les deux premières années de la petite Faye, Caïn s’éloignait plus surement d’elle, laissant la gamine dans les jupes de sa mère. Les disputes entre les deux parents retentissaient parfois, l’un accusant l’autre de couver un peu trop l’enfant tandis que l’autre crachait l’absence d’intérêt. La réalité était tout autre : Caïn s’était détourné de la gamine pour des raisons qui ne regardait que lui. Au fur et à mesure des semaines qui voyaient naître les premiers pas puis les premiers sons de son enfant, l’homme ne se reconnaissait pas de ce nourrisson qui grandissait. Pire : lui qui s'était laissé entendre que sa femme ne l'aimait pas autant que son ancien amoureux d'enfance, avait commencé à douter de sa procréation. Racontars de bonnes sorcières. Ragots ridicules et injustifiés. Mais tout sorcier sait à quelle point un ragot de bonne sorcière peut faire naître n'importe quel doute insipide et ignoble dans le sang d'un maniaque ambitieux. Au point où il demanda à des médicomages de vérifier les gènes de sa petite première. Faye n'en a aucun souvenir, comme tout bambin de moins de deux ans. Comment aurait-elle pu ? Si l'enfant avait les traits fins de sa mère, Caïn ne se retrouvait pas en elle et cherchait sans nul doute n'importe quelle explication rationnelle ou irrationnelle pour calmer son angoisse d'un enfant bâtard. Erel était belle et soumise. Personne de leur âge n'ignorait les regards amourachés qu'elle pouvait avoir avec un autre serpentard de son année. Pourtant, dès l'annonce de ses fiançailles avec le fils Black, elle s'était détournée de cette fascination, comme toute fille de bonne famille. Caïn n'avait jamais eu à douter d'elle. Ni même de son ami. Pourtant, il s'était stupidement laissé prendre au jeu face aux spéculations hasardeuses de femmes stupides et éméchées à une soirée de bienfaisance pour l'hôpital. Tout ca parce qu'elles jalousent qu'Erel n'ait retrouvé sa ligne d'antan en seulement un mois. La petite n'avait pas été un gros bébé, le travail n'était pas si difficile. Il s'était mis à douter et avait agi en conséquence après avoir déplacer son cerveau et ses méninges dans tous les sens. Mais voilà : Faye était bien sa fille légitime. Le même sang coulait dans ses veines. Si cela aurait du le rassurer, rien ne changea dans l'âme noir du Black. Le mal était fait : le faible amour paternel qu'il avait pu ressentir pour elle s'était envolée dans les méandres d'une hypothèse, d'une idée sinueuse visant à détruire le couple mais n'ayant réussi qu'à briser le lien paternel.
Du haut de ses deux ans, Faye ne comprit pas sur l’instant que cette petite merveille fraichement arrivée chez les Black allait sceller son existence dans l’oubli et la solitude à tout jamais. Si cela avait été le cas, elle n’afficherait surement pas ce sourire si béat, attendrie par ce petit poupon aux yeux d’ange et l’espoir d’avoir enfin une personne avec qui jouer. Les couloirs de la demeure Black étaient trop grands pour elle et la loi du silence trop pesant pour qu’elle n’arrive à s’épanouir entièrement. Gauche dans ses chaussures et sa position, elle n’arrivait pas à attirer le regard de son paternel plus de deux minutes malgré tous ses efforts. Alors, peut-être que si elle prenait soin de sa petite sœur, elle aurait droit à un compliment. Un vrai où l’on voit les yeux de la personne crépitait comme le feu dans l’âtre d’une cheminée. Convaincue comme Jack envers les haricots magiques, elle s’approcha de la petite Nika afin de lui souhaiter la bienvenue et se pencha même pour pouvoir l’embrasser sur le front avant d’être violemment repoussé en arrière, son paternel lui ayant attrapé le bras. « Que fais-tu, petite idiote ?! Un nouveau-né est un être fragile, ne t’en approche pas ! » Et pourtant, même en cet instant, la douce Faye ne se rendait pas compte de l’ironie de ses pensées, supposant qu’elle avait forcément mal fait pour que son père ne lui crie dessus de la sorte. Surement trop maladroite pour être capable de faire du mal à sa sœur. Sa mère tenta d'intervenir mais était bien trop fatiguée par son second accouchement. Plus long et fastidieux que le premier. De plus, elle était si heureuse d'avoir donné naissance à son second enfant. Heureuse de voir les prunelles de son mari flamber d'admiration et de reconnaissance dans cet enfant qu'il reconnaissait comme sien, bien qu'il ne s'agisse pas d'un garçon. Elle avait eu tellement peur. Des craintes qui désormais s'évanouissaient, la laissant patente de bonheur sans avoir à se préoccuper du reste. Quand à Faye, une enfant de deux ans ne peut pas se sentir rejetée au profit d'un nouveau né. Surtout qu'on a jamais cherché à la prendre dans les bras ou la consoler auparavant.
Pourtant, un an plus tard, Erel mit naissance au dernier membre de la famille Black. Un garçon. L'honneur de la famille se targuait enfin d'avoir un héritier mâle pour faire perpétuer le nom et la fortune. Faye était comblée. Grâce à l'arrivée de Nika et de Caïn junior, elle avait l'impression qu'elle ne serait plus jamais seule dans les longs couloirs de la demeure, s'imaginant déjà partager de grands moments de complicité avec sa fratrie. Ce qui expliquera surement son A difficilement acquis en Divination de nombreuses années plus tard. Mais ce ne sont pas des cris de joies et des larmes de rire qui couleront sur les joues de la gamine avec les années. Etant l'aînée, Faye s'imagina un rôle de modèle et de protection qu'on ne lui laissa guère l'occasion de jouer. Elle avait bien remarquer dès la venue de Nika que son père passait énormément de temps avec elle, bébé. Pensant que ce dernier avait fait de même lors de sa propre naissance, son malaise commença avec la venue de Caïn. Son petit frère avait beau grandir et ne pas être trop remuant, Caïn senior continuait à passer tout son temps avec sa petite cadette. Si bien que Faye commença à en devenir jalouse. Qu'importe les dessins, les sculptures ou n'importe quelle oeuvre qu'elle pouvait lui amener, Caïn Sr ne mettait qu'une attention toute relative à sa première fille, préférant interagir avec elle lorsqu'il fallait la recadrer. Comme le jour où elle s'en alla pleurnicher dans les jupons de sa mère parce que l'elfe de maison s'était ébouillanté avec le chaudron, créant de graves dommages sur sa personne et que Faye pleurait pour qu'on l’emmener à l'hôte-pial (hôpital). Elle ne comprenait pas le dégoût qui dégoulinait du regard de ses parents. C’est vrai qu’ils n’étaient pas très beaux, voir même des plus affreux. Elle estimait qu’ils pouvaient donner des cauchemars à n’importe quelle personne sensible. On lui avait appris à les regarder de haut, les traitant également de cette manière vile et méprisante. Cependant, du plus profond qu’elle ne s’en souvienne, Faye ne se souvenait pas avoir un jour regretté la présence de ce pauvre elfe de maison qu'on condamna à la mort verte parce qu'il avait été maladroit. Son père la disputa brutalement ce soir-là, alors qu'elle s'était mise à pleurer la mort de ce pauvre être qui était le seul à passer du temps avec elle dans cette maisonnée. Elle n'avait que quatre ans et tout ce qu'elle voyait était la mort d'un compagnon. Quant à son père, il comprit surement le premier que sa fille aînée avait le cœur trop tendre pour pouvoir réellement asseoir la puissance des Black à son image dans le monde sorcier, trouvant dans cet événement l'annonciation et le sacrement de son choix ultime. Point de départ du délestage complet de son aînée - tant qu'elle se comportait en lady digne de son rang - et s'occupant de plus en plus de sa petite cadette adorée.
Avec les années, un sentiment d'abandon et de préférence naquit dans le cœur de la belle qui ne comprenait pas pourquoi son père refusait de lui accorder le moindre geste tendre, ni même pourquoi il les délaissait avec Caïn pour ne s'occuper que de Nika. La jalousie commença à devenir un poison dans ses veines, s’irradiant d'année en année pour n'être plus qu'un obstacle morbide à son bien-être. La demoiselle de six ans commença à devenir hautaine en tentant d'ignorer cette supercherie familiale, ne se concentrant plus que sur son petit frère et sa mère dont elle était de plus en plus proche. Erel n'était pas la mère la plus aimante du monde mais elle pouvait déceler cette petite étincelle au fond de ses yeux lorsqu'elle la regardait, signe d'un amour maternel qui lui manquait tant. Alors qu'on lui refusait l'amour d'un parent, elle comblait celui-ci en demandant tout en son contraire, mettant en avant son comportement de petite fille modèle. Mais cela ne semblait pas suffire car à chaque repas, lorsqu'Erel mettait en avant les qualités ou exploits de l'aînée et du benjamin, c'était de la cadette dont on finissait par parler. Encore et toujours. Faignant un sourire hypocrite sous les louanges qu'on lui volait, la gamine serrait les mâchoires pour ne pas avoir à pleurer. Elle avait remarqué depuis longtemps que ce geste de faiblesse avait le don de mettre en rogne le patriarche de la famille. Ce petit jeu continua encore et encore et les enfants finirent par grandir, étourdissant d'autant plus les relations au sein de la demeure et empoignant le cœur de la brune. Ses actions - tout comme sa vie - se faisaient plus effacer face à cette présence étouffante qu'elle finit par fuir, l'espionnant derrière une statue avec ce remord et cette envie la rendant prisonnière de sa condition. C'est surement ce sentiment d'abandon et d'impuissance qui la tournait vers plus malheureux qu'elle. En cachette - ce qui n'était guère difficile lorsqu'on passait inaperçue dans sa propre demeure - Faye aimait approcher les petits animaux qui croisaient son chemin au détour de ses promenades non loin de la demeure familiale. Volant de la nourriture aux cuisines, elle aimait regarder ces petites bêtes (les moins répugnantes bien entendu) s'approcher d'elle pour finir par chercher quelques caresses réconfortantes, apaisant plus son âme que leurs grattant le dos. Néanmoins, parfois, sa solitude était malheureusement rompue. Elle qui rêvait tellement de ne plus être seule. " Qu'est-ce que tu fais ? " Gênée d'être prise sur le fait, Faye semblait souvent apeurée, ne répondant pas de suite. " Regarde Nika, c'est un écureuil. N'est-il pas mignon ?" tenta-t-elle de montrer à sa jeune sœur, n'ayant aucune aptitude à la ruse ou la duperie. Trop franche et sensible malgré le fait qu'à la vue de sa sœur cadette, son visage s'était fermée pour tenter d'être un peu plus de marbre, soit froid et distant, comme ils pouvaient l'être envers elle. Mais elle n'arrivait pas à avoir le même visage méprisant et mesquin que cette dernière. Au rictus au coin des lèvres de Nika, elle sût qu'elle avait perdu. Une fois de plus. " Je vais le dire à papa. " Faye avait bien tenté de la rattraper mais la petite peste courait vite. Ce jour-là, elle comprit qu'en plus d'être invisible aux yeux de son père, elle ne pouvait pas rester elle-même même dans l'ombre. Il lui faudrait devenir quelqu'un d'autre. " Va-t-en, dépêches-toi avant de finir en carpette !" s'adressa-t-elle à l'animal tout en le houspillant des mains. Il fallait qu'elle le devienne : maintenant ! " File de là, sale bête ! " cria-t-elle en serrant les poings contre son frêle corps. Et pendant que la petite boule de poil s'enfuit dans les arbres, le visage de la demoiselle prit l'aspect d'une façade insipide alors que son cœur s'ébranlait en morceaux faisant couler des larmes silencieuses à l'intérieur d'elle.
« La pire souffrance est dans la solitude qui l’accompagne. » - André Malraux
Habituée aux sarcasmes et rejets, Faye ne pouvait imaginer pire affront que ce dernier. Elle ne sût comment elle avait réussi à vivre cette effroyable heure, sa première heure passée au château. Là où elle aurait dû pouvoir briller durant deux années. Là où elle était loin des remontrances et des regards mesquins de sa cadette. Là où elle avait espéré pouvoir impressionner son paternel. Mais rien de tout ceci ne pourrait se produire maintenant : sa vie était fichue. Planquant ses mains sous la table, elle regardait un point fixe sur la corbeille de fruit afin de pas laisser aux autres sangs-purs l'opportunité de pouvoir se moquer de sa faiblesse de se cacher derrière ses cheveux pour ne pas avoir à les affronter. Pourtant, sous la table, ses doigts se serraient, laissant son esprit se concentrer dessus pour contrer cette envie incontrôlable de verser toutes les larmes de son corps. Elle se devait de rester fière de ses origines, de son sang et de son nom. Elle était une Black. Elle était Faye Cora Black et tentait de se redonner des nerfs en se le répétant mentalement. Ce fut à partir de ce moment que la froideur hautaine de la demoiselle commença, alors qu'elle repoussait d'un regard froid où un sourcil arqué d'interrogation se concentrait sur une jeune fille de son âge et de sa nouvelle maison venant s'enquérir auprès d'elle de son identité. Une jeune fille dont elle ignorait l'identité elle-même, signe qu'elle ne faisait surement pas partie de son monde : celui des sangs-purs. " Ne me touche pas. " lui entonna-t-elle, ce qui surprit l'inconnue. Car voilà : si Nika n'était plus là pour lui rendre la vie misérable, d'autres le feront à sa place. Alors, elle ferait l'honneur de sa vie et cela en refusant catégoriquement d'être associée à cette nouvelle vermine de sorciers : ceux au sang impur.
Dernière édition par Faye C. Black le Mer 21 Jan - 23:12, édité 12 fois
Lumen Macmillan
CŒUR DE LIONNE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/08/2012 + PARCHEMINS : 5770
Bienvenuuuuuue ! Ici, j'ai le droit, on est encore plein d'amour et dans le monde des bisounours avant de basculer dans la Black war !
Je suis trop contente que tu ais pris mon scénario, j'ai vraiment hâte de pouvoir jouer avec la famille de Nika. Si jamais tu as des questions, tu sais qui tu peux harceler de hiboux : (ou de fientes de hiboux )
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
J'avoue, j'ai craqué pour la complexité de la belle Faye. Ou pour la tyrannie de sa fiente de soeur. Allez savoir Merci à tous en tout cas ! Cœur et paillettes sur vos fesses *.*
La plus Kaka > T'as pas honte, tu t'es faites squisée par une lionne, huhu ?! Love, love & bisous avant que les fientes de hiboux (ou des colombes de paix de Dawn) n'arrivent ! <3
Merci à tous ceux du dessus La morue > J'ai été complètement submergé par les cours et les devoirs à rendre, désolée désolée. Je devrais en avoir jusqu'à mercredi peut-être jeudi encore >.< Si tu veux toujours de moi (avoue que tu ne pourrais t'en passer ), m'accorderais-tu un petit délai sinon je vais pleurer dans les jupes de Dawn nah ?