NOM : Berry - nom d'origine anglaise de par sa mère qui est sang pur et qui s'est mariée avec un français moldu.  PRÉNOMS : Rose Marie - prénoms français au vue du mariage entre sa mère anglaise et son père français. AGE : trente deux ans et toute ses dents.  POSTE : professeur de métamorphose depuis cette année suite à un départ. ÉTAT CIVIL : célibataire mais à la recherche de l'amour. PURETÉ DU SANG : sang mêlé et fière de l'être. ANCIENNE MAISON : serdaigle, la meilleure de toute les maisons. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle comment ne pas goûter au péché défendu ? CAMP : neutre. PARTICULARITÉ : aucune

✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? Si je détenais la pierre de résurrection en tombant par hasard dessus ? Pour tomber sur cette pierre et savoir qu'il s'agit de la pierre de résurrection appartient déjà au monde de l'impossible. Mais si jamais cette hypothèse arrivait, je pense que je la garderai précieusement au fond de ma poche toute ma vie. Non pas pour ressusciter quelqu'un qui me tient à cœur, même si l'envie est là. Seulement pour pouvoir garder les morts dans leurs mondes et empêcher quiconque de trafiquer ce processus. Je veux dire par là que quand quelqu'un meure c'est que le destin l'a choisi. Les ramener à la vie ne feront que plus de mal. Pour tomber sur cette pierre et savoir qu'il s'agit de la pierre de résurrection appartient déjà au monde de l'impossible. Cette pierre serait détruite par mes soins, dans le plus strict silence.
✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Étant une femme de caractère, je me dois d'intervenir, même si je risque moi aussi de me faire agresser. Mais je ne vais tout de même pas laisser cette personne seule se faire tabasser de plus par des sorciers. Si les simples mots que j'utilise ne suffisent pas à les calmer je pense que je ferais comme tout moldus, appeler de l'aide et les urgences. Bien que l'envie de sortir ma baguette magique et de lancer un enchantement soit pour moi la meilleure solution. On sait tous que l'usage de la magie devant les moldus est formellement interdite. Donc la baguette reste ranger et j'appelle de l'aide pour trouver un homme musclé qui saura arrêter cette situation. Clairement je doute que la plupart des sorciers fassent cela et j'aimerai bien m'y voire dans cette situation pour savoir comment je réagirais réellement
✎ Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? Non, je n'accepte pas le poste. De plus avec les événements qui se produisent en ce moment et les rumeurs de la montée en puissance du maître des ténèbres, d'ailleurs certaines personnes disent qu'il détient pas mal de hautes têtes au ministère. De plus avec les événements qui se produisent en ce moment et les rumeurs de la montée en puissance du maître des ténèbres, d'ailleurs certaines personnes disent qu'il détient pas mal de hautes têtes au ministère. Je ne suis pas de ce partie et encore moins de l'autre, je reste neutre, car pour moi l'enseignement ne doit pas être mêlé à des pratiques et une idéologie politique. C'est la base. Donc je refuserais le poste, expliquant que ma situation actuelle ne me permet pas d'accepter, puis il n'y a aucune sécurité sur l'emploi en tant que conseiller du ministre sachant que le dernier vient tout juste de mourir.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? L'amour est la plus belle des choses qui puissent vous arriver. C'est pourquoi j'aspire à trouver l'amour le plus rapidement possible. Car pour moi, vivre à deux et tout partager, c'est l'essence même de la vie. À quoi sert d'être riche mais seul ? Avoir la célébrité, mais dormir seul toutes les nuits ? Tout savoir et tout connaître pour ne pas le partager avec l'être aimé ? L'amour est pour moi le moteur de mon existence, c'est lui la clef de tous les autres sentiments : comment connaitre la douleur sans avoir aimé ? Comment goûter au bonheur sans avoir ouvert son cœur ? Autant de question qui prouve que l'amour est la clef d'une vie réussie. Et je souhaite à toutes les personnes que je connais de trouver cette clef pour profiter au mieux de cette vie.

PSEUDO : steph. AGE : 19. PRÉSENCE : 7/7. AVATAR : britney spears. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : PRD. UN PETIT MOT POUR LA FIN : très jolie forum et j’espère me faire plein d'amis ici <3.

J'aurais pu passer ma vie sur la croisette en France à profiter du bon air marin et du soleil de la Provence, mais non. Tout ça pour une lettre ? Ou un choix ? Je ne sais même plus. Tout commença alors que j'avais 14 ans, mon père travaillait à la mairie et ma mère était femme au foyer. L'argent que mon père ramenait à la maison suffisait pour nous faire vivre voir plus. Je passais la plupart de mon temps avec ma mère lorsque je sortais des cours et c'est avec elle que je me sentais mieux, comme si un lien fonctionnait entre nous. Alors qu'un soir début juillet mes parents et moi discutions de nos journées respectives autour d'un bon plat cannois, une dispute éclata au sujet d'une lettre. On m'avait bouclé dans ma chambre pendant 3 longues heures où j'entendais les murs vibrer et leurs voix s'étrangler dans des sanglots. Par la force de ma pensée, la porte bouclée à doubles tours s'entrouvrit. Je ne comprenais pas, mais je descendis de l'escalier pour mieux entendre. La raison de leur engueulade était une lettre de Poudlard. Alors que je n'avais même pas le temps de parler avec mon père du pourquoi du comment, que ma mère me prit dans ses bras et en l'espace de quelques secondes, je me retrouvais dans la maison d'un inconnue la tête tournant dans tous les sens, je pus entendre quelques mots de ma mère qui parlait dans une langue incompréhensible pour moi. Je m'endormis aussi sec, épuisé par ce trajet qui n'avait duré pourtant que trois secondes.

J'étais donc chez un frère de ma mère : mon tonton Nicolas. Il était Anglais et nous étions en Angleterre prêt de Londres. Je venais de comprendre un petit bout du pourquoi et du comment, le reste de l'été mon oncle et ma mère m'enseignaient l'anglais de façon accélérée pour que je sois prête pour la rentrée. Quelques jours avant la rentrée, je stressais de me retrouver face à des gens qui n'étaient pas comme moi, c'est-à-dire Français, mais mon oncle me rassura en me disant que là bas tout le monde était différent : car tout le monde était un sorcier. J'étais donc ça ? Un sorcier et on me l'avait caché tout l'été ? Quelques jours plus tard me voilà dans le vieux château accompagné de l'ensemble des premières années, le choixpeau m'envoya à Serdaigle et je fis mes 7 années au sein de cette école sans embûche ni problèmes. Je ne cherchais pas les ennuies et on ne venait pas me chercher, c'était ça ma vie à Poudlard. Une joie de vivre avec mes amis, mais aussi beaucoup de travail, J'appréciais passer du temps dans cette école hors du commun et l'anglais devenait pour moi ma première langue arriver en troisième année.

Fraîchement sorti de mes études, c'est-à-dire sortant de sept années au collège Poudlard en tant que major de promotion à Serdaigle, je ne savais que faire de ces diplômes (BUSE, ASPIC) et surtout où exercer ma profession de rêve : enseignant de métamorphose. Je me devais d’acquérir de l'expérience dans ce milieu. Je parcouris l'Europe à la découverte des derniers maître de la métamorphose et de leurs ouvrages qui sont connues pour être novateur et particulièrement profond. Pendant prêt de 6 ans, je parcourais des dizaines de pays et dix fois plus d'ouvrage sur cette matière qui me plaisait tant. Plusieurs stage m'ont été proposés, mais un seul m'a attiré l'attention. Celui de Monsieur Changé Emeric, auteur du livre la métamorphose pour les débutants. Il m'a contacté pour que je puisse avec lui apporter un nouvel oeil sur l'apprentissage de la métamorphose pour l'enseignement pendant 6 ans supplémentaire. Suite à ça, mon cœur était bel et bien divisé en deux, retourner en France mon pays natal pour enseigner à Beaubatons, où alors retourner dans le collège qui m'a accueillie après la rupture de mes parents : Poudlard. Je voulais enseigner et je me sentais fin prête (après 12 ans de travaux sur le sujet) à devenir une de ces personnes qui donnent l'envie de se tourner vers la métamorphose. Si ce n'est l'appel des deux directeurs de ces écoles pour un remplaçant dans cette matière, je ne savais pas si j'étais à la hauteur de choisir entre les deux. Après des mois de réflexion et plusieurs rencontres avec Albus me voilà arrivée au château le plus convoité de toute la grande Bretagne. Trouver ses marques allait être la pire des choses en ce début d'année, j'étais jeune (32 ans) et surement un des professeurs, voire la professeur, la plus jeune du corps enseignant de Poudlard. Et enseignant la matière la plus ennuyeuse selon les élèves : la métamorphose. Comment ne pas aimer cette matière ? Je ne comprendrais jamais ! C'était donc ma première année au sein du corps enseignant de Poudlard, comment les élèves allaient pouvoir m'accueillir ? Comment je pourrais rendre la matière la plus ennuyeuse en matière la plus appréciée des élèves ? Beaucoup de challenges m'attendaient. Dont un des plus grands, trouver l'amour.

Dans le miroir, je suis, dans la taille normale, une crinière blonde qui me tombe dans le dos. C'est ma fierté mes cheveux. Je suis très sportive et mon apparence est très importante pour moi. Le cliché de la blonde à forte poitrine qui n'y connait rien est enterré avec moi, je viens de Serdaigle et je me cultive jours après jour. Je déteste que l'on me prenne pour une imbécile. Niveau de mon caractère, je suis une femme de caractère. Je suis d'abords une femme qui n'aime pas la hiérarchie sexuelle, c'est a dire un homme n'est pas plus important qu'une femme. Je suis de la génération qui pense que les femmes doivent s'émanciper. Alors comment trouver un homme qui vous aiment alors que vous êtes l'opposé des femmes de la période. Niveau amour, je suis un vrai cœur 'artichaut. Je m'accroche très vite aux gens et j'arrive très facilement à aimer. Pour moi, ça marche au coup de foudre, si j'aime, je peux tout faire, si je n'aime pas, je peux également tout faire pour me faire détester. Une vraie peste qui aime son prochain.