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 paint my white roses red - vilena

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Message Sujet: paint my white roses red - vilena    paint my white roses red - vilena  Icon_minitimeDim 24 Aoû - 8:12



     “  i probably still adore you with your hands around my neck. ”

Depuis la soirée que t'avais passée avec ta soeur, cette nuit d'horreur et d'amusement, tu savais que tu ne t'en tirais pas aussi facilement et, c'était parfait ainsi. Qu'elle aille se plaindre aux oreilles de ton cousin, comme elle le faisait toujours. Elle ne se doutait même pas du feu qu'elle attisait en faisant cela, plongeant un être qu'elle aimait dans l'un des vices les plus sombres que le jeune homme se permettait d'avoir. Personne ne savait, il voulait que personne ne le sache. C 'était pas un spectacle, c'était privé, notre petit secret, notre petit jeux dangereux. Il disait qu'il ne trouvait aucuns plaisir dans ses actes, mais pourtant, il venait parfois de lui-même. Comme aujourd'hui. Depuis ce matin, tu savais qu'il allait venir. Ton regard s'était perdu vers la table des gryffondors ce matin, croisant le regard de ton frère, lui adressant un léger sourire. Puis, vers la table des poufsouffle. Le regard sombre de Vil ne laissait aucuns doutes, il savait. Ton regard l'avait quitté alors que tu mordillait ta lèvre inférieur alors que ton regard le quittait. Tes yeux glissaient sur tes cuises découverte par ta jupe d'écolière un peu trop remontée, laissant voir l'immense ecchymose qui avait déjà commencé à jaunir. Il t'avait négligé ton cousin, mais tu savais que c'était pour aujourd'hui, maintenant ? Ton regard se relevait vers lui comme pour lui demander. Il te renvoyait toute le haine qu'il possédait, te fixant toujours. T'abandonnait le peu du pain à la citrouille que tu avais avalé, un tout autre appétit c'était ouvert au creux de ton estomac. Un appétit affreusement malsain, don personne ne se doutait, mais tu ne pouvais pas t'arrêter. C'était plus fort quoi toi, que lui aussi. S'il y avait fallu que tu te trouves un autre bourreau, tu aurait été affreusement gênée d'avouer ton étrange passion, mais avec lui ça allait. C'était lui qui t'avais fait découvrir l'adrénaline, qui te donnait ta dose et s'assurait de te rendre accroc.

Tu te levais brusquement pour sortir de la grande salle, ton interminable chevelure fouettant l'air derrière tes pas rapides. Tu ne tardais pas à entendre d'autres pas derrière toi. Il avait vraiment osé te suivre comme ça en plein jours, sous les yeux du reste de la famille assis dans la grande salle. T'avais beau être horrible à tes heures, t'étais persuadée qui si Magnus vous surprenait, c'était lui qui se boufferait les coups. Après tout, tu étais la victime qui marchait au loin en ondulant ses hanches, l'air de rien. Il se rapprochait, accélérait le pas derrière toi. Tu le sentais avancer dans ton dos comme la mort. Ils ne pouvaient même pas comprendre tout ce qui t'habitais alors que tu le sentais fluer comme une ombre qui allait bientôt t'avaler. C'était très certainement de la peur qui grugeait tes entrailles, mais également une certaine excitation malsaine, pour parfaire ton portrait. Tu ne t'arrêtais pourtant pas, même si tu semblait sentir son souffle dans ton cou. Tu aimais fuir, rendre les choses plus difficiles, plus amusantes, même si tout ça, c'était très sérieux, hein Vil ? Rien d'amusant du tout. Même lorsque tu sentais ses doigts s'enrouler autour de ton poignet, tu ne t'arrêtais pas. Tu le laissais te stopper, te serrer, te ramener vers lui, te tourner vers son visage plein de dégoût alors que ton regard sauvage se planquant dans le sien, ton souffle court se fracassant au sien en signe de bonjour. Sans un mot, il ouvrit la porte du placard et t'y poussa. C'était étroit, mais c'était le seul endroit à disposition. Vous ne pouviez pas vous permettre de chercher calmement un autre endroit, c'était trop risqué. Il fallait disparaître rapidement. Arrêter de vivre et surtout de respirer, si possible. Tu t'adosse doucement au mur étroit derrière toi, pendant tes lèvres vers lui et prenant ses petits yeux d'ange, revêtant ce masque d'innocence qui ressemble à un crime sur ton âme infernale. T'es le pêché enroulé dans des habits de vierge. Une démone avec des ailes blanches. Et tu le regarde, sondant son âme tout aussi torturée que celle des autres Ljungström.

« J'ai fait quelque chose de mal ? »

Lui demandes-tu avant de ne pincer ta lèvre inférieure entre tes dents. Ton regard ne quittes pas le sien, le narguant de toute ta force, de toute ta délicatesse et ce drôle d'amour que tu peux bien lui porter. Il sait ce que tu as fait et il sait que tu le sais également. Tu ne sais pas si elle lui as tout dit, pour la langue aussi ? Et le baiser ? Oh... Oh...
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Message Sujet: Re: paint my white roses red - vilena    paint my white roses red - vilena  Icon_minitimeJeu 28 Aoû - 3:43

What is so wrong with us that we rush into situations to which
we are manifestly unsuited, which will hurt us and others ?
We are walking conflicts, internal battles on legs.
Elle avait osée, encore une fois et ça le hantait presque à ce stade. C’est malsain Hem, arrête, tu te fais du mal à vouloir lui en faire autant. Et puis, assis là, parmi les membres de sa maison, de ses amis jaune et noir, Hemming se demandait si de toute manière, Majkalena, ce poison familial, éprouvait réellement la douleur. Non, tout ce qu’il lui faisait ses ecchymoses qu’il faisait pleuvoir sur son corps, ses traces qui chuchotait combien elle était monstrueuse, elle devait en tirer une certaine fierté, quelque chose qui le faisait, lui, tordre la bouche avec agacement, une expression rarissime pour lui. Lui qui normalement était si joyeux, si souriant, si plein de vie, voir hyper actif oui, se trouvait assis bien sagement à sa place, entre Miam et Roh, avalant son petit déjeuner sans grand enthousiasme. Et avec raison, oui, puisque Seraphina lui avait vaguement expliqué les raisons de son apparence négligée du matin : une virée avec Maja. Évidemment, la sœur cadette n’avait pas raté l’ainée et puisque Hemming avait juré de protéger la plus âgé et fragile des deux, il se devait de tenir parole. Pourtant, ce n’était pas que de l’orgueil mal placé, pas qu’une question d’honneur, même si sa maison le rendait particulièrement sensible à ce genre de chose. Non, le brun considérait le châtiment, à venir, de sa jeune cousine, comme un devoir. Personne d’autre que lui, ne saurait le faire, pas Magnus, qui semblait soit fuir sa petite sœur, soit la regarder avec un air presque douloureusement tendre, quant à Sera, c’était peine perdu : il refusait qu’elle approche de sa sœur. Évidemment, elle aussi, avait eu droit à son sermon puisqu’elle avait suivi Maja dans la forêt, à croire qu’elle avait emprunté son cerveau à un troll ! Il ne manquerait plus qu’Evan aussi, fasse des siennes et sa journée serait bonne pour être foutu dans les bras de Mimi Geignarde oui ! Franchement, qu’est-ce que les filles avaient à se montrer aussi naïve hein ? Ça l’agaçait profondément, ce qui pourtant lui arrivait rarement. Sauf que voilà, Hem pouvait blaguer sur tout, y compris les verrues de son grand-père, ce qui était pourtant une putain de mauvaise idée si vous connaissiez le bonhomme, mais pas sur la sécurité de Sera. Ça, non. Alors oui, il faisait la gueule et s’il faisait un effort de temps à autre pour sourire à ses deux amies, il n’en menait pas large.

Puis, elle était arrivée, ELLE. Majkalena s’installant à sa table, de l’autre côté des serdaigles, fort heureusement qu’Evan n’était pas là d’ailleurs, parce que ça l’aurait agacé deux fois plus de ne pas pouvoir la reluquer autant que désiré, puisqu’il faisait trop la gueule. Son regard c’était alors braqué sur elle : dur, douloureux, accusateur, menaçant même. Des attitudes ne lui allant évidemment pas et qui faisait presque frissonner ses camarades se trouvant en face de lui et qui ne comprenait pas ce qu’il avait. Est-ce qu’ils avaient trop pris de bacon ? Ils auraient dû lui en laisser davantage hein ? L’ogre de Ljungström, tout le monde savait pourtant qu’il aimait particulièrement le bacon bien gras. Mais non, ils étaient sauf, parce que les rayons X d’Hem passait par-delà leur épaules, traversait même les têtes offusqués ou agacés des serdaigles pour aller s’enfoncer dans le visage de poupée de sa cousine, installée parmi les vipères, comme on s’attend à ce qu’un nez se trouve au milieu du visage. C’est à ce moment qu’il avait cessé de manger, lui qui normalement avalait au moins deux, voire trois assiettes les matins où il était particulièrement heureux OU en bonne compagnie. En fait, avec Hemming c’était toujours facile, on le lisait comme un livre ouvert, tantôt niais et joyeux, puis songeur et sérieux. Mais ce matin il était différent, comme il était bien trop rarement, fort heureusement pour tout le monde, parce que Hem le joyeux était plus facile à vivre et amusant que le sombre Hem, celui dévisageant sa cousine et fronçant les sourcils, alors qu’elle se mordillait les lèvres. Enfin, ça c’était jusqu’à ce qu’elle redresse les yeux sur lui et le supplie presque : elle savait qu’il savait qu’elle savait qu’il savait. Ça faisait beaucoup de chose à savoir, mais Hem ne craignait pas de savoir, enfin pas autant que les bleus, eux ils y allaient fort, mais ouais, il comprenait. Un peu. Il aurait alors dû attendre, la laisser filer quelques minutes avant lui, puis partir à sa recherche, non pas que la chasse l’amusait, en fait ça le dégoûtait même d’avoir à en arriver là, mais il n’avait pas su avoir la patience. Pas après avoir vu les marques de Sera, pas après l’avoir retrouvé encore plus fragilisé par ce cancer qui les rongeait tous à sa manière. Majkalena s’attaquait à l’esprit de sa sœur, elle avait fragilisé le lien entre les jumeaux, s’attaquerait probablement prochainement au corps de son frère même et lui, lui elle lui rongeait le cœur, le durcissait et ça, il n’arrivait pas à le lui pardonner. Il avait pourtant ses torts, non ? Oui, il avait commencé à la violenter sans que personne ne l’y incite, il avait eu l’idée le premier, de lever la main, de cogner, de serrer et il avait recommencé. Mais c’était sa faute à elle, c’est elle qui avait commencé, qui avait abîmé ce qui était sien : leur famille.

Il avait donc quitté sa table, alors que la crinière d’ébène de sa cousine s’enfuyait hors de la grande salle, marmonnant qu’il devait aller à la toilette : typiquement Hemming ça. Dire tout haut ce qu’il allait faire ou encore, où il allait, ça le connaissait bien. C’était le type le plus honnête qui soit et c’est pour cette raison que de fuir sa table, pour aller battre sa cousine plus loin, semblait si incongru, pour peu qu’on connaisse le bonhomme. À moins de les surprendre, jamais personne n’y aurait cru, pas Hem, pas le si gentil Hem, impossible. Et pourtant, il marchait d’un bon pas, il mettait à contribution ses jambes musclés, son agilité, gagné au quidditch et à force de courir à travers l’île avec Magnus et Seraphina, à force de poursuivre Evan à travers Poudlard, à force d’être lui : infatigable ou presque. Sa main c’était alors tendue, énorme en comparaison à la brindille servant de poignet à sa jeune cousine et il avait serré. Oh, il avait bien songé à lui attraper les cheveux, à tirer sur sa crinière de malheur et à la faire s’incliner, à la faire haleter, les yeux écarquillés, mais il y avait trop de risque. Or, aussi rebutant que soit leur « secret », Hemming n’était pas encore prêt à faire face à la musique, à assumer ce qu’il lui faisait, pas avant de l’avoir corrigé du moins. C’était toujours ainsi, il n’arrivait pas à s’arrêter avant, mais après, lorsque la culpabilité s’enfonçait plus loin en lui et s’attaquait à son cœur, en durcissant un peu plus les parois, là il regrettait de ne pas avoir été surpris par âme qui vive, de ne pas avoir à endosser ses gestes. En fait, tout aurait été plus facile si Magnus avait su, si Seraphina avait assisté une seule fois à l’une de ses séances de correction, mais ce n’était pas le cas. Et Agda ? Que Merlin le préserve de démontrer un seul acte de violence aussi malsain en face de son innocente petite sœur oui ! Mais où va-t-il fuir ? Où peut-il la coincer ? Comment peut-il la corriger sans attirer l’attention ? Il n’a pas la patience de faire plusieurs kilomètres, ce n’est pas son genre, pas d’aussi bonne heure le matin. En fait, ça aussi, ça faisait partit de la dynamique « Vilhelm », oui il préférait laisser Hemming en dehors de toute cette histoire et se contenter d’être Vilhelm quand il devait être avec Maja. Or, tôt le matin, Vil n’avait pas une grande patience, il voulait en finir au plus vite, pour pouvoir redevenir Hem, pour aller rejoindre ses amis, pour profiter de la journée tout simplement. Son devoir devenait alors une corvée a expédié au plus vite. Le placard à balai était donc son seul salut pour le moment, une compensation essentiel, vital même à ce stade. Oh, sa cousine ne c’était pas plaint, jamais même, la diablesse semblait toujours prête à goûter sa fureur, en redemandant même parfois.

C’est donc face à son regard dégouté qu’elle fut livrée, tous deux se retrouvant isolés dans ce satané placard à balais, pas même suffisamment grand pour la carrure d’homme du jaune et noir. Merde, la prochaine fois il devrait trouver mieux ou encore, ne pas la croiser d’aussi tôt le matin. De mauvais poil, ça il l’était, ses yeux lançaient presque des éclairs alors qu’il la foudroyait sans aucune honte. Et elle, ce parasite qui s’efforçait de gâcher tout son petit monde, battait des cils avec l’innocence d’un enfant. Autrefois, ce comportement l’aurait troublé, peut-être même hésiter, il y avait eu une époque durant laquelle il avait du mal à croire Majkalena sincèrement mauvaise, il croyait plutôt à une mauvaise éducation, à une mauvaise situation, à des caprices d’enfants, à un sale petit caractère, mais non. Peut-être que la jeune fille souffrait bel et bien de tous ses maux là, mais elle était aussi cruelle, sadique et manipulatrice. Or, il ne se laisserait pas avoir encore une fois, jamais plus. Une fois, il l’avait laissé s’échapper, une fois alors que la culpabilité se faisait les dents sur son ventre, que les yeux écarquillés de Maja le hantaient, mais ça n’avait pas duré. Parce qu’elle avait recommencé, plus fort, plus vicieusement, puis qu’elle était venue le rejoindre, exposant fièrement ses marques, demandant s’il allait la « punir encore » comme si c’était maintenant normal. Ce ne l’était pas et pourtant, il se trouvait là, devant elle, la mâchoire serrée et les mains lui démangeant, formant un poing qui se serrait et se relâchait tour à tour. « J'ai fait quelque chose de mal ? » dit le démon, dit le mensonge et Vil fronce les sourcils.

Il ne se questionne maintenant plus, c’est toujours ainsi avec Maja, le bien et le mal deviennent flous, des nuances toutes simples qu’il n’a plus à séparées. Il n’est plus Hemming, il est Vilhelm, il troque son statut de jaune et noir pour celui de Ljungström. Lui aussi, il peut devenir fou, lui aussi il peut être malsain et sa main s’empare sans plus aucune délicatesse de la gorge de sa cousine, un grondement sourd se coinçant dans sa gorge. « Tu mens comme tu respires, vipère » son accent se fait plus épais quand sa voix est aussi rocailleuse, quand elle lui vient depuis le plus profond de son corps et de son âme, presque caverneuse tien. Et sa main se resserre sur elle, la clouant au fond du placard, y écrasant son petit corps, alors que son pouls accélère, celui de la victime en unisson avec celui du bourreau. Son pouce s’enfonce sur le côté et il serre plus fort les dents, bombant presque le torse. Vilhelm est plus grand, Vilhelm est plus fort, Vilhelm est plus impitoyable en ce moment et son autre main se redresse lentement, pour lui asséner une première gifle cuisante. Là, elle va se taire ? Il plisse les yeux, ses sourcils menaçant de les enfoncer plus profondément encore dans son crane : « combien de fois dois-je te répéter que tu ne dois pas l’approcher, hein Majkalena ? » Sa question est ponctué d’un resserrement de sa main et d’un grondement de sa part, puis son visage s’abaisse légèrement sur le sien. Leurs nez se touchent presque alors qu’il la dévisage avec un dégoût douloureux, humiliant même. Il chuchote alors la suite, « tout le monde raconte que tu es une fille brillante, mais franchement… je crois que tu leur mens tous. Parce que tu n’arrives pas à retenir une seule … » sa deuxième main glisse dans ses cheveux et les tirent sans aucune douceur, afin qu’elle redresse le visage vers lui, « … foutu… » et il serre encore, encore, jusqu’à ce que son cuir chevelu gémisse sous l’assaut de ses doigts gauches, de ses doigts cruels : « … petite consigne. » Il est sérieux pourtant, il ne joue pas et s’il y a bien quelque chose de vicieux dans sa façon de la corriger, de la torturer doucement, ça n’a rien de sexuel à ses yeux. Il respire pourtant vite, il est tendu de partout, mais pas là, pas de cette façon, il y tient. Il n’est pas comme elle, il préfère mourir oui, mais il se doit de la punir et il s’acquitte donc de sa tâche, du mieux qu’il le peut, du mieux qu’il sait le faire surtout. Alors ses doigts relâchent ses cheveux et une seconde claque part, plus forte, bruyante même, puis une autre et encore une autre, jusqu’à la faire se cogner contre le mur du fond. Il halète presque, le corps tremblant, la colère tournoyant dans son estomac et dans son regard. Cette fois, son ton est menaçant, grondant, plus mâle qu’Hemming ne le sera jamais, plus terrible aussi, moins humain : « redresse les bras… sur ta tête… MAINTENANT ! » Il jappe ses ordres, mais elle connait bien ses consignes. Les bras sur la tête, c’est pour mieux lui bourrer l’estomac de cou, pour lui barbouiller les côtes de cette teinte violacée qui lui va si bien, pour y faire fleurir de l’art abstrait, des continents où le mal est puni. Il attend qu’elle s’exécute, il attend pour poser sa grosse paluche sur sa tête, sur ses poignets joints et pour la tenir en place, alors qu’il laisse son poing embrasser sa peau trop pâle, trop vierge de ses coups passés. Si seulement Majkalena cessait toutes ses conneries, peut-être que lui aussi, pourrait cesser d’être lui : le monstre capable de battre une gamine de dix-sept ans dans un placard à balai.
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Dernière édition par Vilhelm H. Ljungström le Mer 3 Sep - 5:43, édité 1 fois
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Message Sujet: Re: paint my white roses red - vilena    paint my white roses red - vilena  Icon_minitimeVen 29 Aoû - 1:54

C'est toi la tarée, toi la pas saine. C'est toi qui aime les coups, l'adrénaline et le sang, son goût, son odeur, sa texture contre ta peau. Tu a conscience d'avoir l'air complètement dingue de prendre plaisir à de pareilles sévices, mais s'il ne t'y avais jamais fait goûté, tu n'aurais pas sût. Ça te faisait frisonner avant même qu'il ait mis sa main sur toi. À défaut que quelqu'un t'aime, toi, on te battait et personne n'était là pour te sauver de lui, de toi, de vous et la folie qui coulait dans vos veines à trop grandes goulées pour vous apportez vers l'ivresse. S'il n'avait pas été ton cousin, tu aurais fait de lui ton amant violent, c'était certain. Pourtant, tu ne voulais pas et lui non plus, malgré les quelques fois où tu pouvais lui laisser croire pour l'enrager encore plus. Jamais tu ne sauterais le pas avec lui, jamais vos lèvres ne se joigneraient, même pendant qu'il te tabassait, ton ventre ne pouvait pas s'empêcher de s'emplir d'un drôle de désir que tu ravalais. Pourquoi pas lui, hein ? T'avais bien mis dans un baiser incestueux dans la cervelle de ta soeur, avant que tu ne te montres lui arrachant la langue. Absolument, tu n'as rien fait à Seraphina, elle n'est tout de même pas aller dire cela à Vil, pas vrai ? Probablement. Allez Vil, montre-moi que t'es un Ljungström. Avant qu'un mot n'ait franchis ses lèvres, il se saisit de ma gorge où il étouffe un hoquet. Je ne peux m'empêcher d'imaginer mon frère me faire la même chose, ils se ressemblent tellement ses deux cons. « Tu mens comme tu respires, vipère » Crache-t-il alors que tu souris doucement, tu ne mens pas beaucoup, selon ce que te montre sa main qui coupe de plus en plus ton souffle. Elle serre encore, me coinçant contre le mur jusqu'à couper presque complètement mon souffle. Il n'y a plus qu'un petit filet qui s'échappe de ta bouche entre-ouverte, tes yeux rivés sur lui et sa violence. Ton coeur bat férocement et tu sens toute l'adrénaline couler dans tes membres. Tu pourrais assassiner Vil si tu le voulais, avec une puissance surnaturelle. À cette pensée, toute peur s'enfuit de toi, ne laissant plus devant ton cousin que la téméraire vipère qui ses que ses crocs contiennent du poison. Il lève sa main pour te foutre une claque un visage et tu encaisses, non sans que ton dos s'arque vers lui. Tes mains agrippent à lui, aux pans de son t-shirt sans pour autant se défendrent. Ton ventre est presque collé au sien, ta tête poussée vers l'arrière malgré toi. Il te regarde alors avec toute sa hargne et tu soutiens son regard.  « combien de fois dois-je te répéter que tu ne dois pas l’approcher, hein Majkalena ? » Il parlait très certainement de Seraphina, mais là, il avait tord, c'était elle qui était venue vers toi, elle qui avait proposer de jouer, c'était sa faute et en plus, elle l'avait cherché. Il serre encore sa poigne contre ta contre, ne te laissant alors plus respirer. Il penche son visage vers le tien pour que son souffle vienne s'y briser, te narguer de respirer alors que tu ne peux pas. Tes yeux se perdent dans les siens comme ta raison se perd quelque part sur le coin de ses lèvres que tu n'atteindra jamais. Que ton orgueil de refuse de saisir contre son gré. Sa voix s'élève ensuite dans un murmure à ton oreille. Parce que malgré la colère qui gronde contre sa peau, il ne veut surement pas se faire chopper et que tout le monde sache quel monstre il était. À moins que ce ne soit la faute de la victime. Elle est méchante, elle le mérites, elle l'as cherchée. Ta faute à toi, parce que tu avais commencé les hostilités, pas vrai ? Pourtant lorsqu'il t'avais saisi à la gorge pour la première fois, tu ne lui avais rien demandé.  « tout le monde raconte que tu es une fille brillante, mais franchement… je crois que tu leur mens tous. Parce que tu n’arrives pas à retenir une seule … » Il suspend sa phrase le temps que sa main libre glisse dans tes cheveux pour les agripper sans la moindre once de douceur. Ton cou se tordant alors qu'il oblige ton visage à se redresser vers lui. Qu'il provoque un peu plus ton désir malsain qui veut mourir dans ton ventre. « … foutu… » Ajoute-il tandis que ses doigts se serrent encore contre ta chevelure, te couvrant le corps de frisson tellement la douleur est intense et ton souffle court contre le sien dans ses gémissements que tu étouffes. « … petite consigne. » Si ses doigts abandonnent ses cheveux c'est pour mieux frapper ton visage d'une claque que t'encaisses, même si tu ne l'attendais pas. Dans l'impact, tu t'es mordu la langue, mais avant même que la douleur n'ai pu s'échapper de ta bouche, il t'en donne une autre, puis une autre alors que le sang coule lentement de tes lèvres alors qu'il te cogne finalement sur le mur derrière toi auquel tu t'accroches tant que tu le peux encore. N'ayez pas peur, il ne fait pourtant que commencer. « redresse les bras… sur ta tête… MAINTENANT ! » Grogne le chihuahua devant toi, le dévisageant de tes airs de tigresse amochée. Oh, il sait qu'il peut te battre, mais  que tu lui obéisses sagement, c'est une autre histoire. L'as tu déjà réellement fait ? N'est-ce pas là ton dernier salut que de résister un peu aux châtiments dont il barbouille ton corps ? Probablement, parce qu'au travers de ta crinière brune jetée devant tes yeux, tu lui renvoie toute sa haine de te croire si faible. Tu n'es pas faible, tu le laisses être fort, parce que ça te fait un bien fou et malsain. Pourtant, si tu le voulais, tu pourrais te battre en retour, l'envoyer au tapis avec quelques coups de baguette et de terminer le tout avec une potion versée entre ses lèvres inertes.

« Non... » Le nargues-tu d'un sourire avant ne cracher le sang que contient ta bouche près du jeune homme, maculant le placard de ton sang. Un rire ne cachant pas sa folie s'échappait de tes lèvres, tandis que tu croisais tes bras sur ta poitrine. Tu le provoquait à ton tour, parce que de toutes façons, il aimait bien que tu lui dise non, que tu fasses ta farouche. Le pire était que vous n'aviez pas de « mot de sécurité», pas de limite où vos jeux s'arrêtaient. Il aurait pu te tuer. Tu serais tu laissée faire ? Peut-être bien. La mort ne t'avais jamais véritablement fait peur, comme à beaucoup. Ils avaient peur qu'on les oublie, que les gens qu'ils aimaient soient inconsolables, qu'ils n'aient pas réalisés tout ce qu'ils devaient faire. Tu n'avais pas peur, on se souviendrait de cette garce invivable et, morte ou en vie, personne ne t'aimais comme tu l'aurais voulu.
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