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 Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn

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Message Sujet: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeDim 19 Aoû - 18:29

Maxi Ҩ Theo
«Si à Poufsouffle vous allez, comme eux vous s'rez juste et loyal ceux de Poufsouffle aiment travailler et leur patience et proverbiale. Vous finirez à Serpentard si vous êtes plutôt mâlin, car ceux-là sont de vrais roublards, qui parviennent toujours à leurs fins.»


« Dégage. » Effrayé, le Poufsouffle s’enfuit dans un couloir au hasard. D’ordinaire, cette réaction faisait apparaître un sourire supérieur, fier, ou encore moqueur sur mes lèvres. Or là, j’étais vraiment en rogne. Et je savais très bien qu’une espèce d’aura menaçante me rendait encore plus effrayant que d’habitude lorsque j’étais en colère. Je savais mon regard assombrit par la fureur, mon pas énergique, mais pourtant toujours aussi altier et royal. Le menton droit, je foudroyais du regard quiconque osait emprunter le même couloir que moi. Pourquoi tant de haine me direz-vous. Tout simplement parce que j’avais une stupide retenue. Oui, moi Theodore Adams avait une retenue. Ce n’était pas la première fois, mais pour une fois, je n’avais pas prévu d’en avoir une. Je connaissais les limites de mes Professeurs, je savais où se trouvait la ligne à ne pas franchir. Et ce, pour chaque membre du corps enseignant. Or, cette fois-ci, ce n’était pas prévu. Aussi, comment aurais-je pu savoir que cette imbécile de Directeur des Poufsouffle, toujours dégoulinant de gentillesse, serait de mauvais poil ? Durant son cours, j’avais ma petite activité favorite ; terrorisé les petits blaireaux. Sauf que malheureusement pour moi, cette fois-ci, mon sourire innocent n’a pas suffi. Il m’a collé une retenu. Cette espèce de connard. Tout simplement parce que j’avais ensorcelé le livre d’un petit blond, de façon à ce qu’il se mette à vouloir le bouffer. Ça va, ce n’était pas grave. La preuve, tous les Serpent avaient rigolé. Mais bon, ils ont aucun sens de l’humour ces blaireaux, que voulez-vous ! Alors à cause de ça, je me retrouve en retenue. Dire que j’étais censé avoir une séance de bécotage avec Faust normalement ce soir. Autant vous dire que mon humeur est massacrante, car en plus d’être en colère, je suis également frustré. Très frustré même. Je n’avais toujours pas décidé si je m’affichais avec lui ou pas, alors je profitais de chaque seconde passé en sa compagnie. Et à cause de cette espèce de troll, je me retrouvais à perdre un temps précieux. Par Morgane, je n’ai pourtant rien fait pour mériter ça. D’accord je ne suis pas gentil avec la quasi-totalité de Poudlard, d’accord je suis hautain, froid, superficiel, égocentrique et tout ce que vous voulez mais merde quoi ! Je suis un Adams, doublé d’un Serpentard. Je ne vois pas ce que je pourrais faire d’autre, vraiment. J’aurais vraiment l’air ridicule à être tout gentil et tout mielleux avec tout le monde. Rien qu’à voir ces satané Bouffondor agir comme ça j’ai de l’urticaire.

Poussant un soupir exaspéré, je pénétrais dans ma pièce de retenue. Je n’allais pas non plus m’abaisser à frapper à la porte. « Asseyez-vous Monsieur Adams, nous attendons votre camarade et ensuite vous débuterez votre retenue. » Mon camarade ? A parce qu’en plus, je vais devoir me coltiner un imbécile durant une heure entière ? Génial, manquait plus que ça tient ! Je suis sûr que c’est un connard, déjà il est en retard. Imbécile. Enfin, trois coups résonnèrent à la porte. Je ne me retournais même pas. Cette personne n’avait pas à avoir l’honneur que je m’intéresse à elle. « Mlle Peters ! Asseyez-vous donc ! » Peters ? Peters comme Maxilynn Peters ? Eh bien, peut-être que je n’allais pas m’ennuyer finalement. Pas que je l’appréciais, loin de là, mais j’allais me faire un plaisir de l’humilier toute l’heure… sauf si le prof reste. Merde. Il est toujours là quand il ne faut pas lui ! « Donnez-moi vos baguettes. » Mon regard courroucé se posa sur le professeur. Génial, je fais comment moi pour faire morfler Peters sans ma baguette hein ? Quel gros con. De mauvaise grâce, je fus bien obligé de lui donner. Finalement, ça allait être vraiment chiant cette retenue. « Vous allez me recopier cinquante fois le règlement. Le paragraphe 8 pour vous Monsieur Adams, et le 5 pour vous Mlle Peters. Je vous laisse. Vous avez une heure, et pas de bêtise, sinon, vous serez collé tout le reste de la semaine. » C’est bon, il est content de nous avoir menacé ? Il peut toujours crevé pour que je perde toute ma semaine à voir sa tronche de Strangulot tous les soirs. Dès qu’il sortit, je me mis rapidement au travail, ignorant royalement Peters. Plus vite j’en aurais finis, plus vite je pourrais retrouver Faust. Hors de question que j’attende le retour du prof’, je fais la punition et c’est bon. Salazar, rappelez-moi pourquoi les paragraphes du règlement sont si long ? Je vais avoir mal à la main, c’est sûr.

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Message Sujet: Re: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeLun 20 Aoû - 12:54


MAXILYNN ET THEODORE
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Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche.


Maxilynn avait toujours été soucieuse de respecter le règlement du château. Ce n'était pas le genre de fille à sortir après le couvre feu ou à pénétrer dans la forêt interdite seulement pour braver l'autorité des professeurs. Il n'y avait qu'une seule règle du règlement qui lui avait maintes fois posée problème : celle concernant l'interdiction des sortilèges dans les couloirs. Depuis sa première année, elle était régulièrement la cible des sang pur qui se moquaient d'elle et poussait parfois le vice jusqu'à l'extrême, allant jusqu'à lui jeter des sortilèges qui n'avaient rien de gentils ou marrants. Au départ, Maxilynn n'était pas assez assurée pour se défendre face à eux. Mais depuis la fin de sa première année, et grâce à Alix Dolhov qui lui avait donné l'exemple en la défendant régulièrement, la jeune Poufsouffle se défendait bec et ongles contre ses agresseurs. La plupart du temps elle restait silencieuse face aux petites attaques mais dès que l'un d'eux faisait mine de sortir sa baguette, elle réagissait au quart de tour. Elle n'était pas la plus douée en sortilèges, ni la plus expérimentée, mais elle avait l'avantage de dégainer plus rapidement. Malheureusement, ces sortilèges de défense lancés aboutissaient régulièrement à des retenues. C'était une injustice, la plupart des sang pur s'en sortaient sans dommage. Mais Maxilynn ne bronchait pas : elle préférait être en retenue pour s'être défendue, plutôt que de finir à l'infirmerie pour avoir accepter les coups sans rien dire.

C'était précisément ce qui s'était passé ce mardi matin là. Un première année de sang pur avait décidé de s'en prendre à Maxilynn, sans doute pour essayer d'impressionner ses camarades. Mais la jeune fille avait été plus rapide et le garçon s'en était sortit avec un crache limace assez dégoûtant. Malheureusement, un professeur était passé au même moment et Maxilynn avait écopé d'une retenue. C'était donc la raison de sa venue dans la salle de retenue ce soir là. Elle avait espéré être seule, pouvoir recopier ses lignes tranquillement pour ensuite repartir étudier. Mais à peine avait-elle fait un pas dans la salle ouverte qu'elle se figea sur place. « Mlle Peters ! Asseyez-vous donc ! » Elle n'écouta pas. Il y avait déjà quelqu'un de présent dans la pièce, un autre élève collé et Maxilynn ne connaissait que trop bien cette silhouette, elle l'aurait reconnu entre mille. Il s'agissait de Theodore Adams, un Serpentard de sang pur qui avait décidé de faire de la vie de Maxilynn un enfer depuis son entrée au château. Elle le haïssait de toutes ses forces. Il s'en prenait toujours à elle, sans raison et il avait le dessus la plupart du temps. Passer la retenue avec lui allait compliqué. Sans doute que tout cela allait se terminer en duel.

Le professeur leur demanda de donner leur baguette et Maxilynn s'exécuta. C'était une bonne chose, au moins la retenue n'allait pas tourner en guerre. Elle savait qu'elle aurait sans doute perdu cette bataille contre lui. « Vous allez me recopier cinquante fois le règlement. Le paragraphe 8 pour vous Monsieur Adams, et le 5 pour vous Mlle Peters. Je vous laisse. Vous avez une heure, et pas de bêtise, sinon, vous serez collé tout le reste de la semaine. » C'était une punition bête, pas très intéressante. Les paragraphes du règlement étaient tous très longs, mais Maxilynn savait que le cinq l'était moins que le huit. C'était quelque chose d'insignifiant mais elle était assez contente. Elle s'installa à une table derrière Theodore, espacée de quelques mètres. Il se mit au travail et elle l'imita en silence. Peut être qu'en se dépêchant, elle aurait le temps de tout recopier en moins de deux heures. Elle écrivait vite, car elle était habituée à rédiger de longs devoirs. Cependant, au bout d'une dizaine de minutes, elle fut prise d'une crampe au poignet et fut obligée de lâcher sa plume. Elle le tourna légèrement mais la douleur était toujours présente. Bien. Elle allait devoir s'arrêter d'écrire pendant quelques minutes.

Elle jeta un coup d’œil à Theodore, toujours penché sur son parchemin. Elle hésita... Le professeur avait prit leurs baguettes et il était sans doute trop distingué pour se battre façon moldue. Les risques étaient vraiment minimes dans cette salle, il ne pouvait pas s'en prendre à elle. « Hé, Adams ! » C'était la première fois qu'elle l'interpellait de toute sa vie. En règle générale, elle essayait de faire profil bas en sa présence. Elle inspira une grande bouffée pour se donner du courage. Le but n'était pas de la provoquer, mais d'obtenir quelques explications quant à son comportement. Parmi tous les sang impur du château, il avait décidé de s'en prendre à elle. Et c'était encore le cas. Avec le temps, elle avait finit par penser qu'il y avait quelque chose sous cette haine. Theodore lui en voulait pour une raison bien précise et ce n'était sûrement pas parce qu'elle était issue d'une famille de sang pur déchue, actuellement sang mêlé. Quand le regard de Maxilynn croisa celui du Serpentard, elle prit son courage à deux mains. « C'est quoi ton problème ? » Élégance, classe, originalité ? Non, tant pis. L'essentiel était le fond, pas la forme.
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Message Sujet: Re: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeMar 21 Aoû - 18:25


J’avais décidé de faire la punition en entier, sans m’arrêter, peu importe la douleur. Je voulais même ignorer Peters. Le plus important, c’était Faust. Seulement, mes bonnes résolutions volèrent vite en éclat. J’avais vraiment mal à la main au bout d’un moment. Et impossible pour moi d’écrire de l’autre main, ce ne serait pas parfait et j’ai horreur des choses imparfaites. Super, il allait falloir que j’attende que la douleur passe. Ce qui signifie de précieuse minute en moins avec mon petit-ami. Non vraiment, c’était le moment tiens ! Et comme-ci cela ne suffisait pas, voilà que Peters me parle. Ok, je vais passer mes nerfs sur elle. Tant pis, je ne vois pas pourquoi elle serait tranquille alors que moi je suis à cran. « On dirait que tes deux misérables neurones on réussit à se souvenir de mon nom. J’en suis flatté. Tu dois avoir un mal de crâne insupportable. » D’ordinaire, je ne mâche pas mes mots avec Peters. Après tout, c’est une déchu. Hors de question que je la respecte. C’est limite pire que d’être Sang-de-Bourbe. Lorsque je suis énervé, je suis généralement encore plus impitoyable. Et ce, avec tout le monde – je suis peut-être plus gentil avec Faust. Quoique. Bref, quand je en colère, il ne vaut mieux pas me chercher. En tout cas, si vous avez un minimum d’instinct de survie. Or, quand je suis sur les nerfs ET frustré, là, c’est carrément du suicide que de m’adresser la parole. Parce que là, je deviens carrément cruel et sans pitié, et je me fiche totalement des conséquences. Elle a vraiment de la chance que je n’aie pas ma baguette sous la main. Je ne m’abaisserai jamais à utiliser la manière forte Moldue. Hors de question. C’est juste… non, juste non. Je suis même sûr que c’est pour cela qu’elle en profite. Parce qu’elle pense ne pas craindre grand-chose. Mais mes mots me suffisent. Amplement. Et elle va voir, demain, quand j’aurais dormi, que j’aurai eu ma session câlinage avec mon chéri et que j’aurai ma baguette. Tant pis si elle finit à l’infirmerie. Avec un peu de chance elle se défendra et ça deviendra vraiment drôle. « Actuellement, mon problème est ton insupportable voie de crécelle, ainsi que l’horrible odeur de Moldu qui émane de toi. » Me détournant d’elle, je testais la douleur à ma main. Ça va, c’était supportable, bien que je souffre encore. Mais hors de question de trop traîner. Je me remettais à l’écriture de mon règlement, pestant contre les profs qui donnent des punitions stupides et qui enlève les baguettes. Ça se voit bien que c’est un Poufsouffle, aucune imagination cet imbécile. Déjà, me mettre en retenue, moi, ce n’est franchement pas intelligent. Poussant un grognement, je cessais de nouveau mon écriture, la douleur revenant de plus belle. Génial. « Tempus » Oui, je connaissais quelques sorts sans baguette. Des trucs très basiques, du genre Tempus ou encore Accio. Mais ça pouvait toujours servir. Comme là. Je regardais donc l’heure en fumée qui s’afficha. 19h30. Déjà ? Je n’allais pas passer ma soirée ici quand même ! J’avais des choses importantes à faire moi ! Si seulement j’étais tout seul, j’aurais pu choper un petit et l’obliger à faire ma punition… attendez, pourquoi je ne le ferai pas ? Je m’en fous totalement de Peters. Quoique, elle était capable de le rapporter à son Directeur et dans ce cas-là, bonjour la semaine de retenue… ok, je vais devoir le faire tout seul. Fais chier.


Dernière édition par W.-Theodore K. M.-Adams le Sam 13 Oct - 18:43, édité 1 fois
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Message Sujet: Re: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeDim 2 Sep - 19:21


MAXILYNN ET THEODORE
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Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche.


Elle savait que parler à Théodore n'était pas vraiment une bonne idée. Il risquait de s'en prendre elle verbalement et physique, baguette ou pas. Et même si elle faisait la fière et essayait toujours de garder la tête haute en sa présence, il avait toujours le dessus sur elle et la faisait se sentir mal. Mais elle savait aussi que cet instant était le seul où elle pouvait avoir l'occasion de lui parler sans qu'ils en viennent aux baguettes. Elle voulait savoir, elle voulait comprendre. « On dirait que tes deux misérables neurones on réussit à se souvenir de mon nom. J’en suis flatté. Tu dois avoir un mal de crâne insupportable. » Évidemment, Théodore était méchant et dédaigneux. Elle ne s'attendait pas à avoir une conversation civilisée avec lui. Mais au moins une conversation. Elle ne détourna pas les yeux et essaya de regarder la tête froide, d'être forte. « Actuellement, mon problème est ton insupportable voie de crécelle, ainsi que l’horrible odeur de Moldu qui émane de toi. » Elle grimaça. Il ne la regardait pas, elle pouvait se le permettre. Elle détestait les remarques de ce genre même si elle essayait d'y être indifférente. Si elle avait du sang de moldu dans les veines, elle n'y pouvait rien. C'était un héritage qu'elle n'avait pas pu choisir, il lui avait été imposé. Et elle n'en n'avait pas honte. Ce sang de moldu qui coulait dans ses veines résultait d'une très belle chose : l'amour. Théodore ne risquait pas de savoir ce que c'était. D'aimer quelqu'un, de braver ses interdits pour lui, de renier sa famille et ses idéaux... Le Serpentard allait sans doute terminer sa vie mariée à une petite bourgeoise de sang pur aussi belle que froide, qui lui donnerait quelques héritiers pour la forme mais qui jamais ne lui confierait son cœur. Il était trop... malsain pour ça. Qui voudrait de lui ? Personne. Elle même n'aspirait pas au grand amour mais elle avait plus de chance de le trouver que Theodore Adams ! Devant la peu de réactivité de Theodore, elle décida de retourner à son parchemin. Sans doute qu'elle n'obtiendrait rien de lui.

Quelques secondes plus tard, elle s'entendit prononcer un "Tempus" pour avoir l'heure. Elle y jeta un bref coup d’œil. Ils allaient encore devoir se supporter pas mal de temps avant de pouvoir sortir de la salle. Pendant un instant elle envisagea de continuer sa retenue en silence, de laisser Theodore tranquille mais... Le fait qu'elle lui parle semblait le gêner. Bien sûr, sans doute pas beaucoup mais c'était là l'occasion rêvée pour Maxilynn de se venger. D'enfin se mettre en position de dominance, de jouer avec ses nerfs et pas l'inverse. « Ma voix est gênante pour toi ? Quelle dommage, j'ai tant de choses à te dire. » Elle eut un sourire satisfait et légèrement mauvais. Si peu habituel sur elle mais qui allait très bien avec son sentiment du moment. Elle se leva et s'approcha de Theodore. Elle s'étonnait elle même de sa propre audace ! Son corps tremblait légèrement - elle avait peur - mais elle continua tout de même sur sa lancée. Arrivée derrière lui, elle se pencha en avant et lui souffla à l'oreille : « Mais rien qui pourrait te plaire malheureusement. » Elle se recula assez vivement et repartit dans l'autre sens jusqu'à mettre une distance de sécurité entre elle et lui d'environ deux mètres. Au cas où il aurait envie de l'étrangler dans un élan de rage, elle aurait au moins le temps de réagir. « Tu sais à quel point je te porte dans mon cœur Adams... Ah, tu es tellement heureux et fier d'être un petit prince de sang pur. Mais je dois t'informer que la plupart du château te méprise. Et celle qui t'apprécie est loin d'être la meilleure partie... » Un soupir exagéré ponctua la fin de sa phrase. Elle voulait jouer avec ses nerfs. Mais ses petites piques n'auraient sans doute pas l'effet escompté. Elle décida alors d'adopter une attitude très enfantine et commença à chantonner : « Il est méchant le sang pur, c'est normal sa vie a été dure... Il n'a jamais eut d'amis, c'est normal il n'est pas gentil... »


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Message Sujet: Re: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeMar 18 Sep - 17:51


Poufsouffle est vraiment une Maison « poubelle ». Pourquoi ? C’est bien simple. Déjà, ils n’ont pas vraiment de « caractéritiques » propres à leur Maison. Ok, ils sont censés être loyaux. Mais bon, un Gryffondor c’est limite pire, un Serpentard ne trahit pas les siens et les Serdaigle… et bien, ce sont des Serdaigle. Un Poufsouffle ça ne sert à rien, en plus. Enfin si, de défouloir. De souffre-douleur. Ils sont beaucoup trop gentils, enfin de mon point de vue. Un Gryffondor c’est divertissant, il se défendra toujours – ou presque. Avec cette impulsivité à deux Noises et cette fâcheuse tendance à défendre la veuve et l’orphelin. Les Serdaigle, c’est génial pour tester ses connaissances. Franchement, battre un Serdaigle au niveau scolaire, c’est toujours jouissif. Quand je pense à la tête de ma sœur quand j’ai une meilleure note qu’elle… ça me rendrait presque sympathique. Malheureusement pour moi, ça n’arrive pas souvent. A part en Potions où là, bien sûr, je la surpasse, et ce depuis l’enfance. Son truc à elle, c’est l’Histoire de la Magie. N’importe quoi. Je me demande comment elle fait pour aimer ce cours. Elle pourrait passer des heures à lire des livres parlant de ça. C’est d’un chiant. C’est simple, la plupart du temps je n’écoute pas un traitre mot de ce que raconte le prof. Avec Oprah, nous avons pris l’habitude de nous mettre tout au fond, histoire d’être tranquille. Mes activités varient durant ce cours. Soit je rédige un brouillon de la lettre quotidienne que j’envoie à Faust, soit je discute avec ma meilleure amie, ou alors j’enquiquine un membre de l’autre Maison présent. J’aime particulièrement cette dernière activité. D’ailleurs, là, c’était Peters qui allait prendre, car elle me tapait vraiment sur les nerfs. Je n’avais pas ma baguette certes, mais je ferais sans. Le plus drôle, c’est qu’elle répond. Qu’est-ce qu’elle cherche ? Des ennuis ? Ça, c’est sûr, elle va en avoir. Il semblerait que la jolie petite plante carnivore qu’on avait introduite dans le dortoir de son année n’avait pas suffi à la calmer. Moment assez drôle d’ailleurs, de voir débarquer tous ces petits Poufsouffle entrain de pleurer, de hurler au scandale en insultant toute notre tablée. Ils n’avaient vraiment aucun sens de l’humour.

Sa voix me fit serrer les dents. Morgane, ce qu’elle pouvait m’énerver, c’était franchement un truc de dingue ! Je ne pourrais jamais finir cette fichue punition. Bon, prenons le temps de la remballer un minimum, histoire d’être tranquille. Après je m’occuperais plus…précisément de son cas. Un frisson de dégout me traversa en la sentant soudain proche de moi, ses cheveux effleurant mon épaule. Furieusement, je me retournais vers elle, mais déjà, elle s’était reculée. Peureuse. Elle n’assume même pas ses actes. « Tu penses sincèrement me faire peur Peters ? Tu ne sais pas ce qu’est-la peur. Et honnêtement, tu devrais prier pour ne jamais la connaître. » Je me levais également, m’appuyant contre ma table, les bras croisés. Mon visage se durcit en entendant ses prochaines paroles. « Tu ignores tout de ma vie. De plus, si je ne suis méprisé comme tu dis, c’est par des gens dans ton genre, ou des Sang-de-Bourbe. Je t’informe donc que je me fiche de cette misérable populace. Haïssez-moi si ça vous chante, ça ne m’empêchera pas de dormir. » Oui, j’étais bien avec mes quelques amis sincères. Ces personnes qui m’appréciaient pour qui je n’étais vraiment, et non pas pour mon nom, mon argent ou mes actes. Et puis, j’avais Faust et Alysson. Je n’étais pas seul, je le savais très bien. Seulement, avoir autant de monde qui ne m’aime pas, ça n’allait pas m’aider si je décidais de faire mon coming-out. Avoir la moitié du château sur le dos n’allait vraiment pas être facile à vivre. Mais bon, je n’en étais pas encore là. Sa petite chansonnette me fit ricaner. « Tu es vraiment puéril Peters. C’est ton côté Moldu qui te rend si pitoyable ou ton foutu caractère de Boursouflet ? » Je le reconnaissais, j’avais tendance à préférer parler avec des gens matures que des gosses de deuxième année. Dans mon entourage, il n’y avait que deux personnes qui échappaient à mes ricanements méprisant lorsqu’elles se mettaient à être immatures ; Faust et Alysson, encore et toujours. Le premier simplement parce que ça le rendait vraiment adorable et mignon à croquer – et ça, je ne l’avouerai jamais – et la seconde car j’adorais retrouver la joie enfantine de ma sœur par moment. Mais venant de Peters, c’était simplement méprisable. En fait, tout ce qui venait de Peters, à mes yeux, étaient méprisables.
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Message Sujet: Re: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeSam 22 Sep - 22:20


MAXILYNN ET THEODORE
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Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche.


Il se croyait maître, prince supérieur, petit roi en son royaume. Mais quel royaume au juste ? Tout ceci n'était qu'un mensonge. Théodore n'était qu'un petit fils pourri gâte par ses parents qui suivaient bêtement les idées farfelues de ces derniers. Sans doute que si il avait été élevé par d’autres parents, il aurait eut un caractère très différent. Quelque part il était lui aussi victime de ce monde. Mais jamais Maxilynn n'aurait pu avoir la moindre pitié pour lui. Elle haïssait Théodore de tout son être. Chaque partie de son corps, chaque molécule bouillait de haine envers lui. Il la faisait vibrer mais d'une façon négative. Quand il parlait elle se sentait vaciller, frêle petite créature. Elle ne se sentait pas plus faible qu'un autre, sauf en présence de Théodore. Il était le seul à avoir cet effet malsaine t mauvais sur elle. Un effet contre lequel elle ne pouvait rien malheureusement. Elle avait beau avoir des moments de courage et d'audace pour l'affronter, elle ne cessait jamais d'avoir cette boule au ventre dans ses présence. L'ironie c'est que sa relation avec Théodore était sans doute la plus intense qu'elle ait jamais connue. Elle n'avait jamais aimé autant quelqu'un qu'elle le haïssait, lui. Tout son corps, tout son esprit ressentait ce même sentiment. Malheureusement pour elle, ce n'était pas un bon sentiment.

« Tu ignores tout de ma vie. De plus, si je ne suis méprisé comme tu dis, c’est par des gens dans ton genre, ou des Sang-de-Bourbe. Je t’informe donc que je me fiche de cette misérable populace. Haïssez-moi si ça vous chante, ça ne m’empêchera pas de dormir. » Il faisait le fier, insultait et rabaissait une fois de plus les nés moldus. Il y avait bien longtemps que ce genre de propos ne la touchait plus personnellement mais il y avait toujours une petite partie de son être qui y était sensible. Rien de grand, rien d'assez puissant pour la faire réagir ou changer son humeur. Mais suffisamment pour s'emporter si une nouvelle phrase de travers était prononcée. Maxilynn était flamboyante : une étincelle lui suffisait pour s'embraser et tout détruire. « Tu es vraiment puéril Peters. C’est ton côté Moldu qui te rend si pitoyable ou ton foutu caractère de Boursouflet ? » Elle le toisa de haut en bas, le regardant avec un mépris et une prétention qu'elle ne s'était jamais connu auparavant. Visiblement, la peur des baguettes et sortilèges envolées, elle devait aussi méprisante que lui, adoptant le même genre d'attitude détestable. Mais Maxilynn n'était pas Théodore et ce regard fit bientôt place à celui plus simple de simple haine. Si un regard avait pu tuer, Théodore serait mort dans la seconde.

Elle fit quelques pas dans la salle, gardant le silence. Elle ne voulait pas surenchérir immédiatement. Elle savait que le Serpentard n'était pas d'une patience exemplaire et elle ne voulait pas l'énerver, pas encore. Pour une fois, c'était plus intéressante et utile d'avoir une conversation sans s'insulter ou se hurler dessus. Enfin leurs conversations étaient bien souvent encore plus brèves que cela. A peine un mot échangé que les sorts commençaient à fuser. Et malgré toute sa détermination et son entrainement au club de duels, Maxilynn perdrait souvent. Théodore avait l'avantage de l'expérience et des connaissances plus élargies. Elle finit par se positionner face au jeune homme, les fesses posées une table. Elle avait tout de même laissé une table entre eux, pas mesure de précaution. Les vieux réflexes. « Je ne suis pas puérile Adams. Je réponds juste à tes provocations inutiles et débiles. » Elle faisait la fille intelligente, avec un petit air supérieur sur le visage. Comme il était un gamin à qui on expliquait une chose très simple avec une immense patience. Elle n'allait quand même pas lui faire le plaisir de montrer l'effet qu'il avait sur elle ! A quel point il l'effrayait. Devant Théodore Adams, Maxilynn Peters n'était qu'une enfant sans défense dans son cœur mais personne ne devait le savoir. Elle réussissait presque toujours à sauver les apparences. « Allez, dis-moi. Qu'est-ce qui te rend si supérieur aux autres ? » Et elle ajouta, désireuse d'enfin comprendre sa haine envers elle : « Qu'est-ce qui me rend si détestable à tes yeux ? »


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Message Sujet: Re: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeSam 13 Oct - 18:41


Ma soirée était définitivement ruinée. Au lieu de passer du bon temps avec Faust comme prévu, et ensuite de discuter avec mes amis, je me retrouvai coincé en retenue avec Peters. Franchement, le sort s’acharnait contre moi. Je n’avais franchement pas envie de supporter les gamineries de la petite Poufsouffle. Je la détestais, je la méprisais, je la rabaissais à chaque fois que je le pouvais alors vraiment, passer ma soirée avec elle ici ne m’enchantait pas du tout. Surtout que maintenant que nous nous étions mis à discuter, il m’était impossible de retourner à ma punition. Ce serait comme m’incliner face à elle. Et ça, c’était hors de question. Je ne m’incline devant personne, jamais. Je ne l’avais jamais fait, et ce n’est pas prêt de commencer. Même devant les chefs de ma famille, donc mon père et mon grand-père, je refuse de montrer le moindre signe de faiblesse ou de soumission. Je leur obéis certes, mais ils savent très bien que je ne ferai pas n’importe quoi, qu’il doit toujours y avoir un intérêt pour moi. C’est ainsi. Du respect ok, de l’admiration à la limite, mais rien de plus. Et ça, ce serait toujours ainsi. Bien que je doute que mon paternel et que le chef de famille acceptent un grand sourire de savoir que je n’ai pas franchement comme projets de me marier avec Iris comme prévu. Même si je n’en étais pas encore là, certes. Non là, ce qui importait, c’était de se débarrasser de Peters. Et vite, si possible.

« Si Peters, tu es immature. La preuve, tu réponds à mes provocations comme tu le dis si bien. Si tu étais un peu plus mature, tu m’ignorerais. Or, tu es incapable de passer outre. »
Je n’aime pas trop la tournure des évènements. Elle est un peu trop sûr d’elle vu que nous somme désarmés, et je n’apprécie pas beaucoup qu’elle ne soit pas morte de peur face à moi. On s’habitue vite au respect. Sauf que là, c’est vraiment de l’insolence le comportement qu’elle adopte. Elle sait très bien que j’ai toujours le dessus sur elle. Elle me doit donc le plus des respects, et ce, en toute circonstances, tout en priant pour que l’épargne. Chose qui, bien sûr, n’arrivera jamais. « T’expliquer cela serait bien trop long Peters. Garde juste en mémoire que je te suis naturellement supérieur. » Je sens que je vais bien me défouler sur elle demain. Ce soir elle s’en sortira peut-être mieux que d’habitude, mais demain, il lui faudra plusieurs jours pour s’en remettre. Parole d’Adams. Mes muscles se tendent à sa dernière question. Elle ne sait même pas. On ne lui a jamais raconté. On doit sûrement trouver cela trop insignifiant de sa petite famille de déchu. Mais dans ma famille à moi, on prend cela très au sérieux. Et on est sacrément rancunier. Il était hors de question que je la laisse s’en sortir, alors que je peux venger ma famille. « Ton père ne t’a donc jamais raconté ? Il devrait pourtant payer son affront de sa vie. » La conversation tourne mal, je confirme. C’est un terrain glissant, je perds souvent mon calme lorsque l’on mentionne la mort de mes tantes. Et il est hors de question que je perde le contrôle face à Peters. Peu importe comment, je trouverai le moyen de tourner la situation en ma faveur.

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Message Sujet: Re: Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn   Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche FT Maxilynn Icon_minitimeDim 21 Oct - 19:04


MAXILYNN ET THEODORE
__________________________________________________________________
Pouffy et Serpy sont en retenu, Pouffy ouvre sa bouche.

« Si Peters, tu es immature. La preuve, tu réponds à mes provocations comme tu le dis si bien. Si tu étais un peu plus mature, tu m’ignorerais. Or, tu es incapable de passer outre. » Maxilynn lui jeta un regard dédaigneux. Voilà que Théodore Adams lui semblait bien inoffensif d'un coup : sa seule attaque constituait à lui dire qu'elle était immature. Elle l'avait connu plus en forme. Mais ce n'était pas désagréable. Elle se sentait, pour la première fois de sa vie, en situation d'égalité avec Théodore. Et le sentiment qui l'animait à cette idée était aussi agréable que perfide. « T’expliquer cela serait bien trop long Peters. Garde juste en mémoire que je te suis naturellement supérieur. » Elle eut un sourire provoquant. Non, Théodore ne lui était pas naturellement supérieure, ça, elle en était sûre. Les sang pur étaient des sorciers comme les autres, c'était une chose très importante que lui avait enseigné son grand père. Malgré toute son arrogance, Théodore était au même niveau qu'elle. Son sang n'avait aucune importance, et de même pour son prétendu statut princier. Il était un sorcier, tout comme elle et la seule supériorité qu'il avait c'était celle qu'elle lui donnait en ayant peur de lui.

Maxilynn se sentait pousser des ailes, et s'avança sur un terrain en pente. « Ton père ne t’a donc jamais raconté ? Il devrait pourtant payer son affront de sa vie. » Elle fronça les sourcils de surprise. De quoi Théodore parlait-il donc ? Jamais ses parents n'avaient évoqué la famille Adams devant elle, et pourtant de nombreux noms de familles de sang pur avaient déjà été évoqués. Elle s'imagina un instant qu'il mentait et voulait simplement la perturber. Mais elle réalisa que si c'était réellement le cas, il l'aurait attaqué sur un autre sujet et pas celui de la famille. C'était trop subtil et trop bas, même pour lui. L'air fier et sûre d'elle qui était apparut sur son visage quelques minutes plus tôt finit par disparaitre complètement. Maxilynn était de nouveau faible et ignorante devant lui, elle se détestait pour ça. « Et qu'a t-il donc fait de si grave et important à tes yeux ? » Théodore avait sans doute tendance à exagérer mais pour qu'il parle ainsi, le père de Maxilynn avait sans doute dû commettre un acte grave, du moins à ses yeux. Et la jeune fille avait beau réfléchir, elle ne parvenait pas à se rappeler que son père ait commit quoique ce soit de si important, que ce soit en bien ou un mal. Il lui avait semblé que son père avait une petite vie bien rangée d'employé du Ministère de la Magie. Ses parents lui avaient-ils cachés quelque chose ? La Poufsouffle avait confiance en eux et aurait rétorqué que non. Ce devait être évènement de moindre importance, mais que Théodore avait prit à cœur pour une raison obscure.

« Dis-moi tout Adams, que je sache enfin pourquoi je mérite tant de haine. » Même si elle venait enfin de comprendre que, peut être, toute la haine que Théodore Adams lui portait n'était au fond pas dirigée contre sa personne même. Et si il la détestait à cause de sa famille, et plus particulièrement de son père ? Au fond cela la perturbait. Elle avait qu'on l'avait toujours détesté et mise de côté à cause de sa famille, de son nom mais n'avait jamais imaginé une seule seconde qu'on pouvait la haïr à cause d'action de sa famille. Elle attendit en silence la réponse du Serpentard, un peu anxieuse face aux révélations qu'il pourrait lui faire. Elle ne voulait pas perdre encore la face devant lui. Maintenant qu'elle avait trouvé le pied d'égalité, elle voulait le garder. Et ce n'était pas une petite histoire de famille dont elle ignorait tout qui allait la déstabiliser !


→ lumos :
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