NOM: Chaplin. PRÉNOMS: Arthur Azraël. AGE: Dix-neuf ans. ANNÉE: Sixième année d'étude. STATUT: Célibataire. PURETÉ DU SANG: Mêlé. MAISON SOUHAITÉE: Serpentard. PARTICULARITÉ: Il ne possède aucune faculté spéciale.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Si Azraël venait à trouver les réponses du prochain devoir de potion, il ne s’en servirait pas futilement à copier simplement ce qui est écrit là-dessus. Non. Tout simplement parce que ça serait indigne de l’éducation donnée par ses géniteurs. Mais ça ne serait pas pour honorer les Chaplin qu’il ne se laisserait pas aller à de telles bassesses que de recopier la feuille. Il se contenterait de faire lui-même son devoir, en se poussant à se surpasser pour avoir une note satisfaisante. Déterminé à réussir avec excellence son année pour se montrer à lui-même qu’il en est capable, Azraël vérifierait certainement ses réponses avec celle de la feuille. Par pure précaution. Vous comprenez ? ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Il n’essayerait tout bonnement pas de l’aider. Pourquoi ? Non parce qu’il ressemble à tout stéréotype du Serpentard, qui adore voir les autres souffrir plutôt que lui-même. Mais tout simplement parce que s’il venait à tomber sur une bande de sang-purs, Azraël sait pertinemment qu’il se serait attiré des ennuis. Oui, car il faut avouer que les sang-purs prennent du grade ces derniers temps. Même s’il adore les provoquer, répondre à leurs pics par du sarcasme boutant, Azraël n’userait pas assez de subtilités et de fourberies que pour pouvoir s’en débarrasser décemment. Comme il aime tant le faire.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement puni votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Azraël est connu pour son côté emmerdeur. Il se voue à une véritable passion qu’est d’ennuyer ceux qui prennent leurs airs hautains et condescendants avec les autres, parce qu’ils se pensent supérieurs. Agacé par ce genre de comportement, le jeune homme n’hésiterait pas à concocter une petite vengeance personnelle pour cet élève. Tortures ? Sûrement pas. Trop barbares et bien trop attendus de tous les Serpentards. Une vengeance subtile, douloureuse, qui pourrait prendre un temps fou. Oui. Parce que plus ça prend de temps, plus les recherches, faites par Azraël sur l’élève, ont été fouillées. Et donc, plus il a d’élément, plus il est capable de faire de gros dégâts psychologiquement. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Azraël a été drillé par son géniteur de telle sorte à ce qu’il ne pense plus qu’à l’honneur de sa famille. Si l’ambition de son père est d’avoir des projets comme le mariage avec une famille sorcière de renommée pour la gloire et la richesse pour son fils, celle d’Azraël serait plutôt d’acquérir assez de sagesse pour pouvoir avoir assez de recul sur sa vie, ou le monde magique en général. Mais ça, qui pourrait réellement le croire ? Parfait petit emmerdeur, gamin de merde, stéréotype du Serpentard. Azraël, lui, se voit juste comme l’anti-héros des actes héroïques.
Dublin, 1967.
Il était assis à la table de la salle à manger. Il disposait tranquillement ses crayons de couleurs, de façon à ce qu’ils soient parfaitement alignés. Il observa minutieusement un arc-en-ciel coloré se dévoilant devant lui. Une feuille vierge était placée en face de lui, attendant patiemment d’être gribouillée par le garçon. Il attrapa alors un crayon bleu et s’afféra à dessiner de petits nuages cotonneux. Il prit ensuite le jaune pour faire un soleil et le vert pour faire une herbe douce, claire, qui lui faisait de l’œil. Azraël prenait soin de ne pas dépasser de sa feuille. Il admirait le paysage qu’il créait de toutes pièces. Un petit bout de paradis dans lequel il pourrait s’épanouir. Dans lequel il aurait pu s’épanouir. « Arthur ? » La voix de sa génitrice l’atteignit. Instinctivement, il s’arrêta de colorier l’herbe fraîchement verte. Il déposa le crayon et regarda sa mère s’approcher de lui, avec un air agacé au visage. « Range-moi ça. Les Ailbhe vont arriver d’une minute à l’autre. » Elle soupira et disparut aussitôt dans la cuisine. Azraël rangea ses affaires avec précaution et les mit dans l’une des armoires de la maison. Les Ailbhe étaient une autre famille de sang-mêlé, avec laquelle ses géniteurs s’étaient liés d’amitié pour une quelconque raison. Trop jeune pour comprendre de quoi il en retournait, il attendit les instructions de son père. Mr Chaplin. L’homme qu’il était censé aimer. Son père. Il l’aimait. Malgré les gifles qu’il lui donnait parce qu’il ne faisait pas ce qu’il voulait comme il le fallait. Azraël n’avait que six ans. Fils unique des Chaplin. Il était déjà prédestiné à se marier avec la fillette des Ailbhe. Mariage prestigieux. Union des familles. Richesse. Un vrai rêve éveillé pour les parents. Debout devant la porte d’entrée, la sonnette retentit dans toute la maison. Ils étaient tous parfaitement présentables, habillés de façon bourgeoise. Le père ouvrit la porte, alors qu’un homme, une femme et deux enfants attendaient. Imbriqué dans une éducation parfaite, Azraël invita les deux frères et sœurs pour parler. Oui. Langage peu commun pour dire jouer. Passant la soirée à la table des adultes sans ciller, ils ne s’échangèrent que quelques regards enclins à faire une bêtise. « Alors Arthur, comment trouves-tu ma charmante petite Siobhàn ? » Il esquissa un sourire par politesse et observa la fillette qui avait un an de moins que lui. Ils étaient encore de simples enfants qu’on leurs demandait ce genre de choses. « Elle est belle. » Répondit-il. Il ne le pensait pas vraiment, ne savait pas encore juger de ce genre de choses. Mais puisqu’il lui fallait lui dire, il se contentait de l’avouer. Sans grande franchise ou sincérité. « Qu’ils sont mignons ! » Déclara Mme Ailbhe. Azraël se contenta de se taire, attendant tranquillement l’entrée du repas.
Poudlard, 1972.
Azraël se tenait devant un mur. Étroit. Solide. Un panneau indiquait la voie neuf. Qu’était-il censé faire au juste ? Foncer adroitement dans ce mur, en poussant son chariot pour atterrir à la voie neuf ¾. Nerveux, il observa une autre famille de sorciers virer droit devant lui. Ils disparurent aussitôt. Personne ne semblait le remarquer. Inspirant une grande bouffée d’air, le garçon, âgé de onze ans, se lança donc à la conquête du Poudlard Express. Il trotta d’un pas rythmé, lança son chariot en avant en s’y accrochant fermement et traversa cette espèce de mur. Passé de l’autre côté, son géniteur l’y attendait. Il discutait avec plusieurs autres parents de sorciers, alors qu’il amenait son chariot près des soutes, afin d’y trouver une place pour ses affaires. Quelqu’un s’en occupa pour lui. Reculant, Azraël observa longuement ce train rougeoyant. Il semblait comme neuf. Élégant. Impressionnant. Il était admiratif devant une telle merveille. Un premier coup de sifflet lui brouilla les tympans. Une foule s’amassa tout autour des multiples entrées des wagons. Il se retourna, revînt vers son paternel. « Il est temps, Arthur. » Il respira profondément. « Rends nous fier de toi. » Il saisit son regard perçant, qui le refroidit d’un coup. Azraël baissa les yeux et s’extirpa pour monter dans un wagon. La plupart des élèves se connaissait déjà. Ils parlaient de leurs vacances, de sujets en tout genre. Il se trouva une place dans une cabine, et alla s’asseoir dans un fauteuil. Il appuya sa tête contre le dossier, fixa les multiples adultes qu’il voyait à la fenêtre. Les mères pleuraient, faisaient de grands signes, alors que les pères se contentaient de sourire. Sauf le sien qui préférait l’ignorer et parler à un inconnu. « Je m’appelle Berlioz. » Il se retourna vers l’enfant qui venait de lui adresser la parole. Il sourit. Azraël le détailla. Il avait les cheveux châtains foncés avec les yeux verdâtres. Il paraissait plutôt grand pour un garçon de onze ans. Il devait être plus grand que lui. Et plus basé. « Ar… Azraël. Je m’appelle Azraël. » Il n’avait jamais aimé son prénom. Azraël avait une consonance qui lui plaisait. Un son mélodieux. Ainsi, ils commencèrent tous deux à discuter de Poudlard. Cette fameuse école de magie dans laquelle ils allaient étudier pendant dix mois. Une fois arrivé à destination, tous les élèves descendirent et rejoignirent des barques pouvant contenir jusqu’à trois élèves, en plus d’un adulte. Berlioz et Azraël s’immiscèrent dans l’une d’entre elles et restèrent bouche-bée devant le château qui s’offrait à eux. Magnifique. Géant. Énorme. De nouveau : Impressionnant. La traversée de ce lac fût plutôt rapide. Il sentait le vent frais lui fouetter le visage, bien qu’il n’y faisait pas spécialement attention. Arrivé sur la terre ferme, les élèves de première année suivirent une vieille femme qui leurs expliqua ce qui allait se passer pendant la cérémonie de répartition. Quelques dizaines de minutes plus tard, il se tenait planté devant quelques centaines d’élèves assis à quatre tables différentes. Azraël se rendait bien compte qu’il ne pouvait pas échouer. Déterminé à réussir ses années quelle qu’en soit la façon, il fût coupé dans cette pensée. « Arthur Azraël Chaplin. » Il s’avança, alla s’asseoir sur le tabouret, alors que le choipeaux vînt se choir sur sa tête. Il cogita durant de longues secondes. Les battements de son cœur s’accélérèrent. Quelle maison ? Gryffondor ? Poufsouffle ? Serdaigle ? Serpentard ? Le verdict tomba. « Serpentard ! » Un tonnerre d’applaudissement se fit entendre à la table du fond. Il sourit. Comme satisfait. Sans vraiment savoir pourquoi.
Poudlard, 1978.
Il était assis sur l’un des rebords de fenêtre de la volière. Il lisait promptement les bassesses, dont son géniteur lui faisait part dans une lettre, qu’il avait envie de balancer dans le feu ardent de sa salle commune. À chaque fois qu’Azraël daignait jeter un coup d’œil à ce que son père lui envoyait, il avait l’impression d’y lire les mêmes mots, les mêmes propos. Le Serpentard devait le rendre fier, avoir d’excellentes notes et se rapprocher des plus grosses fortunes. Mais où allait le monde ? Esquissant un sourire narquois, il réprima un rire sarcastique à l’encontre de ces dires. Il déchira la lettre sans même prendre la peine d’y répondre et la jeta. Azraël avait changé depuis ces dernières années, durant lesquelles il était passé du fils modèle à un pseudo rebelle s’insurgeant contre les stéréotypes. Depuis quand un Serpentard devait-il simplement être fourbe et roublard ? Depuis quand devait-il détester les Gryffondors sous prétexte d’une guerre qui durait depuis des décennies ? L’adolescent s’était décidé à n’en faire qu’à sa tête, ce qui ne plaisait absolument pas aux fils à papa. Ces derniers lui menaient la vie dure, bien qu’il s’amusait à leurs rendre la monnaie de leurs pièces. Ne pouvant plus supporter les règles et hiérarchies imposées, Azraël s’en était retrouvé à s’extirper de ce cercle vicieux pour se créer ses propres relations, son propre caractère, son propre statut. Un anti-héros. Situation cocasse, lorsqu’on savait qu’il s’était entièrement plongé là-dedans durant ses premières années passées à Poudlard.
« Tes boursouflets t’ont quitté, Chaplin ? » Il leva son regard à l’encontre d’un Serpentard. Il avait ce regard glacial et ce sourire supérieur qui le surplombait. Goran devait être ce qui s’apparentait le plus à son opposé. Il avait des cheveux châtains clairs, qui tiraient vers le blond, et des yeux bleus saillants, dans lesquels il avait l’impression qu’une tempête de neige s’y déroulait. Mais malheureusement pour Goran, il n’avait pas l’étoffe charismatique qui pourrait dissuader Azraël de le laisser tranquille. Esquissant un simple sourire amusé, il se contenta de continuer son chemin. L’ignorance. Ah. Une arme puissante que peu de Serpentards acceptait. Mais il était toujours agréable de voir ces derniers prendre des teintes aussi vives que le rouge des Gryffondors. « Tu t’avoues déjà vaincu, Veracrasse ? » Instinctivement, Azraël se retourna pour lui faire volte-face, avec un regard rieur. « Je quitte mon boursouf de compagnie. » Il le désigna et marqua une pause. « Comprends-moi. À force de te goinfrer de petits gâteaux, l’appellation « boursouflet » n’est plus vraiment appropriée pour toi, Gro. » Il lui fit un clin d’œil et disparut de la pièce, laissant Goran bouillir de l’intérieur sous la désinvolture du brun.
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Aaron Johnson. AGE: 17 ans. PRÉSENCE SUR LE FORUM: 4/7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: Avec la pub sur bazzart. TES IMPRESSIONS: Il a l'air plutôt coul. ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: .
Dernière édition par A. Azraël Chaplin le Mer 31 Oct - 10:54, édité 23 fois
Lumen Macmillan
CŒUR DE LIONNE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/08/2012 + PARCHEMINS : 5770
Bienvenue parmi nous bonne chance pour ta fiche et n''hésites pas si tu as la moindre question! Aaron est un très bon choix d'avatar en passant, ton avatar est sublime
Aaron est de nouveau disponible, le membre qui l'utilisait était inactif depuis des semaines et a été supprimé
Je te fais pas de demandes en mariage, mais tu me gardes un super lien hein
Merci.
Ah. Beh voilà. Non mais Aaron est tellement OIFIDNFGISWN.
Dommage. Je te le garde au chaud, rouquine.
N. Alix Dolohov a écrit:
LE PSEUDO
Bienvenue parmi nous bonne chance pour ta fiche et n''hésites pas si tu as la moindre question! Aaron est un très bon choix d'avatar en passant, ton avatar est sublime
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Dim 28 Oct - 15:46
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Bonne chance pour ta fiche. 
*out*
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