NOM: Cardinael. PRÉNOMS: Rousvelt Apple. AGE: 16 ans. ANNÉE: Troisième année. STATUT: Présidente du club des célibataire endurcie. Autrement dit, c'est coeur à prendre !!! Enfin, si vous trouvez son coeur. PURETÉ DU SANG: Née moldue. Le nouveau virus à la mode. MAISON SOUHAITÉE: Poufsouffle. PARTICULARITÉ: Bisexuelle.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Tu regardes autour de toi et tu fourres le parchemin de réponse dans la poche de ton blouson. Tu pourrais bien évidemment revendre l'information, voir toutes les cancres de la classe réussir haut la main, cela mettrais forcément la puce à l'oreille du professeur. Tu triches? Evidemment. Puis, qui le destin a envie de te donner un petit coup de pousse, tu ne vas certainement pas l'envoyer balader. ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ?Tu te poses contre un mur et tu regarde comment le petit première année s'en sort, si ça va trop loin tu fonces dans le temps. T'es pas spécialement lâche, mais ce n'est certainement pas en intervenant que tu l'aideras. Faut que ce môme apprenne à s'en sortir tout seul, tu ne seras pas toujours là pour lui sauver la mise.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ?Tu hurles, tu cries au scandale et tu t'insurge, quitte à te prendre une autre punition pour ton impertinence. Mais au fond, tu adores te faire passer pour la victime et être le centre de l'attention. En plus, il faut être lucide, la plupart du temps, ce sont les autres élèves qui se font punir pour l'une ou l'autre de tes frasques. Tu n'es pas mauvaise, c'est juste que tu ne prends rien au sérieux, tu passes au dessus de tout. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Hm. Tout? Non. Hm. Donc, tu pencherais pour la richesse, parce qu'on a beau dire que l'argent ne fait pas le bonheur, il y contribue LARGEMENT. Puis en étant riche, tu pourras atteindre l'amour et la célébrité. Enfin quand tu parles d'amour, c'est toujours à sens unique. Tu peux éprouver du désir, de l'attirance, mais de l'amour, certainement pas. Puis, en tant que grande égocentrique au coeur de pierre, tu préfères être aimée plutôt qu'aimer. Quand à la sagesse... Il paraît qu'il faut être fou pour vouloir être sage dans un monde de fou. Alors... La richesse, c'est très bien la richesse.
Les verres se brisent, les assiettes volent à travers la pièce, les cris résonnent dans la pièce. Personne ne prend conscience de ta présence, ni ton père, ni ta mère, ils sont bien trop occupé à se déchirer et à se détruire. Les larmes roulent sur tes joues. Désillusion précoce, tu te fais une promesse, celle de ne jamais tomber amoureuse. Tu en souffres trop. Ils en souffrent trop. le problème, c'est qu'ils se cachent, ils sauvent les apparences. Ils se déchirent faute de pouvoir se séparer. Que penserait les gens s'ils venaient à divorcer? Mais ce que l'on oublie de dire, ce que les gens ne savent pas, c'est qu'une fois que la porte se referme, les disputent reviennent et les déchirent. Ce que les gens ne savent pas, c'est qu'un divorce les libérerait. Ils se sont aimé, ils se sont aimé et leur amour était pure, sincère, passionnée. Puis, leur amour a manqué de souffle et a fini par s'éteindre. Toi, tu es l'enfant de la dernière chance, l'enfant qui devait sauver le mariage. Tu as été tout le contraire. Tu aurais voulu pouvoir panser leurs blessures, mais le mal était déjà fait et les plaies étaient bien trop profondes. Ton père saisit les poignets de ta mère. Elle lutte furieusement, essayant de se dégager de son étreinte. Elle hurle toujours, elle se débat, mais elle ne semble être qu'une vulgaire poupée de chiffon alors qu'il la secoue. Tu laisses échapper un cris, strident, aigu. Tu fermes les yeux. Serrant les poings tellement fort que tes ongles s'enfoncent dans ta chaire. Mais ce qui te fait le plus mal, c'est de les voir se haïr. Les mains se crispent contre tes tempes. Soudain, la porte claque, sans que personne ne s'en soit approcher. Et bientôt la porcelaine explose, sans que ses parents aient besoin de se les lancer à travers la pièce. Ils se figent, ne comprenant pas ce qui se passe. Toi, tu sais que cela vient de toi. Tu t'es sentie envahie par une force surhumaine et jouissive. Tu ouvres les yeux avec lenteur, laissant ton regard prendre conscience du désastre que tu as provoquer. Le souffle court, la respiration haletante, les battements de son coeur cognent contre sa poitrine. Et à présent, le silence. Ils se toisent, incapable de prononcer le moindre mot, tout deux figés par la peur que leur inspire l'inconnu. Tu as pris goût à ce sentiment. Tu l'as instinctivement associé à la destruction et au chaos. Tu donnerais n'importe quoi pour connaître à nouveau ce bien être et cette sensation de plénitude.
Tu as une vie marginal. Tu es marginale. Tu es une enfant du divorce. Tu es une sorcière. Tu es une née moldue. Tu désires les filles. Tu désires les garçons. Tu es une désillusionnée. Tu n'attends rien de la vie. Tu emmerdes la vie. Tu consommes la vie. Tu es insatiable. Tu détruits tout ce que tu touches. Tu ris. Tu pleures. Tu ris. Tu danses. Puis, tu ris encore.
Tu fais chier Cardinael. Il serre les dents, sa mâchoire se crispe alors que ses lèvres effleurent ta peau. Il inspire, laissant les effluves de ton corps l’enivrer. Si fort et pourtant si faible, il se sent obligé de te brutalisé, faute de pouvoir te résister. C'est un homme frustrée. Tu es tout ce qu'il déteste et pourtant, tout ce qu'il désire. Il te repousse, sans la moindre délicatesse. Ta tête se heurte au mur. Tes lèvres mutines laissent échapper un rire, une ultime provocation. Tu savoures son calvaire. Il a beau te dominer physiquement, tu es celle qui mène la danse. Entre tes doigts experts, il n'est qu'une vulgaire marionnette, un pantin dont les ficelles s'entremêlent. T'es mon enfer, Cardinael. Il prend son visage entre ses mains et toi, tu ne trouves rien de mieux qu'avancer ta main pour saisir la cravate de son uniforme pour l'attirer à toi. Tu sais pourtant, que cette proximité le tue. Tu sais ce qu'il pense des nées moldus comme toi. A ses yeux, tu n'es qu'une vermine, une erreur de la nature, une abomination. Te désirer, c'est sa punition pour ses idéaux et ses principes stupides qui lui crient de t'insulter, de t’injurier et de te rabaisser. Après moi, l'enfer te semblera n'être qu'une douce agonie. Tu ne prends même pas la peine de lui mentir. Tu es pourrie, détestable et malveillante, tu n'es te cache pas, au contraire, tu es plutôt fière de ce que tu es. Tu mènes une croisade contre les apparences et contre les idéaux ridicules d'un monde qui ne tourne plus rond. Tu t'es laissé submerger par la noirceur, par l'enfer et la folie du monde dans laquelle tu t'enfonces chaque jour un peu plus. Le truc, c'est que plus tu t'enfonces, plus tu t'extasies de cette vie que tu mènes, en dehors des règles de vie. Tu as conscience de l'impact de ton comportement, mais après tout, n'est ce pas pas ce que tu veux? Que l'on parle de toi, que l'on se choque et que l'on s'insurge de ton culot. Toi, tu fais la nique au conventionnel. Toi, tu te ris des vies bien rangées des uns et des autres. Toi, tu es en dehors, tu t'approprie une liberté que l'on ne t'a jamais offerte. Tu n'en fais qu'à ta tête.
Tu joues avec le feu. Tu te brûles les ailes. Tu creuses ton propre trou. Tu adores ça, t'enfoncer dans les méandres de ton existence. Tu joues avec l'ironie de ta vie. Tu accentues les vices condamnés par la société. Tu les choques. Tu heurtes leur sensibilité. Tu savoures.
Couchée côte à côte, tu sens le souffle chaud et délicieux de ta meilleure amie parcourir ton corps. Tu n'oses pas respirer, de peur de la réveiller et qu'elle ne brise l'étreinte qu'elle a formé autour de ton corps, bien malgré elle. habituellement, vous ne dormez jamais ensemble, mais hier, l'orage grondait, alors, elle s'est glissé sous tes drap, pour t'apaiser. Son corps contre le tient. Tu la désires comme tu ne l'as jamais désiré. Vous êtes fusionnelle, il n'y a aucune frontière entre vous, aucune ambiguïté, aucune limite. Vous agissez tantôt comme des amies, tantôt comme des soeurs, tantôt comme des amantes. Tu n'oseras jamais lui avouer à quel point tu la désires, à quel point son corps t'obsèdes, à quel point les traits de son visage te fascine. Elle est d'une beauté renversante, troublante, éblouissante. Tu ne l'aimes pas. Ce n'est pas de l'amour, pas réellement. Et soudain, ses lèvres viennent se marquer ta peau et son murmure t'appelle. Rousevelt. Tu trésailles. Tu mords l'intérieur de ta joue. Son nez effleure alors ton omoplate, avant que son menton ne vienne se poser contre ton épaule. Ses bras t'enlacent toujours, ça n'a pas l'air de la déranger. Tu finis par t'extraire de cette divine prison, craignant de ne commettre l’irréparable. Tu te relève, le bout de tissus qui redescend sur tes cuisses sans pour autant caché grand chose. J'aime les filles. Un baîllement se fait entendre, tu regardes par dessus ton épaules et tu la vois s'étire, féline tentatrice. Tu n'aimes personne. Tu laisses échapper un rire, franc. Tu détournes ton regard de lui. Tu sens toujours son regard poser sur ton dos, mais cela ne t'empêche pas de te débarrasser du t-shirt qui te sert de robe de nuit. Alors disons que je les désir. Sans la moindre gène, tu pioches un t-shirt dans l'armoire de ton amie. Il n'y a pas de frontière entre vous, pas de possession, ce qui est à l'une et aussi à l'autre.C'est un t-shirt noir, un t-shirt d'un groupe sorcier et vogue, les Croque Mtitaines. Tu l'enfiles. Elle, elle te regarde toujours, le visage posée dans le creux de sa main, accoudé au lit. Je n'ai jamais vu quelqu'un désirer autant les garçons. Tu soupires et ris d'un même temps. Tu reviens vers elle, un jeans à la mains. Alors disons que je désir les deux. Tu déposes un baiser contre son front. Elle sourit, elle hausse vaguement les épaules. A croire qu'elle ne veut pas le comprendre. Elle se laisse retomber dans le lit, s'étirant à nouveau. Toi, tu enfile difficilement le jeans trop serré. C'est une mode moldue. Tu as recousu toi même les bords de ton pantalon, à tel pot que tu as beaucoup de mal à y passer tes pieds. ne parlons pas de la fermeture. Ton jeans est comme une deuxième peau. Où est ce que tu vas comme ça? Voir Lux. Qu'est ce que tu m'énerves avec ton Lux...
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Cara Delevigne. AGE: 22ans. PRÉSENCE SUR LE FORUM: 7/7 jours. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: C'est ma funky qui m'a tenté !!! Et moi? Ben je cède TOUJOURS. TES IMPRESSIONS: J'ai cédé, non? ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: écrire ici.
Dernière édition par Rousevelt A. Cardinael le Mar 11 Sep - 16:11, édité 32 fois
Tagadaaaaa, je suis le mal en personne. Bienvenue ma grunchy d'amuuuuuur. J'ai trop hâte de lire ta fiche, toussa toussa. (a) - mais bon, faut changer le Pina, darling -