3ème groupe : - Aiden Prewett - Barry G. Brown - Delilah MacCarthy - Ebony M. Lancaster - Néron Lestrange - Seth Avery
L'horloge de l'avenue principale de Pré-au-Lard venait de sonner 20h et alors que la nuit tombait lentement les rues du village ne désemplissaient pas. Comme tous les ans le marché nocturne était sur toutes les lèvres et rencontrait un grand succès. De nombreux marchand avaient fait le déplacement pour installer leur étals dans les allées du village et vendre leurs produits. Pour la première fois les élèves de Poudlard avaient reçus l'autorisation de leur directeur de s'y rendre et la foule était si dense qu'il était certain que tous avaient saisi cette occasion inespérée de pouvoir sortir du château le soir. Ainsi sorciers élèves et adultes se mêlaient dans les rues éclairées de torches magiques, passant d'étal en étal, faisant la joie des commerçants qui avaient gardé leurs boutiques ouvertes pour l'occasion.
Quelques stands d'animaux avaient été dressés, pour ce qui était là une occasion en or de vendre des petites boules de poils. Tout comme le reste du marché nocturne, ces stands avaient le mérite d'intriguer et d'attirer l'attention. Les sorciers se promenaient dans les rues, jetant un coup d’œil aux chauves souris, aux chouettes, aux chats noirs et même aux serpents, oubliant pendant une soirée les problèmes quotidiens et les sombres événements récents qui avaient frappé leur pays.
→ Le marché nocturne a commencé depuis plusieurs heures maintenant et jusqu'à maintenant tout se passe pour le mieux. → Vous l'aurez compris vos personnages se trouvent près de stands consacrés aux animaux magiques. → Plusieurs aurors et membres de l'Ordre se trouvent dans la foule, à la demande de Dumbledore afin de s'assurer que tout se déroule sans encombres.
→ Merci de privilégier les rps courts et dynamiques, 500 mots maximum. → Il n'y a pas d'ordre prédéfini, vous pouvez poster comme bon vous semble. → Ceci est le premier tour de l'intrigue, il vous servira à introduire le contexte et vos personnages, lorsque chacun aura posté au moins une fois le maître du jeu interviendra pour apporter du piment. → Si vous avez des questions vous pouvez les poser dans ce topic.
Ebony M. Lancaster
+ SORCIER DEPUIS LE : 05/10/2014 + PARCHEMINS : 502
La frêle et douce Ebony ne savait plus vraiment vers qui se tourner ces derniers temps. Elle était préoccupée et le besoin de parler s'en ressentait énormément. Depuis cette sombre journée pleine en émotions, elle n'était plus tout à fait la même, comme si une certaine naïveté avait disparu de son cœur. Elle ne se croyait plus en sécurité à Londres, mais à Poudlard, ça allait encore... Elle était lucide Ebony. Plus qu'elle en avait l'air en tout cas. A qui pouvait-elle parler de cet homme qui l'avait enlevée pour la torturer et qui voulait la tuer sans ménagement ? A qui d'autre qu'un... auror ? Ce nom lui était apparu comme une évidence à l'approche du marché nocturne. Aiden Prewett. Un ami de quelques années. Ils avaient cru un temps que les sentiments qu'ils se portaient ressemblait à ce qu'on appelait de l'amour avant de se rendre compte - et heureusement d'ailleurs- qu'ils n'étaient que de simples amis proches, certes, mais des amis quand même. Elle le voyait donc comme un ami de longue date et non comme un ex petit ami notable. Alors, elle lui avait envoyé un hibou dans le but de lui parler face à face. Elle lui demandait de la rejoindre au marché nocturne et il avait tout simplement accepté considérant qu'il serait toujours là pour une amie, sans se douter un seul instant qu'il avait quelque chose à lui dire aussi. Mais il ne faisait aucun doute qu'elle en rirait de bon cœur.
En marchant dans les rues de Pré au Lard, Ebony craignait que quelque chose retarde le jeune Aiden, comme une mission inattendue, une dernière tâche au bureau des aurors. Mais elle en avait gros sur le cœur et préférait ne pas songer à cette possibilité qui lui rendrait la vie impossible. En arrivant devant un stand qui vendait des animaux, Ebony s'approcha d'un chat et elle devint rapidement gaga. « Salut toi. » Dit-elle en caressant les oreilles du chaton. Seulement, elle sentit que quelqu'un s'approchait d'elle. Elle se retourna alors vivement vers cette personne. Aiden. Instinctivement, elle se mit sur la pointe des pieds et le prit dans ses bras en prononçant un grand « Dédé » très enthousiaste. Elle était contente de le voir et rassurée aussi. Elle se recula pour l'observer et prit ensuite la parole, préférant ne pas tourner autour du pot : « Je suis contente que tu sois venu. J'ai vraiment quelque chose d'important à te dire, je ne savais vraiment pas vers qui me tourner à part toi. » C'était son domaine après tout... non ? Mais elle choisit de lui poser quelques questions avant, comme celle-là : « Mais commençons par le début, comment tu vas ? » Tout naturellement.
La journée fut comme les autres, difficiles, et longues, très longues. J'avais envie qu'elle se finisse assez vite, alors j'avais regardé l'heure toutes les dix minutes, soupirant contre le temps qui ne voulait pas avance. J'avais cette envie pressante de rejoindre Ebony, qui m'avait demandé de me rendre au Pré- Au lard. J'étais intrigué par ce dont elle voulait me parler, et aussi, j'avais une certaine envie de lui poser quelques questions sur la belle Alisson. Je l'avais enfin vue, cette fille dont lumen me vantait tant les mérites.
J'allais donc rejoindre mon amie, et ex petit amie, au Pré au lard, me demandant ce qui se passait pour qu'elle me fasse une telle demande. Mais bon, elle n'était pas non plus la seule raison de ma venue, Dumbeldore m'avait demandé également de venir afin de surveiller au bon déroulement de cette marche nocturne. Je marchais donc dans la foule, regardant un peu partout, je prenais le temps pour regarder chaque recoin, restant sur mes gardes. Et enfin, j'arrivais près de mon amie, qui caressait les oreilles d'un chat. J'eus un sourire, puis je m'approchais d'elle, elle se retourna vers moi me prenant dans ses bras et m'appelant par ce surnom ridicule avec un ton enthousiaste. Ensuite, elle m'observa, je tournais sur moi-même pour qu'elle puisse faire son examen après quoi elle me disait qu'elle était contente de me voir et avais quelque chose d'importante. « Salut.Je vais bien. Mais tu sais que tu vas tuer tout mon charisme en m'appelant Dédé.» Cela était dit sur le ton de l'humour, car bien sûr, il n'y avait que d'elle que j'acceptais ce surnom si horrible. « Et toi comment tu vas ? » Cela était une façon détournée pour lui demander quelle était cette chose si importante qu'elle voulait me demander. JE ne voulais pas parler d'Ali maintenant, pour l'instant, je préférais entendre ce qu'Ebony avait à dire, savoir ce qui se passait pour qu'elle ait besoin de me parler de cette chose si importante. Et puis, mon intérêt pour la rousse pouvait bien attendre encore quelques instants.
Je ne savais pas vraiment pourquoi j’étais ici. Le marché nocturne. Enfin si on pouvait appeler ça nocturne, vu que le couvre feu était jusqu’à onze heure du soir. Je soupirais une nouvelle fois et arpentais les rues où des dizaines de marchands tentaient de vous vendre tel ou tel objet. Ce fut à un stand d’animaux que je m’arrêtais regardant ces mignonnes créatures qui bougeaient dans leurs cages. Cela me faisait réfléchir à certaines choses. Comme la notion de liberté. Des cages qui nous emprisonnent, nous et nos choix. Lumen avait-elle raison ou tord ? Je ne saurais le dire. Elle avait fait effondrer mes pensées sur le choix. Elle ne pouvait pas, c’était ce qu’elle avait dit. Elle ne pouvait pas. Je tapais violemment un coup sur la table et fit peur aux animaux, sauf un qui me regardait bizarre. Le vendeur me fusilla du regard et je lui répondis :
- Désolé. Je ne le referai plus.
Je regardais l’animal qui m’avait fixé d’un air bizarre. C’était un chaton de couleur noir nuit et ses yeux jaunes semblaient me fixer et me transpercer de part en part. Ce chat semblait avoir une tache de naissance blanche sur le ventre. Cette tache me faisait penser à un petit éclair avec deux Z. Je n’arrêtais pas de le regarder que le vendeur me demanda si je voulais l’acheter. J’ai hésité puis finalement je l’ai acheté. Il semblait me parler. Enfin elle, vu que le vendeur m’avait dit que c’était une fille. Je la laissais dans sa cage avant de réfléchir à un nom. Regardant droit dans les yeux je lui demandais :
- Est-ce que Kate te va ?
Elle semblait assez satisfaite et miaula de contentement. Je décidais d’ouvrir la cage et de la faire venir sur moi. Sauf que sans que j’ai le temps de l’anticiper elle partie se diriger vers un adulte et commença à se frotter contre sa jambe. Bon on était mal barré déjà. Ce n’était pas le pied. Avançant prudemment je me dépêchais de la récupérer et de la poser contre mon épaule. Je baissais la tête légèrement en prononçant :
- Je suis désolé de ce dérangement. Je viens de l’acheter et elle en a profité pour partir sur la première personne venue. Vraiment désolé.
Je levais la tête et vit qu’il était en conversation avec une jeune femme. Je ne savais vraiment pas où me mettre, déjà que je l’avais embêtais, alors là qu’il discutait avec quelqu’un. Je me frottais l’arrière de ma tête et tentais un sourire navré :
- Désolé de vous avoir dérangé tout deux. Je ne voulais pas vous interrompre.
Je commençais à reculer légèrement pour ne pas plus les déranger.
Fate can't decide Alignment of the planets in your hands Come on crush our plans Δ Muse
La première chose qu’elle avait remarquée, c’était qu’il faisait froid. La seconde, que Zelena n’était pas venue avec elle, et la troisième, qu’il y avait beaucoup trop de monde à son goût. Au bas mot, elle n’avait pas envie d’être là. Elle aurait préféré passer sa soirée au coin d’un feu, l’un des chats de Zee sur ses genoux et un bouquin entre les mains. Mais l’autre hongroise l’avait persuadée que ça lui ferait du bien, de sortir un peu, et que de toute façon, elle avait des parchemins à corriger. Delilah l’avait écoutée, et maintenant, elle était exaspérée. Elle soupira, un nuage de fumée s’échappant de ses lèvres, et roula des yeux, continuant à observer les stands qui l’entouraient. Elle ne savait pas pourquoi elle avait atterri à côté des animaux de companie mais c’était un moindre mal ; eux au moins ne tenteraient pas de lui adresser la parole. Certes, elle aurait préféré se réfugier au milieu de livres, mais c’était tout aussi bien. Distraitement, elle s’avança vers un stand qui vendait des chauves-souris, et observa avec un fin sourire les petites bêtes. Comme jalouse, sa petite Melancholia décida de se faire remarquer, et se laissa glisser de la chevelure du professeur jusqu’à son épaule, se nichant au creux du cou de la brune. Elle grattouilla sa fourrure distraitement, et détourna les yeux du stand lorsque le vendeur menaçait de commencer à lui parler.
Soupirant de plus belle, elle observa un peu les alentours, et nota que l’un de ses élèves, Barry, venait de récupérer un chaton attaquant la jambe d’un homme à coup de câlins. Le geste lui fit regretter une nouvelle fois de ne pas être au château, et elle secoua la tête, détournant son attention. Elle notait distraitement des détails, se demandant quand les abrutis feraient leur entrée, puisqu’elle n’en doutait pas, la soirée finirait par tourner court. C’était une occasion parfaite pour semer le chaos, et le professeur ne pouvait pas s’empêcher de se demander pourquoi le vieux avait pensé que c’était une bonne idée. C’était comme offrir des enfants à un pédophile. Roulant des yeux à sa propre comparaison, elle s’adonna à l’un de ses vices favoris, et sortit une cigarette de son paquet pour l’allumer, observant l’assemblée d’un air tranquille mais attentif. Après tout, la seule raison pour laquelle elle avait accepté de sortir était pour protéger les enfants ; et les surveiller. Quoiqu’elle avait bien envie d’aller faire des papouilles à ce petit chaton, posé sur l’épaule de Barry. Non. Elle avait les siens, à Poudlard ; pas la peine d’aller en embêter d’autres.
Hogsmeade's night marketStill you’re my cat my regular okay cat, Turns out you’re pretty good at that. No special purr, no fancy mew but I’m glad the cat I’ve got is you And I hope you’re glad you’ve me too. ( CAT SONG → Animation Domination High-Def ) Lestrange. Son nom est appelé. Rejoignant son groupe, l'adolescent affiche un sourire radieux. Enthousiaste à l'idée de pouvoir sortir faire quelques emplettes au marché nocture, et malgré le retour des beaux jours et l'arrivée du printemps, Néron avait revêtu une longue cape noire par dessus sa tenue, afin de se protéger du froid de la nuit. Marchant avec son groupe en silence, profitant de cette petite sortie l'adolescent se sépara ensuite des autres élèves une fois sur place pour commencer à aller et venir librement. Il n'avait pas forcément très envie de rester avec le groupe qu'on lui avait imposé. Et l'important, c'était en théorie de rejoindre bien sagement les professeurs une fois onze heures du soir.
« Comme si tu avais besoin de moi pour perdre tout ton sex apeal. » Sourit-elle. Depuis combien de temps n'avait-elle pas sorti une blague nulle comme celle-ci ? Deux ou trois jours peut être. Elle se mordilla la lèvre inférieure quand il lui retourna la question. Comment dire à quelqu'un qu'elle avait été torturée et que désormais, elle avait la peur au ventre à l'idée de retourner à Londres ? « Je ne crois pas que ce soit vraiment l'endroit pour te dire ça, mais il y a quelques temps, il... » Mais elle n'eut guère le temps de terminer. Un intrus s’immisça dans leur conversation et vint se frotter aux jambes du pauvre Aiden. En temps normal, Ebony aurait probablement craqué et serait devenue sans conteste assez gaga, mais pour le coup, elle montra son mécontentement. « Par Merlin, à qui est cette bête ?! » S'exclama t-elle agacée en reculant légèrement pour éviter les pattes de l'animal qui dirigeait vers elle. Elle n'avait aucune envie de s'attarder sur un chat. Pas pour le moment. pas alors qu'elle allait avouer quelque chose qui la pesait. Elle serra les dents et ferma les yeux. Jusqu'à ce que la voix d'un élève vint retentir, une voix qui lui semblait familière comme : « Brown ? » Aussitôt, elle ouvrit les yeux et porta son attention sur le cinquième année qui attrapa son chat fraîchement adopté sur son épaule. « Aujourd'hui, ce ne sont pas des cognards qui vous créent des malheurs, mais un chat ? C'est nouveau ça. » Demanda t-elle sans grand enthousiasme. Pourtant, elle essayait, sincèrement, elle essayait. Et parfois, elle donnait l'impression d'aller bien, comme lorsqu'elle avait vu Aiden. A dire vrai, elle avait été plus soulagée qu'heureuse de le voir. Elle avait senti comme un poids en moins sur ses épaules en le voyant, mais ce dernier était retombé aussitôt à l'intervention de l'élève. « Voyons Brown, arrêtez de vous excuser, vous n'avez pas commis un crime. Si tout le monde avait une conscience comme vous, tout irait bien dans le meilleur des mondes. » Elle n'était pas habituée à tenir ce genre de discours, au contraire même. Elle était toujours positive, compréhensive, gentille. Elle essayait de rassurer. Mais elle poursuivit sur le même ton quelque peu agacé par le ridicule de la situation : « Et si tout allait bien dans le meilleur des mondes, mon ami Aiden et moi serions probablement au chômage. Alors, ne vous excusez pas. » Elle se rendit compte qu'elle n'avait pas présenté l'élève et l'auror, ce qui ne faisait pas non plus partie de ses habitudes. Et elle choisit de se rattraper, comme elle le pouvait : « D'ailleurs, Barry, je vous présente Aiden Prewett, un auror assez prometteur, je dois dire. »
Ebony, elle était une amie, rien de plus, même si pendant un court moment, je m'étais plus à imaginer qu'elle était bien plus. Mais la réalité, nous avait vite rattrapés, nos sentiments nous avaient forcés à nous apercevoir que nous étions que de simples amis. Alors quand je lui avais posé cette simple question, quand je lui avais demandé comment elle allait et après qu'elle m'ait répliquée sur mon sex apeal, je la vis se mordre lèvres, comme si elle hésitait à me dire ce qui lui arrivait dans sa vie. Alors je laissais prendre son temps, regardant ses animaux qui étaient là, enfermé dans leur cage. Et enfin, elle commença à me dire ce qui lui était arrivé il n'y a pas si longtemps que ça, quand elle fut interrompue par un chat qui était venu se réfugier entre mes jambes et là, elle eut une réaction qui en temps normal n'aurait pas été la sienne. Elle se montrait agacée par cette interruption, demandant à qui était cet animal, alors que je me baissais pour caresser le chat et le prendre dans mes bras. « Il ne doit pas être loin. » Et à ses mots, on pouvait entendre une personne présentant ses excuses pour ce dérangement, alors que je lui rendis son chat. « Ce n'est rien. »
Alors qu'Ebony, elle semblait connaître le jeune homme, il était élève de poudlard, je lui souriais, mais j'étais surtout occupé à observer Ebony, je pouvais le voir, ce changement en elle, cette manière de parler qui n'était pas la sienne d'habitude, ce ton agacée par cette ridicule intervention. Mais je ne disais pas un mot, la laissant continuer à parler à cet élève du nom de Brown qu'elle me présenta pour finir. Je tendis donc la main serrant celle de ce jeune Barry « Ravi de faire ta connaissance Barry. » J'aurais quand même aimé m'éclipser avec Ebony, pour savoir ce qui la tracassait tant, savoir ce qui lui était arrivé pour qu'elle ait ce besoin de parler. « Passe une bonne soirée. Et ne perds plus ton chat » Et j'emmenais, mon amie un peu plus loin pour qu'enfin, elle puisse tout m'expliquer. Pas que je ne voulais pas parler à ce jeune homme, mais pour l'instant Ebo était plus important qu'une simple discussion avec un élève, elle semblait en avoir besoin et je ne voulais pas qu'autre chose viennes nous déranger. « Alors que t'est-il arrivé il y a quelque temps ? »
Aie aie aie….. il fallait que je tombe sur quelqu’un que je connaissais. L’infirmière Ebony. D’ailleurs elle m’avait accueilli avec agacement. Il fallait dire j’allais tellement à l’infirmerie que je pouvais comprendre qu’elle en avait marre de me voir. Surtout en dehors de Poudlard. Elle fit référence au cognard que j’avais l’habitude de me prendre au Quidditch. Souriant bêtement et caressant mon chat je lui répondis :
- Oui…. Je viens de l’adopter et je crois qu’elle a prit peur d’un coup. Mais au moins comparé au cognard elle ne risque pas de m’assommer.
Je fis un léger rire nerveux à la fin de ma phrase. J’avais essayé de détendre l’atmosphère mais je supposais que cela n’avait pas marché. Je m’excusais de nouveau et Mlle Lancaster me râla dessus par rapport au fait que je m’excusais de trop. Il fallait dire que je ne m’attendais pas à ce genre de situation. Lorsqu’elle me parla de son ami Aiden je le regardais. C’était quelqu’un qui avait la classe ça c’était sur. Puis elle me présenta à lui. Un auror ? La classe. Il devait être incroyable. Je le fixais quelques instant avant de lui serrer la main et lui répondais :
- Moi de même monsieur Prewett. C’est un immense honneur de vous rencontrer.
J’étais vraiment abasourdi par cette personne. Il était vraiment classe et en plus il était Auror. C’était incroyable. Par contre il me souhaita une bonne soirée et m’annonça que je devais tenter de ne plus perdre mon chat. Je fis un grand signe de la tête et répondis d’un oui décidé. A partir de là je me reculais et commençais à caresser Kate. Au moins j’avais rencontré un Auror. Pour ça je sentais qu’elle allait être ma bonne étoile. J’allais voir près d’un stand pour lui acheter de la nourriture. Ça m’avait revenue pas trop cher. De toute façon j’avais pris l’argent pour me faire plaisir donc à partir de là c’était ce que j’avais fait. Il y avait beaucoup de monde encore. Et Kate par contre resta près de moi sur mon épaule et ne semblait plus vouloir y partir. Je la caressais tranquillement et lui disais :
- Bon on a finit les bêtises maintenant ? Parce que je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose hein ?
Kate me répondit d’un miaulement et j’avançais tranquillement en la regardant. Lorsque je tournais la tête vers devant je vis la professeur MacCarthy en pleine discussion avec Néron. Je ne le connaissais que peu. Je me demandais bien de quoi il parlait. Je voyais qu’ils avaient tout deux une cigarette à la main. Cela me fit penser à Athéna qui fumait à la tour d’astronomie le weekend. Sans m’en rendre compte je les avais fixés et j’avais un sourire aux lèvres. Je m’en rendis compte et arrêta net et commença à avancer en tentant de ne pas me faire repérer.
Daily Prophet
LE MAITRE DU JEU
+ SORCIER DEPUIS LE : 13/11/2009 + PARCHEMINS : 1569
Alors que la nuit tombait lentement sur Pré-au-Lard des silhouettes apparaissaient sans un bruit aux quatre coins du marché. Encapuchonnées et masquées elles se tenaient dans les ombres du villages, en une présence des plus discrète. Dans un joyeux brouhaha les sorciers profitaient de cette soirée festive, inconscient de la menace silencieuse qui planait au dessus d'eux. Pourtant ils étaient bien là, de plus en plus nombreux, à se tapir loin des regards, prêt à frapper au moindre instant. Les mangemorts empoisonnaient le monde magique et ils étaient décidés à le marquer de la pire des manières. Sans se consulter et dans ce silence de mort qui n'appartenait qu'à eux plusieurs levèrent leurs baguettes, scellant le sorts de sorciers d'un simple geste du poignet. Il fallut plusieurs minutes aux personnes présentes pour se rendre compte de ce qui était en train de se dérouler. Lorsqu'une femme vit tomber son mari sous ses yeux un cri perçant déchira la nuit.
Le cri d'effroi de la dame s'était répandu rapidement. Les gens s'étaient tous figés, glacés par cette intervention. L'ambiance tomba rapidement dans le glacial. Mais les sorciers n'eurent guère le temps de réagir ou de réfléchir. Des baguettes se levèrent, prêtes à attaquer. Les sorts fusèrent. Des stands s'écroulèrent. Des cris retentirent. Mais ce ne fut pas tout. Un malheur n'arrivait jamais seul après tout. A cause de bruit ambiant, les animaux se sentirent en danger et devinrent agressifs. Les cages tombant s'ouvrirent. Les chats sortirent leurs griffes. Les rats partirent se cacher. Les chauves souris s'agitèrent. Les sorciers qui semaient la zizanie n'étaient donc plus le seul problème à gérer...
→ Un groupe de mangemorts s'est introduit dans le marché nocturne, y semant la panique et la terreur, s'en prenant à tous ceux qui croisent leur route. → A cause des sorts des mangemorts, les animaux sont donc devenus agressifs et s'en prennent aux gens, s'enfuient etc. → Merci de prendre en compte le niveau de magie et l'âge de votre personnage. Ne jouez pas les supers héros. Tout le monde n'est pas égaux et tous les sorts ne peuvent pas être réussis du premier coup. → De même, merci de ne pas trouver de solution à votre situation dès les premiers posts. → Vous ne pouvez pas tuer un membre du forum, le torturer est par contre autorisé.
→ Merci de privilégier les rps courts et dynamiques, 500 mots maximum. → Il n'y a pas d'ordre prédéfini, vous pouvez poster comme bon vous semble. → Ceci est le second tour de l'intrigue, il y a plus d'action mais aussi du danger et de la peur, tout le monde n'en sortira pas indemne. → Un système de lancer de dé à été mis en place, lorsque votre personnage tentera une action importante ou une action en rapport avec un des membres du forum vous devrez proposer trois alternatives. Puis il vous suffit d'activer le lancer de dé au moment de poster votre rp, cela nous dira quelle alternative se réalise. Par exemple : Untel tente de désarmer un mangemort. Alternative 1 = le sort rate. Alternative 2 = le sort marche Alternative 3 = le sort marche, mais le mangemort parvient à se défendre → Si vous avez des questions vous pouvez les poser dans ce topic.
Fate can't decide Alignment of the planets in your hands Come on crush our plans Δ Muse
La voix résonnait près d’elle la fit sursauter, et ses pupilles se dilatèrent de surprise. Elle se tourna prestement vers l’homme et roula des yeux en apercevant Néron. Si elle s’effrayait au moindre bruit, maintenant, elle n’allait pas faire long feu. Elle esquissa un léger sourire à l’attention de Néron, et fit quelques pas vers lui, ses yeux captant silencieusement la cigarette qui trônait également aux doigts de son élève. Elle haussa un simple sourcil, amusée qu’il cherche à s’écarter pour camoufler ses actions, et le fixa, nullement impressionnée par sa tentative. Son explication lui arracha un nouveau sourire, tout aussi invisible que le premier, et elle hocha simplement la tête. Elle savait très bien que Néron avait l’intelligence nécessaire pour ne pas se faire avoir, et si elle était sincère, le fait qu’il fume était le cadet de ses soucis. Non, ce qui l’inquiétait plutôt, c’était ses pensées très intolérantes — des sang-de-bourbe — et l’influence néfaste de sa famille. Mais contre ça, elle ne pouvait pas grand chose. La seule chose qu’elle pouvait faire, c’était essayer de son mieux pour le tenir loin des embrouilles et le nez dans les livres à Poudlard. La voix de Néron la sortit de ses pensées, et elle se reconcentra sur lui, penchant très légèrement la tête sur le côté. Evidemment, le Professeur McNair l’avait prévenue de l’événement, mais elle n’avait pas ressenti le besoin d’intervenir.
« Je préfèrerai que vous vous débarrassiez de vos frustration sur le terrain de Quidditch, mais j’imagine qu’on ne peut rien y faire. »
Après tout, ce n’était pas la première fois que Néron se battait, mais le professeur de potions était satisfaite de voir que depuis que ce dernier avait été enrôlé dans l’équipe de Quidditch de Serdaigle, les bagarres étaient moins nombreuses. Elle se sentit observée, et elle détourna distraitement le regard, fixant ses yeux sur Barry une nouvelle fois. Le garçon les observait, et elle haussa simplement un sourcil en réponse, alors que semblant s’en apercevoir, le Gryffindor faisait demi-tour. A nouveau, Delilah roula des yeux et se reconcentra sur Néron, tirant sur sa cigarette.
« Où trouvez-vous vos paquets de cigarette ? Je suis moi-même obligée de me dé— »
Elle fut interrompue par un cri, et il ne lui fallut que quelques secondes pour comprendre ce qui était entrain de se passer. Son sang se glaça, et elle réagit sans attendre, attrapant l’épaule de Néron plutôt violemment, le tirant loin de la foule agitée et vers les stands. Elle ne jeta qu’un rapide regard aux animaux qui commençaient à paniquer, et elle resserra sa poigne sur l’épaule du jeune homme. Elle ne savait où l’amener pour l’éloigner des combats qui allaient bien rapidement s’annoncer. Elle tira une dernière fois sur sa clope, avant de la jeter par terre, et sortir souplement sa baguette, faisant volte face et la posant contre le sternum de Néron.
« Si je vous vois engager pour tout autre raison que celle de vous défendre, je vous ferai expulser de Poudlard, vous m’avez comprise, Mister Lestrange ? Le champ de bataille n’est pas fait pour un enfant, et Merlin m’entende, vous ne serez pas blessé. Maintenant restez derrière moi en attendant que je vous trouve où vous mettre en sécurité. »
Sa voix, autoritaire, ne laissait que peu de place à la discussion, et elle repoussa soudainement Néron en arrière, voyant un nuage de chauve-souris passer beaucoup trop près de leurs têtes. Le jeune homme tomba en arrière, mais elle n’eut guère le temps de s’inquiéter de sa santé, puisque une horde de rats se précipitait vers eux. Les sorts volaient autour d’eux, et elle tendit sa baguette.
« Repulso ! »
Les rats furent repoussés en une onde de choc, et elle pivota, attrapant le bras de Néron sans délicatesse.
Hogsmeade's night marketStill you’re my cat my regular okay cat, Turns out you’re pretty good at that. No special purr, no fancy mew but I’m glad the cat I’ve got is you And I hope you’re glad you’ve me too. ( CAT SONG → Animation Domination High-Def ) Rassuré par les paroles de son professeur qui ne semblait pas lui en vouloir, l'adolescent hocha donc silencieusement la tête avant de tirer lui aussi sur sa cigarette. Oui, il vaudrait mieux qu'il se débarrasse de son agressivité sur le terrain de Quidditch. ça l'aidait à se canaliser, mais c'était encore loin d'être gagné. Sang pur ? Certainement. Mais tout de même souillé par les tares se transmettant de génération en génération dans cette famille. Delilah lui demanda alors comment il se procurait ses cigarettes. C’était plutôt simple, ses parents lui envoyaient celles-ci par hibou. Un colis par semaine, contenant huit paquets. Gros fumeur, sa consommation doublait même en période d'examens passant à un peu plus de deux paquets par jour. Malheureusement la reine des potions n'eut pas le temps de finir sa phrase. Tiré en arrière fermement, le Serdaigle écarquilla les yeux aux paroles de sa directrice de maison. Viré de Poudlard ? Il ne le supporterait sans doute pas. Le cri semblait provenir de l'autre côté du marché nocturne, la cohue commençait à envahir les rues.
Néron qui n'avait pas été réparti chez les érudits par hasard ne mit pas bien longtemps à comprendre ce qu'il se passait. Les mangemorts attaquaient. S'il ne participait pas à la bataille en étant de leur côté, les Lestrange seraient déshonorés. Après tout, sa sœur aînée faisait partie de leurs rangs. Déglutissant difficilement l'adolescent dégaina également sa baguette avant d’apercevoir une nuée de chauves souris se diriger vers eux. Tentant premièrement de se baisser il trébucha sur un chat s'étant échappé. Sur les fesses il n'eut pas vraiment le temps de réagir face aux rats. Heureusement, l'adulte fut plus réactive. Le champ de bataille n’est pas fait pour un enfant. Désormais ces paroles prenaient tout leur sens dans l'esprit du jeune élève. Même s'il avait l'air plus âgé qu'il ne l'était réellement, même si il se donnait des airs de grand garçon il ne ferait surement pas le poids face à un sorcier adulte. Un gout d'amertume dans la bouche, le brun se releva tout de même, tiraillé entre deux choix qui s'offraient à lui. Depuis sa naissance, on lui avait toujours dit qu'il fallait défendre l'honneur de la famille, redorer leur blason, devenir la branche la plus importante des Lestrange. D'un autre côté, il risquait de finir à Azkaban ou même pire encore d'être expulsé de Poudlard. Il ne le supporterait sans doute pas. Néron Lestrange préférait encore mourir que de ne plus jamais pouvoir retourner à l'école.
Cette sortie à Pré au Lard était un moyen - pour Ebony en tout cas- de penser à autre chose. C'était d'ailleurs l'occasion à l'infirmière de se confier à son ami. Aiden avait toujours une oreille attentive pour ses proches et se mettait souvent à l'écart justement pour écouter. Il se faisait passer après. Et la jeune femme appréciait cette qualité à sa juste valeur, une qualité qu'elle possédait elle-aussi de temps en temps. Il lui arrivait elle-aussi de s'effacer pour les autres. Sauf que cette fois-ci, par la force des choses, elle serait probablement le centre de leur conversation. A moins que... un élève interrompit leur conversation. Agacée par la venue de ce chat puis de celle du jeune gryffondor, elle ne parvint pas à cacher ses sentiments. Cela se ressentait. Ses gestes. Ses paroles. Sa façon de parler. Tout cela n'échapperait pas au jeune auror ici présent que la jeune femme présenta aussitôt au jeune Barry qui se confondait en excuses. Si d'ordinaire, elle aurait trouvé cela attendrissant, cette réaction excessive du garçon nourrissait de plus en plus son exaspération. Dans le regard du gamin apparut une certaine admiration à l'égard de Aiden. Ebony sourit amusée. Il fallait reconnaitre qu'aux premiers abords l'auror Prewett pouvait aisément en imposer. Mais elle avait appris à ne pas se fier aux apparences. Et Aiden l'impressionnait, ce n'était pas à cause de son apparence ou de son métier, mais bel et bien pour sa personnalité. Elle fut satisfaite de ne pas être celle qui congédia le gryffondor. Pour tout dire, elle n'était pas certaine de son amabilité ce soir-là. Elle fit un bref mouvement de la tête, préférant garder le silence. Elle suivit donc son ami un peu à l'écart. Et il lui posa la question qui l'insista à reprendre le court de sa révélation. « C'est un week-end, un samedi plus exactement, je sortais de Saint Mangouste et... » Un cri lui glaça alors le sang. Finalement, elle n'arriverait jamais à le dire. Lentement, elle ferma les yeux, ne pensant qu'à une chose : le cauchemar recommençait. Malheureusement, elle ne savait pas si elle tiendrait. Une réalité cruelle la frappa de plein fouet. Elle n'était pas toute seule dans la foule. Pas la seule en danger. Dans ce marché nocturne, ça grouillait de nés moldus, de sangs mêlés... « Les enfants ! » S'exclamma t-elle en attrapant le bras d'Aiden. Elle posa sur lui un regard affolé à l'idée que l'un d'eux perde la vie dans un moment aussi pénible. Ce serait terrible. « Il faut les sortir de là. Ils sont beaucoup trop jeunes. » Poursuivit-elle comme pour faire réaliser à l'auror cette vérité violente. Mais elle savait pourtant qu'il comprendrait très rapidement. Des mangemorts. Ils étaient là et en nombre. Elle n'imaginait pas une seule seconde le carnage qu'ils prévoyaient de faire. Ses yeux virent alors des stands qui s'écroulaient, des animaux qui prenaient peur. Elle n'attendit pas plus longtemps pour intervenir, elle attrapait les bras de certains élèves et leur ordonnait de s'éloigner. Elle se retrouva à quelques mètres de Barry qui avait un nouveau problème avec son chaton. Pas très étonnant. Il devait vraiment flipper. Pauvre bête va. Dans tous les cas, Ebony n'attendit pas une seconde quand elle remarqua que l'animal était prêt à s'attaquer au visage de son maitre : « Stupefix ! » Soupira t-elle en pointant sa baguette sur le chaton qui s'effondra dans les bras du gryffondor. Elle attrapa alors le bras de Barry avec toute la force dont elle était capable, toujours en lui adressant ces mots : « Allez, ne restez pas là. Croyez moi, les mangemorts ne sont rien comparés à votre nouveau compagnon. » Et elle n'avait aucune envie de discuter avec lui. Il ne se battrait pas. Et dans son fort intérieur, elle se disait que Aiden ne pouvait qu'être d'accord avec cette pensée. En retrouvant son ami, la main tirant toujours le gryffondor, Ebony reprit la parole dans un faible sourire : « Je crois qu'un auror ne sera pas trop pour qu'on sorte indemne. » Et elle n'avait pas tord, les mangemorts approchaient, baguette à la main, s'en prenant à toutes les personnes qu'ils croisaient. Et Ebony refusait l'idée que les élèves puissent subir ça.
J’étais entrain de m’éclipser discrètement de la vue de la prof de potion, quand j’entendis des hurlements. Je me demandais bien ce qui se passait. J’entendais des cris, des sortilèges fusaient à droite à gauche. Je n’arrivais pas à comprendre. Je tenais Kate dans mes bras pour pas qu’elle s’échappe de nouveau et pour la protéger, quand je la sentais gesticuler entre mes bras. Je tentais de la calmer quand elle me griffa à la main et me sauta au visage. Je n’eu le temps de rien faire qu’un sort la frappa direct. Je n’eu le temps que de la rattraper que je vis qu’elle était pétrifiée. Cela me rassura un tant soit peu mais je cherchais de gauche à droite ce qui se passait quand soudain je sentis une main m’attraper par le bras et me tirer à reculons. Je reconnaissais la voix d’Ebony. Ce qu’elle me disait me fit frissonner d’angoisse. Des mangemorts ? Ici ? Mais…. Mais…. Comment ? Pourquoi ? Je voyais les gens se battre avec leurs baguettes. D’autres recevoir des sortilèges. Les animaux étaient devenus totalement fous. Une fois qu’Ebony avait décidé d’arrêter de me tirer vers un endroit où il y avait le professeur Avery et l’auror je pris ma baguette dans ma main et surveilla les alentours. Je ne m’étais jamais retrouvé dans une telle situation. On aurait dit un véritable champ de bataille. Je ne les écoutais pas parler et regarder les alentours.
C’était là que j’avais vu une personne tomber à terre entrain d’être piétiner par les gens qui s’enfuyaient. Elle était à quelques mètres non loin, et j’entendais le professeur Avery annonçait qu’il fallait que les gens se réunissent dans les boutiques. Pendant qu’Ebony était légèrement distraite et ne faisait pas attention à moi, je me libérais d’un coup sec de sa main qui bloquait mon bras et fonçait en direction de la personne qui était entrain de se faire piétiner. Les gens ne cessaient de me bousculer partant dans tout le sens. Les sorts fusaient à droite à gauche. A chaque instant j’avais peur de m’en prendre un. Mais il n’en était rien pour l’instant. Une fois proche de la personne je me rendis compte que c’était un homme de la quarantaine pas très costaud. Je ne cherchais pas midi à quatorze heures. Je mis Kate, qui était toujours pétrifié par le sort dans le sac de nourriture que je lui avais acheté. Puis je tentais tant bien que mal de soulever l’homme qui était, je devais le reconnaître assez lourd.
Par contre ce que je ne savais pas c’était que cet homme que j’avais ramassé était en réalité un mangemort. Il fallait que ça tombe sur moi. En tentant de le relever je vis une baguette et un sortilège en sortir. La dernière chose que j’entendais était le nom du sortilège. Le deuxième sortilège impardonnable. Le sortilège Doloris. Ensuite je ne me rendais plus compte de ce qu’il y avait aux alentours. J’étais allongé au sol et je n’arrêtais pas de gesticuler dans tout les sens avec une douleur atroce dans tout mon corps. Je n’arrivais pas à retenir des cris de souffrance. La sensation de douleur était trop intense.
1- Je réussi à lever la personne sans me faire trop bousculer. 2- Je me fais bousculer et fait tomber ma baguette en essayant de le soulever. 3- Surprise! C'était un mangemort civil qui était à terre et il me remercie d'une manière spéciale.
Dernière édition par Barry G. Brown le Ven 15 Mai - 15:27, édité 1 fois