NOM : Purkiss. Ce nom de famille vient de la troisième génération d'Australien en 1875. Assez rare et presque même inconnu, il c'est transmit de génération en génération par des hommes. Seulement, ayant eu une fille, la jeune femme coupe maintenant la lignée des Purkiss. PRÉNOMS : Dymphna. Ce prénom est encore un prénom jamais vu auparavant dans le monde moldu. Pourtant, ses parents sont bien des moldus. Voulant essayer d'être original, les parents de la jeune femme ce sont inspiré du prénom ''Daphnée'', mais ils lui ont apportés quelques modifications particulières. Lorsqu'elle était plus jeune, ce prénom lui causait beaucoup de problèmes avec ses camarades. AGE : La jeune femme est maintenant rendu à la dix-neuf ième année de sa vie. ANNÉE : Dymphna est rendu en sixième année à Poudlard. ÉTAT CIVIL : La jeune femme n'a jamais vraiment cru au vrai amour brut, au âme-soeur. Elle pense plus tôt que pour le moment, à son âge, le plus idéal pour elle serait d'être célibataire.  PURETÉ DU SANG : Dymphna est née de deux parents complètement moldus, dont un est médecin (son père) et sa mère qui elle, travaille dans la comptabilité. MAISON SOUHAITÉE : Ayant le profil parfait pour être une lionne dès son plus jeune âge, pas seulement grâce à sa force de caractère, mais par son courage aussi, le Choixpeau l'a tout de suite placé dans la maison Gryffondor, sans aucune hésitation. ORIENTATION SEXUELLE : Dymphna est bien et bel hétérosexuelle. PARTICULARITÉ : La jeune femme n'a aucune particularité.
   

✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Dymphna est une jeune femme bien trop honnête dans la vie de tous les jours pour pouvoir cacher le fait qu'elle ait les réponses à un devoir de potion, même si c'est loin d'être sa matière favorite. Au lieu de le garder, la jeune femme serait plus tôt du genre à le retourner à son destinataire principal, le professeur de Potions. De plus, Dymphna est une très bonne élève et étudiante, donc ces réponses ne lui serviraient surtout à rien. Elle a toujours été le genre de type de fille à aimer étudier le soir devant un bon feu de cheminé. Dymphna n'a jamais été du genre à aller courir après les réponses d'un devoir ou bien d'un examen.
   ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Comme on dit, le courage est l'une des principales qualités d'une lionne ! Dymphna a toujours été une personne qui a voulu du bien pour tout ce qui l'entoure, que ce soit un chien ou bien un humain, peu importe quel humain qu'il soit. Elle n'a jamais réellement aimé tout ce qui se rapprochait de la chicane, des batailles ou bien des insultes. Oui, elle a un fort caractère, trop même. Mais, si elle est capable de se tenir le plus loin possible de tous ces scènes impulsives, c'est tant mieux pour elle. Cependant, Dymphna est le genre de personne qui déteste, mais au plus haut point, voir des gens sans défense se faire malmené par des gens qui ont du pouvoir. Si elle verrait une première année se faire malmenée, elle n'hésiterait surtout pas une seconde à aller la défendre, et s'il faut sortir la baguette, elle le fera. Elle a toujours voulu que les gens se respectent entre eux, donc elle n'hésiterait pas à faire n'importe quoi pour qu'ordre soit fait.
   ✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Dymphna aime peut-être les gens, mais par contre, elle déteste prendre le blâme de quelqu'un d'autre (sauf de ses amis). Elle n'hésiterait surtout pas à lui faire savoir, au professeur de métamorphose, son désaccord et son désarroi, et de plus, ça façon de penser. Elle n'a jamais eu réellement de retenue pour les choses qui l'agaçaient, dont ça. C'est une des choses qu'elle est complètement incapable de supporter. Dymphna est une personne assez expressive, donc elle se ne gênerait pas pour montrer physiquement que ça l'agace, et surtout, elle répliquerait, sans aucune hésitation.
   ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Pour Dymphna, c'est l'amour qui l'intéresse. Certes, elle n'a jamais cru en l'âme-soeur et etc. Mais, qui a dit que l'amour était seulement sentimental ? Il peut y avoir de l'amour dans des liens amicales, au niveau de la famille. Elle a toujours pensé que sans amour, il y aurait aucune richesse. Pourquoi ? Tout simplement parce que, c'est l'amour qui nous apporte certaine valeurs que nous avions pas avant, c'est elle qui nous pousse par en arrière pour nous motiver, c,est elle qui nous apporte la sagesse, tout simplement. Dymphna a toujours pensé que l'amour était la base de tout, que ce soit du monde, ou d'une personne en particulier.
   

PSEUDO : RUDSAK. AGE : dix-huit ans (yes, pleins d'alcool à volonté ) PRÉSENCE : presque tous les jours AVATAR : La magnifique Emma Watson.  COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Bazzart le majestueux. UN PETIT MOT POUR LA FIN : tg.

CHAPITRE 1 + La neige tombait sur Londres comme une grande nappe blanche. Cette hiver, c’était plus tôt frisquet, enfin, un peu plus que les autres où Dymphna avait participé. Dehors, on pouvait y trouver toutes les lumières de noël. Dymphna, depuis son plus jeune âge, avait toujours aimé l’effet que les lumières faisaient quand elles reflétaient sur la neige. L’ambiance de cette festivité rendait tout le monde de plus en plus excité, dont elle. Elle avait seulement dix ans cette journée-là. Dymphna était une jeune petite fille assez solitaire, en fait. Elle aimait beaucoup être seule et tomber lunatique dans son coin, sans que personne ne la dérange. Elle était comme ça, c’était une partie de sa personnalité qui ressortait le plus chez elle. C’était une très bonne enfant, mais de temps en temps, ses parents se doutaient de sa santé mentale. Pas niveau psychiatrique, mais bien psychologique. Ils se demandaient si elle n’avait pas des troubles de concentration. À l’âge de dix ans, habituellement, c’est là qu’on peut y découvrir des symptômes. Seulement, ils ont été à mainte reprise voir des spécialistes, et puis rien. Ils ont décidé de la laisser faire, pensant que tout ce cirque allait passer. Dymphna avait ses deux petites mains complètement aplatis sur la fenêtre de son salon. Elle regardait les flocons de neiges tombées doucement et s’écraser contre la fenêtre où elle se trouvait. Ça faisait déjà plusieurs fois qu’elle rêvait d’attraper un petit flocon pour pouvoir le faire neiger dans son salon. Elle trouvait ça si beau, lorsque sa tombait. Elle déplia doucement sa main pour essayer d’attraper un petit flocon au travers de la vitre. Elle ferma les yeux, espérant que les flocons tomberaient au travers de la fenêtre du salon. Elle retomba par la suite dans la lune. Quelques minutes plus tard, elle attendit le son d’un bol se fracassant sur le sol. C’est ce qui lui a fait sortir de la lune. Elle se retourna, et remarqua majestueusement les petits flocons de neiges qui tombaient de nulle part dans le salon. Tout doucement, tranquillement. Un large sourire lui transcrit sur son visage. Dymphna était heureuse, elle avait réussis ce qu’elle désirait. Seulement, le regard horrifié de ses parents lui fit froid dans le dos. Ils la regardaient, comme si elle était un monstre. Des moldus était très rarement habitué de voir de la neige tombé de nulle part du plafond de leur salon. C’est à ce moment-là que les parents de Dymphna ont su pourquoi elle était si distante et lunatique. C’est ensuite, un an plus tard, que la jeune fille eut sa première lettre pour l’école de sorcellerie Poudlard.

QUELQUES ANNÉES PLUS TARD. Cela faisait déjà cinq ans que la jeune femme partageait sa vie de sorcière à l’école de sorcellerie Poudlard. Assise à l’une des grandes longues tables de la Grande Salle, elle avait ouvert son livre de Potions, mais sans aucun succès. Elle était tombée dans la lune, encore une fois. Elle réfléchissait, à bien des choses. Trop de chose, même. Son sang, ses études, ce qu’elle voulait faire dans la vie, les garçons. Elle était bien trop préoccupée par tout ça pour remarquer que sa meilleure amie, Mia, lui faisait des simagrées. Youhou, Dymph. Bon sang, Dymphna. Sort de ton monde, Merlin t'appelle à Poudlard. UC


CHAPITRE 2 + Elle ouvrit ses paupières, découvrant de jolis yeux noisettes baignés de larmes. Une de ses perles salées roula doucement le long de sa joue pour mourir au coin de ses lèvres. Baigné dans une rivière de sueur, Dymphna pleurait à chaudes larmes. Un regard vide accompagné d'un corps lourdement fatigué, la jeune fillette de onze ans semblait totalement perdu dans ses pensés tout comme dans ses cauchemards. Cela faisait déjà plusieurs jours, même des semaines, qu'elle faisait le même cauchemards. Elle était tellement épuisée par ces images qu'elle en perdit le fil du temps. Ça faisait déjà une semaine complète qu'elle n'allait pas en cours. Personne ne l'avait vu, à part sa meilleure amie et celles qui étaient dans le même dortoir que Dymphna. Ça faisait une bonne heure qu'elle occupait la même position avec un regard effacé de toutes émotions. Lorsqu'elle sentit un poids descendre sur son épaule, elle ne pu réprimer des yeux de surprise mais simplement avec l'odeur de rose qu'elle dégagait, elle savait que c'était sa meilleure amie, Lily-Rose. La jeune fille en personne passait ses doigts fins dans ceux de Dymphna. Elle sentit que ses doigts se prenaient dans quelques noeuds au passage. Personne n'osait sortir un mot, ni même croisé un regard. Dymphna était déprimé depuis déja une semaine et personne n'avait réussis à la faire sortir de son lit et même lui arracher un seul mot. Elle n'avait pas besoin de se vider de ses sentiments ou d'ouvrir la bouche pour qu'elle aille mieux, elle voulait tout simplement avoir une présence réconfortante autour d'elle. Dymphna était capable de régler ses problèmes seules. Quinze minutes passa à une vitesse si lente que la jeune fillette pensait que ça faisait une heure que sa meilleure amie était là. Trop concentré sur les images qui lui vient en tête, elle n'avait même pas remarqué que Lily-Rose était partie en cours depuis déjà dix minutes.

Je courais à en perdre haleine ! La douleur que causait le manque d'oxygène dans mes muscles était trop douloureux. Je devais arrêter de courir, mais l'instinct de survie était beaucoup plus forte et elle gagnait sur tout le reste. Je ne pouvais pas crier. Pourtant, ma bouche était grande ouverte, je sentais mes poumons se vider de tout son oxygène, mais aucun son ne sortait de mes lèvres. J'étais prise, prise entre les mains de ses serpents sans coeur. Tout ce que j'attendais, c'était des voix fortes qui criaient des Sang-De-Bourbes, qui fallait qu'on la tue, qu'on la fasse souffrir. Ces paroles me donnait le même effet que recevoir une claque en pleine figure. Mes jambes perdirent de leur vitesse et je me trouvais bloquer entre trois murs et en arrière de moi, six serpents. Quatres filles et deux garçons. Ils étaient en première année et leur sadisme était déjà là. Elle ne put répliquer qu'elle vut une éclair rouge qui lui déclancha un crie de douleur. Un crie qui faisait remonter les entrailles. Elle sentait son coeur et son cerveau gonfler au point qu'ils allaient exploser. Elle souffrait, terriblement. Ces éclairs rouges s'enchaînairent à tour de rôle. Elle pleurait, suppliait qu'on la tue. Une fillette âgé de seulement onze ans ne pouvait vivre cette douleur. Elle vit un éclair vert. Plus rien. Sa peau était d'un blanc immaculé, ses cernes de douleurs mauves étaient bien resté gravé sous ses yeux. Plus aucun souffle sortait d'elle. Elle était morte.

Les regards que les autres élèves lançaient à Dymphna était remplis de haine ou de compassion. Certaines personnes ne lui tenaient aucune attention, comme d'autre lui lançait que des regards infirmes et agressifs. Cela faisait déjà deux semaines que personne n'avait vu son visage doux et à la fois dure. Mais, aujourd'hui, contre toute attente, elle était sortie de son dortoir, livre en main, pour se diriger vers la bibliothèque pour être seule. Elle devait réfléchir. Malheureusement pour elle, son moment de silence était brusquement finit par ce petit con de serpentard. James. Si elle était de sa maison, ça ferait longtemps qu'elle lui aurait lançer un sort impardonnable. Tiens, voilà la petite Purkiss ! Je vois que tu es encore seule. Tu dois commencer a t'y habituer sang-de ... Le jeune garçon n'a même pas le temps de finir sa phrase que la jeune femme lui avait empoigné le collait, l'avait plaquait sur le mur avec une force inédit et lui pointait sa baguette au cou, bien profondément encré dans sa peau. LA-FERME ! N'ose même pas ouvrir ta sale vicieuse bouche, sinon tu finis en bouillis pour dragon. Laisse-moi tranquille, j'ai pas besoin de tes conneries aujourd'hui. Dit-elle d'un ton si dur et froid que même les serpents restaient bouche-bées. Venant d'une née moldue, c'était courageux de sa part. Elle plonga son regard dans celui du serpent. Un regard si noir que le serpent le suppliait de la lâché. Levant la tête, fière, Dymphna partie d'une marché digne d'une Gryffondor pour se diriger vers la bibliothèque, heureuse d'être tranquille cette fois-ci, enfin, pour l'instant.