NOM: Harvenheit, un nom sonnant un peu dur pour cet homme. Harvenheit, une famille anglaise comme les autres, une famille qui pourtant lors des derniers siècles vivait sur le vieux continent en Allemagne. Ca change un peu on dira. Ils se sont installés en Angleterre lors de la guerre contre Grindelwald, pensant sans doute être tranquille. L'argent aidant, le père de Sezru et sa famille purent s'installer sans problème dans un petit manoir dans les Cornouailles, permettant également à Heindrich, le paternel, de finir ses études à Poudlard après le commencement de celle-ci à Dumstrang. PRÉNOMS: Sezru, un prénom étrange qui se prononcerait plutôt Sé-zou-rou. Notez ici l’extravagance de ce prénom. Sezru on ne connait pas vraiment les origines de ce prénom, sans doute qu'il est allemand, quoi qu'il a aussi des sonorités russes, un joli mélange peut-être. En tout cas allemand ou russe ce fut sans doute juste les balbutiements d'un père à moitié bourré lors de la naissance de son héritier et de la mort de sa femme. L'alcool meilleurs remèdes des pires maux. L'alcool et des souvenirs d'une langue qui donnèrent Sezru, voila tout. Eden, déjà plus normal comme prénom, dernière trace de l'amour d'une mère partie trop tôt, un prénom qu'il exècre, sans doute plus que le premier. Eden et puis quoi encore. AGE: 27 ans et si ça vous intéresse il est né une froide nuit d'hiver, un 5 janvier pour être précis. PARTICULARITÉ: Il ne fait pas son âge, absolument pas. A croire que son corps n'a pas voulu sortir de l'adolescence. Au début de sa carrière on le compara souvent à un étudiant, une bien mauvaise idée surtout quand on connaît son caractère. Pourtant si on l'observe avec attention on remarque qu'il a une aura et un standing bien au dessus de celui de ses étudiants. Autre particularité, il est typé asiatique, normal sa mère était japonaise, je vous dis pas le mélange au niveau sanguin, enfin c'est sans doute pour ça qu'il parait plus jeune. STATUT: Célibataire, ce n'est pas comme si il devait absolument faire perdurer la lignée des Harvenheit, ce n'est pas comme si, il tenait absolument à avoir quelqu'un à qui devoir des comptes. PURETÉ DU SANG: Il est ce qu'on appellerait un Sang Mêlé. Et personne ne lui fait des remarques dessus bizarrement, son poste sur l'échelle sociale devant aider. ANCIENNE MAISON: Serpentard. POSTE: Professeur de Potion et si possible Directeur de la Maison Serpentard.
✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? Pour être honnête Sezru serait d'abord intrigué, outre le pouvoir, c'est quand même une relique légendaire qu'il a entre les mains, ne pas l'étudier serait un crime, ne pas vérifier son authenticité une bêtise, mais ensuite ce n'est pas pour ça qu'il l'utiliserait. Il a pas mal de principes et d'idées sur la vie, et entre la pensée que les morts ont vécu leur temps et non rien à faire chez les vivants, les seuls pouvant errer sont les fantômes parce qu'ils ont eu des regrets. Si une personne est vraiment morte et qu'elle n'a pas de fantôme alors il est inutile de la ramener sur Terre si ce n'est pour la tourmenter, ce qui serait tout bonnement indigne. ✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Bien qu'il ait grandi parmi les Serpentard et surtout sans grand amour dans sa vie, Sezru n'est pas la personne la plus inhumaine qu'il soit, loin de là. Alors même si comme tout sorcier qui a vécu dans les principes assez traditionnels comme quoi les moldus sont inférieurs, ce qu'il ne dément pas, après tout ils n'ont pas la magie, il immobiliserait tout ce beau monde, lancerait un sortilège d'amnésie aux sorciers et au moldu et continuerait son chemin. Il n'est pas du genre à agir en héros, et même si il n'apprécie que peu, il n'a jamais été lâche, et ne supporte pas les attaques groupés. Chacun dans son monde et tout ira pour le mieux.
✎ Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? Malgré tout le respect qu'il a ou qu'il aura un jour pour le Gouvernement et/ou pour le Ministère, Sezru n'est absolument pas du genre à abandonner son travail, qui plus est pour être le conseiller d'un Ministre, la politique très peu pour lui. Durant sa scolarité il s'est toujours arrangé pour rester neutre, ce n'est pas aujourd'hui qu'il commencerait oh non. De plus, s'il il est devenu Maître des Potions ce n'est pas par obligation mais par envie, après avoir passer autant de temps pour devenir un Maître en Potions il ne va pas tout arrêter pour un simple poste de conseiller. Rien à faire, vous ne le trouverez jamais au Ministère sauf en tant que visiteur. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Encore une fois c'est une drôle de question. L'amour il n'y voit souvent qu'un intérêt charnel, et le mariage serait capable de le hérisser rien que d'y penser. La richesse il n'a jamais eu à se plaindre du compte en banque de sa famille, faisant parti du milieu bourgeois à la limite du milieu élevé, alors il n'est pas du genre à chercher à s'enrichir plus, et soyons honnête ce n'est pas le salaire d'un professeur qui vous permettra de prétendre à la fortune de Crésus. La célébrité, tout dépend laquelle, mais en soi il faudrait qu'elle soit liée à la sagesse. Oui être célèbre pour avoir fait quelque chose de bien pourquoi pas, mais sinon, ça ne sert à rien la célébrité, et c'est souvent post-mortem, reste la sagesse, et c'est ce qu'il y a de plus normal à vouloir acquérir d'après lui.
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Kei [sadie]. AGE: Je vais avoir 21 ans dans 8jours si ça vous intéresse ^^". PRÉSENCE SUR LE FORUM: 5/7, il faut que je dorme parfois xD. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: J'ai erré, puis je suis tombée sur PRD et je suis parti voir les nouveautés. TES IMPRESSIONS: Coup de coeur ?. ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: Je m'aime Mais j'aime pas ce que j'écris alors soyez indulgent ^^". Ah et je donne des cookies si vous voulez bien être mes amis
Quand j'ai voulu te dire que je t'aimais tu ne voyais déjà plus ce monde. Tu ne faisais que me frapper encore et encore avec des mains couvertes de sang, ton regard de feu posé sur moi. Tu m'insultais avec tous les mots blessants qui te venaient à l'esprit.
« Il parait que ce vieux fou t'as engagé hein. »
Il ne le regarde même pas. Il n'a pas besoin de regarder son père pour savoir ce qu'il verra. Un homme rongé par la douleur. Un homme rongé par l'alcool. Un homme qui s'est avili sans aucun problème parce qu'il n'y avait personne pour le tirer à la surface pour le forcer à arrêter de boire, pour le forcer à s'occuper de son fils. Si seulement Heindrich Harvenheit n'était pas tombé amoureux de cette né-moldue. Si seulement Ayame devenue Mme Harvenheit n'avait pas eu la santé fragile et le corps trop faible pour donner vie à Sezru. Alors il se tait et il regarde par la fenêtre. Il se tait et ne l'écoute que d'une oreille distraite. Parce que ce n'est qu'un cadavre dans ce fauteuil, parce que cet homme mourra emportant avec lui le peu de souvenirs qu'il aurait pu laisser à Sezru. On n'y peut rien, le monde est cruel. Sezru n'aimait pas son père, parce que son père ne l'aimait pas non plus. Alors il soupire, se dirige vers le bar et va se servir un verre de bourbon bien fort. Il regarde le liquide ambré un instant puis le boit cul sec. Sezru trop jeune pour comprendre qu'il n'aurait pas du vivre seul, que la gouvernante n'était pas sa mère, et que son père avait décidé égoïstement qu'il ne survivrait pas à la mort de sa femme, qu'il ne verrait pas grandir Sezru qui avait pourtant le même visage fin que sa chère et tendre, si ce n'est sa couleur de cheveux, le même regard pétillant, et la même bouche, aux lèvres légèrement charnues ne demandant qu'à sourire. Mais Sezru ne sourit pas, parce qu'il n'a personne à qui sourire. Il aurait pu sourire à cette femme qui l'éduque, mais elle ne l'aime pas tellement, il n'est qu'un enfant dont elle doit s'occuper, rien de très important. Il aurait sourire aux autres enfants de l'école, mais son quotidien s'était résumé au manoir, et au percepteur que ses grands parents lui avaient envoyés. Eux aussi ils étaient cruels. Sous prétexte que sa mère était une né-moldue, il n'était pas assez bien. Pauvre gamin jugé dès la naissance.
« Il parait oui. »
Finalement il lui répond. Sans un regard, la voix posée du jeune homme résonne dans le salon où son père a élu domicile. Le manoir appartient depuis longtemps au fils mais il n'a jamais eu le courage de mettre son père dehors. Il compatit, il a pitié même. Il a pitié de cet homme qui n'avait rien fait pour mériter son malheur. Mais il le déteste aussi. Oui il le hait pour cette solitude qu'il lui a imposée, faisant d'elle sa compagne de vie. Sezru est un solitaire. Même jeune il n'a jamais ressenti le besoin d'avoir d'autres personnes autour de lui. Peut-être parce que le monde l'avait déjà énormément déçu, ou peut-être parce qu'il ne voyait pas l'intérêt d'avoir eu des amis, des gens a qui se confier, et des gens à aimer. Pourtant Sezru a aimé. Il a connu ce sentiment, et contrairement à son père, il n'en n’est pas devenu fou. Parce qu'il a aimé, et parce qu'il a perdu cet amour aussi. A croire que le schéma se répète et que le destin devait-être le même pour le père comme pour le fils. Pourtant Sezru se croit différent de ce semblant d'homme. Il le sait, il n'est pas pareil que lui. Intelligent, rusé, il sait où est sa place, il le sait, et même au début de son adolescence alors qu'il mettait les pieds à Poudlard, les gens l'ont su aussi. Sezru gamin à Serpentard, pas très loquace, pas très visible, mais doué. Oui Sezru excellent élève au caractère un peu fort. Des années bénites que Poudlard, des années où il se fit des connaissances, des amis même. Un endroit où il apprit enfin à être comme les autres. Jusqu'aux vacances, au retour à la maison et à l'idée que son père ne se rappellerait que de lui pour qu'il aille demander à la gouvernante, pauvre vieille femme, de descendre au village le plus proche pour acheter de l'alcool. Sezru, émissaire de son père dans ses demandes d'alcool. Il soupira, il y avait longtemps qu'il avait renoncé à dire quoi que ce soit à cet homme. C'est à peine s’il aurait pu le considérer comme son père. Le pauvre elfe de maison qui avait tant de fois fait brûler ses mains aurait plus de chance pour ce rôle.
« C'est pour oublier ta trainée ? - Pardon ? - Cette garce qui te brise le cœur comme ta mère l'a fait pour moi. »
Il eut un soupir, un nouveau, il ne les comptait plus, et desserra les doigts de son verre. Sa trainée hein. Drôle de nom pour appeler celle qui avait bien failli avoir son cœur, celle qui maintenant croupissait dans une chambre de Ste Mangouste et qui hurlait dès qu'elle le voyait de près ou de loin. Elle s'appelait Céleste. Jolie comme un cœur, aussi douée que possible, il avait commencé leur apprentissage en Potions après Poudlard ensemble, elle venait de Serdaigle, et lui de Serpentard, pas vraiment de grandes barrières entre eux. Sezru l'aimait bien. Elle n'était pas ce genre de fille insistante et bavarde non. Céleste était humble, contenue, et plutôt silencieuse. Une présence apaisante. Ils passèrent leur deux premières années ensemble, suivant les même Maîtres, s'entraidant lors de leurs fastidieuses recherches à la bibliothèque. Puis l'apprentissage commença et ils gardèrent des nouvelles par lettres. Pour tout vous dire, Sezru avait même pensé à l'épouser, jusqu'à il y a deux mois de ça. Une dernière lettre tandis qu'il recevait son agrégation en tant que Master ès Potions. Une lettre où on lui annonçait que lors des recherches de son professeur et superviseur, un chaudron avait explosé et que Céleste avait été blessé. Ni une, ni deux, il transplana dans l'appartement que la jeune fille avait à Londres et que ne fut sa surprise quand il croisa le regard de son amie. Aveugle. Des éclaboussures sur le visage, de vilaines cicatrices marquant son teint de porcelaine et ses mots. Elle s'était faite cruelle, folle, disant que tout était de sa faute, qu'elle l'aimait depuis toujours mais qu'il ne la voyait pas, qu'elle n'était pas si douée que ça en potion, mais qu'elle avait décidé de continuer dans cette branche après Poudlard pour lui, et qu'il était responsable de son accident.
« Tu n'aurais pas du exister. »
Il aurait du s'énerver. Il aurait du la secouer, la faire reprendre ses esprits, la traiter de folle, mais il ne put que la regarder, livide, tandis qu'elle hurlait, le condamnait à l'enfer, parce qu'il était responsable de son état, de son échec. Elle hurlait et de ses mains le frappait, de ses petites mains si fines, si fragiles, elle lui martelait le torse, lui qui s'était approché au début pour la prendre dans ses bras, lui qui avait compris que même ainsi il aimerait Céleste. Lui qui était rejeté par la folie et la douleur de son amour Sezru responsable de la mort des deux seules femmes qu'il aurait pu aimer. C’était une de ses rares faiblesses. Et pourtant sans le savoir Céleste l'avait trouvé et continuer impitoyable à le rendre responsable. C'était plus qu'il n'aurait pu en supporter. Tournant les talons il s'éloigna, les cris de cette femme continuant de s'égosiller l'accompagnant vers la sortie de l'appartement, et il erra. Vainement il erra dans Londres se questionnant sur ce qu'il était vraiment. Coupable ou innocent et jouet d'un destin cruel. Va savoir. Peut-être qu'il y avait un prix à payer. Peut-être que cet amour pour Céleste qu'il n'avait découvert que trop tard était le prix à payer. Elle l'avait tant aimé et lui pas assez. Voilà tout. L'amour n'était pas quelque chose de vivable. Pas pour lui. L'amour lui avait aussi montré les limites de l'homme comme des siennes. Parce qu'il avait été incapable de trouver un remède pour les yeux de Céleste, tout comme il avait été incapable de soigner la folie de son âme. Il était le bourreau de son cœur.
« Ce n'est pas pour Céleste. Je le fais pour moi. »
Il lança à peine un regard à son père, avant de se diriger vers la sortie de la pièce. La discussion été finie. Il avait vingt-cinq ans, et devenir professeur à Poudlard était un métier totalement honorable. Et puis il voulait en effet le faire pour lui. Sezru aimait les potions, il avait toujours adoré les faire et espérait vraiment pouvoir transmettre sa passion à d'autres personnes. Il voulait enseigner. Il voulait que les gens comprennent la beauté d'une potion sur le feu et la nécessité, l'utilité de celles-ci. Les trois premières années furent un peu étranges. Il faut dire qu'il prenait la place d'un professeur qui partait en retraite, s'occupant notamment des trois premières années d'études, cela faisait un certain changement. De plus il n'avait pas forcément la même méthode que son prédécesseur, mais en soi il n'avait pas à se plaindre, il était écouté et ses courses ne ressemblait pas à une foire grotestque. Le plus risible était sans doute le fait que de nombreux étudiants le prenaient encore pour un des leurs. Certes il ne dépassait pas le mètre soixante quinze, et il avait un visage plutôt juvénile, mais tout de même, de là à ne pas reconnaître un professeur. Enfin ce n'est qu'une anecdote parmi tant d'autres. Maintenant il va commencer sa quatrième année d'enseignement, cette fois-ci s'occupant de tous les cours de potions, celui-ci ayant montré son savoir faire, son maître pouvant enfin profiter pleinement de sa retraite. Et sans doute que Sezru prendra également en charge la maison des Serpentards, ce qui devrait normalement bien se passer vu que Sezru n'est pas le genre de professeur à se faire haïr ou à avoir des problèmes. Avec son caractère implacable et posé, dur de gagner un argument contre lui.
Dernière édition par Sezru E. Harvenheit le Sam 18 Aoû - 17:16, édité 2 fois
Moi je veux un cookie Bienvenue. Ton avatar est très étrange - c'est une célébrité que je ne connais pas avec un physique un peu atypique (je trouve) - mais j'aime bien
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Tu deviens l'un des membres du personnel de l'école de magie, ce qui apporte un grand prestige. Mais gare aux élèves un peu trop rebelles contre l'autorité. Avant de t'engager dans un combat sans merci pour affirmer ton autorité face aux élèves, saches que le membre est qui tu es jumelé est Maxilynn A. Peters. Il/elle prendra contact avec toi prochainement. Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage.