FERMETURE DU FORUM, plus d'informations par ici
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Partagez
 

 I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeDim 8 Fév - 23:16


DOSSIER DU MINISTÈRE DE
Delilah Billie MacCarthy



NOM : MacCarthy. PRÉNOMS : Delilah, Billie. AGE : 36 ans.  POSTE : Directrice de la Maison Serdaigle, Professeur de potions. ÉTAT CIVIL : Célibataire. PURETÉ DU SANG : Half-blood (sang-mêlé). ANCIENNE MAISON : Ravenclaw (serdaigle). ORIENTATION SEXUELLE : Lesbienne. CAMP : Officiellement neutre, est plus encline à aider les membres de l’Ordre du Phénix. Zelena s'oppose à ce qu'elle intègre l'Ordre, notamment parce qu'elle est beaucoup trop instable, et parce qu'il y a toujours le risque qu'elle saute devant un Avada Kedavra dans le but d'enfin réussir à se suicider.
PARTICULARITÉ : Occlumens, par talent et par nécessité / A une baguette en bois d’Aubépine, avec un corps en plume de phénix, baguette très instable, comme sa propriétaire / Son patronus est le renard des neiges, bien qu’elle ait d’énormes difficultés à le lancer. / Son animal de compagnie est une chauve-souris qui s’appelle Melancholia (une pipistrelle commune) / Son épouvantard est une version d'elle-même, morte pendue ou avec les poignets ouverts selon les situations. Elle n'a parlé à personne de son épouvantard. Son ancien épouvantard est une image d'elle-même, heureuse. Mais il a changé depuis qu'elle a rencontré Zelena. / Elle a de nombreuses cicatrices sur le corps, toutes vestiges d’une tentative de suicide ratée. La dernière remonte à quatre ans, malgré tout. / Porte de nombreux objets enchantés, bagues principalement, qui ont pour but de réprimer ses penchants suicidaires. / est sous la surveillance constante de Zelena : cette dernière est toujours sur le dos de Lilah pour éviter qu'elle fasse quelque chose de stupide. Par exemple, elle n'a pas le droit de se servir de couteaux, ce qui fait que Zelena lui coupe sa viande, ou encore qu'elle n'a pas le droit de voler sur un balais, même si elle est extrêmement douée et qu'elle adore ça. Elle n'a aussi généralement pas le droit d'aller sur les rives du Lac de Poudlard toute seule.

Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? La pierre de résurrection, comme tout le monde devrait le savoir, est censée ramener les morts. Si on sait s’en servir, elle permet aussi de voir les morts. La première chose que ferait Lilah, c’est l’étudier, pour voir si elle fait effectivement bien tout ce qu’on dit qu’elle peut faire. Alors bien sûr, elle n’essaierait pas de ramener un humain, parce que ce serait juste complètement abruti, et qu’elle sait réfléchir. Elle tenterait sur un animal. Si elle est convaincue que ça marche, et qu’elle l’a observée de long en large et en travers, elle ira la donner à Dumbledore, parce que faire revivre les morts, elle s’en tape la coquillette. Et puis elle se persuadera qu’être en possession de la pierre, ça l’empêchera de mourir d’une façon ou d’une autre, et elle ne veut pas ça.

Votre personnage tombe sur un moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? C’est triste à dire, mais ça dépendra de l’état d’esprit de Delilah. Si tout va bien dans son monde, elle n’hésitera pas à intervenir. Evidemment, cela se fera après un petit moment d’observation pour être sûre que c’est relativement sans risque — Delilah n’est pas une gryffondor, elle ne court pas dans les pièges tête baissée. S’il est clair que c’est un piège, elle passera son chemin. Réflexion d’abord, agir après. Elle tentera tout d’abord de les persuader d’arrêter le traumatiser un innocent, et si c’est inefficace, elle sortira sa baguette. Elle préfère éviter de s’en servir, en vérité, puisqu’elle a tendance à être capricieuse, et ça pourrait mal tourner pour tout le monde.
Si elle était entrain de lire, elle va aller régler la situation, non pas parce que c’est s’en prendre à quelqu’un relativement sans défense, mais parce que le bruit la gêne.
Sinon elle passera son chemin, parce qu’elle a parfois mieux à faire, quand même.

Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? Non. Non catégorique, Delilah ne foutra jamais les pieds au Ministère, et de toute façon, personne ne lui proposera un boulot là-bas parce qu’elle est beaucoup trop instable. Pour plusieurs raisons : tout d’abord, elle vit pour la connaissance, et soyons francs, être conseiller du Ministère c’est plus de la politique que de la recherche, donc aucun intérêt. Ensuite, elle a vécu toute sa vie à Poudlard, et compte vivre toute sa vie là-bas. Elle s’y sent bien. Elle aime enseigner, c’est une des rares choses qui lui apportent du bonheur. De plus, elle se sent en sécurité à Poudlard, surtout depuis que Zelena est venue y enseigner aussi. Pour rien au monde déciderait-elle de partir.

Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Ah ! Facile, la sagesse. L’amour, c’est une passade agréable, une distraction, rien de bien trop important. La célébrité c’est sans intérêt, ça n’apporte rien, ou seulement des ennuis. La richesse, et bien ça rend la vie plus facile, mais pour cela il faudrait être vénal, et Lilah ne l’est absolument pas. Ce qui l’intéresse, c’est la connaissance. Elle veut tout savoir, elle veut tout comprendre. Ses appartements sont une bibliothèque géante, avec un lit au milieu. Pour elle, la connaissance va de paire avec la sagesse : pour être sage il faut pouvoir être objectif, et le meilleur moyen d’être objectif, c’est de connaître toutes les données du problème. Lilah aspire à devenir un érudit.


PSEUDO : Mister D. AGE : 19 ans. PRÉSENCE : Fréquente, s’il faut un chiffre je ne sais pas, mais disons que j’ai beaucoup d’heures de cours et que je m’ennuie souvent. AVATAR : Eva Green. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Partenariat, on est venues ensembles avec Zelena. UN PETIT MOT POUR LA FIN : FILTHY HALF-BLOOD (pardon je suis obsédée par Bellatrix).


[/b]


Dernière édition par Delilah B. MacCarthy le Mar 10 Fév - 14:03, édité 9 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeDim 8 Fév - 23:16


Tell me your Story
Why, yes, it's just the rain, the rain, always the rain.



« Ce n’est pas une bonne idée. »

La brune était assise dans un canapé, face à sa collègue de métamorphose. Cela faisait plus d’une heure qu’elle lui tenait la jambe, essayant de la persuader de la laisser utiliser Legilimens sur elle. Ce n’était pas un secret que Zelena était très douée dans son talent, et elle voulait mettre ses aptitudes à l’épreuve. L’esprit de Delilah était fermé, totalement hermétique, et si Zelena voulait effectivement y rentrer, ça lui prendra un bon petit moment. Et c’était dangereux ; après tout, la seule fois où c’était arrivé, les conséquences n’étaient pas idéales.

« Tu as juste peur de ne pas être aussi bonne que tu le prétends. »

Cela causa un roulage d’œil peu discret, un nouveau soupir, et elle se vautra un peu plus dans son canapé, fixant ses orbes bleus dans celles de son amante.

« Oh Nom de Dieu, d’accord ! Ne viens pas te plaindre quand tu voudras sauter de la fenêtre. »

Et c’était comme ça que ça avait commencé. Un duel entre deux esprits, presque à égalité. Delilah était extrêmement concentrée, voulant empêcher à tous prix que Zelena rentre dans son esprit. Elle ne pouvait pas risquer ce qui se passerait si elle arrivait à l’envahir sans son accord. Mais elle savait également que l’hongroise ne s’arrêterait pas avant de réussir, même si elles devaient se fixer pendant des heures. Alors Delilah lutta, lutta jusqu’à ce que la fatigue s’empare de son corps et que de la sueur roule sur sa peau. Le professeur de métamorphose n’était pas dans un meilleur état, et roulant virtuellement des yeux, Delilah la laissa finalement entrer. Mieux valait la forcer à voir certaines choses plutôt que de la laisser s’épuiser en s’écrasant contre ses barrières mentales. C’était de toute façon le meilleur moyen de ridiculiser un Legilimens, le fatiguer en lui montrant des choses sans intérêt, sans pour autant se fatiguer nous-mêmes. C’est ce qu’elle fit. Mais comme l’hongroise lui importait, elle lui montra suffisamment pour qu’elle puisse comprendre.


**



« Sortez-la de là ! SORTEZ-LA ! »

Bien vite, sous les ordres des médecins et des infirmières, la petite fille fut amenée hors de la pièce, et emportée dans une salle d’attente, la forçant à s’asseoir sur un fauteuil. Son père était près d’elle, et il lui souriait, essayant de la rassurer. Si elle ne comprenait absolument pas ce qu’il s’était passé, lui le savait parfaitement. Sa fille était similaire à sa femme, elle avait des penchants dépressifs, et elle était diagnostiquée mélancolique. Seulement, le médecin avait voulu explorer son esprit, pour essayer de comprendre pourquoi l’esprit de la fillette était fracturé. Le père MacCarthy avait beau lui expliquer que ce n’était pas une bonne idée, il n’avait pas écouté, et avait pratiqué le sort Legilimens sur l’esprit de l’enfant, avec l’accord de son père. Ce dernier savait que rien de bon n’en ressortirait, mais il n’était nullement effrayé pour sa fille, il était plus inquiet pour le médecin ; et il avait raison. Il ne fallut que quelques longues secondes passées dans l’esprit de Delilah, et le médecin avait saisi une dague exposée sur son bureau pour se trancher les veines. Tentative de suicide, bien vite interrompue par l’une des infirmières, appelant médecins et renforts, et forçant la famille dehors. C’était déjà arrivé une fois, auparavant, avec la mère de Delilah. Il y avait plus de dix ans, déjà, que l’on avait essayé d’entrer dans sa tête pour voir ce qui causait sa dépression. Les conséquences avaient été similaires.

Bien conscient du danger qu’était sa fille, si elle devait à être soumise à d’autres tentatives de Legilimens, James MacCarthy prit la décision de la former à l’art de l’Occlumens, afin qu’elle protège en permanence son esprit d’atteintes possibles. La fillette, âgée de 6 ans à peine, se vit donc enseigner la technique par un maître Occlumens. Son esprit, très bien structuré, était fait pour maîtriser le talent, et grâce à de très nombreuses années de perfectionnement, elle manie ses murs mentaux à la perfection. Il est très difficile, voire impossible, de rentrer dans sa tête. De toute façon, ce n’est pas conseillé.

**



La jeune fille était postée sur la plus haute fenêtre de sa maison, et regardait le sol avec un mélange de trépidation et d’inquiétude. Elle serrait fortement son balai entre ses doigts, et se mordillait les lèvres, jouant de l’autre main avec le collier qu’elle avait autour du cou. Prenant finalement une longue inspiration, elle se laisse tomber en avant, faisant une chute libre d’une dizaine de mètres avant d’enfourcher son balai et de redresser le manche pour éviter de s’écraser au sol. Elle ne passe pas loin de la terre, mais arrive à rester sur le balai, réussissant pour la première fois la manœuvre dans se vautrer. Elle lâche un cri de joie, lâchant malencontreusement le manche, ce qui ne manque pas de l’envoyer au sol, cette fois-ci. Toussotant, elle observe son bras nouvellement cassé, mais ne peut s’arrêter de sourire, voyant son père arriver en courant vers elle.

« Tu as vu Papa ! J’ai réussi ! J’ai réussi ! Ca veut dire que je vais pouvoir intégrer l’équipe de Quidditch, pas vrai ? »

L’homme se laisse tomber à genoux auprès de sa fille et sourit également, heureux de voir que quelque chose pouvait sortir Delilah de sa dépression. Il hoche la tête, incapable de dire quoi que ce soit, et sort sa baguette, murmurant une ribambelle de sorts pour réparer son bras cassé. Les os se déforment et se reforment, ne tirant qu’un petit gémissement de douleur de la part de la fillette, avant que tout ne soit comme avant. Elle lâche son balai et passe ses bras autour du cou de son père, qui la prend contre elle et la soulève, la gardant confortablement dans ses bras.

« Tu penses que Maman sera contente ? »

A nouveau, le père ne put répondre et il hocha la tête, un sourire aux lèvres et les larmes aux yeux. Il y avait bien longtemps que sa mère n’avait plus ressenti quoi que ce soit, hormis du désespoir. Il serra la petite fillette de onze ans un peu plus fort contre lui, et la ramena dans la maison, soulevant le balai d’un coup de baguette pour qu’il se retrouve dans le placard de l’entrée. Lentement, il gravit les marches qui le menaient à sa chambre, et déposa la petite fille sur le lit, non loin de sa mère. Son état était majoritairement catatonique mais la sorcière réussit à sourire en voyant sa fille, lui caressant la joue distraitement.

« Maman, j’ai réussi ! Ca veut dire que je pourrai intégrer l’équipe de Quidditch, à Poudlard, pas vrai ? »

La brune offrit un nouveau sourire, et hocha faiblement la tête à son tour. Puis elle détourna le regard, et James emporta sa fille en dehors de la chambre, l’amenant au Chemin de Traverse pour commencer à acheter les fournitures nécessaires pour son année à Poudlard.

Plus tard, alors qu’ils se tenaient tous les deux sur le quai du Poudlard Express, il la prit par les épaules et la serra le plus fort possible entre ses bras.

« Tu as bien ton collier ? » La petite fille hocha la tête, et il continua. « Tu ne l’enlèves sous aucun prétexte, tu as bien compris ? »

Elle hocha la tête à nouveau, et il la laissa grimper à bord du train, priant tous les Dieux qu’elle ne retire jamais son collier.

**




« Serdaigle remporte le match ! »

Les joueurs faisaient le tour du stade, les gradins en ébullition. C’était le dernier match de la saison, la dernière coupe, et Serdaigle l’avait gagnée, avec l’aide de leur poursuiveur star : Delilah MacCarthy. Cette dernière fit quelques figures dans l’arène, pour le plus grand plaisir des spectateurs, et se surprit même à sourire. C’était sa dernière année, elle avait passé ses NEWTs et les avait eues avec des notes à rendre jaloux n’importe quel élève. Elle était brillante, et comme si ça ne suffisait pas, elle était également grandement douée au Quidditch.

Mais lorsqu’il fut l’heure de choisir son futur, elle préféra devenir Apprentie en potions, plutôt que de rejoindre une équipe professionnelle. Ce qui la faisait frémir, ce qui lui donnait des sourires, c’était les livres, la connaissance, apprendre, tout simplement. Les potions, ça lui permettait d’avoir ce petit sentiment d’aventure, ce plaisir de pouvoir créer de nouvelles potions, ou d’en améliorer d’anciennes.

**




« Delilah … Ta mère … »

Il n’avait pas besoin d’en dire plus, la nouvelle était écrite sur son visage. Sa mère s’était suicidée, ayant enfin réussi à échapper à la surveillance constante de son père. Ce dernier l’avait épousée il y avait plus de trente ans, reniant ses héritages familiaux, reniant son sang, pur de tradition Irlandaise, pour épouser une né-moldue. Il n’avait pas voulu d’un mariage arrangé, qui le liait à sa cousine ; il n’avait pas voulu continuer la spirale de la consanguinité. Il avait fui, et épousé une femme qu’il aimait ; et maintenant cette femme était morte.

Elle enlaça son père, et resta proche de lui tout le long de l’enterrement. Lorsqu’était venu le temps de faire ses adieux, elle glissa ses doigts contre la joue froide de sa mère, murmura quelques mots d’amour, et détacha son collier pour le glisser dans le cercueil, pensant sentimentalement que de cette façon, elle aurait toujours une partie d’elle-même avec elle, même dans la mort. Le geste passa totalement inaperçu, ce qui entraina un bon nombre d’années de désespoir, et d’échec non caractéristique.

**



Le sang commençait à goutter lentement de l’un de ses poignets, tombant dans l’eau et la colorant petit à petit d’une teinte rosée. Avec autant de soin, elle s’occupa du deuxième, et lâcha un petit soupir satisfait. Elle avait bien pris le soin d’être seule, avait ordonné aux elfes de ne pas la déranger, sous aucun prétexte. Tout allait bien se passer. Tout. Elle attendit, et attendit, et comme rien n’arrivait, elle se força à ouvrir les yeux, et constata avec horreur que le sang qui s’écoulait d’un poignet revenait directement dans son corps par l’autre poignet. Si elle observa la scène interloquée pendant un long moment, elle finit par ressentir une bouffée de colère, qui remplit tout son être. C’était lui, encore, ça ne pouvait être que cela. Elle sortit du bain et enfila un peignoir, sans se soucier du sang, sortant de ses appartements comme une furie, le phénomène toujours entrain d’arriver, ce qui rendait la scène … particulière. Elle entra dans le Grand Hall après avoir ouvert les portes violemment, parcourant la salle sans se soucier des élèves entrain de déjeuner, ses yeux fixés sur sa cible : Albus.

« Encore une fois, Albus ? Quand allez-vous donc arrêter de vous mêler de mes affaires ! »

Elle était devenue livide, et le Directeur intervint avant qu’elle ne puisse prononcer d’autres mots, un sourire dans les yeux. Il essaya de rester sérieux, mais la scène était tout simplement hilarante. Alors, il échappa un petit rire, qui ne manqua pas d’énerver Delilah. Elle commença à se répandre en insultes, et il la poussa en dehors du Grand Hall, la forçant à l’infirmerie pour réparer la chair de ses poignets.

Evidemment qu’il avait enchanté tous ses poignards. Il tenait à sa Directrice de Maison, après tout.

**




Certains pensaient sûrement que c’était un hobby, et que ça l’amusait grandement de ne pas réussir. L’on ne pouvait être plus dans le faux. Ce n’était pas un hobby, c’était un désir intense d’en terminer, parce que l’on ne trouvait rien qui nous rattachait à la vie. Dans le cas de Delilah, les crises la touchaient plusieurs fois par an. Cela se matérialisait par une tentative de suicide, qu’elle ratait — par malchance, si vous lui demandiez.
Sa maladie était bien réelle, pourtant. Elle ne trouvait que difficilement de la joie dans ce qui l’entourait, à part peut-être ses livres et l’occasionnel vol sur un balai. Elle ne souriait pas, et elle vivait dans une espèce de bulle où rien ne pouvait lui apporter du bonheur. Cela ne s’arrêtait pas là. Autre conséquence de sa dépression, des pensées délirantes : elle était persuadée que l’école complotait pour l’empêcher de mettre fin à ses jours. C’était vrai, bien sûr, mais pas pour les raisons qu’elle pensait.
Les crises de mélancolie étaient violentes, et espacées hasardement dans le temps, ce qui ne facilitait pas la tâche de ses anges gardiens. Il fallait être sur ses gardes à chaque instant. C’était notamment pour cela que chaque possibilité qu’elle pouvait avoir, pour essayer de s’arracher à la vie, était entièrement truquée, magouillée, pour éviter qu’elle réussisse. Mais ne vous y fiez pas, elle avait réussi à se rater également avec des moyens tout à fait fiables. Le seul moyen efficace d’interrompre une crise était de la faire rentrer dans une rage noire, son attention alors totalement détournée de pensées moroses. Et quoi de plus simple pour l’énerver que de l’empêcher de mettre fin à ses jours lorsque plus rien ne la rattachait à la vie.

Sa dernière tentative au château était faite à partir d’une potion qu’elle avait elle-même créée, et qui n’avait qu’un seul but : agir comme une forme d’arsenic, mais en plus doux, et en plus rapide. Le meilleur moyen de ne pas se rater, c’était ingérer un poison foudroyant. Alors, assise à son bureau, sa chauve-souris perchée dans ses cheveux, elle avala sa potion, cul sec, et attendit. Lorsque rien ne se passa, elle fronça les sourcils, se demandant si elle avait peut-être raté sa potion. Elle étudia distraitement la fiole, la portant à son nez pour vérifier son odeur. Elle se figea. On avait échangé les potions, et elle comme une bleue, elle s’était faite avoir. Elle n’avait pas vérifié sa potion avant de l’ingérer, et maintenant elle avait avalé Dieu sait quoi, elle n’en connaissait pas les conséquences, et ça l’effrayait au-delà du fait qu’elle avait encore raté. C’était la 15ème fois, et elle se soldait encore par un échec, puisqu’elle n’était pas déjà tombée par terre d’une crise cardiaque. Ca devenait vaguement agaçant. La jeune femme crispa ses paupières, et se força à se relever, la fiole serrée entre les doigts. Comme une furie, à nouveau, elle sortit de sa classe, et se précipita jusqu’au bureau du Directeur, crachant le mot de passe au nez de la Gargouille et grimpant les marches deux à deux.


« ALBUS ! Qu’avez-vous fait de ma potion ?! »

Le vieil homme la regarda par dessus ses lunettes, les yeux étincelant de malice, et elle grinça des dents.

« Allons allons, Miss MacCarthy. J’ai bien peur que vous vous emportiez. »

Elle vit rouge, et s’approcha de lui, posant avec une surprenante délicatesse la fiole vide sur la table.

« Albus. Je pensais vous avoir dit de ne pas toucher à mes potions. Qu’en avez-vous fait ? »

Sa voix était devenue froide, et l’homme fronça simplement les sourcils. Il était plus habitué à la colère hystérique — qui ne manquait d’ailleurs pas de l’amuser ¬— mais l’état actuel de la brune était une première, et il était sur ses gardes.

« Miss MacCarthy. »

Il y avait un avertissement dans sa voix, et elle le fixa longuement avant de soupirer, se laissant tomber dans un fauteuil placé devant le bureau. Lentement, elle passa ses doigts dans ses cheveux, délogeant Melancholia pour la glisser entre ses doigts, la caressant distraitement.

« Vous pensez que ça m’amuse, Albus ? Vous pensez que c’est par caprice que je fais ça ? »

Elle releva les yeux vers lui, et il l’observait attentivement, d’un œil curieux. Elle soupira à nouveau et continua, baissant les yeux en glissant ses doigts contre le cou de sa chauve-souris.

« Avez-vous seulement conscience de ce que c’est, d’être incapable de trouver le moindre plaisir, la moindre joie, dans le monde ? Vous ne pouvez pas comprendre ce que c’est, de ne pas avoir de raison de vivre. Vous ne savez pas ce qu’il se passe dans mon esprit, et vous, vous vous moquez. Chaque échec est une souffrance de plus. La prochaine fois, Albus, laissez-moi partir. S’il vous plait. »

Elle le fixa alors de ses orbes bleus, tourmentés, et plutôt que d’acquiescer, il se pencha en avant sur son bureau, les yeux fixés sur elle.

« Laissez moi voir. »

Ca lui fit l’effet d’une douche froide et elle se redressa soudainement, faisant un pas en arrière. Elle savait que Dumbledore était un Legilimens des plus doués, mais il n’avait jamais rien tenté sur elle. Et elle ne comptait pas que ça arrive aujourd’hui. Elle tourna les talons, et rejoint la porte en quelques pas, tout en criant.

« Jamais ! Vous m’entendez, Albus ? JAMAIS. »

Et avec ça, elle claqua la porte derrière elle.

**



Elle avait fini par se dire que le meilleur moyen de partir était de faire ça loin de Poudlard, avec des moyens de Moldus. Mais elle avait peur d’utiliser leurs espèces de bâtons étranges, et surtout, elle ne savait pas comment se les procurer. Alors elle décida de se laisser couler dans la Tamise. Lorsqu’une nouvelle crise de mélancolie s’amorça, elle rejoignit le centre de Londres, et lorsque le désespoir fut trop fort, elle se laissa tomber tête la première dans l’eau grisâtre. Ce fut son dernier échec.

C’était sans compter la présence d’une autre sorcière, qui la sortit de l’eau, et reconnaissant la chevalière aux armoiries de Serdaigle à son doigt, l’emmena à St Mungo’s pour se faire soigner. La brune resta inconsciente pendant tout son temps, et ne sut jamais le nom de sa sauveuse, seulement ce que lui dire les médecins lorsqu’elle se réveilla : que la femme avait un accent d’Europe de l’Est, qu’elle était brune, et qu’elle avait un certain style vestimentaire. Elle n’avait pas nom, pas de visage ; rien, seulement la connaissance que quelqu’un l’avait encore empêchée de se laisser partir.

Les médecins lui souhaitèrent une bonne vie, et prièrent de ne jamais la revoir.

Ce fut sa dernière tentative, parce que l’étrangère, informée de son état de suicidaire régulière, décida d’enchanter la bague Serdaigle que possédait Delilah. Similaire à l’enchantement du collier que lui avait donné son père pendant son enfance, le charme permettait de limiter les crises de mélancolie, et de diminuer leur intensité, empêchant ainsi sa dépression de la pousser au suicide.


**




« Ah, je vois que vous portez toujours votre bague. »

La brune se figea, relevant les yeux pour fixer le nouveau professeur de métamorphose, la cuillère à mi-chemin de ses lèvres, la bague effectivement bien en évidence sur son majeur. Elle fronça légèrement les sourcils, se demandant bien ce qu’elle voulait dire par « toujours ». Elle ne l’avait jamais vue avant, l’autre venant seulement de saisir le poste. Elle ne répondit pas, se contentant de fixer la brune d’un air sceptique, avant qu’un flash de reconnaissance de se fasse voir dans ses iris. C’était elle. Evidemment. Brune, style particulier, accent de l’Est. C’était elle qui l’avait sauvée de la noyade.

Delilah laissa tomber sa fourchette contre l’assiette, certains professeurs relevant la tête au bruit. Elle les ignora, et se leva subitement de sa chaise, quittant le Grand Hall à grands pas, ses robes volant derrière elle.


**



« Pourquoi voulais-tu toujours que je porte le collier, quand j’étais enfant ? »

L’homme aux cheveux grisonnants releva les yeux vers sa fille, interloqué.

« Comment ça, quand tu étais enfant ? Tu l’as enlevé ?  »

Elle hocha simplement la tête, effleurant sa bague distraitement du bout des doigts, comme elle le faisait souvent.

« Je l’ai glissé dans le cercueil de maman.  »

James resta sans voix, et attrapa soudainement les mains de sa fille entre les siennes, les serrant délicatement. Le geste fit remonter les manches des robes de la brune, et il baissa les yeux, observant, horrifié, les cicatrices claires qui ornaient la peau pâle.

« Oh, Delilah. Mais pourquoi l’as-tu enlevé ? Il te protégeait.  »

La fin de sa phrase était murmurée, et elle fronça les sourcils, retirant ses mains des siennes. Son cerveau tournait à toute vitesse, et elle se tourna soudainement vers lui, des éclairs dans les yeux.

« Tu veux dire que c’est ça qui m’empêchait de me suicider ? C’est pour ça que depuis que je l’ai enlevé … Mais alors … »

Elle s’arrêta, pensive, et regarda ses mains à nouveau, la bague attirant son regard instantanément. Bien sûr. Ca devait forcément être le même type de sort. Elle essaya d’enlever la bague, mais n’y arriva pas. Fronçant les sourcils, elle essaya encore, sans plus de succès. Elle lâcha un soupir.

« Tu n’as plus besoin de t’inquiéter pour moi. Je crois que ça fera l’affaire. »

Et elle lui montra la bague, toujours fermement attachée à son doigt, lui laissant le soin de l’examiner.


**



Elle était assise à son bureau, tripatouillant distraitement les différentes bagues qui ornaient ses doigts. Du coin de l’œil, elle pouvait voir sa salle de classe, les élèves s’affairant à créer une polyjuice potion. Elle n’y prêtait absolument pas attention, cependant, perdue dans ses pensées. Distraitement, elle balançait son pied, et lâchait soupir sur soupir. Sa chauve-souris se détacha de sa poutre préférée pour atterrir dans ses cheveux, s’installant confortablement dans la masse brune, au grand effroi de certains élèves. Elle ne réagit pas, et tapota distraitement ses doigts contre son bureau.

Elle repensait à sa vie, et se demanda si ce n’était pas une erreur, de ne jamais être partie de Poudlard pour observer le monde. Tout de suite après être devenue Maîtresse de Potions, elle avait remplacé l’ancien professeur de Poudlard. Cela faisait déjà plus de dix ans qu’elle était là, et plus de cinq ans qu’elle avait hérité de sa Maison. Tout cela lui convenait, bien sûr, mais elle ne pouvait s’empêcher de se demander si elle ne regretterait pas sa vie, l’heure venue de mourir. Elle secoua légèrement la tête, et eut un sourire amer, les yeux se déplaçant pour fixer ses bagues. Les charmes avaient beau empêcher les trop grosses phases de dépression, ils ne stoppaient en rien le spleen, et son humeur se dégradait de secondes en secondes. Elle soupira.

Un chaudron explosa devant un élève, faisant sursauter l’intégralité de salle, et le malheureux élève, qui restait figé devant sa potion ratée, le visage noirci de cendres.

« A vos souhaits. »

Déclara Delilah, distraitement, caressant l’une des pierres de ses bagues.

**




« A vos souhaits ? Sérieusement ? »

Delilah haussa simplement les épaules sous le regard amusé de son amante, et laissa un petit sourire se glisser sur ses lèvres, se laissant tomber en arrière dans le canapé, épuisée par la séance de résistance mentale qu’elle avait effectuée.







Dernière édition par Delilah B. MacCarthy le Mar 10 Fév - 13:58, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Dawn R. Blackwood
Dawn R. Blackwood
LA PRINCESSE DES GLACES

LA PRINCESSE DES GLACES
+ SORCIER DEPUIS LE : 18/08/2012
+ PARCHEMINS : 6731
+ LOCALISATION : Poudlard, la tanière des verts ou le terrain de quidditch

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeDim 8 Fév - 23:23

OMG Eva Green la magnifique :*o*::bave: quel bon choix d'avatar j'adooore!

Bienvenue et plus que bienvenue sur DP! :love:
J'ai hâte de voir ce que tu nous prépares et ce que vous avez en tête avec Zelena :huhu:

Bon courage pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas! :heart:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeDim 8 Fév - 23:29

Merci beaucoup !
J'espère être à la hauteur haha (a)
:yaho:
Revenir en haut Aller en bas
Lorelei E. Wilbert
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE

LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014
+ PARCHEMINS : 5009
+ LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeDim 8 Fév - 23:37

Oh excellent choix d'avatar (c'est Lumen qui va être contente elle aime bien Eva Green ) :*o*: uis prof de potion la classe :huhu:
Bienvenue en tout cas & courage pour ta fiche :super:


Dernière édition par Lorelei E. Wilbert le Lun 9 Fév - 12:17, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 3:40

Welcome :*o*:
Comme l'a dit Dawnette, excellent choix d'ava :huhu: et en plus prof de potion :oups:

Bon courage pour ta fiche :pc:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 6:09

Attends, Zelena est bi, Delilah est lesbienne... *a le cerveau qui grille, commence à préparer les drapeaux arc en ciel et à écrire des slogans pour la communauté LGBT sorcière*

BIENVENUE. une ancienne serdy, il nous faudra un lien *_* Bon courage pour la rédac ♥
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 9:08

Bienvenue sur Dp. Plus le seul vieux Very Happy

Classe l'avatar.Twisted Evil

Je sens que ça va être marrant de voir ce que vous allez faire à 2. :super:

Bon courage pour ta fiche
Revenir en haut Aller en bas
Lumen Macmillan
Lumen Macmillan
CŒUR DE LIONNE

CŒUR DE LIONNE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/08/2012
+ PARCHEMINS : 5770

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 11:08

Eva Green ! :*o*: Oui, j'adore Eva, c'est une actrice hyper talentueuse ! :love: :*o*: Je ne peux qu'approuver le choix d'avatar ! :nia:

Bienvenue & bon courage pour ta fiche ! :baila:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 12:33

Merci à tous :lovee:

Néron > Chuuuuuuut (a) C'est un secret !

Lumen > Je ne peux que plussoyer, elle est merveilleuse, parfaite, elle a la voix rauque, elle est sexy, que demande le peuple ? :luuv:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 14:13

Evaaaaaaa *o*
Welcome home :heart:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 14:32

Eva Green ** :keur: décidément, que de bon goût pour les avatars !
Bienvenue sur DP :*o*:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 14:38

Phèdre Phèdre Phèèèèèdre (a) Toi aussi tu te suicideras plus tard ? :marteau:

Merci à vous deux ! :dancing:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 14:48

Une prof de potions !!! Chouette :*o*:
Faudra qu'on discute je pense ^^ (en tant que loup-garou de Poudlard, la petite Zephir passe pas mal de temps dans le bureau du prof de potions donc...)

Bienvenue parmi nous en tout cas !
J'ai hâte de voir quel personnage tu vas nous concocter :bsx:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 18:45

Pas de problème (a)
Et merci :P
Revenir en haut Aller en bas
Seth Avery
Seth Avery
I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Neutre10


+ SORCIER DEPUIS LE : 23/01/2015
+ PARCHEMINS : 311
+ LOCALISATION : Poudlard

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitimeLun 9 Fév - 20:28

Evaaaaaaaaa :bave: :bave: Je t'aime déjà :*o*: en tout bien, tout honneur bien sûr gné gné
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Empty
Message Sujet: Re: I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy   I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

I felt that I breathed an atmosphere of sorrow. — Delilah MacCarthy

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

 Sujets similaires

-
» “The soulless have no need of melancholia” — Delilah MacCarthy
» Enoch ▲ Each breath breathed means we're alive.
» Welcome To the New Age •• Delilah
» I Want To Shelter You •• Delilah
» DELILAH の And I've been a fool

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Daily Prophet :: Paroles des Moldus :: Pensine :: Pensine des présentations-