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 Italian Man - Lorenzo A. Varetti

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Message Sujet: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 13:49


DOSSIER DU MINISTÈRE DE
Lorenzo Adriano Varetti


   

   
   
NOM : Varetti. Un nom de famille typé de ses origines italiennes légué par son père et dont il a n’a pas honte. Il ne sait pas si son nom possède une signification ou même une notoriété, tout ce qu’il sait, c’est que ce sont ces quelques syllabes qui l’unissent à sa famille pour toujours et démontrent son appartenance aux siens. PRÉNOMS : Lorenzo. Il paraitrait que les hommes portant ce prénom sont des séducteurs possédant un magnétisme indéniable, mais qu’ils sont aussi pudiques dans l’extériorisation de leurs sentiments. On pourrait croire qu’il est ainsi, que cette signification n’est pas anodine, peut-être que le prénom possède réellement un impact sur la personnalité de celui qui le porte. En tout cas, cela n’a rien à avoir avec le choix de ses parents pour lui offrir ce prénom, ce fut un coup de cœur pour eux, ils voulaient appeler leur fils ainsi. Ensuite, Adriano. Son second prénom. Synonyme d’énergie, de courage et de combattivité, il a été choisi en mémoire à son grand-père. Mort il y a si longtemps maintenant. AGE : Cela fait maintenant vingt petites années que notre jeune Lorenzo a naquis sur cette belle planète qu’est la Terre.  ANNÉE : Il est en cours de sa septième année d’études au sein de Poudlard, c'est la fin de sa scolarité et bientôt il sera libre comme l’air … Ou au chômage. ÉTAT CIVIL : Officiellement célibataire, mais il s’étonne lui-même d’être attiré par cette jeune femme, si contradictoire et différente de lui. Il ne peut pas dire s’il s’agit d’amour, mais il se sent attaché à elle plus qu’il ne le voudrait.  PURETÉ DU SANG : Lorenzo est un né-moldu, ses deux parents ne connaissent rien au monde de la magie. Mais il tente de se faire passer pour un sang-pur en racontant à tout le monde qu’il est l’héritier d’une puissante famille en Italie, comptant sur le fait que personne n’ira vérifier soi-même. Cela lui permet d’être tranquille et de ne pas avoir de problèmes au sein de l’école. MAISON SOUHAITÉE : Avant de venir à Poudlard, il n’avait aucune idée de l’existence de « maisons » au sein de l’école, alors lui demander d’en choisir une, cela devient compliqué. Le choixpeau est le seul qui peut choisir, il s’en remet corps et âme à son jugement. Même s’il aurait sa place au sein des Gryffondors ou des Poufsouffles.  ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel à cent pour cent, Lorenzo aime les femmes et les courtise sans hésiter à le faire savoir. Il sait ce qu’il vaut, alors il aime en profiter. PARTICULARITÉ : Aucune, si ce n’est qu’il est terriblement sexy avec de superbes abdominaux.
   

   
Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Des réponses tombées du ciel ? Mais comment est-ce possible ? Quelle joie ! Quel bonheur ! Comme quoi finalement le Bon Dieu existe bel et bien là haut, il offre de tels cadeaux sans qu’on s’y attende, alors merci à vous. C’est tellement incroyable. Alors, vous me demandez ce que ferait Lorenzo dans une telle situation ? Il les garde, pardi ! Non, mais quelle question ! Vous connaissez quelqu’un vous d’assez idiot pour refuser une telle chance et cracher sur des réponses offertes gratuitement ? Personne ne peut faire ça je vous dis, personne ! Ou en tout cas, certainement pas lui. Ah ça non. Première chose qu’il ferait, serait de vérifier qu’il s’agit bien des réponses du devoir. Ben oui. Imaginez vous trop heureux de les découvrir alors qu’en réalité ce n’est pas du tout ce que vous croyez, la honte quoi. Et là … Mais oui ! C’est ça ! Ce sont les réponses du prochain devoir de potions ! Allez, tout le monde danse la macarena ! –oui en fait, je ne vous l’ai pas dis, mais c’est Lorenzo qui l’a inventé #PAF#-. Une fois le bonheur de la découverte passée, il aurait fait en sorte de les recopier pour ne pas les perdre et les apprendre par cœur avant de les partager avec les autres élèves de sa maison. Oui, Lorenzo partage. Surtout lorsqu’il s’agit de ce genre de découvertes. Autant que tout le monde puisse en profiter, il n’est pas égoïste pour un sou. Et puis, il se dit aussi que si un jour cela arrivait à quelqu’un d’autre, il aimerait bien qu’on agisse de cette façon pour lui. On ne peut pas non plus dire que Lorenzo soit un gros bosseur, alors la moindre chance de pouvoir réussir un devoir sans y consacrer trop d’efforts est la bienvenue, autant saisir les chances qui se présentent à nous hein.

   ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? La question ne se pose même pas. Italien dans l’âme, sang chaud dans les veines, il a le sens du devoir et n’hésitera pas une seule seconde pour foncer dans le tas. Avec ou sans baguette magique, peut importe, il sait très bien se servir de ses muscles si le besoin s’en fait ressentir. C’est utile quelque fois de savoir se battre comme un moldu pour faire regretter à ces moins que rien de s’en prendre aux plus petits que soit. La justice, c’est important. Il faut leur montrer que cela ne se fait pas, on ne peut pas malmener des premières années seulement par simple excuse qu’ils sont plus petits. Non, mais franchement, quelle mentalité ! Il y a si peu d’années encore, ils étaient à leur place et maintenant ils se mettent à les traumatiser ainsi, quelle honte ! A force d’agir ainsi, les premières années vont avoir de la haine et se comporteront de la même façon par la suite sur les futures premières années qui auront le droit au même châtiment, c’est déplorable. Dumbledore devrait faire quelque chose. Car même si Lorenzo serait prêt à se jeter dans la bataille pour aider un pauvre petit gamin, il risque de ne pas faire le poids et cela ne suffirait pas à les calmer. Vous imaginez, leur comportement se résume à ça. C’est comme si on avait le droit de frapper son petit frère ou sa petite sœur juste parce qu’il est né après soi. Franchement, idée ridicule. On devrait punir ce genre d’actes. Vous l’aurez compris, Lorenzo n’aime pas du tout ce genre de comportements. Appelez le super Lorenzo, le super-héros de Poudlard !

Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Pourquoi c’est Lorenzo qu’il punit ? Non, mais, c’est quoi ce délire ? Il est con ou il le fait exprès ce prof de merde. Sérieusement, c’est quand Lorenzo ne fait rien qu’il se fait punir et quand il fait vraiment des conneries, il ne lui arrive strictement rien. Il faudrait peut-être revoir son système de surveillance et par la même occasion de punition monsieur le professeur. Alors non, il ne doit pas laisser passer ça. Hors de question. Il hausserait sûrement la voix et crierait à qui veux bien l’entendre l’injustice subie. Pourquoi lui ? Il n’a rien fait ? Un regard noir vers le moqueur de la classe pour lui montrer que la situation n’est pas si drôle. Même pas foutu d’assumer ses propres conneries. Mais cela ne durera qu’un temps. Un coup de gueule, des cris, un énervement, une remise en place, une prise de tête. Il n’obtiendra sûrement rien et il finira par finalement se rasseoir comme si de rien n’était sans un mot en terminant le cours dans son coin. Pas content de son châtiment. La vie est trop injuste parfois. Mais si un jour il se fait punir et qu’il est fautif, il saura se taire, rester à sa place, il pourrait même être fier de ses blagues. Oui, il est blagueur quand il veut aussi. Mais ça, on s’en fou en fait. Il est légèrement impulsif, crie un bon coup et se rend compte ensuite que quoi qu’il fasse, il sera toujours en tord face à un professeur alors à la fin, il reprendrait le silence.

   ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? L’amour. Ah l’amour est un bien grand mot n’est-ce pas. Qu’es-ce réellement l’amour ? Un sentiment. On ne peut pas dire que Lorenzo s’en préoccupe plus que ça, il est jeune alors autant en profiter. Dix-neuf ans, c’est jeune et à cet âge-là les femmes sont tellement sexys et irrésistibles. Et si finalement Lorenzo avait déjà des sentiments pour quelqu’un ? Et s’il ne savait pas définir l’amour par simple fait qu’en réalité il était déjà amoureux et obsédé par cette fameuse femme ? Finalement l’amour il n’y connait rien, n’y croit même pas, alors qu’il le ressent tellement profondément. Une forte contradiction. La richesse, cela l’aiderait bien en effet. Au moins, juste un peu. De quoi investir dans une maison pour sa mère et lui offrir un confort minimum plutôt que le taudis dans lequel elle vit actuellement. Oui, un peu de fric ne serait pas de refus. La célébrité et la sagesse par contre, qu’est-ce qu’il s’en fou franchement. Pourquoi être célèbre et sage quand on est pauvre et célibataire ? Inutile. Priorité numéro une, réussir ses études et pouvoir se lancer dans une carrière lui permettant de vivre facilement. Priorité numéro deux, prendre soin de sa mère. Priorité numéro trois, non, il n’en a pas finalement. Ces deux priorités sont déjà bien conséquentes et difficiles à mettre en place.
   

   
PSEUDO : Ananas alias Nana AGE : 21 ans PRÉSENCE : Quand je peux, mais je dirai 6/7 AVATAR : Lucas Bernadini COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : bazzart UN PETIT MOT POUR LA FIN : Ce forum donne tellement envie, j’espère que vous allez me vendre du rêve !

   



Dernière édition par Lorenzo A. Varetti le Lun 29 Sep - 10:27, édité 3 fois
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 13:50


Part 1
La vie réserve parfois beaucoup de surprises.

   
   
Italie. Avril 1965. Lorenzo, 5 ans

J’enlace  le corps de la femme, les yeux grands ouverts, de mes petits bras d’enfant. « Je t’aime maman. » Comme tous les enfants, je ne cesse de scander mon amour pour la femme qui m’a mit au monde, pour celle qui m’a crée par amour en ayant fait tous les efforts du monde et en ayant tellement souffert. Enfin, je n’ai que cinq ans. Je ne répète que ce qu’on me dit. Je ne pense pas qu’on m’a mentit sur ce sujet, ce ne serait pas logique. Ou alors, peut-être que c’est pour me faire peur. Ah ça, c’est possible ! J’ai remarqué que beaucoup d’adultes me sous-estimaient. Me parlait quelque fois comme si je ne comprenais rien à rien. Mais vous savez, j’ai beau avoir cinq ans, je comprends beaucoup plus de choses que ce que l’on peut penser.  Même si je veux bien l’avouer, jamais je n’aurai cru que ma vie subirait un tel changement des années plus tard. Oh non, ça jamais ! Et pourtant. La vie nous réserve parfois bien des surprises. Quelles soient bonnes ou mauvaises. « Moi aussi je t’aime mon fils. » J’aime quand elle me dit ça. Je me détache d’elle et la regarde dans les yeux avant de lui faire un énorme bisou sur la joue. Elle est belle ma maman vous savez. Oui, c’est la plus belle au monde ! Elle surpasse toutes les autres mamans de toute façon. Et ouais ! Nanananère ! Oui, je n’ai encore que cinq ans et ma vie de moldu reste la seule chose que je connaisse aujourd’hui, jusqu’au jour où … Vous verrez bien. Mais sachez seulement que l'avenir n'est pas prévisible, que nous ne sommes pas mettre de nos destins, que peut importe ce que l'on souhaiterait, cela ne se produit quasiment jamais. Sachez juste une chose, ne pensez pas être maître de votre destin car au fond, seule la vie décide de ce que nous sommes, de ce que nous devenons et de ce que nous serons par la suite. Ce n'est jamais nous, simples êtres humains, qui pouvons choisir. Personne ne nous laisse le choix. Gardez bien cela en mémoire. Je n'ai que cinq ans. Je suis haut comme trois pommes. Et mon avenir est tout tracé, je ne le connais juste pas encore.




Part 2
Le voyage peut nous être inconnu, car au fond le principal reste la destination.

   
   
Quelque part sur la planète Terre. Décembre 1970. Lorenzo, 10 ans.

Il fait froid. Tellement froid que je croie bien que mes orteils vont tomber congelés d’ici peu. Mais où sommes-nous ? J’ai beau regarder autour de moi, tout ce que je voie, c’est de l’eau. L’océan probablement. Le pire, c’est que je ne sais même pas où nous allons. Ma mère a l’air d’être encore plus mal en point que moi. Je me rapproche d’elle et la prend dans mes bras, tentant de la réchauffer. J’ai l’impression que c’est bien inutile, elle est toute tremblante. Elle grelote de froid. Mais où est-ce que mon père peut bien être encore ? Il été assis ici il y a deux minutes à peine. Quelle idée de partir et de quitter l’Italie. J’y ai vécu durant dix longues années et ce pays est le mien, mais non, il a fallu que des hommes aient la brillante idée de partir sans même savoir où aller. Apparemment, ce serait une histoire de crise politique. Je comprends rien à tout ça moi. Peut-être qu’ils ont raison et qu’il est préférable de s’enfuir. Probablement. Sauver nos vies, c’est mieux de combattre. Quelle lâcheté ! Enfin, ce que je dis moi, du haut de mon petit mètre vingt, tout le monde s’en contre fiche sur ce bateau. « J’ai … Froid. » Je tourne mon visage vers celui de ma mère. « Je sais maman, je sais. » Je resserre mon étreinte pour lui faire comprendre que je suis près d’elle. « Vas chercher … Ton père. » Ses mots sont faibles. Je n’ai pas envie de la laisser seule ici, dans un coin du bateau, à la portée du froid. Pourtant, je me lève. Difficilement. Bon, c’est partit pour retrouver Monsieur j’ai eu la brillante idée d’emmener ma famille sur un bateau pourri. J’entends les voiles qui claquent dans le vent. Le brouillard est tellement épais qu’un seul pas me suffit pour ne plus apercevoir ma mère. Je respire un bon coup, tentant de réunir le plus de courage possible. Bon sang, je ne suis qu’un gamin, ce n’est pas à moi que ce genre de choses devraient arriver. Mais je ne dis rien. Je ne me plains pas. Je continue à marcher tentant d’apercevoir le visage de mon géniteur parmi tous ceux qui sont pétrifiés par ce froid macabre. « Père ! » Ma voix semble résonner autour de moi sans pour autant attirer l’attention de qui que ce soit. Il y a-t-il au moins une seule personne qui fait attention à moi ? Je n’en ai pas l’impression. Génial. La recherche commence bien. « Un homme à la mer ! » Je fais volte face, doucement, comme si j’étais au ralenti. Et sans savoir pourquoi ni comment, je me retrouve à me hâter vers l’homme qui a crié sur le bateau. Là-bas. Dans l’eau. Entre deux vagues. Je pourrai le reconnaitre entre mille. « Père ! »  Cette fois je sais qu’il m’a entendu. Je sens mon cœur se déchirer en le voyant se battre contre les vagues pour rejoindre le bateau. En vain. Ses efforts sont inutiles contre la force de l’océan. « Faites quelque chose ! » Ma voix est suppliante et je ne voie personne bouger. Comme si pour eux, le sort de l’homme qui m’a mit au monde était déjà discuté. Comme si ... C’est dur de l’admettre ainsi … Comme si sa vie était déjà terminée. Pourtant, il se bat. Il tente de revenir. Et je le regarde. Comment pourrais-je me jeter dans l’eau ? Je n’ai que dix ans, jamais je ne pourrai remonter sur ces planches de bois tout seul. Je sens les larmes qui coulent sur mes joues et je reste là à regarder mon père mourir. Cette image restera gravée à jamais dans ma mémoire. Je le sais.




Part 3
Il faut mériter sa chance, non pas la réclamer.

   
   
Londres. Hiver 1972. Lorenzo, 12 ans.

« Tu vas bouger ton trou de balle oui ! » J’entends cette phrase pour la énième fois. J’ai lourdement envie de faire regretter à cet homme la façon dont il me parle, mais je ne peux pas. Alors je garde le foin sur mon épaule et tente d’accélérer le pas comme il me le demande. Je n’ai pas à ouvrir ma bouche et dire quoi que ce soit. Je ne dois pas faire ça. Je dois être fort. Et cela passe par le travail, les efforts que je fais pour montrer mon sérieux et mon envie de gagner des sous. Car au fond, je ne suis là que pour ça, les sous. Vous savez ces petites pièces de monnaie qui sont si précieuses ? Apparemment, le peu de monnaie que nous avons réussis à ramener d’Italie ne servent à rien ici, nous avons du les échanger contre quelques petits paquets de nourriture, rien de bien intéressant. Maintenant, pour survivre, je me dois de travailler aussi dur que le ferait un adulte. Je dois aider ma mère du mieux possible. C’est ça aussi, le rôle de l’homme de la famille. Mon père est mort, il y a presque deux ans maintenant. Enfin, vous êtes déjà au courant, mais vous savez, cela a vraiment chamboulé ma vie et pas forcément dans le bon sens. Je suis seul avec ma mère. Survivre dans un pays qui n’est pas le notre, ce n’est pas facile. Nous ne sommes que de simples gens qui travaillons pour gagner une misère et avoir un toit. En plus, ici il ne cesse de pleuvoir. Je donnerais n’importe quoi pour retourner chez nous, en Italie. Au moins, j’ai réussi à apprendre l’Anglais très facilement. C’est déjà un bon point. Il paraitrait que quand on est jeune, on a moins de difficultés à apprendre une nouvelle langue, je veux bien le croire vu la vitesse avec laquelle j’ai réussi à me faire comprendre. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’arrive à répondre à mon patron de malheur avec un langage tout à fait compréhensible. « Oui Monsieur ! » Même si je veux bien l’avouer, on entend encore mon fort accent Italien. Ma mère me dit souvent que c’est très charmant et que plus tard je ferai craquer toutes les filles avec cet accent et vous savez ce que je lui réponds ? Je n’ai que 12 ans maman, les filles ça ne m’intéressent pas. A chaque fois ! C’est un petit mensonge, mais chut ! Gardez-ça pour vous ! C’est joli les filles après tout. « Et pourquoi tu souries comme ça ? » Ben oui, quand je pense à ça, il m’arrive de sourire. Mon patron déteste voir ses employés sourire en travaillant, comme si c’était plus agréable de partager les corvées d’un air grave et triste. « Pour rien Monsieur ! » « Alors enlèves moi ce sourire horrible et accélères … » Il s’était rapproché de moi. Si près que j’avais put sentir sa mauvaise haleine et ses dents pourries. J’attrape un nouveau paquet de foin et souffle péniblement sous l’effort. C’est que c’est lourd ces trucs-là ! Et je continue ainsi toute la journée.

21 heures. « Maman, je suis rentré ! » « Ah, enfin ! » « Monsieur Jones voulait pas que je parte. » « Comme d’habitude … » Elle n’a pas tord. Ce mec me fait la vie dure et ça dure tous les jours. Quelle plaie ! Mais je suis trop jeune et personne dans cette ville n’ose donner sa chance à un gamin venu d’Italie. Je n’ai pas vraiment le choix de subir ça. Je rejoins ma mère dans la cuisine et dépose un petit sachet sur la table. « J’ai réussi à avoir du pain pour une fois et j’ai même eu un peu de sous. » Je voie le visage de celle qui m’a mit au monde s’éclairer instantanément. Si moi je peine, alors elle, je ne peux même pas vous décrire ce qu’elle vit au quotidien. A faire le ménage et servir de servante chez des hommes riches de la ville, se faire insulter de tous les noms sans pouvoir répliquer. Ma pauvre Maman. J’aimerai tellement mettre fin à son calvaire. Ce pain et ses quelques pièces suffiront à lui rendre la vie plus facile quelques jours, mais surtout à lui donner le sourire quelques instants. C’est tout ce qui est important pour le moment. De toute façon, je ne peux rien faire d’autre, il va falloir s’en contenter. Comme d’habitude.




Part 4
Et soudain, la vie change sans qu'on ne sache comment.

   
   
Londres. Août 1974. Lorenzo, 14 ans.

J’ai un rêve. Les gosses ont tous des rêves. En fait, je n’ai pas un rêve, j’en ai pleins, des milliers de rêves différents, des fantasmes en tout genre. Ils ont tous un point commun, ils représentent quelque chose qui m’est impossible d’avoir. Que ce soit matériel ou pas. Mes rêves sont l’impossible que j’envie, que je jalouse aux autres. Pourquoi eux et pas moi ? Je me sens discriminé. Mais je ne le dis pas. Je n’y pense pas. Je me bats. Je travaille toujours aussi dur, donnant le maximum de moi-même pour pouvoir aider au mieux ma mère. J’ai l’impression que son état de santé s’affaiblit d’ailleurs, ce n’est pas bon signe. Ça aussi, ça commence à devenir un rêve.  Bon sang ce que ma vie est nulle. Je sors de mes pensées en entendant un bruit suspect. J’étais allongé sur le sol, une simple couverture pas trop épaisse histoire d’avoir un semblant d’endroit où dormir. Ma mère est dans la pièce à côté, on tente d’avoir un minimum d’intimité même si pour ça il faut qu’un de nous deux dorme dans la salle de bains. Ce n’est pas mon cas aujourd’hui. Je me redresse doucement et observe autour de moi à la recherche de l’origine de ce fameux bruit, mais je n’entends plus rien. Etrange. Peut-être une souris dans le grenier. Je repose mon dos sur le sol pour retrouver une position allongée et tente de retourner à mes pensées. Mais ce bruit résonne de nouveau. Une sorte de petit clac, comme si quelqu’un frapper sur un carreau. Ça fait peur d’entendre ça au beau milieu de la nuit. Mais je me relève et cette fois jusqu’à être debout au beau milieu de notre minuscule salon. Un mouvement attire ma curiosité à la petite fenêtre que je vais ouvrir, sans me douter un seul instant de la surprise que me fait ce hibou de malheur. Mais depuis quand les hiboux viennent frapper aux fenêtres de cette façon ? « Vas-t-en  s’il te plaît. » Je secoue le bras pour l’effrayer et lui faire comprendre que j’aimerai dormir un peu. Il s’envole. Mais reviens quasiment instantanément. Non, mais il veut quoi lui ? Il croit que c’est un hibou de malheur qui va m’empêcher de fermer l’œil ? Il a peut-être raison oui. « Allez, fou moi la paix ! » Je secoue de nouveau les bras, en vain. Je le regarde se pavaner devant moi. Mais qu’est-ce qu’il me veut ? Je le voie me tendre sa patte. Cette situation devient presque étrange en y repensant. Une sorte d’enveloppe est accrochée à son membre. Ils utilisent des hiboux maintenant pour réinventer le système du pigeon voyageur. N’importe quoi cette histoire ! Une fois que j’ai le précieux colis entre mes mains, l’animal repart comme si de rien n’était et je le regarde s’envoler, l’œil et l’esprit curieux. Sans le savoir, ma vie va changer à tout jamais grâce à ce mystérieux événement. Je prends l’enveloppe et la pose par terre avant de me recoucher. Je prendrai le temps de lire cette lettre plus tard, je dois me reposer pour le boulot de demain.


Quelques jours plus tard.
« Lorenzo ! » Le fort accent italien se fit attendre dans la petite maison anglaise. Oula ! Quand ma mère parle de cette manière, ce n’est pas bon signe du tout ! Je sortis de la salle de bains à moitié habillé me précipitant vers l’entrée, endroit d’où la sévère voix se fit entendre. « Est-ce que tu peux m’expliquer ce que ces drôles de gens te veulent ? » Hein ? De qui elle parle ? Je la rejoins et regarde les fameuses personnes se trouvant dans l’ouverture de la porte. Deux gars, enfin on dirait que ce sont des gars, vêtus de robe et de chapeaux pointus me fixent tout souriants. Okay, sur ce coup-là, elle a bien raison ma mère … Ce sont de drôles de gens. « Euh … Bonjour. » Je me risque à parler, soigneusement, doucement, n’étant même pas certain que ce soit une bonne idée. « Bonjour Lorenzo Adriano Varetti. Est-ce que vous avez lu votre lettre ? » Comment ça se fait qu’ils connaissent mon nom ces mecs-là ? Je regarde ma mère un peu apeuré et ne réagit pas. Je mets quelques secondes avant de comprendre de quoi cet inconnu me parle. J’acquiesce de la tête avant d’aller chercher la fameuse enveloppe. Je reviens avec et leurs tends. Elle est peut-être pour eux cette enveloppe finalement. « Non, cette lettre vous adressée, regardez. » Il m’indique le verso de l’enveloppe et je voie mon nom inscrit dessus à l’encre noire. L’écriture est belle. Soignée. Certainement pas écrite d’une main de travailleur tel que moi. Non sans trembler, j’ouvre cette enveloppe et attrape le bout de parchemin qui y est glissé. Lisant dans ma tête les quelques lignes qui y sont rédigées. « Est-ce que vous comprenez de quoi il s’agit ? » Je le regarde les yeux écarquillés. Euh non, pas du tout ! Je voie ma mère qui prend peur à mes côtés, elle ne sait pas lire l’anglais. Les choses se passent rapidement par la suite.  On leur offre un verre. Ils rentrent chez nous. Expliques de quoi ce drôle de message retourne. Ils passent plusieurs heures ici. Plusieurs jours même. Tentant de nous mettre en confiance. Et par la suite, je repars à leur côté, laissant ma mère seule derrière moi. Partant à l’aventure.




Part 5
Les changements de vie ne sont pas tous négatifs, surtout si on a un peu de chance.

   
   
Poudlard. Septembre 1974. Lorenzo, 14 ans, 1e année.

C’est grand ! Non, c’est énorme ! Non, c’est gigantesque ! C’est juste indescriptible ici. C’est tellement OUAH ! On m’avait parlé d’un château, mais ça, c’était tout sauf un château ordinaire. Une école de ce genre existait donc réellement et moi, simple petit être humain que je suis, j’ai la chance d’en faire partit. Je n’arrive toujours pas à comprendre comment c’est possible. La magie, tout ça, c’est tellement étrange pour moi. Je n’en ai pas encore l’habitude. Ils m’ont dit que je m’y ferais vite et que ça allait vite me plaire, oh ça je n’en doute pas ! Apparemment, je suis ce qu’ils appellent un moldu, mais je n’arrive pas à m’y faire. Moi ? Un moldu ? Je ne sais même pas ce que ça veux dire, hors de question que j’emploie ce mot. Je suis juste un petit Italien venu me réfugier en Angleterre. J’espère qu’ils ne sont pas racistes ici d’ailleurs. Tout ça pour dire qu’ici, tout semble incroyable, j’ai l’impression d’être tombé dans un coma et que je rêve sans pouvoir me réveiller. Je n’ai aucuns mots précis pour décrire ce que je voie, ce que je ressens ou même ce qui m’entoure. Il faut y être pour comprendre. Et cette sensation de découverte est tout simplement géniale. Finalement, je croie bien que je vais m’y plaire ici. Sept années d’études. Je vais pouvoir aller à l’école. Qu’elle soit magique ou non, je vais avoir cette chance. Je n’aurai même plus besoin de travailler dur et de me faire maltraiter par un patron dégoûtant n’offrant que quelques pièces quand il en a envie. Je croie bien que j’ai atteint le paradis.

Il y a tous ces yeux qui me regardent, me fixent, m’observent, comme pour déceler le moindre geste suspect que je pourrai faire par mégarde. Enfin, je dis moi, mais c’est plutôt nous, les premières années, les petits nouveaux qui viennent tout juste d’entrer dans ce qu’ils appellent la grande salle. D’ailleurs, je comprends très vite pourquoi ils l’ont appelée comme ça. Cette salle est très impressionnante. Il y a quatre longues tables disposées parallèlement. Ah, c’est sans doute à cause de cette histoire de maison. On m’en a parlé dans le train. D’après ce que j’ai compris il y en a quatre et chaque nouvel élève est répartit dans une de ces maisons suivant son caractère. Etrange comme idée. Enfin, ce sont des sorciers après tout, ils ne peuvent bien avoir que des idées de ce genre là. Rouge, Jaune, Bleu et Vert. Pour l’instant c’est tout ce que j’ai retenu. Les noms des maisons, alors là, il ne faut pas trop m’en demander pour l’instant. D’ailleurs, heureusement qu’il y a ce code couleur, ça m’aide pas mal. Pour l’instant, ils sont tous pareils à mes yeux, je les regarde et tout ce que je voie ce sont des adolescents rieurs, heureux d’être ici. Heureux. Je vais l’être. J’ai hâte de connaitre ce sentiment. « Lorenzo Adriano Varetti. » Hein ? C’est à moi ? Moi aussi je dois passer devant tout le monde habillé en robe ? Euh, ce n’était pas du tout prévu ça ! Mais alors pas du tout ! On aurait dut signer un contrat pour mettre ça au clair avant de venir ici. J’avale difficilement ma salive et me lance. Je n’ai pas peur. Non. Enfin, j’essaye de me le faire croire. J’imite tous ceux qui sont passés avant moi, posant mes pieds au même endroit qu’eux auparavant. Et là je m’assois sur ce fameux tabouret de la mort. « Alors qu’avons-nous là ? » Qui me parle ? Je tourne la tête à gauche puis à droite, tout doucement et je ne voie personne. Alors c’est ça … Le truc qu’on nous pose sur la tête cause. La magie, c’est vraiment bizarre ? Il continue de parler, analysant mon cerveau, mes pensées, mon passé surement aussi. Comment un pauvre petit bout de cuir peut savoir tout ça. « Dur passé n’est-ce pas … Intéressant je dirais. » Oui, bon, si tu pouvais éviter de dire à tout le monde ce que j’ai vécu, ça m’aiderait grandement petit bout de cuir parlant. Sans prévenir, il se met à crier d’un coup un nom que j’avoue ne pas comprendre. Ah ! C’est le nom d’une maison ! Ils applaudissent tous à cette table-là, je dois donc les rejoindre. Okay, j’arrive mes nouveaux copains.





Part 6
On profite de notre bonheur pour le partager.

   
   
Italie. Juillet 1976. Lorenzo, 16 ans, entre en 3e année.

« Comment tu peux savoir qu’ils ne vont pas me refuser ? » « C’est ta sœur voyons, elle ne te laissera pas tomber. » « Mais comment tu peux le savoir ? » « Je le sais, c’est tout. » Comment pourrais-je lui expliquer que j’ai pris contact avec elle, qu’en réalité c’est grâce à ma tante que je suis ce que je suis aujourd’hui, car oui, elle aussi est une sorcière. Je lui dirai plus tard. Elle doit d’abord profiter de la chance qu’elle a de quitter l’Angleterre et de revenir chez elle, ici, en Italie. « Et si elle ne m’ouvre pas la porte et m’insulte de tous les noms, qu’est-ce que je fais ? » « Mais arrêtes Maman, tout va bien se passer. » Elle commence à me faire rire en paniquant de cette façon. Nous marchons côte à côte en direction de la petite maison que j’ai tant fréquentée durant mon enfance. Je sourie car je sais pertinemment que le retour de ma mère auprès des siens est très attendu. Elle panique pour rien. Je lui adresse un petit : « On y est. » Histoire de la préparer à ce que je vais faire. Je frappe quelques coups significatifs sur la porte d’entrée et attend quelques instants qu’on vienne nous ouvrir. Ce laps de temps n’est pas long, pourtant je pense que pour ma génitrice, ces secondes ont du paraitre des heures, elle est loin d’être rassurée. La porte s’ouvre enfin et ma tante apparait. Elle me prend dans ses bras, m’adresse quelques mots en italien pour me remercier d’avoir pris contact avec elle, je voie les yeux de surprise de ma mère, mais je ne dis rien et salue ma tante comme il se doit, lui laissant ensuite libre champ pour en faire de même avec sa sœur. Je les laisse et entre dans la maison, la valise de ma mère dans les mains. Mon oncle est là aussi, je viens le saluer. C’est un moldu, mais il s’est fait à la magie, okay, il n’en est pas fan et tente de la voir la moins présente possible dans cette maison, mais il a accepté le fait que sa femme soit née ainsi. D’ailleurs en parlant d’elle, elle nous rejoint enfin, ma mère dans ses bras, pleurant de joie. Je sourie en les voyants ainsi. Voilà maman, c’est la fin du calvaire pour toi. On en aura assez bavé, maintenant, il faut profiter de la chance que nous avons. Te revoilà chez toi avec des gens que tu aimes. C’est tout ce qu’il te faut.

Un mois plus tard. Il est temps pour moi de faire mon au revoir et de repartir à Poudlard pour une nouvelle année d’études. Je m’y suis rapidement fait à cette vie de sorcier. J’ai très vite compris ce qu’il fallait ou non faire, dire. D’ailleurs je vais vous dévoiler un secret. Cette histoire de moldu et de sang pur, c’est ridicule, mais pour survivre à Poudlard il n’y a qu’une solution, se faire des amis. Et pour ça, le meilleur moyen est d’être un sang pur. Ou de se faire passer pour. Alors je fais croire à tout le monde que je fais partit d’une très importante famille italienne sorcière et que je suis un sang pur. C’est une idée de ma tante, très bonne d’ailleurs. En fait, c’est elle qui m’a le plus aidé dans cette nouvelle vie. Ma deuxième maman. Et tant qu’on parle de ma mère. C’est l’heure de lui dire au revoir. Nous sommes que tous les deux devant la porte de la maison. Je la regarde et je voie quelques larmes qui naissent aux coins de ses jolis yeux noisette. Bon, je dois lui dire maintenant. Je respire un bon coup avant de me lancer. Ces adieux sont tout de même déchirants chaque année. « Maman, tu sais, pour tata, c’est aussi une sorcière et c’est pour ça que j’ai pu prendre contact avec elle. » La nouvelle tombe ainsi. J’ai peur de sa réaction. Comment va-t-elle le prendre ?  « Je sais mon garçon. » Ah bon ? Ah, je ne m’y attendais pas à celle-là ! « Comment tu l’a su ? » « Depuis longtemps, je m’en doutais bien que tu serais comme elle. Je suis fier de toi. » Ses mots sont touchants. Elle se blottit dans mes bras. Elle est fière de moi. Et je suis fier d’elle aussi. On en a vu des choses dans notre vie. On a vécu tellement de mauvais mots. Mais tout ça c’est finit. Place au bonheur maintenant. Nous échangeons quelques je t’aime et tu vas me manquer avant de se quitter. Reprenant la route de l’école pour plusieurs mois. A l’année prochaine maman.




Part 7
citation

   
   
Poudlard. Septembre 1979. Lorenzo, 19 ans presque 20.

« Celle-là. » J’indique dans un mouvement de tête une jeune femme marcher dans les couloirs d’un pas décidé. « Quoi !? Tu rigoles j’espère ? La Wilbert ? Trop bien pour toi. » « Je pense que j’ai mes chances. » « Tu déconnes, mec. Elle est hors d’atteinte. » Mon meilleur ami me tape sur l’épaule avant de rentrer dans la salle de classe. Mes yeux restent rivés sur la belle jeune femme qui passe sans me voir. Je la regarde, envouté par sa silhouette et je me laisse l’imaginer quelques instants sans cette robe de sorcière. J’aime ce genre de femmes. Je suis sur que j’ai mes chances, il faut juste que je trouve le bon tempo pour aller lui parler. Tout en réfléchissant à un plan de bataille, je m’engouffre à mon tour dans la salle de classe.


Cela fait à peine quelques jours que je suis revenu dans ce château pour ma dernière année d’études ici. J’ai pris comme décision de profiter de ces derniers instants avant que toute cette aventure ne se termine. Ma principale occupation devait être de m’amuser. Bon, de travailler aussi un peu pour les examens et trouver le métier qui pourrait me plaire dans un futur très proche, mais ce ne sont que des détails ça. L’amusement passe aussi par les femmes. Ben quoi, quand on atteint la vingtaine, c’est important ce genre de choses. J’en ai profité aussi les autres années, mais là, ça va être la dernière, ce sera d’autant plus important. Et d’autant plus amusant aussi. Mais je vais vous avouer un secret. Il n’y a qu’une femme qui arrive à me faire tourner la tête. Je ne m’avancerai pas non plus pour dire que c’est de l’amour ou une connerie de ce genre, je ne m’attache sans doute pas assez pour ça. Mais vous savez, Lorelei Wilbert, elle a du charme quand même, enfin je veux dire, elle a ce truc que les autres nanas n’ont pas et qui me rend fou d’elle. En plus, avec cette histoire de binôme, je me retrouve avec elle, j’espère avoir toutes mes chances parce que j’ai vraiment envie d’en profiter et elle se trouve être la personne idéale pour ça.



Dernière édition par Lorenzo A. Varetti le Lun 29 Sep - 10:25, édité 13 fois
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 14:00

OOOOOOOH LUCAS JE L'AIME D'AMOUR LUI kfhuezbruiqlbkj :bave: :luv: c'est vrai que ses abdos sont superbes :huhu:

BREF bienvenue et bonne fiche qui est déjà bien avancée il me semble *-*
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 14:12

*essuie la bave de Néron* Lucas fait son petit effet 8)

La première partie est faite, il va falloir que je m'attaque au plus difficile :MG: Merci à toi :yes:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 14:15

Bienvenue :bave: Bon courage pour ta fiche :keur:
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LA PRINCESSE DES GLACES

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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 15:51

Owi on va te vendre du rêve autant que tu nous en vends Mr abdos :huhu:

Bienvenue sur DP tes abdos et toi en tout cas! :oups:

Bon courage pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas! :heart:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 15:55

Ananas ? (je connais une Ananas mais j'suis pas sûre que ce soit bien la même personne :ow: )
Bienvenue sinon :yes:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 16:43

Bienvenue et bon courage pour ta fiche :heart:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 19:19

Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
Et ici, on ne vend que du rêve sache le :huhu:
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+ SORCIER DEPUIS LE : 23/08/2012
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 20:08

Oh, je ne connaissais pas du tout l'avatar, mais... :bave:
Bienvenue & bon courage pour ta fiche !!! :*o*:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMar 23 Sep - 20:30

Welcome here mon cher !
& courage pour ta fiche ! :keur:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMer 24 Sep - 8:20

Nathan > Baves pas trop, tu vas salir ton pull :P Merci

Dawn > Original le prénom, j'aime beaucoup :luv: Je vous vends des abdos et vous me vendez du rêve, quel bel arrangement :MG:

Lysander > Il y a beaucoup d'ananas donc aucune idée :mdr: (remarque inutile je sais xD)Donc peut être que c'est moi ou peut être pas :oups:

Rohesia > Merci

Nika > Oh oui !!! Vendez moi en plein alors ! :pornstache:

Lumen > J'aime bien prendre des avatars peu connus, surtout quand ils sont aussi :dhu:

Zephir > Je suis déjà ton "cher" *okay je sors*

En tout cas, merci à tous pour l’accueil, c'est super de votre part !! :gnii: :gnii: Je vais m'attaquer à cette fiche de présentation sous peu :;):
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMer 24 Sep - 11:53

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche Smile
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMer 24 Sep - 13:20

Bienvenue parmi nous ! :nia:
j'adore le choix de prénom *-* Lorenzooo :*o*:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeMer 24 Sep - 15:10

A POIL Bienvenue :yierk:
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitimeJeu 25 Sep - 8:55

Ouuuuuh, la la, les beaux abdos que voilàà ... *o*
Bienvenue !
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Message Sujet: Re: Italian Man - Lorenzo A. Varetti   Italian Man - Lorenzo A. Varetti Icon_minitime

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