NOM : Ceallaigh, une famille de sang-mêlé ''purifiée''. En effet, Gilda Ceallaigh était une moldus que son ancêtre avait violé pour avoir une descendance. Un nom de famille connus aux Etats-Unis, John Ceallaigh dit ''John l'irlandais'' est le chef d'une organisation criminelle qui participe à diverses actions comme le braquage de banques sorcières ou encore à des attaques contres les forces de l'ordre, des enlèvements, le meurtre, le racket, le vol, cambriolage... Une guerre les a opposés aux Russes de Brighton Beach qui ont manqué de les anéantir les obligeant à faire profil bas. C'est aussi le nom du plus grand attrapeur de l'équipe d'Irlande Evan Caellaigh qui a mené son équipe à la victoire à trois reprises au cours de sa carrière. PRÉNOMS : Aedan, un prénom irlandais ne laissant aucun doute sur ses origines AGE : 19 années sur cette terre, même si ton anniversaire est dans quelques jours. ANNÉE : sixième année et pas des moindres, il a prouvé qu'il avait le niveau pour suivre les cours ( même si sa passion reste le quidditch ) ÉTAT CIVIL : Célibataire, même s'il a eût quelques conquêtes à son actif. PURETÉ DU SANG : Famille de Sang-mêlé purifiée. MAISON SOUHAITÉE : Serpentard, on a beaucoup hésité à t'envoyer à Gryffondor, mais gênes paternelles ont indiqués un autre chemin ORIENTATION SEXUELLE : Chaussextteruelle PARTICULARITÉ : Aucun tu es un type plutôt normal au fond.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Il s'approche doucement, guettant si quelqu'un vient, il s'en empare, vérifie que ce n'est pas une blague, montrant le document à quelqu'un qui s'y connaît en potion, sans lui confier que c'est les réponses au prochain devoir. Puis, il décidera sûrement de le garder pour lui ou d'en parler à ses amis très très proches limitant ainsi la circulation du document. Il recopiera juste ce qu'il faut pour avoir une bonne note sans passer pour un tricheur. Ainsi donc personne ne se saura douter qu'il a trouvé les réponses puisqu'il aura dupliqué le document et l'aura laissé dans le couloir. Ainsi s'il n'a jamais trouvé de document personne ne peut l'accuser de quelque chose qu'il n'a pas fait.
✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Il les observera d'un air pensif, analysant qui sont-ils. Si c'est un membre de sa maison, il viendra probablement l'aider si les agresseurs sont d'une autre maison... Sinon, il ne s'en occupera pas. Ou alors il se pourrait qu'il se paye un peu la tête de ses condisciples s'ils sont de sa maison leur faisant savoir qu'il y a des proies plus intéressantes ailleurs et que malmener une première année... Il n'y a pas vraiment de challenge ? Marquant par là qu'il n'a rien à faire du sort de la première année, mais que ca l'agace de pas pouvoir passer tranquillement dans le couloir. ✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Il va rester calme, ruminant et lançant des regards assassins à celui qui est la cause de son malheur. Ensuite, lorsqu'il aura du temps libre, il s'occupera de sa vengeance, il préparera un sale coup contre la personne dont lui seul à le secret, quelque chose qui le ridiculiserait devant toute l'école, quelque chose de grandiose, d'où il pourra l'admirer aux premières loges, mêlant vengeance, amusement et gloire à son nom. On ne cherche pas un Irlandais et on ne lui fait pas porter le chapeau sinon il mord. Cela aura appris à l'élève en question qu'Aedan n'est pas une bonne poire en prime. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? La richesse, c'est la richesse qui fait la liberté, par la richesse, on peut tout faire, tout diriger, tout commander. On est célèbre en étant riche, on est promis à un destin glorieux quand on naît riche. La gloire et les honneurs reviennent à ceux qui sont riches ainsi va le monde, le pauvre n'est pas roi. La richesse ouvre des portes que le commun des mortels ne connaît pas et c'est la plus sûre porte vers l'amour et la sagesse. Une fois qu'on a l'argent, on peut se consacrer à l'amour et à devenir sage, n'ayant plus besoin de travailler à devenir riche. Mais, même si la richesse est importante, elle ne doit pas être poursuivie aveuglement en ligne droite, les chemins qui y mènent, ils demandent à un homme de savoir faire des détours et par ces détours, il se sauve lui-même et sa propre liberté.
PSEUDO : Bran AGE : 19 ans PRÉSENCE : 7 /7 AVATAR : Andrew Garfield COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Bazzart UN PETIT MOT POUR LA FIN : C'est très chaussextruelle.
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Dernière édition par Aedan Ó Ceallaigh le Mer 5 Aoû - 13:18, édité 1 fois
Du sang des armées, la tempête est née, ma légende n'est pas différente de celle-ci. De la marche des ténèbres, j'ai vu la lumière du sang de plus d'un innocent versé sur les marches de la liberté et sur les chemins de la guerre, j'ai vu mon nom bâtir son empire des feux de la destruction, j'ai vu des montagnes de chaires mortes des entrailles rependues, j'ai cauchemardé jusqu'à m'habituer, mes peurs m'ont endurci des cris, je me suis fait un écu, de la peur, je me suis fait une lame, de la douleur, je me suis fait un heaume et de mon courage, je me suis fait une armure, j'ai compris plus d'une fois qu'on obtient rien sans rien et qu'il faut se donner à fond, mais aussi donner son âme au diable parfois si l'on veut protéger ceux qui comptent pour nous parce que rien n'est plus important que ceux qui comptent pour nous, c'est mon père qui m'a inculqué cela, pendant qu'il dirigeait la faction irlandaise du crime organisé de New-York. C'est de la crainte que naît le respect et du respect la sécurité.J'ai vu la mort, sous ses coutures les plus informes, les yeux les plus exorbités, les pieds les plus démembrés, les chemises les plus tâchées, une poupée sanguinolente pour autoportrait. J'ai vu la mort sur des visages inconnus alors que l'aube dardait de ses rayons bienfaisants le quartier de Woodside. Je l'ai vu telle le symbole journalier d'un orage de sang et de douleurs. J'ai entendu la colère des hommes s'abattre dans un roulement de tambours qui a amené le chaos et la désolation sur le quartier. D'une nuit sans fin d'un cri sans fond, le jour a tiré les derniers survivants hors des décombres de Woodside, pour achever ce qui gesticulait encore en dessous ou pour empiler les corps froids de ce que la nuit et ses démons avaient arraché. Le vent claquait fort, l'odeur, celle de la putréfaction des cadavres s'élevait dans l'air comme une flamme qui aurait pu mettre mille ans avant de que les dernières braises ne s'éteignent. C'était une odeur que l'on n'oublie pas, car j'ai vu la guerre, le fracas des armes, le bruit des sortilèges et j'ai vu les éclairs de lumière jaillirent tels des étincelles de morts, durant presque huit heures cette nuit là. Je pense que tous les irlandais de New-York ont perdu un proche à Woodside, qu'on a renommée entre temps Bloodside. J'ai connu la mort au son de la corne du carnage de la trompette des lamentations. J'ai lu dans les mares de sang ce que représentait la liberté et le sacrifice que chaque homme doit apporter à cette entreprise, quand l'on connaît la grandeur de la perte l'on sait alors que le meurtre et le vol ne sont que des armes à vôtres service, le mensonge devient un sortilège lancé contre ceux qui voudrait nuire à cette même liberté. Le conflit qui opposait depuis toujours les différentes ethnies de sorciers à New-York avait fini par éclater cette nuit là en Armageddon dans les quartiers sorciers et moldus ce qu'on appelait le tremblement de terre de New York chez les moldus était en fait le simulacre d'une guerre sans merci que se livraient les différentes factions qui régnaient sur les rues. Les Irlandais avaient su s'imposer en force ici jusqu'à ce que les Russes et autres slaves viennent se joindre à la lutte, les règles ont alors changé, il n'existait qu'une seule loi, celle de rester en vie. Après cette nuit, l'on sût que personne n'était à l’abri de la mort. Peut importait qu'on soit de la bourgeoisie ou du peuple ce qui comptait, c'était d'avoir le bon nom en face des bonnes personnes. C'est pour ça que mon père m'a renvoyé en Irlande, après tout, j'y étais né. Il m'a confié à son père. Je dois dire que c'était un choc de passer de New-York à ce bouge sans nom, de passer de Woodside, de New-York à cette paisible... Cette campagne. J'ai résisté, il faut dire qu'on m'avait appris à jouer les fortes têtes, puis progressivement, je m'y suis fait, enfin à mon grand-père. Il faut dire qu'il passait son temps à boire de la bière au beurre et il passait son temps à chantonner de vieilles chansons en irlandais, mais c'est quand même lui qui m'a tout appris sur ce qu'il y a à savoir d'un balai. J'ai appris à voler avec lui, il m'a montré comment attraper le vif d'or, comment faire corps avec le ballais comment me déplacer, me mouvoir pour accompagner mon balai. J'ai vécu loin des piles de cadavres et de l’agonie grandissante du nouveau monde. Je suis entré à Poudlard ou je suis allé à Serpentard, je pense que malgré mon courage le choixpeau à du voir que je ferais tout, mais absolument tout pour atteindre le sommet au quidditch que je ne renoncerai devant aucune technique, devant rien pour atteindre cet objectif, car le sang des Ceallaigh coule dans mes veines et que par égard pour mon père, mon grand-père et par égard pour mon nom, je me dois d'atteindre le sommet de prouver à tous ceux qui pensent nous voir disparu que sommes là prêt à ressurgir sur la scène, brandissant gloire et fortune pour des siècles et des siècles jusqu'à la fin des temps. Des actions, de la furie ou de la sagesse, le temps donne toujours raison à l’irraisonnable. De l'odeur sanglante et des désolations, marque d'un passé douloureux. Ils ont renforcé l'écho de ton cœur et de tes motivations. Un homme juste trace un cercle autour de lui, un homme fort n'a pas besoin de cela, il désigne ceux qui sont dignes de sa protection. Cependant, si cet homme n'est pas capable de se protéger lui-même est-il vraiment un homme ? Ne mérite-t-il pas le châtiment de sa faiblesse ? Ne mérite-t-il pas de mourir ? Promesse ou serment inviolable, j'ai juré sur mon honneur et celui de mes ancêtres de ne pas devenir un pâle corps en putréfaction loin de tout ce qui fait la grandeur des hommes et leurs désolations. Je pense qu'au fond, j'ai souffert de la décision de mon père dans les premières heures de cette décision, mais j'ai compris. J'ai compris quand j'ai retrouvé les corps calcinés, écrasés de mes frères, de mes amis et de ma mère qu'il n'y avait pas d'autres solutions. J'en ai autant voulu à mon père qu'à ceux qui m'avaient pris ma vie. La vie, un soupir dans la pensée du monde, une mélodie tantôt mélodieuse, puis fausse. Qui peut vraiment définir ce que c'est que vivre vraiment ? Je ne peux pas apporter de définition concrète de ce qu'est la vie en me basant sur ce que j'ai vécu ou ce que j'ai entendu. Cependant, le quidditch m'a aidé à oublier cette douleur, à l'enfouir au fond de mon cœur, loin au fond de la mer aux cauchemars par de-là des îles du trépas... Je me suis fortifié autant le corps et l'esprit parce qu'il faut être fort. La faiblesse n'est pas permise dans ce soupir qui fait ma fatigue, dans cette goutte qui fait l’effort. Je juge qu'au de-là de ma propre vie et de mon intégrité se trouve ma maison, la lignée des Ceallaigh, je fais le serment devant mes paires et ceux qui m'ont précédé de remettre notre nom là où il se trouvait fût un temps. Je jure que je n'oublierai pas ce qui s'est passé durant le jour sombre qui a vu ma fuite, je n'oublierai pas les cris de douleur, les immeubles qui brûlaient, torches de lumière, je n'oublierai pas. Hormis ce que je me suis promis à moi-même, j'ai toujours fait tout et n'importe quoi pour m'en sortir dans les études. C'est par le quidditch que j'ai toujours essayé de calmer mes sens, de m’apaiser de sentir la gloire. Peut importe les risques, peu importe ! Si je dois m'élancer dans le vide pour m'emparer du vif d'or, peu importe les figures ou mes adversaires, ce sport a toujours pousser chacun de mes sens jusqu'à l'émulation. La guerre si l'on peut parler de guerre des événements actuels, je ne pense pas devoir m'investir plus avant. Lutter pour l'un ou pour l'autre ne ferait que desservir la cause qui est la mienne qui va bien au de-là de ça. Officiellement je ne suis d'aucun camps, même si je me rapproche officieusement de la cause des sang-purs sans vraiment les soutenir corps et âmes.
Dernière édition par Aedan Ó Ceallaigh le Mer 5 Aoû - 13:10, édité 1 fois
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
Je viens de lire ta fiche, elle est très bien écrite, c'est un vrai plaisir de la lire mais je dois t'avouer que je reste un peu sur ma faim, tu y parles beaucoup des "actions" et conséquences liées à cette guerre urbaine des factions sorcières de New-York mais au final tu parles très peu de ton personnage On ne sait presque rien de son caractère ou de son enfance, de ses relations familiales etc. On se pose beaucoup de questions, comment il a vécu tout ça ? Qu'en a-t-il pensé en grandissant ? Quelles étaient ses relations avec ses parents ? Avec les autres ? Avec la magie ? Bref, comment son personnage s'est-il construit et comment est-il aujourd'hui ? C'est pareil avec Poudlard, on ne sait pas grand chose de son arrivée et de sa vie au château et c'est dommage Comment il vit là-bas, loin de chez lui ? Quel est son rapport aux études ? Aux conflits de sang qui enflent en ce moment ? Comment il est vu, comment il voit les autres ...
Tu le vois après la lecture de ta fiche je me demande pas mal de choses, c'est peut être voulu mais ça me parait nécessaire qu'on en sache plus sur ton personnage
Préviens nous quand tu auras ajouté tout ça et on viendra te valider
(et comme j'ai adoré lire ta fiche je vais vouloir des liens )