NOM: Weiser. Ce patronyme trouve son origine en Europe de l'ouest dans les belles contrée d'Allemagne. Wulfrieck Weiser, le grand-père de Léonie a émigré de son pays natal vers la France, fuyant l'hérésie propagandée par Les Nazis et la guerre qui y faisait rage. C'est là qu'Aleksander Weiser recontra sa future épouse qui étudiait l'Alchimie à Beauxbatons. Une fois mariés, ils allèrent construire leur vie en Angleterre. PRÉNOMS: Léonie, Honorine. Bien que la demoiselle ne les affectionne pas, elle ne peut s'empêcher d'être fière de porter ces deux prénoms français. Léonie est un hommage à Léon Duffrenes, un alchimiste français renomé. En groupie fidèle, la mère de Léonie a tenu à légué cet héritage à sa benjamine. Honorine provient, pour sa part, de l'affection que porte son père à la littérature française. Il s'agit bien évidemment d'un témoignage de cet amour envers le plus célèbre des écrivains (selon ses dires): Honoré de Balzac. Bien entendu vous n'êtes pas sans savoir que ledit Honoré est le plus sorcier des écrivains moldus? AGE: 16 belles années se sont écoulées depuis la venue au monde de la jeune fille. ANNÉE: Léonie est en troisième année, n'ayant jamais doublé. Cela fait trois ans qu'elle a découvert la magie de Poudlard, trois ans que son cœur bat à l’unisson avec le rythme de vie du château. Cela fait deux ans que ses étés ressemblent à un enfer continu, s'arrêtant net lors de sa monté dans le Poudlard Express STATUT: La belle Londonienne est toujours en quête du prince charmant... Ou plutôt de celui qui parviendra à la supporter. Mais son célibat ne la dérange pas excessivement. Elle n'est pas vraiment du genre à courir après les garçons ni à se lamenter sur son sort. Tout le monde cherche la personne qui saura faire battre son coeur avec une certaine assiduité... Léonie estime qu'elle a encore le temps, après tout elle n'a que seize ans. PURETÉ DU SANG: Les familles Weiser et Wolff sont toutes deux mêlées, de ce fait vous en déduirez que Léonie est est également une. Mais à vrai dire elle reste plutôt indifférente face à la nature du sang d'autrui. Il n'est pas dans son caractère de discriminer quelqu'un parce qu'il est d'origine moldue ou de s'écraser devant un sang-pur. Ces notions de sang lui sont vraiment secondaires. MAISON SOUHAITÉE: Léonie est intelligente, cultivée, altruiste. Léonie est courageuse, loyale, fleur bleue. Léonie est méfiante, colérique, bornée. Léonie est incomprise, insensible et pourtant si fragile. De parts ces qualités et défauts, Léonie est une Serdaigle. La demoiselle est satisfaite d'avoir été envoyée à Serdaigle, elle s'y sent à sa place. Certes elle n'est pas la fille qui brisera les stéréotypes envers le maison des bleu et argent. Passant le plus clair de son temps à lire, elle est un vrai rat de bibliothèque, mais elle ne se sent pas blessée lorsqu'on la traite de coincée. Elle est juste assidue en classe. PARTICULARITÉ: La demoiselle souffre d'une insensibilité congénitale à la douleur. Malgré les tentatives désespérées de sa mère pour la guérir de ce mal, elle reste en proie à cette maladie. Avec le temps Léonie a apprit à vivre avec, même si le risque perpetuel de se blesser sans le savoir l'angoisse terriblement
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Si tu as été envoyée à Serdaigle, ce n’est pas un hasard. Tu es certes d’une intelligence que beaucoup considère comme une preuve de génie mais tu sais que cette réputation tu l’as acquise en passant le plus clair de ton temps entre les rayons de la bibliothèque de Poudlard. Force, persévérance, rigueur, patience, étude. Il n’y a pas de secret. Il est inconcevable de tricher avec ton mérite. Tu es là, au beau milieu du couloir désert. Tu es seule. Enfin pas exactement. Seule face à ta conscience. C’est un peu le principe du ‘à prendre ou à laisser’ qui s’offre à toi. T’as toujours été attirée par les bouquins que les autres gamins jugeaient ennuyants. Pourquoi ? Parce que ta mère était surprotectrice, qu’elle t’interdisait toute activité physique. Tu restais là, confinée dans ta chambre pendant que tes frères et sœurs s’amusait à jouer au Quidditch avec les petits voisins d’en face. Tu a même arrêté de compter les heures passées étendue sur ton lit, les yeux rivés vers un de ces livres qui allait encore accroître tes connaissances. T’es honnête, on voit tout de suite quand tu as fait quelque chose de malhonnête. Mais par-dessus tout tu aime récolter le fruit de ce qui tu as cultivé. La tricherie ce n’est pas pour toi. Tu passes ton chemin. ✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Au départ tu trainais là parce que le bibliothécaire t’avais jeté dehors. Assise sur la même chaise en chêne massif tu lisais et prenais des notes depuis l’aube. À force de te côtoyer depuis trois années, de passer tout ces week-end en ta compagnie, le bibliothécaire te connais par cœur. Il sait très bien que tu saute fréquemment les repas pour ne pas perdre une seconde. Mais voilà, à force il s’est prit d’affection pour toi, allant jusqu’à te forcer à quitter ce sanctuaire pour que tu te nourrisses. Tu tes donc plié à sa volonté en ronchonnant. Ce sont des pleurs et des cris de détresse qui t’on attirés par là. Tu n’es pas une fouineuse mais tu as toujours été d’une curiosité maladive. Et là tu te fige en les découvrant. Il y a lui, si petit, et son tortionnaire, qui te dépasses aisément de trois têtes. David et Goliath. Le première année est plutôt bien bâtit pour son âge pourtant… Mais il n’est pas de taille face au sixième année. Alors comment toi pourrais-tu y parvenir ? Tu es si frêle, si délicate… Et puis, en y réfléchissant bien, il est vital que tu ne te blesse pas. Comment pourrais-tu savoir que ta vie est menacée ? Tu ne ressens pas la douleur. Et depuis que tu as prit conscience de ta maladie tu as décidé de ne plus rien ressentir du tout, pour parfaire l’attirail. Certains –les gryffondors- te jugeraient comme étant une couarde. Tu préserve ta vie tout simplement.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Tu as toujours été très fière, peut-être un brin orgueilleuse… Plus poliment tu as du caractère. Quand on est surprotégée toute sa vie par une mère qui se hait de ne pouvoir vous guérir du démon qui vous ronge, on apprend à être fière de ce qu’on est. On se persuade que si cette femme qui vous a donné la vie se met dans des états pareils, c’est qu’on en vaut la peine. Ca peut paraître absolument absurde, tu t’en moque. Ce n’est pas de la suffisance, juste de la logique. Ta mère n’a pas versé toutes ces larmes pour que tu te laisse marcher sur les pieds… Et pourtant tu te tairais. Tu as un esprit assez cartésien. Si ta mère s’est rendue malade de ne pouvoir te secourir c’est qu’elle tient à toi, tu n’as donc pas le droit de t’exposer à d’éventuelles représailles. Tu te laisserais faire. Ton égo en souffrirait mais tu serais sauve.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Si tes connaissances devaient répondre à cette épineuse question pour toi, ils jureraient surement que tu choisirais la sagesse. Après tout tu es une Serdaigle, une élève modèle, une ‘coincée’. Rowena était, après tout, la mère de la sagesse et de l’intelligence, il semblerait naturel à chacun de tes amis que tu optes pour ce choix. Mais ils se trompent. Tu es également fleur bleue même si les personnes qui connaissent cette facette de ta personnalité sont assez rares. Tu ne t’es jamais vraiment ouverte à quelqu’un, étant une fille impénétrable tu tiens à protéger ton jardin secret. Sans amour tu ne serais pas là. Tu dois la vie a trois personnes, ta mère ton père, et l’amour qu’ils se portent. La sagesse est très importante pour toi mais l’amour est vital
Présentation de votre personnage sous la forme de votre choix (rp, journal intime, etc.), un minimum de 800 mots étant exigé. Merci de bien transcrire toutes les informations importantes concernant votre personnage.
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: crystal reed. AGE: 16 ans. PRÉSENCE SUR LE FORUM: 5/7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: je cherchais un fo HP ou je pourrais jouer la belle Crystal... et je suis tombée amoureuse . TES IMPRESSIONS: le forum est absolument XHIFYDYUMOASDR . ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: BANZAIII .
Dernière édition par Léonie Weiser le Lun 3 Sep - 17:19, édité 18 fois
« Sara arrête ! Arrête tout de suite ! » Alec se précipita vers son épouse et entoura son visage pâle de ses mains calleuses. « Tu n’y es pour rien Sara. Tu m’entends ? Cesse de te torturer. Viens te coucher. » L’homme saisit son aimée par la taille et l’emmena vers la chambre nuptiale. La femme se débat, elle crie de rage. De ta chambre tu entends ses plaintes étouffées. Tu sais pourquoi elle est dans cet état. Depuis cinq mois c’est le même refrain. Elle ne dort plus, ne subvient plus à ses besoin, elle dépérit. C’est le poids de son amour pour toi qui l’étouffe, qui la tue. « Laisse-moi ! Je vais y arriver, je suis proche du but. Je vais la guérir. ELLE VA GUÉRIR. » Les hurlements de Sara Wolff te percent les tympans. « Tu ne peux pas » Rétorque la voix masculine. « C’est une maladie incurable. Elle apprendra à vivre avec. » Tu imagine la scène. L’homme et la femme face à face dans leur chambre. Ta mère en sanglots, ton père frustré de ne pouvoir l’aider. Il y a différents types de personnes. Dont celles qui acceptent que leur enfant soit atteint d’une maladie dont personne ne peut les sauver. Ce n’est pas le cas de ta mère. Toi tu l’as assimilé depuis pas mal de temps déjà. Ta génitrice, en grande alchimiste s’est persuadée être capable de trouver un remède dès que le diagnostique est tombé. « Maman ? »Tu n’as même pas remarqué que tu étais sortie de ta chambre. Tu te retrouve face à tes parents, se déchirant l’un l’autre par ta faute. Ou plutôt à cause de cette foutue maladie. Mais elle fait partie de toi alors ça revient du pareil au même. Tu observes le visage de ta mère, rougit par la colère, ses yeux bouffis par les larmes, rongés par les cernes qui se sont creusés tel des sillons dans sa peau fragile. Son expression seule traduit la souffrance, la haine de soi. Tu le sais, elle se hait de ne pouvoir t’aider, même si tout cela n’est pas de sa faute. « Ninie… » Elle geint, sa voix est souffreteuse, tu regarde sa carcasse décharnée foncer vers toi pour t’étouffer sous son étreinte protectrice. De loin tu vois le visage de ton père se décomposer alors que son épouse te serre plus fort, tu sais pertinemment qu’il déteste qu’elle te traite comme une petite chose fragile. Au fond lui a déjà compris que tout ce dont tu désires c’est être normal. Souvent tu imagines ce que serait ta vie si ce fameux après-midi n’avait pas eu lieu.
Les éclats de rire suraigus des deux gamines retentissaient dans la pénombre moite des bois bordant la maison des Wolff. La brune et la blonde étaient surexcitées. Âgées respectivement de six et sept ans elles gambadaient joyeusement, essayant de trouver la cachette propice pour que Jasper, le frère de Léonie, ne parviennent pas à les trouver. Le principe de cache-cache en somme. « Plus vite Ninie, il va nous attraper ! » Lui cria joyeusement Lola. Léonie répondit par un éclat de joie et tourna son mignon petit visage en direction de sa cousine. Mais vous savez… quand on court dans un bois sans regarder où on va…Il arrive qu’on se prenne un tronc ou alors… BAM !« AAAAH ! » Le cri de Léonie se répercuta à travers le bois. « Ninie ? » Lolentina s’arrêta, interdite, observant avec épouvante sa cousine qui s’était étalée de tout son long en trébuchant sur une racine. « NINIE !! » Répéta-t-elle, horrifiée lorsque sa cousine se redressa. DU sang poisseux s’écoulait du nez visiblement cassé de Léonie. Celle-ci se redressa toute guillerette et éclata de rire en voyant la mine paniquée de la blondinette. « Ben quoi t’as vu un troll ou quoi ? » Les yeux de Lola s’écarquillèrent telle des soucoupes. « Tu ne sens rien Ninie ? » L’air joyeux de Léonie se dissipa, laissant place à la perplexité. « Sentir quoi ? T’as un mouchoir ? Mon nez coule. » Répondit la fillette en menant sa main sur le dessus de sa lèvre supérieure. « Oh… » S’exclama-t-elle en apercevant la teinte rougeâtre qu’avait prit le bout de ses doigts. « Léonie ? Lola ? Vous allez bien ? Nous avons entendu crier et… » Lily Wolff s’interrompit, interdite. « Mon dieu… Léonie…Ton nez… Tout va bien ? » L’interpellée resta coite. « Non…Je… Enfin je n’ai pas mal » bredouilla-t-elle. « Episkey ! » murmura sa tante en agitant sa baguette. « Je pense que tu devrais aller à Sainte-Mangouste ma chérie… »« Mais je n’ai rien ! Je ne ressens aucune douleur ! » Lily la regarda, désolée. « C’est bien cela qui m’inquiète »
«Tu sors ce soir ? » tu ne pris même pas la peine de lever tes mirettes de ton exemplaire du « Traité des Gobelins du cinquième siècle. » Ton amie sourcilla avant de soupirer. « Pourquoi je m’obstine encore à te poser la question au bout de deux ans ? T’es vraiment incorrigible Léonie. Mais franchement tu devrais faire un effort, il y a ce mec diablement sexy…tu sais celui qui…» Bla Bla Bla. Tu n’écoutais déjà plus. Ce n’est pas de ta propre volonté, juste les mots inscrits sur les pages fragiles de ton ouvrage accroche ton regard plus que les mots de ton amie captive tes oreilles. Beaucoup de personnes te rabâchaient sans cesses que tu devrais profiter de ta jeunesse et tout cela, alors que tu n’as pas vraiment envie de te souler et de te réveiller dans le lit d’un inconnu. Moui bon… Ton avis est un peu trash mais c’est ainsi. « Léonie Tu m’écoute ? » Tu reviens subitement à la réalité. « Quoi euuh moi ? oui t’inquiète… »« T’es vraiment un cas Léo ! Allez, habilles-toi, on sort. » Ronchonnant, tu obtempères sans réelle conviction. Après tout, ça ne peux pas te faire de mal, un peu de changement…
« Arya rend ce livre à ta sœur. » Psalmodia fermement Sara Wolff à sa cadette. « Hors de question. » Cracha celle-ci en te fusillant du regard. « Pourquoi il faut toujours que tu cèdes à ses moindres caprices ? Papa a raison, tu la surprotège ! Mais elle n’en a pas besoin maman ! » La quarantenaire recula, choquée. « Tu sais très bien pourquoi je réagit de cette façon ! Ta sœur n’a pas le loisir de faire du sport, contrairement à toi, la lecture c’est tout ce qu’elle a. Et je me dois de la protéger, je suis sa mère ! » Hurla-t-elle. « Tu la préfère à Jasper et à moi. » Répliqua jalousement Arya. « Et après tu te demande encore pourquoi papa est partit voir ailleurs ? Mais ouvre les yeux maman, elle n’a pas besoin de toi, elle ne va pas mourir si on la touche du petit doigt ! Tu comprends ? Alors laisse la respirer, c’est dans son intérêt… » Tu regarde ta sœur et ta mère se déchirer, comme l’on précédemment fait tes parents. L’absence de ton père te fait mal, mais c’est pire pour ta génitrice qui ne comprend toujours pas la raison de leur divorce. Cela va bientôt faire deux ans, qu’un jour, étant rentrée de Poudlard pour les vacances d’été annuelle tu as retrouvé ta mère en pleurs dans la cuisine. Ils se sont séparés et Jasper et Arya t’en tiennent pour responsable. Et au fond de toi tu sais que c’est la vérité. Tout a coût tu n'as plus qu'une seule envie: celle de sentir les murs protecteurs de poudlard s'ériger autour de toi. L'endroit ou tu te trouves n'es pas ta maison. Un foyer est par définition un lieu où on se sent a sa place. Entouré de personne aimantes. Ici Tu ne te sent pas a l'aise, il y a cette femme qui t'aime plus qu'elle ne le devrait et ton frère et ta sœur qui te haïssent d'avoir fait partir leur père. Votre père. Poudlard c'est ta maison, la bibliothèque ton sanctuaire. Tu t'y sent en confiance, contrairement a la majorité des élèves tu aimes aller en cours, tes étés, par contre, sont des enfers. Tu es différente et pourtant ça ne te gêne pas plus que cela.
Dernière édition par Léonie Weiser le Lun 3 Sep - 21:02, édité 24 fois
DAWN: TONKIIIIIIIIIIIIIIIN elle est trop magnifique cette bitch merci pour la réservation, jotem OPRAH, ARABELLA: Haaan Palvin&Browning vous avez la classe ALIX: JENNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN HUNGER GAMES POWAA en plus Dolohov quoi SAMAËL: OMYGAAAASH LEPSEUDO+L'AVATAR+COLTONfuckinggoddieudemesrêvesHAYNES clairement, il nous faut trop un lien de fifou merci àvous cinq
Lumen Macmillan
CŒUR DE LIONNE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/08/2012 + PARCHEMINS : 5770