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 (M) F. HARRIES ▼ l'autre moitié

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Message Sujet: (M) F. HARRIES ▼ l'autre moitié    (M) F. HARRIES ▼ l'autre moitié   Icon_minitimeDim 31 Aoû - 13:32


Marcus Auchoix Keegan
libre

NOM : Keegan. PRÉNOMS : Marcus en premier, le second est entièrement libre et laissé à ta plus folle imagination. AGE : dix-sept ans –bientôt dix-huit- il est né le premier février.  ANNÉE/POSTE : Quatrième année. ETAT CIVIL : Célibataire. PURETÉ DU SANG : Né-Moldu. MAISON SOUHAITÉE/ANCIENNE MAISON : totalement libre mais, tout comme Moa, je le verrais bien chapeau flou. C’est à dire qui balance entre deux maisons et où le choix n’est pas clair comme de l’eau de roche. ORIENTATION SEXUELLE : libre. PARTICULARITÉ : Aucune. AVATAR : Finn Harries.

Caractère du personnage : Marcus peut être le jour et la nuit. C’est un garçon un brin calculateur qui n’entreprend jamais rien sans y penser à deux fois. Drainé par l’ambition ; son but dans la vie est de s’enrichir. Toujours plus. Et quand l’on parle d’argent, il est même carrément radin. Là où Moa est plus rêveuse, idéaliste, il est très terre-à-terre et la remet souvent à sa place lorsqu’elle lui parle de ses rêveries. Fin stratège, il sait comment se mettre les gens dans la poche et il en joue. Il sait revêtir plusieurs visages et le garçon bien trop sérieux parfois sait singer le moindre événement et il est même plutôt amusant. Marcus est un très bon orateur et captive son public par quelques phrases bien tournées qui lui donnent de l’allure. Rebel – tout comme caractériel – il n’a jamais été facile pour lui de se plier à l’autorité et, si Moa n’est pas une élève modèle ; Marcus à tout d’un cancre. Cependant, il évite trop souvent les heures de colle en charmant ses professeurs par ses capacités d’élocution, chose qui a tendance à agacer ses camarades. Si quelque chose lui fait peur dans la vie : c’est bien l’échec. Il aspire à de grandes choses et il serait terrible pour lui d'échouer. Alors, il persévère, encore et toujours, pour au final atteindre les buts qu’il s’est précédemment fixés. C’est un révolutionnaire, il aimerait refaire le monde à sa manière mais ça, personne encore ne le comprend. A vrai dire, il cache plutôt bien son jeu et le faux masque de simplicité que chaque jour il promène n’est en vérité qu’un terrible stratagème. Plus désabusé que sa sœur ; il se méfie des autres et peine à faire confiance. Il joue aux durs mais sa mère lui manque, à lui aussi. La rancune est plus forte, quitte à choisir ; il préfère ne plus la revoir. Protecteur et possessif, il considère sa sœur comme sa propriété et a beaucoup de mal à la voir prendre son envol. Il aimerait pouvoir la protéger du monde extérieur, ne jamais la voir grandir et qu’elle garde cet âme insouciante de petite fille qu’elle a toujours. Il aime la voir s’émerveiller d’un rien et est terrifié à l’idée que quelqu’un un jour puisse la briser. Si l’on parvient à s’immiscer dans le cercle très restreint des personnes qu’il appelle « amis », alors il se révèle être un ami loyal et sincère, prêt à tout. Très indépendant, il aime mener sa vie comme il l’entend. Et parfois, mais seulement parfois, il montre ses faiblesses, mais ça, plutôt crever que de l’avouer.
Histoire du personnage : L’histoire est relativement libre tant qu’elle respecte  celle de Moa, jumeaux oblige. Pour les points importants : ils ont été abandonnés par leur mère à leur naissance, ne l’ont pas connue. Plus intéressée par le compte en banque de leur père, elle a pris ses jambes à son cou une fois la naissance des jumeaux car être mère n’était pas dans le contrat. Ils ont été élevés par un père qui se démenait pour qu’ils ne manquent de rien. Il tâchait tant bien que mal de combler le manque de l’amour d’une mère et n’a d’ailleurs jamais refait sa vie tant il a fait de ses enfants une priorité. Leur enfance a été relativement heureuse, ils n’ont jamais manqué de rien. Ne vivant pas non plus dans l’opulence, parfois, ils devaient serrer la ceinture mais au final, ils s’en sortaient toujours.  (Je joins les passages de ma fiche où je parle de Marcus pour que vous y voyiez plus clair, mais le reste m’importe peu. )

- premier -


« Marcus ça va ? Parle moi, bon sang, je t’en prie. » Moa est là, assise : elle panique. Ses jambes tremblent et des larmes chaudes coulent sur ses joues rosées. Ses iris affolés vacillent et elle ne peut que fixer ce corps qui git dans ses mains, tête posée sur ses genoux. Il essaie de parler mais il n’y arrive pas. Elle aimerait parler, elle aussi, mais elle ne sait pas quoi dire. Ironie du sort. L’enfant sait bien que c’est de sa faute. Elle sait bien qu’il voulait rentrer mais qu’elle ne l’a pas écouté parce qu’elle voulait jouer encore. Ses caprices enfantins saupoudrent son innocence d’une glace meurtrière. Et si dans ses mains il laisse sa vie jamais l’inconsciente ne saurait se le pardonner. La main de son frère se lève et saisit son poignet pendant que d’un geste bienveillant elle replace une mèche de ses cheveux en arrière, afin qu’il y voit plus clair.
« Papa… » Ni deux - ni trois, elle comprit de suite et il ne lui en fallu pas plus pour qu’elle ne se lève et court en direction du jardin. C’est jour de fête aujourd’hui et Keegan senior a invité quelques amis à venir fêter l’indépendance. Essoufflée, la gamine s’écroule aux pieds de son père en s’accrochant à la manche de sa chemise et en tirant férocement. « C’est…Marcus…crise. » Elle reprend son souffle. « Papa, Marcus est tombé et sa tête à cogné le sol. Il y a du sang partout. » Affolé, le voilà qui se dirige à travers la véranda et se précipite ensuite en direction de l’aire de jeu. Moa regarde, au loin, impuissante. La culpabilité ronge sa candeur. Le rythme de son myocarde s’est adoucit mais sa tête elle, tambourine. Cette nouvelle alarme sonne le glas de sa frivolité avec son frère. Et elle se jure que dorénavant jamais plus elle n’en fera qu’à sa tête. A deux. Pour toujours, à jamais. Etre deux mais ne se sentir qu’un. Encore faudrait-il qu’il s’en sorte, qu’il ne l’abandonne pas. Inconscient, Marcus ne bouge plus. Il ferait presque peur. Quand la peur s’immisce dans la folie des enfants, qui donc à le pouvoir de ralentir le naufrage ? Les bras d’une mère qui caressent, de ceux qui serviraient tant à la petite Moa qui pleure, en retrait. Mais de mère elle n’a connu. Plus intéressée par le modeste héritage de ce fils de banquier, elle n’a vu en leur père qu’un moyen d’enrichir son ambition. Mais les marmots n’étaient pas dans le contrat. Loin d’être faite pour être mère, elle a vite fait ses valises. La fugituve. Admirez la force de ce père qui seul élève deux enfants en mal de mère. Sa superbe lorsqu’il se précipite à l’intérieur, son fils dans les bras, n’a d’égal que sa précipitation. La chute fût brutale et l’arbre si haut. Les mots sont vides et les pleurs hypocrites. Avant que son père ne puisse bouger, la poupée se dirige en direction du téléphone pour appeler les secours, elle sait que ce soir, son frère ne rentrera pas à la maison. Elle fait preuve de courage et de fermeté et sa voix ne tremble pas lorsqu’elle épelle le nom de sa rue. Elle remet les pleurs à plus tard, ce n’est plus de temps qu’elle manque. L’écorché ouvre un instant les yeux dans un dernier effort et son regard lui est adressé : « Moa. » Pardon.


- deuxième -


C’est marrant Londres, mais c’est triste aussi. Les gens stressent et se pressent. Le soleil brille, et pourtant, personne ne rit. Des visages inconnus se succèdent et ne se ressemblent pas. Les avocats en tenue du dimanche traversent les rues avec hâte alors que les tenanciers crient aux quelques ivrognes du café d’aller faire leurs affaires un peu plus loin. Les gens se connaissent et pourtant ne se saluent pas. C’est l’inconnu de la paresse. Les yeux fatigués des mères de foyer se posent sur les étales avec une aisance particulière. Et Moa, ça la fait sourire. Sur les toits de Londres, couchée à côté d’une cheminée, elle regarde ce ciel qui lui semble différent chaque jour. Hier, elle rêvait du Mexique, aujourd’hui, c’est Paris. Paris et ses cafés. Les viennoiseries qui embaument et qui charment les passants qui allient leurs pas à la gourmandise. « Je parie que t’oses pas. » Tout en se positionnant sur le flanc, elle s’appuie sur son coude et fixe son frère dans les yeux. « Que j’ose pas quoi, Marcus ? »  Le malicieux sort de son sac une boite d’œufs qu’il a acheté un peu plus tôt dans l’après-midi. « T’es pas sérieux ? » Il l’est. « Tu me prends pour qui ? » Taquine et joueuse, prête à relever n’importe quel défi, la voilà qui lance le premier œuf en tâchant de ne pas viser la tête d’un passant malheureux. Gagné. En plein sur la mallette. Et il râle, l’homme d’affaire, pendant que les jumeaux reculent d’un pas avant d’éclater de rire. C’est leur rendez-vous quotidien. Un moment à deux qu’ils viennent passer tous les jours sur ces toits qu’ils connaissent par cœur. Une routine qui leur permet de gaspiller leur temps convenablement, à leurs dires. Des cancres. Voilà ce qu’ils sont lorsqu’ils sont réunis. Un tout seul, ça passe encore. Mais deux à la fois, c’est invivable. Mais c’est souvent lui qui la pousse à faire des bêtises, il la défie. C’est leur jeu à eux. Parce que de toute façon à deux, ils se croient invincibles. Leur père est fatigué, mais ils sont bien trop jeunes pour s’en rendre compte, encore plus pour s’en soucier. Après une bonne demi-heure à lancer des œufs, ils s’affalent tous les deux à nouveau et perdent leurs perles océanes dans la profondeur de ce céleste paysage. « Elle te manque pas à toi, parfois ? » Un soupir exaspéré vient rompre l’harmonie du chant des oiseaux qui, premièrement timide, a su se mêler à l’euphorie des klaxons. « On l’a pas connue Moa, je vois pas pourquoi elle me manquerait. » Elle ne le montre pas, mais au fond, cette indifférence la blesse. Parce que d’un côté, elle en souffre elle, de l’absence de sa mère. Sa douleur comble les sillons de ses cicatrices profondes. L’amour d’une mère, la douceur d’une femme ; ils n’y ont pas eu le droit. « Mais tu sais, je me dis souvent que j’aimerais bien la rencontrer quand même, histoire de savoir si je lui ressemble. Tu crois que je lui ressemble toi ? » Le garçon se lève et ramasse son sac avec hâte. « Arrête tes conneries. Tu t’accroches à un fantôme, elle nous a abandonnés. Je veux plus en parler, je lui crache au visage moi si je la vois. » Il avance quelque pas et la dureté de ses mots encore résonne dans l’inconscient de la candide. « Bon, tu viens ? Papa va s’inquiéter. » Parce qu’au fond ; il a toujours été plus froid, plus dur aussi. Et elle, Moa : elle idéalise. Un rien l’émerveille et elle reste persuadée que le monde est beau, que le monde est bon. Et tout en quittant ce toit ce soir, elle emporte avec elle l’amertume des regrets qu’elle voile derrière un mensonge incandescent.


- troisième-


Son plus grand rêve ; c’est voler. Oublier un instant les tracas quotidiens. Plus d’inquiétudes sur la voie qu’empruntera Marcus. Vivre à en crever. Voler. Toucher du bout des doigts la légèreté d’un nébuleux volatile. Et s’approcher du soleil si près à s’en cramer les ailes. Crier au temps qu’il ne l’arrêtera pas et qu’un jour, elle sera vraiment heureuse. Voler. Partir en voyages et ne revenir qu’au petit matin. Forcer le destin. Prouver à ce monde que les rêveurs encore ont leur place dans cette vie où la franchise s’efface. Douce rêveuse. Tout quitter sans culpabiliser quand on pense à ce que l’on laisse derrière. Recommencer ailleurs, là où le ciel serait un peu plus beau, un peu plus bleu. Là où les mères n’abandonnent pas les enfants. Voler. Toujours plus haut, toujours plus vite. Elle laisse son âme emprise aux aspirations d’un climat un peu plus doux. Voyages. Envoûtants paysages. Elle aimerait découvrir le monde ; voir si les tangos espagnoles ont vraiment ce rythme suave qui bat à l’unisson de deux cœurs endiablés, se renseigner sur l’Italie et sur cet art romantique qu’elle n’a que peu connu, et la chaleur du Brésil, la cuisine asiatique et le chocolat suisse. Voler. Atteindre les sommets les plus hauts, plonger dans les crevasses les plus profondes : découvrir. Découvrir le monde. Mais Poudlard, c’est bien aussi, pas vrai ? C’est comme voler, au fond : atteindre de nouveaux horizons. La gondole vacille et elle se perd dans la contemplation de ce lac un peu trop sombre. Elle y voit l’écume des souvenirs engourdis de milliers de vies. De milliers d’enfants pressés qui, au milieu de ce paradis rupestre aspirent tous à des finalités différentes ; l’un voudrait finir ministre, l’autre faire partie de l’ordre. Le vent souffle dans des arbres un peu trop vieux, usés. Il conte une comptine qu’elle ne comprend pas. Des milliers de rires. Des milliers de pleurs. Emerveillée par la magie qui englobe ce lieu, elle ne sait où donner de la tête. « Et les inséparables, un pronostic sur la maison ? » Inséparables. Marcus et Moa. Parce que de sa main encore chétive elle est persuadée qu’il tremble de l’intérieur, lui aussi. Alors, elle s’est saisit de la sienne au moment de monter sur le bateau et ne l’a plus lâchée depuis. Mais tout à son contraire, les traits de son frère sont tirés, fatigués. Il ne s’émerveille plus, il observe : il calcule. « Des maisons ? » Moa ne connaît rien au monde sorcier, n’a d’ailleurs jamais entendu parler des diverses maisons qui s’illuminent le soir de la répartition. Persuadée que les élèves seraient classés par année, cette question la déboussole. L’élève abasourdi hausse les épaules et se retourne vers ses camarades en continuant de discuter au sujet des quatre blasons. Elle perd son regard sur les légères ondulations du canal. « Tu crois qu’ils vont nous séparer ? » Il serre sa main un peu plus fort dans la sienne. « Jamais Moa, jamais. Ils sont même pas cap d’y arriver. »  Et étrangement, ça suffit à la rassurer. Elle tend le petit doigt et il y mêle le sien. « Promis ? » Le pacte est scellé et elle sait à cet instant que tout ira bien. Non, elle n’a pas peur. De toute manière, lorsqu’il ne s’agit pas de Marcus, Moa n’a jamais peur. Ne jamais dire jamais. Son courage est vaillant mais la peur ronge et atteint même les héros d'autrefois. Car ceux d'aujourd'hui ne sont que de pâles copies. Elle a déjà trouvé le sien : son père, ce héro.



Moa Keegan : Parlons de deux jumeaux qui se suffisent à eux-mêmes, tu vois le genre ? Du genre fusionnels à en crever. Ensemble, ils n’ont jamais su se tenir et ne font souvent que des bêtises mais ils s’en contrefichent. Pas de jalousie, pas d’animosité, mais de l’amour à en revendre. Bien loin de se suffire en jumeau, Marcus se comporte souvent comme un grand frère. Trop protecteur, précautionneux. Ils ont grandi ensemble et se ressemblent sur bien des points. Il la ramène à la réalité lorsqu’il voit qu’elle succombe à ses songes. Encore aujourd’hui, une fois l’année scolaire terminée, ils ont pris l’habitude de dormir dans le même lit quand ils sont chez leur père. A vrai dire, c’est plus Moa qui a pris celle de se faufiler dans la chambre de Marcus une fois le soleil couché ; elle n’aime pas dormir toute seule, c’est un fait. Charmeur et séducteur, Marcus a cependant du mal à réellement tomber amoureux car il a peur qu’en le faisant, il ne délaisse sa sœur. Elle tâche parfois de le pousser à le faire quand même mais Marcus est plutôt têtu. Ensemble ils rient, ils aiment, ils partagent. Ils se plaisent à se dire que la nature a bien mal fait les choses en faisant deux personnes différentes : ils se complètent, ne forment qu’un. Et si un jour quelqu’un ose s’en prendre à l’un des deux, il n’est pas évident de savoir lequel des deux sera le premier à rugir.
Moa et Marcus, c’est une histoire de gémellité.
Nom lien 2 : écrire ici.

informations
→ Le nom du personnage n’est absolument pas négociable, après tout, ils sont jumeaux et il est donc normal que leur nom soit le même. Pour le prénom, je vais être un peu moins chiante ( :oups: ) : j’aime beaucoup Marcus et à chaque fois que je pense à eux, c’est M&m’s dans ma tête (donc j’aimerais beaucoup garder le double M :larmes: ). Je l’ai d’ailleurs cité plusieurs fois dans ma fiche donc ce serait cool de garder Marcus. Après, ce n’est qu’un détail ou bien le nom peut aussi être de la forme de M. auchoix Keegan. Donc même si j’aimerais qu’on en parle tous les deux, c’est relativement libre.
→ Pour ce qui est du caractère ; les grandes lignes sont énoncées. Pour le reste, tu peux agrémenter dans toutes les voies possibles et imaginables – j’aime les surprises :oups: - mais ne m’en fais pas une caricature  ( :larmes: ) : je ne veux pas d’un gros vilain qui brise tout le monde ni d’un garçon fleur bleu qui pleure tout le temps. Je serais tentée de dire que le reste du caractère est totalement libre du moment qu’il ne dénature pas le personnage.
→ Ce qui n’a pas été énoncé plus haut est donc complètement libre. Il y a beaucoup de choses que je n’ai pas précisé dans ma fiche ou qui sont restées floues, alors fais le comme tu le sens :heart: (ma boîte à mp est ouverte jour et nuit. )
→ Pour l’avatar, il est libre mais je me réserve un droit de véto. N’oublies pas que Marcus va sur ses dix-huit ans, ça ne sert donc à rien de proposer un gros barbu tout poilu :oups:. J’aime bien Finn Harries, mais sinon Diego Barrueco ou Mateus Lages me conviendrait également parfaitement.

cadeau:

Je t'aime déjà, tu sais?  :ow: Et je te promets plein d'amour, de mps, de rps et de chocolat.  :heart:



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(M) F. HARRIES ▼ l'autre moitié

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