NOM : elle porte le nom de moriarty, le nom de son père et en vue de l'homme qu'il est, elle aurait voulu pouvoir prendre celui de sa défunte mère, d'autant plus qu'elle au moins, son nom était un minimum reconnu dans le monde de la magie ; ce qui n'est pas le cas de celui de son père. PRÉNOMS : elle s’appelle merianne, souvent confondu avec marianne, elle insiste souvent sur le fait que ça prend un e et non pas un a ; on la surnomme souvent merry. son deuxième prénom est eleanor, le prénom de sa grand-mère maternelle, un prénom qu'elle n'utilise jamais. AGE : elle a récemment fêté son dix-neuvième anniversaire, elle a passé un âge où, approchant de la vingtaine, elle a tendance à se considérer déjà comme une adulte, un fait qui accentue les problèmes qu'elle avait déjà avec l'autorité.  ANNÉE : elle a fait son entrée en sixième année, elle a l'intention de bien profiter de cette année dépourvue d'examens important, elle considère le mériter puisqu'elle s'est donnée beaucoup de mal pour les BUSES l'an passé. ÉTAT CIVIL : elle est célibataire, amoureuse d'un homme beaucoup plus vieux qu'elle, le seul qui la connaisse vraiment, mais il faut croire qu'il a fini par la considérer simplement comme une gamine. PURETÉ DU SANG : elle est sang-mêlé, son père est moldu, mais sa mère était une sorcière de sang-mêlé, ainsi, c'est de cette dernière que Merry puise sa magie et elle considère qu'elle aurait - pour cette raison - dû être la seule sorcière de la famille. MAISON SOUHAITÉE : la jeune femme est étudiante à poufsouffle ; contrairement aux apparences elle est très loyale, trop loyale sûrement aux souvenirs de sa défunte mère. De plus elle travail bien et efficacement, la patience ce n'est cependant pas toujours son fort, mais elle a le sens de la justice, une justice bien à elle peut-être ; nombreux disent qu'elle serait mieux chez les vipères à Serpentard, mais nombreux sont ceux qui ne connaissent d'elle que l'image qu'elle se donne et le choixpeau lui, est connu pour voir bien au delà. ORIENTATION SEXUELLE : elle est hétérosexuelle, elle n'est attirée que par les hommes et plutôt les hommes plus vieux qu'elle, peut-être parce que leur maturité semble leur permettre de mieux la comprendre que les garçons de son âge. PARTICULARITÉ : aucune malheureusement, elle aurait voulu avoir quelque chose la rendant particulière, un petit truc en plus qui ne serait qu'à elle, malheureusement, elle est plutôt banale et doit trouver un moyen de se démarquer des autres, toute seule.
       

✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Il s'agit d'une chance qu'elle ne risque pas de laisser passer, cependant, comme elle travaille correctement, voir très bien dans le but de se démarquer, il y a peu de chance pour qu'elle en ait vraiment besoin. Il n'y aura sans doute pas de mal à vérifier que tout est bien clair dans sa tête et à s'assurer qu'elle connait bel et bien les réponses aux questions. Mais ce qu'elle ferait après avoir bien tout regarder, ce serait les proposer au plus offrant, une bonne solution pour faire augmenter sa popularité tout en aidant quelqu'un dans le besoin, celui qui lui fera la meilleure proposition en échange bien entendu. Une chance pour elle comme pour celui à qui elle voudra bien céder les fameuses réponses. Et non, il est certain qu'un tel comportement ne va certainement pas l'empêcher de dormir sur ses deux oreilles, ni même la plonger dans une lourde culpabilité. Elle sait tirer le meilleur des situations qui s'offrent à elle, sans jamais s'en vouloir. Il n'y a selon elle, pas de petit profit.
✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Tout dépend de qui sont les personnes mise en jeux. Si le groupe est constitué de quelques personnes sans importance, elle interviendra pour aider la personne malmenée et elle prétendra qu'il s'agit d'une action purement d’intérêt, après tout, après, cette personne lui sera forcément reconnaissante et c'est toujours bon à prendre. En vérité, Merry a un cœur et elle le fera par simple gentillesse, parce que malmener les autres, c'est stupide, mais ce n'est pas quelque chose qu'elle est prête à admettre. Cependant, s'il s'agit d'un groupe de personnes populaires, elle se contentera de passer en saluant ces derniers un larges sourire sur le visage, elle ne voudrait pas perdre la réputation qu'elle a réussi à avoir au fil des années pour quelqu'un qu'elle ne connait pas. Sans doute que là, une fois dans son lit elle s'en voudrait.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Elle s’énerve et quand elle s’énerve elle crie. Être punie à la place de quelqu'un autre, ça pourrait ne pas être un problème pour elle, à condition que la personne en question lui rendre la pareille plus tard. Cependant si cette personne se contente de se moquer d'elle il est hors de question qu'elle se laisse faire et tant pis si la punition doit se faire plus rude par la suite ; on ne se moque pas de merianne moriarty sans en subir les conséquences. Tout dépend de l'échelle de moquerie, mais si ça va trop loin, il est certain qu'elle explosera même en pleine salle de classe. Si ce n'est pas grand chose, elle saura faire preuve de patience et régler le conflit dans le couloir, notons qu'elle a la main qui part facilement, les claques elle peut en foutre à la pelle.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Amour, sans aucun doute. Elle répondrait pourtant célébrité, puisqu'elle se donne cette apparence de fille qui pense à sa réputation et a sa popularité avant tout le reste. Elle dit qu'elle veut qu'on la remarque, qu'elle veut se démarquer, mais ce ne sont que des mots, qu'un objectif surfait qui vient cacher ce dont elle a vraiment besoin et il s'agit bel et bien d'amour. Elle est née dans un foyer brisé, sa mère s'est donnée la mort quand elle n'était qu'un bébé et bizarrement, elle s'est toujours sentie de trop dans cette nouvelle famille que son père s'est reconstruit à la vitesse de la lumière. Elle n'est qu'une pauvre fille blessée qui a besoin d'amour mais qui s'y prend de la mauvaise façon pour s'y prendre ; de toute évidence, elle confond amour et célébrité, deux notions qui peuvent se ressembler mais qui pourtant, n'ont absolument rien à voir l'une avec l'autre.
       

PSEUDO : sweet poison, anaïs. AGE : 21 ans. PRÉSENCE : 5j/7. AVATAR : Bailey Buntain. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : par mon gros chou d'amour   . UN PETIT MOT POUR LA FIN : FAKING IIIT   (ouais ouais, cette série est parfaite *-*).

« Poufsouffle ! » Merianne grinça des dents. Pourquoi ? C’était injuste. Elle était lasse d’avoir sa cadette dans les pattes. Voilà qu’elle s’avançait, le sourire aux lèvres vers la table à laquelle, elle, elle était déjà assise. Le choixpeau magique avait donné la même réponse lorsqu’elle s’était installée sur ce même tabouret l’an passé. Leanne n’avait rien à faire ici. Pas seulement à cette table, mais surtout dans ce château. Ses parents étaient tous les deux des moldus, alors que sa mère à elle avait été une sorcière. Poudlard aurait dû être son repère. Pendant un an ça avait été cet endroit magique où elle se sentait enfin à sa place. Loin de cette famille qui semblait n’être qu’à peine la sienne. Leanne lui avait pris cet endroit, elle lui avait pris cette particularité qu’elle chérissait tant et elle ne le méritait pas. Ses deux parents étaient des moldus, elle n’aurait pas dû avoir le droit de se rendre à Poudlard. C’était injuste, elle ne méritait pas sa place ici. Ça lui tombait comme ça, tout cuit dans le bec, sans qu’elle n’ait rien à faire. Merianne elle, c’était dans son sang, dans son héritage, celui d’une mère qu’elle avait perdu. Une mère qui n’était pas là pour lui expliquait ce que serait sa vie. Une mère qui ne l’avait que très peu bercée, une mère dont elle ne se souvenait même pas. Il n’y avait ni le son de sa voix, ni son sourire dans ses souvenirs. Elle avait quelques photos, mais rien de plus. Elle était une sorcière, comme cette mère qui lui manquait tant. C’était elle la sorcière de la famille. Mais non Leanne lui avait pris ça. Elle lui avait déjà pris son père, son espace vital, sa famille qui était brisée sans sa mère. Elle lui avait tout pris et elle n’avait même pas été fichue de lui laisser ça. Elle la détestait et il fallait que le choixpeau ait décidé de la lui coller au quotidien dans la même maison. Pourquoi ? Est-ce qu’il avait ressenti le besoin de la pousser à se rappeler, jour après jour que Leanne avait tout ce qu’elle aurait voulu avoir, mais tout ce qu’elle ne pourrait jamais avoir ? Elle avait encore sa mère et son père elle, là où elle, elle n’avait plus qu’un père qui semblait presque plus attentif avec Leanne qu’avec elle. On lui avait déjà bien souvent dit qu’elle serait mieux chez les serpentard, qu’elle n’était qu’une sale vipère ; elle aurait voulu en cet instant, être chez les serpentards. Loin de sa sœur. Mais non, le choixpeau avait vu en elle une fille travailleuse, mais pas assez intelligente pour finir chez Serdaigle, il avait vu une femme loyale, sans doute à cause de son attachement sans faille aux souvenirs de sa mère. Mais il n’avait pas vu l’ambition des serpentards, ni le courage des gryffondors, alors elle était là, à poufsouffle ; avec sa maudite sœur. Elle ne prit même pas le temps de lui adresser un regard, elle n’en valait pas la peine. « Tiens Moriarty, exactement comme toi Merianne, vous êtes sœurs ? » Le coude sur la table, le poing contre la joue, la blonde laissa échapper un sourire parfaitement audible. Voilà que ça commençait. Il fallait vraiment que les gens apprennent à se mêlé de ce qui les regardaient. « Demi-sœurs. » Elle insista sur le demi, qui semblait important à ses yeux. « Mais c’est cool ça ! » La blonde leva les yeux au ciel avant de poser un regard agacé sur son camarade. « Tu serais ce qui serait vraiment cool ? Que tu gardes tes commentaires pour toi. Ça changerait pour une fois. » Elle ne savait même pas pourquoi il lui parlait, ils n’étaient même pas amis après tout. Il haussa les sourcils l’ait légèrement choqué. Il s’attendait à quoi ? C’était à Merianne Moriarty qu’il venait de s’adresser. Elle n’avait peut-être passé qu’un an à Poudlard, mais elle s’était déjà forgée une réputation. On avait déjà entendu parler de Merianne Moriarty. Elle était cette fille en quête de popularité et elle était déjà en bonne voie. Poudlard se souviendrait de Merianne Moriarty c’était certain. Leanne ne serait qu’un nom dans son ombre. S’il y avait bien quelque chose qu’elle ne lui volerait pas – et elle s’en faisait déjà la promesse – c’était sa popularité. Il y en avait marre qu’elle ait toujours plus qu’elle. Mais là, à Poudlard, c’était terminé.

« C’est bientôt la rentrée, vous avez tout ce qu’il vous faut les filles ? » Un soupire passa le seuil des lèvres de la blonde. Pourquoi est-ce qu’elle lui parlait ? Aussi loin qu’elle se souvienne Merianne avait toujours eu des relations tendue avec sa belle mère. Elle l’avait clamé un grand nombre de fois, cette femme n’était pas et ne serait jamais sa mère. Aujourd’hui elle maudissait cette gourdasse plus que jamais. Tout autant qu’elle maudissait son père et son comportement stupide ; sa sœur cadette et ce don qu’elle avait de tout obtenir sans jamais rien mériter. Sa famille à elle, elle était brisée par la mort de sa mère. Merianne ne l’avait jamais connue, mais elle avait toujours su qu’elle s’était suicidée. Pourquoi est-ce qu’elle avait choisi un tel sort alors qu’elle venait d’avoir une fille ? Est-ce qu’elle ne suffisait pas à son bonheur ? Seconde question avec laquelle elle avait grandi, pourquoi son père s’était si rapidement remis avec quelqu’un d’autre ? Sa cadette n’avait qu’une petite année de moins qu’elle, ça n’avait aucun sens. Elle n’avait jamais compris avant aujourd’hui. Fouineuse comme elle était, elle s’était faufilée dans le bureau de son père et elle l’avait trouvée. Une lettre, encore fermée sans doute qu’il ne l’avait même pas lue – elle était persuadée qu’il ne l’avait pas lue, sinon il l’aurait probablement brûlée. Cette lettre expliquait pourquoi sa mère s’était suicidée. Elle s’excusait de sa faiblesse et elle accusait son époux pour lui avoir ôté l’envie de vivre. Merianne avait grandi en connaissant les soucis de sa mère, elle avait enchainé plusieurs dépressions au cours de sa vie. On lui avait raconté qu’elle avait retrouvé le bonheur quand elle avait rencontré l’homme qu’elle avait épousé. Elle avait cru en ce bonheur, en cette pente qu’elle remontait enfin. Mais il l’avait poussée du haut de la falaise. Si Leanne était née si peu de temps après elle, c’était parce qu’elle avait été conçue peu de temps après sa naissance. Hors mariage, fichu adultère. Il avait craché sur le bonheur de sa mère, il avait brisé son cœur fragile et elle avait baissé les bras, trop faible pour se relever une nouvelle fois. Leanne était le fruit d’un adultère qui avait fini en mariage. Peut-être qu’il n’avait pas supporté toute cette histoire de magie qui tournait autour de son ex-femme, alors il avait jugé bon de renouer avec le monde de la magie. Quoi que soit la raison, elle le maudissait pour ses choix. Pour cette belle famille qu’il avait reconstruite malgré la mort de son épouse. Il était égoïste et sa nouvelle femme n’était qu’une trainée qui avait brisé bien plus qu’un mariage. Leanne avait déjà répondu à la question, une petite voix agaçante qu’elle avait entendue derrière son dos, mais à laquelle elle n’avait pas prêté attention ; comme toujours. Merianne planta sa fourchette dans sa part de gâteau  avant de relever les yeux vers sa belle-mère. « Non, il me manque ma mère. » Sa fourchette en main, elle fronça les sourcils, regarda un court instant le plafond, faisant mine de réfléchir avant de reposer un regard noir son interlocutrice. « Oh Attends, elle s’est suicidée pendant tu te tapais mon père. » Elle avala son morceau de gâteau sous le regard perplexe de sa belle-mère. Elle entendit un soupire de son père dans son dos, mais elle n’y prêta pas attention. « Merianne ! » Elle leva les yeux au ciel. « Tu as plutôt intérêt à t’excuser. » Dans un soupire, elle laissa tomber bruyamment sa fourchette dans son assiette. Elle n’avait pas terminé sa part de gâteau et elle n’avait pas l’intention de ranger de ce qu’elle laissa trainer. « Est-ce que tu t’es excusé auprès de ma mère ? » Elle se leva avant de plaquer la lettre contre le torse de son père. Il attrapa le papier et elle s’empressa de disparaitre dans sa chambre. Elle ne s’excuserait pas, c’était certain. Tous les deux, ils ne le méritaient pas. C’était à elle qu’on devrait des excuses, ils l’avaient privé de sa mère en se comportant comme deux imbéciles. Le soir, l’ambiance au dîné fut tendue, bien que l’innocente Leanne qui n’était au courant de rien ait, à maintes reprises essayer de faire changer les choses. Elle avait parlé, inlassablement, insupportable gamine avec une voix agaçante qui ne se rendait même pas compte d’à quel point elle était insupportable. Elle lui avait tout volé et pour ça, Merianne serait sans doute bien incapable de lui pardonner. Le pardon semblait ne pas être dans ses cordes.