NOM : Le nom de ma famille est très connu pour être des personnages mordus de sang-pur. Ils ne voient que par ça, mais si ce n'était que ça, ça serait parfait. Mais non, ils sont détestés par un grand nombre de personnes, souvent suspecté pour des meurtres. D'ailleurs, l'un d'eux à terminé à Azkaban. Vous voyez donc de qui je parle ? Carrow, ce nom qui fait froid dans le dos. PRÉNOMS : Ils n'ont jamais pris le temps de s'occuper de moi, ils n'avaient donc pas le temps de réfléchir pour plusieurs prénoms. C'est pour ça, que je n'ai qu'un seul prénom, d'un côté, c'est plus simple, mais d'un autre côté, c'est utile d'avoir plusieurs prénoms. Enfin, je m'appelle Vladimir, un prénom un peu tendance russe, mais allez savoir pourquoi ce prénom et pas un autre... Mystère. AGE : J’ai passé l’âge pour être un simple étudiant, la roue tourne si rapidement. Les années passent sans qu’on ait le temps de faire quelque chose. Je n’ai pas vu mes vingt ans passés, j’en ai maintenant vingt-huit ans. Je me rapproche petit à petit de la trentaine. POSTE : Durant ma dernière année, je me suis décidé du métier que j’allais faire plus tard. J’ai décidé de devenir un professeur, mais pas n’importe lequel. C’était soit de potion ou même de botanique ou encore de sorcellerie. Mon choix s’est arrêté sur l’une des matières. Après avoir fait les diplômes, je suis maintenant à Poudlard comme professeur de sortilège. ÉTAT CIVIL : Je n’ai pas vraiment décidé de mon sort, depuis mon plus jeune âge j’étais destiné à une jeune femme que je ne connaissais pas. Malgré notre très grand écart d’âge, elle est ma fiancée et elle deviendra certainement ma femme. Je n’ai rien à dire, même si j’ai vingt-huit ans, je dois vivre avec elle, c’est ainsi. PURETÉ DU SANG : Parfois, je me dis que j’aurais mieux fait de naître dans une famille de sang-mêlé, les règles y seraient moins dures et ils ne seraient pas obstinés par la pureté de ce sang. Mais, je suis fière tout de même de faire partie des rares sangs purs du pays. ANCIENNE MAISON : Pendant toutes mes années, je me trouvais dans la seule, et même maison. Vert et argenté, connu pour être les langues de vipère. Les coups bats, les crasses, j'étais craint par bon nombre de personne. J'étais bien évidement un serpentard, le choixpeau n'avait pas hésité une seule minute, déposé quelque secondes sur ma tête, il avait crié haut et fort : Serpentard. ORIENTATION SEXUELLE : Autant vous dire, je suis totalement hétérosexuel et ça ne changera certainement jamais. De toute façon, j’ai envie de dire, je suis déjà pris, donc vous pouvez seulement toucher avec les yeux. Du moins, c’est ce que je dis, mais ce n’est pas ce que je pense. CAMP : Mes parents sont des mangemorts, donc vous allez vous dire que je fais partie des mangemorts. Mais, ce n’est pas vraiment le cas. Je suis neutre, je ne suis pas pour les ‘gentils’ ni même pour les ‘méchants’. Je suis entre les deux, mais je crois fortement aux idées des mangemorts. Peut-être que cela changera avec le temps. PARTICULARITÉ := Je n’ai pas de particularité, je suis déjà unique donc pas besoin de quelque chose pour me différencier encore plus des autres.
✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? En trouvant cette relique, j'aurais pu très bien la donner à mes parents ou même au ministère. Malheureusement pour eux, si je tombe dessus en plein milieu de la rue, je la garderai sur moi. Pourquoi personne ne l'aurait vu avant moi ? Je l'ai trouvé, je la garde. Même si le ministère est à sa recherche ou autres, elle sera plus en sécurité chez moi qu'autre part. Je sais parfaitement garder un secret, et personne ne saura que celle-ci se trouve dans mon manoir. De plus, si quelqu'un l'apprend, je n'accepterai aucune somme d'argent, j'en ai suffisamment. À moins de m'envoyer à Azkaban ou de s'introduire chez moi, personne n'arrivera à mettre la main dessus. D'ailleurs, mes parents seraient les derniers au courant, ils ne font plus vraiment partie de ma vie et ça depuis un petit bout de temps. Donc, si j'ai la pierre en ma possession, il ne me reste plus qu'à trouver les deux autres reliques. ✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Même si je suis neutre et non mangemort, il y a des principes, je suis né dans une famille de mangemort. J'ai tout de même un cœur sombre, des idées noires. J'ai toujours été sang-pur et je le resterais, né avec du bourrage de crâne. Pour moi, les moldus sont des personnes sans intérêt, c'est peut-être mal et négatif de dire des choses ainsi, mais trop de sang-pur se mélange avec eux. Ce qui provoque un changement dans le sang. Donc, je passerais à côté de ces personnes, je ne suis pas le policier. Je suis un simple sorcier, donc ils se débrouillent, ils font ce qu'ils veulent. Je ne viendrais en aide à personne, je suis ainsi et je ne changerais pas. Ce n'est pas nouveau de voir un moldu se faire torturer par des sorciers. C'est la vie et parfois, c'est l'inverse, même si c'est rare. Mais, en tout cas même si c'est un sorcier qui se fait torturer, battre ou autre, je ne lèverai pas le petit doigt. ✎ Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? C'est sûr que devenir le conseiller du ministre, pourrait être vraiment intéressant. Des horaires plus que raisonnables, une bonne place dans un endroit hors du commun et surtout un salaire et des connaissances. Mais, ce n'est pas vraiment ce que je recherche. J'ai toujours aimé Poudlard et je ne pourrais pas vraiment m'en détacher. J'ai une place en or, ce n'est pas tous les jours qu'on peut être professeur de sorcellerie. De plus, j'ai un manoir pas très loin, du coup, j'ai déjà ma vie toute tracée. Donc je refuserais, avec un peu de regret, mais au final, ma vie est déjà faite. Mon métier, je l'ai déjà, il est trop tard pour faire marche arrière. Il me va parfaitement et pour rien au monde, je l'échangerais pour devenir conseiller et finir assis dans un bureau toute la journée à rien faire. ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? Vous pouvez déjà enlever un mot : sagesse, ce n'est pas vraiment pour moi. Ensuite pour ce qui est de la richesse, autant, vous le dire, mon compte en banque est plein, saturé, tellement que j'ai de l'argent. Je peux dire merci à mes parents d'être aussi riche, mais ça ne me sert pas vraiment à grand-chose. Mais, je vis avec et voilà, je peux m'acheter tout ce que je désire, quand je n'en ai pas envie. Je n'ai pas besoin de me tuer au travail pour gagner quelques sous. Ensuite, la célébrité, je l'ai déjà. J'entends souvent parler de moi, comme un bon professeur de sortilège, mais ce n'est pas tout. Je suis certainement l'un des seuls enfants de Carrow à ne pas me trouver chez les mangemorts. Et avec une famille comme celle-ci, c'est assez compliqué de ne pas en entendre parler. Il y a toujours des événements qui font que les Carrow sont toujours en première page. Par contre, je n'ai jamais eu vraiment d'amour venant de ma famille, du coup, c'est peut-être ça que je recherche. J'ai beau être fiancé, ce n'est pas ça qui peut m'empêcher d'être amoureux de cette personne ou d'une autre.
PSEUDO : Holnesse. AGE : 17 ans. PRÉSENCE : Cinq jours. AVATAR : Théo James. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Projet bazzart. UN PETIT MOT POUR LA FIN : .
Dernière édition par Vladimir Carrow le Mer 20 Aoû - 16:12, édité 6 fois
Pourquoi raconter ma vie depuis le début, alors que ma vie n'a rien d'exceptionnel ? Je suis née dans l'hôpital saint mangouste, alors que ma mère voulait juste se promener. Je suis venue sans rien demander, douze jours avant celui que le médecin avait posé. Elle se sentait mal, elle avait l'impression de partir, partir de ce monde. D'ailleurs, elle avait donné tout ce qu'elle avait pu lors de l'accouchement. Elle avait hurlé, d'ailleurs peu de temps après, sa voix n'était plus là. Elle avait laissé couler des larmes, un nombre incalculable. Elle avait serré les dents, tenue fortement la main de mon père. Et quelques minutes plus tard, c'était le soulagement. J'étais sorti du ventre de ma mère, j'étais enfin là, le petit homme de la famille. Alors que cela faisait seulement quelques minutes que je me trouvais dans les bras de ma mère, qu'une dispute éclata entre mes deux parents. Tout ça pour un simple prénom et au final, après avoir haussé le ton plus d'une fois, ma mère avait convaincu mon père : Vladimir. Un prénom venant de Russie qu'elle avait toujours aimée et qu'elle avait toujours voulu donner à son fils si elle en avait un. La chance lui avait souri puisque j'étais ici en ce moment même. Des examens avaient été faits, j'étais resté plus d'une semaine à l'hôpital pour vérifier que tout allait bien. Douze jours, ce n'était pas rien, mais au final, rien n'avait été remarqué. J'avais pu rentrer chez moi plus rapidement que je ne le pensais. Empruntant des chemins aussi étranges les uns que les autres, j'avais fini par passer dans une cheminée avec ma mère. J'étais arrivé dans un grand manoir, au fond d'une grande forêt, près d'une petite rivière. Un brouillard épais m'empêchait de voir plus loin que le bout de mon nez. Pourtant, ma mère s'enfonçait dans cette nappe nuageuse pour monter une par une les grandes marches. Sa longue cape noire trainait dans les escaliers, tirant au passage quelques feuilles mortes jusqu'au palier. La porte s'était ouverte d'un seul coup, claquant doucement contre le mur. Mon père attrapa la main de ma main et les deux passèrent le seuil de la maison, les portes se refermèrent en même temps. Mon père sortait sa baguette et souffla quelques mots « Lumos. » Toutes les lumières et bougies qui se trouvaient dans le manoir s'éclairèrent. Il se dirigea vers le canapé ou il déposa sa cape et pointa le bout de sa baguette vers la cheminée pour y chuchoter quelques mots. Une flamme prenait place dans la grande cheminée puis plusieurs, au final la pièce commença à se réchauffer. Pendant tout ce temps, elle m'avait déposé dans un grand lit à barreaux. Je n'avais plus qu'à grandir, et profiter de la vie.
Huit ans se sont écoulés et rien n'a vraiment changé. Mise à part que dès que je m'énervais, des événements se produisaient. D'ailleurs, je jouais énormément avec ça, dès que la colère venait les lumières scintillaient au point de bruler et lancer un début de feu. Je renversais les verres sans même les touchers. Je savais pourquoi des événements comme celui-ci se produisaient, j'étais un sorcier, un sang pur et ça, je le savais depuis maintenant plusieurs années. Mais, ce n'était pas vraiment ça qui changea ma vie. C'est seulement quelques mois après mes vacances que mes parents rencontrèrent de nouveau leurs amis. Un charmant couple, mais cette fois-ci en compagnie d'un enfant, une fille plus précisément. Alors que ma mère pensait être tranquille avec ce charmant homme, elle se trompait complètement. J'avais toujours le don de laisser une oreille trainer. J'étais derrière la porte, j'entendais parfaitement la conversation. Un sortilège, mais lequel ? Le serment inviolable, je devais être fiancé et marié à cette nouvelle demoiselle. Je n'avais pas le choix, c'était ma destinée, mon futur. J'allais devoir me fiancer à elle, me marier et avoir des enfants et vivre heureux. Comment vivre heureux avec une femme que je n'aimais pas ? Qui n'avait même pas un an, seulement quelques mois. Pour moi, tout cela était impossible, mais je n'avais rien dit. Je m'étais tu, et j'avais continué à vivre ma vie, comme je le souhaitais. Je gardais ce gros et lourd secret, même mon père n'était pas au courant, enfin au début. Malheureusement, les visites de ce couple bien trop parfait avec cette enfant se faisaient de plus en plus régulières, bien trop souvent à mon goût. Mes crises se faisaient de plus en plus fréquentes, je partais dans ma chambre, m'enfermant pendant des heures. Je ne mangeais pas toujours, je préférais songer et rester dans mon coin. En peu de temps, ma mère avait enfin compris ce que j'avais pu entendre et une discussion s'était suivi. Elle voulait me parler, m'expliquer, mais comme d'habitude, je n'avais pas mon mot à dire. Je devais juste l'écouter et accepter ce qu'elle disait, je n'avais pas le droit de la couper. J'admirais cette femme, ma mère était exceptionnelle, elle avait un caractère, et elle savait se faire écouter. Je voulais devenir ainsi, même si je n'avais pas réussi à avoir le dernier mot, j'avais compris que c'était peine perdue. Mais, je n'allais pas me laisser faire. Plus les années passaient et plus j'avais envie de partir de cette famille. M'éloigner d'eux, allait me permettre de vivre, et de remarquer comment était l'herbe chez le voisin. J'étais toujours bloqué dans ce manoir, je n'avais le droit de rien faire, je devais rester en permanence près d'eux. D'ailleurs, c'était mon père qui depuis le début m'apprenait à parler, marcher et maintenant, c'était l'apprentissage de plusieurs potions. En effet, j'allais bientôt recevoir une lettre pour intégrer Poudlard. Mais, il ne voulait pas me laisser partir sans certaines bases. C'est pour ça, pendant plusieurs mois, je travaillais sur les potions. Il m'expliquait un peu la vie à Poudlard, la maison que je devais intégrer et les matières où je devais exceller. Je n'avais pas le choix, je devais aller chez Serpentard. Et d'après les descriptions de mon père, c'était certainement la meilleure maison. C'est pourquoi quand j'avais reçu ma lettre, mon père avait pris l'initiative de m'amener directement dans le chemin de traverse. Je n'avais pas posé de questions, je l'avais suivi et c'est ainsi que j'avais fait mes courses pour l'école. Des affaires aussi différentes les unes que les autres, il avait gardé le meilleur pour la fin. Une baguette magique, c’était ça que je voulais depuis le début et il avait fait exprès de commencer par les bouquins et les vêtements pour me faire patienter. Mais, je ne pouvais pas lui en vouloir, car après tout c’était mon père, il était ainsi. Une fois le pied dans la boutique d’Olivander, je me sentais plongé dans l’univers de la magie. Des baguettes trainaient un peu partout, des vieux parchemins, de la poussière. Des objets aussi étranges les uns que les autres. Un vieux monsieur, avec les cheveux poivrés sel, une petite barde dégarni à certains endroits. Il se tenait derrière son comptoir et m’observait du coin de l’œil. Il laissa sortir : « Le fameux Carrow, vous désirez une baguette monsieur ? » j’avais juste hoché de la tête, j’avais déposé mes mains sur le comptoir et il chercha parmi ses nombreux casiers, une petite boîte noire. Il en avait sorti une baguette de vingt-six centimètres en bois d’acajou. Il me la tendit, je la prenais, fermant doucement ma main sur le bois. Sans même attendre l’accord, je la secouai doucement. Aucun phénomène étrange ne se produisait. C’était donc la bonne baguette, du premier coup ce qui était rare, mais qui arrivait de temps en temps. Mon père lui versa l’argent qui lui devait et je quittais cet endroit sombre et peu nettoyer. J’avais déjà tout ce que je devais pour la rentrée. Il ne me restait plus que quelques semaines avant mon départ. Des semaines qui s’étaient montré longues, mais une fois arrivée, le chariot roulait sur le quai. Accompagné de mes deux parents, je traversais le mur et je me retrouvais en face d’une magnifique locomotive noir et rouge. Je ne devais pas tarder, il ne me restait plus longtemps. Je disais au revoir à mes parents et en quelques minutes je les quittais. Un homme s’occupa de mes bagages et je montais dans l’un des wagons. Le train quitta la gare, c’était partie pour une nouvelle vie.
Les heures passaient et j'avais déjà fait la connaissance de plusieurs personnes, sang-mêlé, sang pur et sang de bourbe. Il y avait de tout, mais j'avais réussi à me glisser dans le compartiment ou se trouvait des sangs purs. Mes parents me les avaient présentés vaguement lors de mes achats aux chemins de traverse. En effet, mes parents connaissaient énormément de monde, en même temps vu leur travail et leurs camps. J'avais fini par m'endormir pendant tout le reste du trajet comme la moitié des personnes du wagon. Le trajet était tellement long et la fatigue se faisait de plus en plus présente. J'avais fermé mes yeux doucement, je m'étais laissé emporter par la douceur du sommeil. C'est seulement quelques heures après que le freinage du train m'avait réveillé. Nous étions enfin arrivés à Poudlard, enfin à quelques kilomètres de Poudlard. Je réveillais mes camarades et nous partions tous ensemble du train. Je montais en compagnie de trois autres personnes sur une barque. Nous devions traverser le lac pour arriver au château. La vue était impressionnante, c'était bien la première fois que je vois un endroit pareil. D'ailleurs, le lac était plutôt étrange, comportant des animaux, il était déconseillé de se pencher un peu trop de la barque et chacun devait garder ses mains et ses jambes dans la barque. C'était juste une consigne de sécurité et c'est ce que je faisais parfaitement, je n'avais pas envie de terminer dans les profondeurs du lac. En moins de quinze minutes, je me trouvais sur la terre ferme et c'était plutôt rassurant. J'avais dû marcher encore un peu, monter quelques marches et au final, je m'étais retrouvé au seuil de la grande porte avec mes camarades. Après avoir traversé le grand hall, nous voilà enfin dans la grande salle. Nous n'étions pas seuls, la salle était comblée par cinq tables : les quatre grandes maisons et une table pour les professeurs. Sur l'estrade, un petit tabouret avec un chapeau ancien et abimé. Mais je savais parfaitement que c'était le choixpeau et que c'était lui qui répartissait les élèves dans les maisons. J'attendais sagement mon nom, des filles, des garçons se faisaient répartir rapidement dans différentes maisons. Venu à mon tour, la femme âgée, lu mon nom de famille et prénom à haute voix. « Vladimir Carrow. » Plusieurs têtes se retournèrent dans ma direction, j'avançais doucement pour me glisser jusqu'au tabouret. Je ne voulais pas me faire remarquer, j'arrivais, je prenais place sur le tabouret et j'attendais que le sort soit jeté. Je pensais fortement à la belle maison verte & argenté, la femme déposa le choixpeau sur ma tête et d'un seul coup, il s'écriât : « Serpentard.. » Un large sourire sur mes lèvres, beaucoup d'applaudissements, je me levais du siège et descendais les quelques marches pour aller m'asseoir à la grande table des serpentard. Un moment mouvementé, mais au final, la pression était descendue d'un seul coup. Une fois tous les élèves répartis dans les différentes maisons, un long discours du directeur clôtura enfin cette cérémonie. Il était l'heure de manger avant de se rendre chacun dans nos parties communes. J'avais peu mangé comme d'habitude, mais en tout cas, il y avait de quoi manger pendant des jours. Je parlais avec plusieurs personnes, je rigolais. C'était bien la première fois que je rigolais avec quelqu'un et c'était la première fois que je me trouvais dans un endroit avec autant de personnes de mon âge. Une bonne heure après, je suivais en rang le préfet qui nous conduisait en direction de notre salle. Il nous avait fallu peu de temps, descendre quelques marches pour arriver aux caves et nous, voilà devant un grand mur. Il suffisait de prononcer le mot de passe et de traverser un grand couloir pour arriver dans la grande salle à manger avec une belle cheminée. Je restais pendant un moment arrêté pour regarder la salle qui était tout simplement magnifique. Je montais des escaliers pour me rendre dans les dortoirs, j'avais le grand lit vers la fenêtre. Ma valise se trouvait à côté de celui-ci, je m'étais empressé de ranger mes affaires pour pouvoir aller prendre une douche et me reposer de tout ça. D'ailleurs, je n'étais pas le seul à aller me laver et aller dormir. Je me retrouvais toujours avec le même garçon 'Timoteï', je l'avais rencontré dans le train et son lit était le plus proche du mien. C'est ainsi qu'une amitié s'était créée entre nous deux. En même temps, nous étions un peu pareils, le même caractère, la même histoire ou pratiquement. Donc, tout était réuni pour qu'on puisse bien s'entendre. Dès le premier jour, je m'étais perdu dans les couloirs en sa compagnie, heureusement que nous n'étions pas en retard pour le premier cour de l'année. Nous étions toujours l'un à côté de l'autre, il était devenu mon meilleur ami en peu de temps. Au final, avec le temps, nous étions six, toujours les uns avec les autres. Un petit gang, un groupe inséparable, lié comme les cinq doigts de la main. Tous sang-pur, tous des hommes avec pratiquement le même caractère, que demander de mieux. La roue tourne, et c'est ainsi que je l'avais remarqué. Les années s'enchainaient et les gens commençaient à remarquer mon caractère dur et froid comme celui de mes parents. Même, si je n'étais pas le jeune homme qui terrorisait les gens, tout le monde se méfiait de moi. Je ne portais pas le nom de famille de n’importe qui, du coup, personne n’osait m’approcher ou me chercher des problèmes. Il m’arrivait par contre de ne pas respecter le règlement. Je sortais parfois dans le parc durant la nuit, je me promenais dans les couloirs et je m’amusais à faire courir Rusard un peu partout. Réputé pour être un chieur, malin et rusé même un peu manipulateur, je rendais chèvre plus d’un professeur. Mais, pourtant j’arrivais à avoir toujours des bonnes notes. J’avais des grandes capacités que je n’exploitais pas vraiment. Durant ma cinquième année, plusieurs problèmes m’étaient survenus. Je m’étais confronté à un adversaire lors d’un duel et sous l’emprise de la colère, j’étais allé bien trop loin. J’avais reçu plusieurs heures de retenue et je n’avais plus le droit de participer au duel pendant plusieurs mois. Ensuite, j’avais découvert que ma petite amie couchait avec l’un de mes amis. Mais, ce n’était pas tout, en rentrant chez moi durant les vacances, mes parents avaient appris mon aventure avec cette sang pur. Tout se savait et ils avaient appris que j’avais couché avec elle et plus d’une fois. Je devais oublier ce plan et je devais me préoccuper de ce que j’allais devoir faire plus tard. Je pouvais très bien m’amuser pendant quelques années, mais bientôt j’allais être fiancé à une femme en particulier. Elle était belle, mais bien trop jeune à mon goût, mais je n’avais rien à dire. J’avais obtenu mes buses avec beaucoup de mal, c’est pourquoi j’avais dû freiner sur mes sorties au pré au lard et que je devais travailler largement plus sur mes options. J’avais participé à plusieurs matchs de quidditch et j’avais été blessé un nombre incalculable de fois, en même temps j’étais un batteur. Je devais à chaque fois me méfier des cognards et autres balles. Plus d’une fois je m’étais retrouvé à l’infirmerie avec le bras fracturé ou assommé. Mais, à chaque fois je recommençais, j’avais repris aussi les duels, mais j’en faisais largement moins. Je n’arrivais pas à contrôler ma colère et tant que je n’arrivais pas à faire ça, je n’allais pas pouvoir avancer. C’était seulement durant ma dernière année que j’avais prouvé que j’étais mûre. Un gryffondor m’avait ouvertement menacé et cherché, régler ses comptes lors d’un duel. Alors, que j’aurais très bien pu refuser, j’avais accepté. Que le meilleur gagne, c’était tout à fait ça, mais si je perdais, je n’allais pas en mourir. Le duel avait duré longtemps, j’étais blessé et lui aussi, d’ailleurs j’aurais pu déclarer forfait tout comme lui. Mais, aucun de nous deux voulait lâcher l’affaire, aucun de nous deux ne voulait mettre sa fierté de côté. Le duel avait fait venir énormément d’élève et les professeurs surveillaient de très près nos attaques pour ne pas avoir un éventuel dérapage. Mais, après plus d’une demi-heure, plus rapide que l’autre j’avais jeté le sort pour le désarmer. Alors que d’habitude, je lui jetais par la suite un sort, je m’étais directement stoppé. La baguette tendue dans sa direction, mes yeux noirs, ma colère était présente, mais je m’étais contrôlé. J’avais gagné des points, et seulement une semaine après je passais les aspics. Heureusement que cette fois-ci j’avais travaillé un peu plus. Avec un peu moins de mal, j’avais obtenu les aspics grâce à l’enchantement et la potion. Autant vous dire que mes parents étaient ravis, mais au final des bonnes années s’étaient arrêtés. J’allais devoir trouver un boulot ou continuer les études pour devenir professeur. Poudlard était important pour moi et je ne voulais rien faire d’autre. C’est pourquoi, je m’étais lancé dans l’idée de devenir professeur. Il me suffisait seulement de trois ans pour entrer dans la grande école de sorcellerie. Durant trois ans, il s’était passé énormément de chose.
Trois années, certainement les plus embrouillés de ma vie. Je ne savais même plus ce que je désirais réellement, c’était tout visible sauf mon avenir. Écouter mes parents et trouver un autre métier ? Ou décider seul de mon métier et de mon avenir ? Juste me fiancer avec cette femme pour leur faire plaisir ? Tout s’embrouillait et au final, mon choix s’était porté sur mon déménagement. Je quittais le manoir familial, j’avais déjà plus de vingt ans, je ne pouvais pas rester éternellement dans cet endroit. J’avais donc acheté un grand manoir, j’allais y vivre seul, mais au moins j’étais sûr de ne pas être suivi en permanence. Il se situait entre Londres et Poudlard, comme ça, je pouvais rentrer chaque soir après mes cours. Du moins, j’avais emporté toutes mes affaires, je n’avais rien laissé dans mon ancienne chambre. J’avais juste déposé un léger baiser sur la joue de ma mère, fait un câlin amical à mon père et j’avais disparu du manoir. J’avais besoin d’air, de liberté, ce n’était même pas de l'amour familial, c’était je ne sais quoi. Ils croyaient pouvoir me manipuler encore un long moment, mais ils se trompaient, j’avais fait mes décisions et j’allais devenir professeur. C’était juste ça que je voulais, donc à l’âge de vingt-trois ans, je me retrouvais professeur à Poudlard. Une première année ; un peu de stressé et au final le premier cour s’était déroulé sans aucun problème. Une classe plutôt respectueuse et surtout attentive, c’était plutôt étrange, mais je ne m’en faisais pas pour les prochains. Une bonne journée bien chargée, comme je les aimais. Je n’avais pas besoin de penser à quelque chose d’autre. J’avais commencé ma vie active, ma vie professionnelle et pour rien au monde je ne voulais qu’elle s’arrête. Seulement, je n’avais pas pensé que j’allais retrouver une certaine personne dans l’un de mes cours. En effet, en travaillant pour Poudlard, je devais réfléchir au fait Primrose qui était ma future promise allait se trouver en face de moi. Dernière heure de la journée, je m’étais retrouvé en face des deuxièmes années. Plus précisément en face d’elle, mais j’avais fait comme si je ne la connaissais pas. Après tout, elle avait certainement dû décevoir plus d’une personne en allant à Serdaigle. Elle était une sang-pur et je savais à quel point ses parents voulaient la voir chez les serpentard. Mais, j’avais fait avec, ce n’était pas parce que je la connaissais qu’elle avait le droit à des faveurs. Je voulais me faire respecter et j’y arrivais, à chaque fois que quelqu’un parlait, c’était un point voir plus de perdu. Il n’y avait que ça qui fonctionnait donc j’allais le faire. Les années passaient rapidement et je gérais petit à petit les élèves. J’étais aimé et respecté, donc que demander de plus ? C’est seulement à l’âge de vingt six ans, que je devais me mettre en couple avec cette jeune demoiselle. Je n’avais pas le choix, j’étais obligé et j’allais le faire. J’étais avec elle, d’ailleurs seulement deux ans après, les fiançailles avaient lieu. Plus précisément dans mon manoir, ils n’avaient pas trouvé un meilleur endroit. Le grand salon avait été décoré, de nombreuses personnes avaient été invitées. J’étais habillé sur mon Trente et Un, un grand costard noir, une chemise blanche. C’était bien la première fois, que j’étais aussi bien habillé. Mais, je n’avais pas eu le choix, tous les invités n’attendaient que moi et cette jeune femme du prénom de Primrose. Elle n’avait que dix-neuf ans, j’en avais vingt-sept ans. Des longues danses, des applaudissements et au moment de passer la bague au doigt de la jeune femme, il n’y avait plus bruit. Tout le monde retenait sa respiration, en espérant qu’aucun de nous deux refuse. Une fois la bague à son doigt et une chevalière à mon doigt, ils souriaient tous et applaudissaient. Nos parents avaient réussi, ils avaient obtenu ce qu’ils désiraient. Trois heures après, le manoir était devenu aussi calme qu’avant. Il n’y avait plus personne, même la jeune femme qui était mienne avait disparu avec la foule. J’avais sorti ma baguette, souffler quelques mots, ainsi la décoration et la saleté avaient quitté cet endroit. Tout s’était fait rapidement, je ‘n’avais même pas eu le temps de discuter avec Prim. Mais bon, c’était ainsi et je devais m’y faire.
Cela faisait maintenant un an que j’étais fiancé à cette demoiselle et pourtant il y avait toujours un mur entre elle et moi. Nous étions des personnes différentes, pas faite l’une pour l’autre. Mais le sort s’était abattu sur nous, sans nous laisser le choix. Une nouvelle année se commençait à Poudlard, cela n’allait pas être simple, je savais parfaitement que ma liaison avec cette demoiselle dérangeait, mais beaucoup étaient au courant de ce mariage arrangé. De plus, je devais rentrer de temps en temps à mon manoir pour vérifier qu’Elphias se portait bien. Rejeté par son frère, je n’avais pas pu le laisser comme ça, perdu et complètement ailleurs. Il était comme un frère à mes yeux, il cachait certainement quelque chose, mais ce n’était pas une raison pour le mettre de côté. C’est pourquoi, je lui avais proposé de vivre avec moi pendant le temps qu’il voulait. Rien n’était évident, des allers et retours entre le manoir et Poudlard, de plus, j’étais maintenant directeur de la maison de serpentard. Attention à vous.
Dernière édition par Vladimir Carrow le Jeu 21 Aoû - 11:26, édité 6 fois
J'avais réserve la belle Marie avgeropoulos, mais je préfère changer :3. Du coup si vous avez besoin de lien ou autre avec un professeur, n'hésitez pas (a)
Bienvenue On ne dit jamais non à un lien avec un sexy professeur Si jamais ma Nika t'intéresse, je te propose de m'envoyer un mp pour qu'on en discute tous les deux.
Je te souhaite bon courage pour ta fiche et je vais retirer la réservation d'avatar.
Lumen Macmillan
CŒUR DE LIONNE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/08/2012 + PARCHEMINS : 5770
Je ne sais pas trop comment tu souhaites tourner l'allégeance de Vladimir mais je tiens à te préciser avant que tu n'avances plus ta fiche, on ne peut pas accepter que les professeurs de Poudlard soient des mangemort. C'est précisé dans l'annexe sur les mangemorts:
Daily Prophet a écrit:
/!\ Information : Les professeurs de Poudlard ne peuvent pas être des mangemorts. Dumbledore est très attentif à ce qu'il se passe dans son école et en tant que créateur de l'Ordre du Phénix, la surveillance du corps professoral est très importante dans le château pour éviter ce genre d'infiltration. De plus les mangemorts sont un groupe récent, ils n'ont pas encore cherché à infiltrer Poudlard. Les professeurs peuvent suivre et croire en les idéaux des mangemorts, de manière discrète au sein du château, mais pas en faire partie.
Tu peux donc jouer un professeur qui suit leurs idéaux mais pas un vrai mangemort.
Merci de ta compréhension
Bon courage pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas!
Merci à vous tous Dawn R. Blackwood : Je vais modifier de suite, je n'avais pas fait attention, sur un portable ce n'est pas simple d'aller sur toutes les annexes >< Abu: Vu que la potion est déjà prise ou tentée par un autre professeur, je pense prendre les défenses contre les forces du mal :.3
Dawn R. Blackwood
LA PRINCESSE DES GLACES
+ SORCIER DEPUIS LE : 18/08/2012 + PARCHEMINS : 6731 + LOCALISATION : Poudlard, la tanière des verts ou le terrain de quidditch
Pas de soucis, les forums sur un portable c'est la galère Pour le poste de DCFM malheureusement il vient tout juste d'être pris par notre chère Fox Selwyn, dis nous si tu as besoin d'aide pour te fixer sur un autre cours