NOM: Spikes, nom totalement méconnu dans le monde sorcier. PRÉNOMS: Rita est son premier prénom, et elle ignore pourquoi ses parents l'ont choisi. Son deuxième prénom est Griselda, et encore une fois, la jeune fille ne sait pas pourquoi. AGE: elle est âgée de vingt ans. ANNÉE: sixième année. STATUT: célibataire. Les relations durables, ce n'est pas pour elle. Elle a eu quelques aventures, mais uniquement pour s'amuser, il y a toujours un problème avec elle, un blocage, elle n'est jamais satisfaite. PURETÉ DU SANG: elle est de sang-mêlé et la jeune fille n'y accorde à vrai dire aucune importance. MAISON SOUHAITÉE: gryffondor. PARTICULARITÉ: aucune, elle est déjà plutôt unique dans son genre.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Sans aucun doute, Rita ramasse le parchemin. Elle ne réfléchit même pas et le range dans son sac. N'étant pas très passionnée par les potions, elle ne faisait que très peu d'efforts dans cette matière depuis son arrivée à Poudlard. Malgrè cela, elle se tenait près de la moyenne. Avec les réponses du prochain devoir en poche, elle se dit que c'est l'occasion ou jamais de briller un peu dans cette matière, et c'est donc sans aucun remords qu'elle apprend les réponses par coeur et obtient une excellente note. Quant à savoir si elle partagerait sa trouvaille avec ses camarades, oui, mais seulement avec quelques privilégiés. D'ailleurs, elle s'amuserait à les faire languir un peu avant de leur communiquer le parchemin si convoité.
✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Rita serait incapable de rester sans rien faire. Plutôt attirée par l'adrénaline que par le désir de secourir la première année, elle irait sans aucun doute prendre part à la bagarre. Car elle n'est pas non plus sans coeur, elle se rangerait plutôt volontiers du côté de la jeune victime, sauf s'il s'agissait d'une gamine qui lui tape sur les nerfs. Dans ce cas là, elle regarderait plutôt la scène, même si l'envie de se battre la rongerait.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Grave erreur. Rita, sans hésiter une seule seconde, clamerait son innocence. Elle n'irait pas par quatre chemins, tonnant que c'est tout à fait injuste et qu'elle n'a rien fait. Sa réaction serait probablement excessive et irréfléchie, mais c'est ainsi que ça se passerait. Impossible pour Rita de se laisser punir injustement, quitte à se faire punir encore plus sévérement par la suite. Elle s'en moquerait totalement, du temps que justice serait faite. D'ailleurs, si un de ses camarades était accusé injustement, elle ne resterait pas de marbre non plus, incapable de tenir sa langue. Sauf si bien sûr il s'agit d'un crètin de première qui l'aurait bien mérité.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? La célébrité. Rita aime qu'on la remarque, elle aime se sentir respectée. Dotée d'un orgueil un peu surdéveloppé, elle en tire une satisfaction personnelle. La richesse ou la sagesse, elle n'en a que faire. Quant à l'amour, c'est une autre histoire. Si elle n'y avait jamais vraiment songé sérieusement auparavant, aujourd'hui elle se questionne. Serait-elle capable d'un amour sincère et fidèle ? Elle devrait le vivre avant de le croire.
La petite fille observe la pelouse verdoyante d'un regard avide. Cloîtrée dans sa chambre au deuxième étage, elle a l'impression d'étouffer. Passive, l'ennui la submerge, l'envahit, et Rita laisse échapper un soupir. Quelques coups légers à la porte la font sursauter. Lentement, d'une démarche nonchalante, elle se lève pour aller ouvrir puis se ravise et retourne s'asseoir sur le rebord de la fenêtre. Un silence s'installe puis une petite voix s'élève : « Rita, tu dois comprendre que nous agissons pour ton bien, ta punition est méritée, tu nous as fait une peur bleue ... ». Las de ce discours déjà entendu maintes et maintes fois, la gamine se bouche les oreilles : « Cause toujours tu m’intéresses », pense-t-elle, exaspérée. Elle compte ainsi mentalement jusqu'à deux cent, non désireuse d'entendre la suite du sermon de sa mère, puis elle se débouche enfin les oreilles. « … et je voudrais que tu saches ... ». Sérieusement agacée, elle décide de changer de tactique, et va ouvrir la porte d'un pas décidé. En seulement quelques secondes, elle avait élaboré un plan qui, elle en était sûre, fonctionnerait à merveille. « Désolée, je crois que je m'étais endormie … tu voulais me dire quelque chose ? ». Elle associe à ses paroles un regard de chien battu, observant timidement et tour à tour ses pieds et le visage de sa mère. Celle-ci semblait tomber dans le panneau, comme souvent. Elle décide alors de jouer le tout pour le tout. « Je … m'excuse, je n'aurais pas du partir comme ça sans prévenir, et pendant des heures ... ». Elle s’interrompt pour laisser couler une petite larme. « Je ... ». Jubilant de l'intérieur, fière de sa ruse, Rita opte pour un silence coupable. A nouveau, elle regarde ses pieds, honteuse. Une main douce lui relève alors le menton et lui murmure : « Ne refais plus jamais ça, compris ? Ta punition est levée, tu peux aller jouer dehors, mais ne t'éloigne pas cette fois. » Rita acquiesce, remercie sa mère, et sort de sa chambre d'un pas non assuré, timide. Intérieurement, elle exulte, et une fois assurée de ne plus être à portée de vue de sa mère, elle laisse exploser sa joie et se met à courir en direction du petit bois. Les paroles de sa mère lui reviennent en mémoire : « Ne t'éloigne pas cette fois. » Esquissant un sourire malicieux, elle se met à courir de plus belle.
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Dans un lit d'un hôpital moldu, Rita ne comprend pas. Le matin même, elle avait fait une chute vertigineuse et s'était fracassée la jambe droite. Sa mère, affichant un air désolé, tente de lui expliquer avec douceur. Elle lui prend la main, mais la jeune fille de treize ans se libère de son emprise, attendant l'explication, même si elle la redoute. « Rita ma chérie, je n'ai pas pu te donner de sang ce matin à ton arrivée, il faut que tu comprennes ... ». Mais Rita n'écoute déjà plus. Elle se souvenait avoir lu quelque part que deux parents ayant le groupe sanguin O, s'ils avaient un enfant, le lui transmettrait. Cela ne pouvait signifier qu'une chose. Les larmes aux yeux, plutôt de rage que de tristesse, elle s'adresse à la femme qui lui fait face : « Tu n'es pas ma vraie mère. » Cette dernière acquiesce, une larme coulant sur sa joue. Connaissant sa fille comme si elle l'avait faite, elle sait qu'elle doit lui laisser du temps, qu'elle doit sortir de sa chambre afin de la laisser réfléchir. Elle sort alors, abandonnant Rita à ses pensées. La jeune fille est sous le choc, ne sachant quoi penser. Pendant treize ans, on n'avait pas jugé bon de lui révéler sa véritable identité. Elle n'était pas leur fille, elle n'était pas une moldue, elle était une sorcière. Elle avait découvert ses pouvoirs à l'âge de neuf ans, quand elle avait fait léviter son gâteau d'anniversaire. Incrédule, la famille avait vite oublié l'incident, et ce n'est qu'une semaine plus tard, quand la magie de la gamine se révéla à nouveau, qu'un membre du ministère de la magie était venu sonner à leur porte. Une larme coulait désormais sur sa joue. Rita l'essuie rapidement. Elle se sent perdue, déboussolée. Pensive, elle se surprend à imaginer ses vrais parents, elle imagine sa mère, les mêmes cheveux bruns qu'elle, ou son père, les yeux semblables aux siens. Qui étaient-ils ? Pourquoi étaient-ils morts ? Était-ce sa faute ? Désorientée, en colère, elle se lève subitement et arrache l'intraveineuse de son bras. Elle se met à faire les cent pas tandis que ses pensées se contredisent : « Je les ai probablement tués. Mais non, c'est ridicule. Si, ils sont sûrement morts à cause de moi ». Et puis elle s'aperçoit que l'autre petite voix ne dit plus rien. Folle de rage contre elle-même, désirant se défouler sur quelque chose, elle abat son poing contre le mur de toutes ses forces. La douleur n’apparaît pas immédiatement, elle laisse cependant échapper un cri de fureur. Sa mère se précipite dans sa chambre, affolée. Rita ne se retourne même pas : « Laisse-moi tranquille. » Elle sait que ses propos sont faibles, et sa mère ne bouge pas d'un pouce. Débordant de rage, elle s'emporte : « Sors d'ici, va pleurer ailleurs, tu l'as bien mérité, tu n'as fait que de me mentir depuis treize ans. » Quand elle se retourne, la pièce est vide. En aucun cas submergée par les remords, Rita se rassoit sur son lit, toujours folle de rage. Elle avait peut-être été un peu directe avec la femme qui l'avait élevée, mais celle-ci s'en remettrait, elle avait l'habitude. Assise sur son lit, l'air dépité, Rita laissa son esprit vagabonder à nouveau, essayant de concevoir des visages à des inconnus, essayant de savoir qui elle était réellement et quelle autre vie elle aurait pu avoir.
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Âgée de vingt ans, elle entre désormais à Poudlard pour la sixième fois. Comme toujours, ses parents adoptifs l'accompagnent à la gare. Elle avait eu beau leur dire qu'elle pouvait se débrouiller seule, rien n'y faisait, et cela l'agacait au plus haut point. Depuis qu'elle avait découvert la vérité, Rita s'était peu à peu éloigné d'eux. Elle leur en voulait toujours, elle n'arrivait toujours pas à oublier le fait qu'ils ne lui avaient rien dit pendant toutes ces années. Elle savait qu'elle ne pouvait pas leur en vouloir éternellement, mais c'était plus fort qu'elle. Envoyée à Gryffondor, Rita y avait immédiatement trouvé sa place. Elle possédait sans aucun doute les qualités des rouges et ors. Risque-tout, intrépide et téméraire, elle possédait assurément la fougue des lions. Impulsive, parfois violente, parfois, ou plutôt souvent, insolente envers ses professeurs ou ses camarades, elle ne mâchait pas ses mots. Elle n'y allait pas par quatre chemins, quel était l’intérêt de se dérober et de mentir ? Elle n'en voyait aucun. Dotée d'une grande fierté et d'une assurance à toutes épreuves, elle aimait qu'on la respecte, qu'on l'admire. Fêtarde de première, elle ne ratait jamais une opportunité de s'amuser et de se lâcher. Aux yeux des autres élèves, elle était une fille sûre d'elle, un peu arrogante, mais elle savait aussi se montrer cordiale, même si ce côté de sa personnalité n'était plutôt que réservé à son groupe d'amis proches. Une fois dans le train, Rita cherche du regard son meilleur ami. Elle l’aperçoit enfin, et s'empresse de le rejoindre. « T'as franchement l'air crevé, on dirait un sombral desséché. » Levant les yeux au ciel, le garçon sourit, puis engage la conversation. Les deux amis s'assoient côte à côte, et rattrapent le temps perdu. Avec Abraxas, Rita pouvait être pleinement elle-même. Son meilleur ami savait tout d'elle, il était d'ailleurs bien le seul. Quand il la regardait, il voyait une jeune fille pleine d'assurance certes, mais qui cachait souvent bien son jeu. Il savait pour ses parents, il savait le mal-être qui la rongeait. Tous les deux pouvaient se comprendre sans se parler, ils savaient qu'ils étaient attirés l'un par l'autre comme par un aimant, qu'ils étaient en parfaite osmose. Un peu comme des âmes-soeurs. Toujours dans le train, Rita observe son meilleur ami qui vient de s'endormir. Depuis quelques semaines, elle s'interrogeait sur ses sentiments envers le garçon. Était-ce plus que de l'amitié? Non, bien sur que non, ils étaient Abraxas et Rita, meilleurs amis depuis six ans. Mais pourquoi l'observait-t-elle ainsi, alors ? Décontenancée, la jeune fille reprit ses esprits. Il fallait voir la réalité en face : il avait Marcia, et elle, elle était elle, jeune fille téméraire et volage. Mais une petite voix, très lointaine, lui murmurait tout de même : « Il AVAIT Marcia » ...
DAILY PROPHET'S REDACTOR
AVATAR: Nina Dobrev. AGE: vingt-deux ans. PRÉSENCE SUR LE FORUM: 7/7. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM: par bazzart, l'incontournable. TES IMPRESSIONS: j'aime, c'est beau et frais, et le contexte me semble génial. ▻ UN PETIT MOT POUR LA FIN: Quand 900 ans comme moi tu auras, moins en forme tu seras. (Oui, Maître Yoda est un peu mon dieu )
Dernière édition par Rita Spikes le Lun 17 Juin - 19:24, édité 14 fois
Voilà, victime d'un réveil non-prémédité ce matin à 7h (alors que je suis en vacances !), j'ai terminé ma fiche Et je me permets de remercier Abraxas pour ce scénario, un petit bijou, j'ai adoré écrire cette fiche :-)
Ouuuh j'adore ta fiche, c'est exactement la Rita que je m'imginais et de rien pour le scénario, même si je n'ai pas fais grand chose! En tous les cas très contente que la jeune fille t'inspires!
Avant toute chose, nous te souhaitons la bienvenue. Tu es désormais ici chez toi Rita Spikes. Le flood et les jeux t’attendent si tu le souhaites.
Félicitations, tu intègres Gryffondor !
C'est la maison du courage et de la force. Mais c'est également là que se trouvent ceux qui sont trop téméraires et fiers. Cette maison sera ta seconde famille à Poudlard. Mais avant de t'engager dans un combat sans merci contre les autres élèves pour faire gagner des points à ta maison, saches que le membre est qui tu es jumelé est Dawn R. Blackwood. Elle prendra contact avec toi prochainement. Afin de t'aider dans tes premiers pas, voici une liste des portoloins utiles : Tu te trouveras des amis et des ennemis dans la partie relations. Pour commencer à écrire ton histoire, tu peux aller voir la liste des rps. Tu peux également devenir préfet, joueur de Quidditch ou rejoindre un club. Bien sûr tu peux aussi faire gagner des points à ta maison, pour voir de quelle manière il te suffit d'aller là, et pour les signaler c'est ici.
/!\ Le récapitulatif de personnage est obligatoire, ce devra même être l'un de tes premiers posts sur le forum. Tu le feras dans ce sujet, à la suite des autres. N'oublies pas que ce dernier devra être régulièrement mis à jour pour faciliter l'aperçu de ton personnage. Enfin penses à voter aux tops sites du forum ;)
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Sam 15 Juin - 21:51
(Oui, Maître Yoda est un peu mon dieu 
)
Et je me permets de remercier Abraxas pour ce scénario, un petit bijou, j'ai adoré écrire cette fiche :-)
