NOM : Dolohov, une vraie fierté de porter un tel nom de famille. PRÉNOMS : Gwën, Bellaria-Salomoné. AGE : vingt ans, elle est née le 26 décembre. ANNÉE : sixième années. ÉTAT CIVIL : célibataire, pour le moment, elle aime s'amuser de temps à autre. PURETÉ DU SANG : aussi pur que les éclats d'un diamant, que la lumière du soleil, que la magie n'appartient qu'aux sorciers. MAISON SOUHAITÉE : serpentard, pour le meilleur, comme le pire. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. PARTICULARITÉ : aucune.
✎ Votre personnage trouve par hasard dans un couloir les réponses du prochain devoir de potions, que fait-il ? Trouver les réponses à un devoir, c’est une aubaine que peu refuserait, mais je fais partie de ces gens-ci. Je ne prendrais le parchemin, que pour le confier aux plus offrants, je n’ai pas besoin de tricher pour montrer à quel point, je suis une sorcière de talent à l’école. Je n’aime pas la triche, mais si elle peut m’apporter quelques pièces d’ors en plus dans mes poches, je ne dirais jamais non à une telle opportunité. Après, prudence est de mise, je ne montre jamais mon visage aux tricheurs au cas-où ils se feraient prendre. Je ne fais pas comme les autres, je fais mieux.
✎ Votre personnage tombe sur une première année malmenée par des septième année au détour d'un couloir, que fait-il ? Voir est une chose, agir en est une autre. Si jamais une pauvre première année se fait maltraiter devant moi, c’est que je ne fais pas partie de ses agresseurs, et que donc je n’ai rien à voir dans cette situation. Je serais juste le témoin de cette action dégradante pour elle. Je vous avouerais que si je n’agis pas pour aider les autres, c’est principalement parce que je considère ceci comme une perte de temps. Voir même, comme un spectacle et non une vraie mise en danger. Nous sommes à l’école. Les gens se font huer, maltraiter et taquiné à longueur de temps, ce n’est rien de plus qu’un rite de passage. On passe tous par là, enfin, pas tous, mais la plupart d’entre nous. C’est la vie.
✎ Le professeur de métamorphose a injustement punit votre personnage à la place d'un autre élève qui se moque de lui, comment réagit votre personnage ? Alors là, je crois que ce serait le comble. Qu’on me punisse pour quelque chose que j’ai fait, ça va, mais si c’est injuste et complètement hors de propos, je ne serais jamais compréhensive. Surtout si l’élève pour lequel je me fais punir commence à rire de la situation et de ce qu’il m’a fait. Je crois que la vengeance serait la meilleure des solutions. Je promettrais au professeur qu’il paiera pour ça en restant vague sur mes mots, et l’élève recevra soit des chocolats empoisonné pour qu’il soit malade pendant une semaine ou plus, soit de nombreux petits sorts lui seront lancé pour l’humilier en public. On verra bien en fonction de la gravité de ma punition, ce qui serait le mieux pour cet inutile.
✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? La richesse, la célébrité, rien n’est plus important normalement pour moi. Rien ne vaut plus la peine de vivre, que d’un jour, voir son visage sur tout les journaux du pays, ou bien même d’être la fille la plus recherché pour mauvais comportement. D’ordinaire, j’aurais tout de suite répondu que la célébrité était la chose la plus important, mais, maintenant, je ne sais plus ce qui me donne vraiment envie de continuer. La richesse, ça ne compte pas, on peut être riche sans vraiment rechercher à l’être. On peut avoir une pièce d’or et la faire doubler ou tripler en la jouant aux cartes. On peut posséder juste en étant la fille de quelqu’un d’important. Mais… L’amour. Avoir quelqu’un dans sa vie, c’est impossible à posséder. Je ne devrais pas penser comme ça. Pas avec le destin qui m’attend. Mais c’est le cas. Je ne peux pas m’empêcher de rêver d’avoir un jour quelqu’un qui m’aimerait autant que l’homme à besoin de l’eau pour vivre. Autant que le diamant brille. Autant que ma mère aime mon père quoi qu’il puisse faire et penser.
PSEUDO : daemon.cross. AGE : 19 ans, bientôt un an de plus en cette future année qui arrive. PRÉSENCE : aussi souvent que possible, sept jours sur sept. AVATAR :
Cher Journal, Je t’écris tous les jours depuis que j’ai douze ans, mais je n’ai jamais partagé mon passé avec toi, mes sentiments et mes peurs. Je suis toujours resté dans le flou, dans l’invincible, dans la pierre. Mais c’est simplement parce que j’ai peur de mettre tout ceci sur papier. Tout ce que je vis réellement au fond de moi. Je te décrivais les lieux, mais pas l’ambiance, pas le climat ou les couleurs. Je ne te disais pas si elles étaient froides ou chaudes, je disais simplement rouge ou bleu. C’est stressant de relire ses journaux intimes et de ne rien ressentir, alors j’ai décidé de changer. De vraiment me mettre à écrire. D’écrire ce qui me passe par la tête et ce qui me semble important. Je n’écrirais plus rien d’inutile. Plus rien de superflu sur tes pages blanches et pures. Bon, alors, commençons. Je suis née le vingt-six décembre, il y a vingt ans de cela, en même temps que mon frère jumeau. Nous avons tout partagé dans nos vies. Que ce soit nos premières larmes ou nos premiers rires. On était tellement synchrone que nos parents se demandaient parfois si nous n’étions pas des robots échangés à la naissance. Mon frère et moi n’avions pas de secrets, on se disait tout à la minute même où nous apprenions une chose. Je savais que je pouvais compter sur lui quand nous étions jeunes parce qu’ensemble on était plus fort. Mais aujourd’hui tout est différent. Il est distant avec moi depuis un peu plus d’un an maintenant, comme si j’avais fait quelque chose de mal, comme si j’étais la personne la plus misérable du monde. Je ne sais pas comment arranger les choses, je ne sais plus comment parler avec lui. J’aimerais lui dire qu’il me manque, mais à chaque fois que je le croise dans les couloirs du château, un vent froid souffle entre nous. On s’envoi des choses au visage avec les mots sans même penser que plus on en dit, plus grand le trou béant se creuse entre nous. Je me rappelle encore de la dernière chose gentille qu’il m’a dit lors de notre anniversaire, et quand j’y repense, ça me fait mal de voir que les choses ont changées. « Gwën, toi et moi on règnera sur notre propre empire. Tu es ma sœur, et jamais je ne souhaiterais te perdre. Promis juré, nos vies seront toujours liées ! » Je l’avais pris comme une promesse, mais c’était plus comme une phrase en l’air. Mère me dit toujours que qu’importe ce que mon frère puisse faire, je le surpasserais quoi qu’il arrive, parce que j’étais différente, et que je ressentais les choses plus intensément que lui. Ma mère était comme ma meilleure amie quelque fois. Elle me parlait comme elle devait le faire quelque soit la situation. Et même, de temps en temps, elle passe sa main dans mes cheveux pour me rassurer, pour me dire que tout ira bien si je fais ce qu’on me dit de faire au moment même où l’on me le dit. Devant ma famille, je suis de glace. Je suis cette fille impénétrable, celle à qui l’on pourrait presque demander de faire le mal sans attendre mon diplôme et qui dirait « oui » sans hésitations, sans même songer à la vie que j’enlève ou malmène. Et pourtant, il y a bien plus derrière. Alors que depuis toujours ils me lacent des « la noirceur est en toi ma fille, tu es ma fierté. », ou encore des « ton cœur est plus dur que la pierre. », je ne me reconnais dans rien de cela. Je serais toujours une Dolohov. Je serais toujours destinée à faire le mal sans m’en soucier. Mais, je vaux plus que ce qu’on pourrait imaginer au premier regard. Si l’on m’habille comme une poupée pour montrer la méchanceté qui m’habite, on cache par la même occasion tout ce qui pourrait être bon en moi. Je me regarde dans le miroir et je ne me reconnais pas. Je suis frustré de constater que je peux être si froide, mais, c’est la seule chose qu’on m’a toujours demandé d’être. Les sourires sont à bannir de mon visage depuis longtemps, l’amour est presque secondaire, l’élégance est de rigueur, l’insensibilité doit m’habiter. J’ai l’impression d’être façonné de sorte que je ne puisse pas décevoir mes parents. Et jusqu’à présent je ne m’en étais pas plains. Depuis mon entrée à Poudlard, je n’ai pas beaucoup d’amis. Je suis presque la fille solitaire dont tout le monde à peur. Mais qui pourtant attire des âmes sincère quelque fois. Les gens veulent essayer de me connaître, de savoir qui je suis et ce qui me passionne. Malgré que je n’aime pas montrer mes faiblesses. Je suis une bonne élève, brillante même. J’aime travailler et donner de moi-même dans chacun de mes devoirs. On m’a toujours dit que je tenais ça de mon père. Parce qu’il était toujours le premier de sa classe, et qu’il a toujours réussi tout ce qu’il entreprenait. De cette manière, je me sens proche de lui. Je sens que je partage une chose sacré avec mon géniteur. Cette dose d’intelligence nous donne de quoi nous rapprocher à chaque fois que je rentre à la maison pour les vacances, parce qu’il sait que je pourrais lui réciter tout ce que j’ai fait dans les mois précédents notre réunion familiale. Il sait que je n’omettrais aucun détails, et ça lui va comme cela. Depuis le jour où j’ai été choisie pour rejoindre la maison de Serpentard, je n’arrête pas de lui faire honneur et de montrer mes capacités. Je ne veux pas faire la fille futile auprès des autres, celle qui est trop concentré sur son vernis à ongle pour regarder plus loin que son nez. Je suis honnête, je montre tout de suite qui je suis, avec une pointe de sarcasme bien placé, mais personne ne peut m’en vouloir pour ça, parce que je n’ai jamais été très douée avec le relationnel. Il faut dire que personne ne m’a donné l’exemple, si ce n’est mes professeurs de l’école, qui essaient souvent de me reprendre pour que je m’exprime mieux et que je m’ouvre à mes camarades. Ils disent comprendre qu’avoir une si belle intelligence m’éloigne des autres, mais ce qu’ils ignorent c’est que ce n’est pas elle qui décide de ma vie, mais moi. Si je veux des amis, je le dis, je les trouve et je les garde. Si je n’en veux pas, je ne me forcerais pas pour faire plaisir aux autres. Poudlard est spécial, parce qu’on peut être la personne qu’on décide de devenir, et c’est ce qui me plait le plus, alors pourquoi tenter de me rendre plus sociable quand je suis censée être parfaite tel quel ? Je ne sais pas. Je m’en fiche en fait. Ma vie n’est pas toujours parfaite, parce que j’aimerais être celle qu’ils attendent que je sois, mais à ma manière, et qu’ils refuseront toujours de me donner les liberté nécessaire à mon épanouissement. Je sais qu’ils veulent que je sois heureuse, mais nos façons de voir le bonheur sont tellement différente, que je ne sais même pas laquelle est la bonne. Quoi qu’il en soit, comme je te l’ai déjà dit mon cher Journal, je suis une Dolohov, et je le serais toute ma vie. Alors autant me dire que le mal subsistera dans mes veines jusqu’à la fin, et que je lui ferais honneur comme il m’a été demandé depuis le jour où j’ai su marcher et parler. C’était Gwën Bellaria-Salomoné Dolohov, et je crois que les journaux intimes, c’est fini pour moi.
Dernière édition par Gwën B.-S. Dolohov le Jeu 31 Déc - 18:47, édité 6 fois
Lorelei E. Wilbert
LA PRINCESSE ADOPTÉE
+ SORCIER DEPUIS LE : 23/09/2014 + PARCHEMINS : 5009 + LOCALISATION : au pays de la débauche /pan/ non celui des livres, de la magie
merci beaucoup de cet accueil, ça fait plaisir. niveau famille, je me suis dit que c'était celle qui se rapprochait le plus de ce que je voulais, donc je n'ai pas hésité une seule seconde.
Alexia O. Shafiq
50 NUANCES DE NOIR
+ SORCIER DEPUIS LE : 24/12/2015 + PARCHEMINS : 176
Lizzie !!!! Superbe choix d'avatar & de famille Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Néanmois, dans ton profil, il y a marqué que ton perso a 21 ans et qu'elle est en sixième année. Mais les sixième années ont 19 ans voire 20 ans en fonction du mois de naissance
Dernière édition par Lumen Macmillan le Dim 27 Déc - 20:38, édité 1 fois
alexia, merci beaucoup, j'espère aussi. lumen, ho oui, je me suis trompée dans mon profil, elle a vingt ans, gwën. je l'avais rempli avant d'avoir su l'âge qu'il fallait avoir. en tout cas, mercii beaucoup pour ton accueil.
Bellamy S. Carrow
MONSIEUR PILE OU FACE
+ SORCIER DEPUIS LE : 19/04/2015 + PARCHEMINS : 258 + LOCALISATION : londres.