NOM : Peterson, le nom de son père, un nom bien anglais comme ses parents depuis toujours. PRÉNOMS : Aaron Ethan. Aaron, parce que son père aimait ce prénom, tout simplement, Ethan en hommage à son grand-père maternel, décédé peu avant sa naissance. AGE : 24 ans. Il est du joli mois de mai plus précisément. POSTE : Auror, un métier qui pourrait sembler bien trop difficile pour lui mais dans lequel il réussit et s'épanouit, le même métier que son grand-père paternel avant lui. ÉTAT CIVIL : célibataire. Il est émotionnellement handicapé, surtout par son manque de confiance en lui. Alors inutile de l'imaginer dans les bras de qui que ce soit, hormis ceux de sa meilleures amie. Et encore. PURETÉ DU SANG : sang mêlé. Son père est un sorcier, sa mère une moldue. Classique. ANCIENNE MAISON : Serdaigle. Il est fier d'avoir réussi avec brio ses examens sous la bannière bleue. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel, inutile d'aller chercher plus loin. CAMP : Ordre du Phénix, le meilleur endroit depuis lequel lutter contre les atrocités du monde sorcier. PARTICULARITÉ : Occlumens depuis que sa grand-mère le lui appris.
✎ Votre personnage trouve par hasard la pierre de résurrection, l'une des reliques de la mort ! Que décide t-il de faire ? Avant tout, il se demanderait s’il s’agit vraiment de la relique et pas d’un caillou simplement un peu différent des autres. Il a suffisamment de raisons de se ridiculiser sans en rajouter une autre. Pour s’en assurer, il la montrerait à la personne en qui il a le plus confiance en matière de magie : sa grand-mère. Si elle lui confirmait qu’il s’agit bien de la pierre de résurrection, il se mettrait aussitôt à paniquer. Les reliques de la mort, c’est comme la pierre philosophale. C’est une légende, mais dans le monde sorcier, la part de vrai dans les légendes peut être totale. Et les reliques de la mort sont probablement convoitées, ce qui implique qu’il pourrait se retrouver avec une bande de sorciers dégénérés à la Frankenstein mais version magique aux trousses. Enfin, une fois calmé et sûr que personne ne le surveille, il se rendrait le plus rapidement possible au ministère de la magie. Et il se rendrait compte qu’il ne trouve aucune personne en qui il a suffisamment confiance pour parler d’une relique aussi puissante. Il finirait par se rendre à Poudlard pour aller chercher conseil auprès de la personne la plus sage qu’il connaisse : Albus Dumbledore. ✎ Votre personnage tombe sur un moldu malmenée par des sorciers au détour d'une rue, que fait-il ? Aucune hésitation de sa part dans ce cas de figure. Il foncerait tête baissée au secours du moldu. C’est en partie pour ça qu’il est devenu auror. Protéger les moldus des sorciers malveillants est son devoir. Bien sûr, il essaierait de régler le problème sans magie, tout d’abord parce qu’il préfère éviter de dévoiler sa nature à un moldu, ensuite parce que Cleo l’a toujours incité à agir ainsi. En cas de besoin, il commencerait par bloquer son esprit – on ne sait jamais sur quel type de sorcier on peut tomber. Il sortirait sa baguette dans le même temps et lancerait au moins autant de sortilèges que de sorciers : désarmement puis stupefixion – on n’est jamais trop prudent. Il confisquerait leurs baguettes aux sorciers et s’assurerait de la santé de la victime. Il raccompagnerait le moldu chez lui ou à l’hôpital le plus proche en fonction de son état de santé sans oublier de lancer un sort d’oubli avant d’éviter que le monde sorcier ne soit exposé. Enfin, il se presserait de retrouver ces sorciers et s’assurerait qu’ils subissent les conséquences de leurs actes. ✎ Le Ministre de la magie propose à votre personnage de tout quitter pour devenir son conseiller personnel. Accepteriez-vous la proposition ? Aaron ? Conseiller personnel du ministre ? Ce ne peut être qu’une blague pour lui. Mais pas une blague gentille pour taquiner l’autre. Non, une blague mauvaise, du genre à humilier le dindon de la farce. Enfin admettons que ce ne soit pas une plaisanterie. Aaron n’accepterait pas pour autant. La politique ne l’intéresse pas, pas plus que les politiques. Il ne se fait pas d’illusion, beaucoup de politiciens sont vendus à des causes diverses et variées et ce n’est pas du tout son style. Il a des convictions qu’il n’est pas prêt à trahir. Il sait que faire tourner un monde est une question de compromis par toujours justes et il ne serait pas prêt à sacrifier cette justice qu’il aime tant pour une part de pouvoir. L’intérêt général oui, mais pas au détriment de l’intérêt individuel. C’est au-dessus de ses forces. Puis si c’est pour qu’on n’écoute pas ses conseils alors qu’ils seraient très réfléchis, non merci ! ✎ Amour, richesse, célébrité ou sagesse : qu'est ce qui intéresse le plus votre personnage ? L’amour ? Certainement pas. Il n’aime vraiment que peu de personnes et c’est un amour purement innocent. Il ne se voit pas partager sa vie avec une femme, encore moins avec un homme d’ailleurs puisqu’il n’est pas attiré par la gente masculine. Il ne sait même pas s’il est capable d’aimer quelqu’un… La richesse ne l’intéresse pas non plus. Sa mère ne roulait pas sur l’or malgré les aides qu’elle recevait et il a l’habitude de se contenter de peu. Sa grand-mère en revanche jouit d’une certaine aisance financière mais il refuse d’en user sauf grande urgence. Quant à lui, il se fiche bien de la richesse. Du moment qu’il a de quoi payer son toit, sa nourriture et ses vêtements, peu lui importe ! Il n’est pas du tout matérialiste et préfère un câlin à des cadeaux. La célébrité, il n’en veut pas du tout. A ses yeux, c’est pire que la peste et le choléra réunis. Sa famille a été assez célèbre lorsqu’il était petit pour la disparition de sa sœur. Il est très bien en anonyme. Il n’a pas besoin de reconnaissance ni de fans, et encore moins de détracteurs. La normalité et l’anonymat lui conviennent parfaitement. Quant à la sagesse, en revanche, ce serait quelque chose de très intéressant pour lui. La sagesse est une qualité dont il aimerait être doté. Elle permet de tout rationnaliser et d’être toujours de bon conseil. Il essaie d’être le plus sage possible lorsqu’il doit prendre des décisions mais il faut avouer que lorsqu’on a peur d’un peu tout ce qui se passe, ce n’est pas une chose évidente…
PSEUDO : LilyGivrée. AGE : 26 ans. Et toutes mes dents. Pour le moment. PRÉSENCE : Quotidienne pour me tenir au courant, et on va dire au minimum hebdomadaire pour les RP (j'ai un petit bout de chou qui m'empêche de me concentrer è_é). AVATAR : Evan Peters. COMMENT AS TU DÉCOUVERT LE FORUM : Je fais partie de la horde qui s'est inscrite hier soir. On cherchait un forum pour toutes nous accueillir. UN PETIT MOT POUR LA FIN : Coucou ! /PAN/.
Dernière édition par Aaron E. Peterson le Mer 22 Juil - 22:12, édité 5 fois
Aaron Ethan Peterson... Ce gosse ne paye pas de mine mais il a tout à fait sa place parmi les aurors. Il est né en 1957, le 3 mai, plus précisément. Son père était un sorcier, journaliste de métier. C'était un fouineur. Il n'était pas du genre à attendre bien sagement qu'on lui confie un sujet sur le dernier balai à la mode. Il ne guettait pas non plus le scoop de tel sorcier étant vu avec telle autre. Non, lui voulait faire dans le politique. Dénoncer la corruption, les crimes cachés, c'était ça, son domaine. Sa mère quant à elle était une institutrice moldue, aussi honnête et intègre qu'on peut l'être. Ils avaient également une fille aînée, Emma, grande soeur parfaite, ou presque. Les deux enfants se chamaillaient, comme toute fratrie se respectant, mais ils s'aimaient de tout leur coeur et partageaient bien des moments de complicité. Ils partageaient d'ailleurs l'un de ces moments lorsque la vie de la petite famille parfaite de Southampton bascula.
Une nuit, alors qu'Aaron avait cinq ans et qu'il dormait avec sa soeur à cause d'un cauchemar, il fut réveillé par un étrange craquement. Il eut à peine le temps de se frotter les yeux et d'apercevoir une grande silhouette dans l'obscurité, tout près d'eux, avant qu'un second craquement ne se fasse entendre, emportant avec lui la silhouette et Emma. Aaron alla réveiller ses parents, sa couverture-doudou dans la main, pour leur dire qu'Emma n'était plus là. Le calme de la nuit fit place à une agitation assourdissante. La mère cherchait sa fille dans tout le voisinage, le père jetait autant de sorts qu'il en connaissait pour tenter de trouver des traces de la personne qui avait pris sa fille. Nul doute qu'il s'agissait d'un sorcier. D'ailleurs, il était sûr que cela avait un rapport avec le dernier article qu'il avait publié sur les crimes odieux d'un ministre. La mère de famille le savait aussi. Quoiqu'il en soit, la police moldue fut contactée, tout comme les autorités du monde sorcier. Au milieu de tout ce bazar, Aaron restait immobile. Il n'était pas bête. Il avait parfaitement compris que sa soeur avait été enlevée. Il était sous le choc. Sa grand-mère paternelle le prit quelques mois chez elle, le temps que les choses se calment.
Lorsqu'il rentra chez lui, les choses s'étaient effectivement calmées, mais pas forcément dans le sens auquel l'entendait la vieille sorcière. Le père de famille avait quitté la maison, chassé par les reproches incessants de son épouse et ses crises de nerf. Seuls restaient la mère et le lapin bleu de la famille. La vie d'Aaron changea du tout au tout. Il n'eut plus le droit de faire quoique ce soit seul, hormis les choses basiques de la vie. Sa mère ne le laissait jamais seul. Elle alla même jusqu'à le retirer du jardin d'enfant malgré ses suppliques. L'enfant sociable se retrouva enfermé dans sa maison, ne sortant plus que pour les choses nécessaires à la survie de la famille. De l'extérieur, il ne vit plus que le supermarché du quartier, la banque et le bureau de poste. Il n'avait de contact avec aucun autre enfant. Très vite, le lapin devint son seul ami, jusqu'à ce qu'il meure trois ans plus tard. Personne ne venait jamais chez eux hormis la grand-mère paternelle d'Aaron qui prenait régulièrement de ses nouvelles malgré les protestations de sa belle-fille. Elle respectait cependant sa volonté de ne pas exposer l'enfant à la magie.
Aaron n'entendit donc plus parler de sorcellerie jusqu'à ce qu'un incident se produise alors qu'il était âgé de onze ans. Au supermarché, sa mère lâcha sa main et le quitta du regard quelques instants, le temps de placer des articles dans son panier. Ce court laps de temps suffit à ce qu'un garçon vienne parler à Aaron. N'ayant pas le droit d'adresser la parole à des inconnus, Aaron ne lui répondit pas. Bien sûr, l'autre enfant insista, effrayant Aaron en s'approchant de lui. Alors qu'il était acculé, les rayons autour d'eux volèrent inexplicablement en éclats. L'enfant s'éloigna et se fit sermonner par sa mère qui semblait le croire coupable de cet accident. Madame Peterson empoigna quant à elle son fils et quitta le magasin sans rien acheter, laissant son panier au milieu du supermarché. Elle ne dit pas le moindre mot sur le chemin. En revanche, une véritable tempête s'abattit sur le garçon lorsque la porte de la maison des Peterson se referma. Sa mère ne voulut pas entendre qu'il n'avait rien fait. Elle lui répéta que c'était la magie qui avait enlevé sa soeur, que lui n'était pas un sorcier et ne le serait jamais, qu'il était une personne normale, un humain, et qu'il ne devait même pas penser à la magie. Ce soir-là, Aaron pleura beaucoup. Il en voulait à la terre entière, à commencer par son père qui l'avait abandonné et ne lui avait jamais donné de nouvelles. Jusque là, il avait toujours cru que son père était parti à la recherche d'Emma mais ce jour-là, il perdit tout espoir.
Il fallut attendre qu'Aaron ait quatorze ans pour qu'une lueur d'espoir apparaisse dans l'obscurité de sa vie. Durant trois ans, il avait vécu totalement enfermé dans la maison familiale. S'il tombait malade, c'était le médecin qui venait. S'il fallait faire des courses, c'était la voisine qui s'en chargeait. Elle se chargeait aussi de poster les lettres que lui faisaient passer Aaron parfois, comme elle le fit lorsqu'il se retrouva intrigué par les lettres qui arrivaient inexplicablement chez lui et qui disparaissaient aussitôt dans un feu improvisé par la mère de famille. Tout d'abord, il pensa que son père tentait de le contacter, mais lorsque sa grand-mère paternelle arriva un matin sans prévenir, apparaissant au milieu de la pièce comme par magie, Aaron sut que ce n'était pas ça. Il se sentit déçu, par lui-même d'avoir espéré, par son père de n'avoir rien tenté. Il se mit alors à détester cet homme. Ne pouvant reporter sa colère sur lui, il détesta alors ce prénom qu'il avait choisi. Il dut attendre plus d'une heure que les adultes discutent entre elles sans rien pouvoir entendre de leur conversation. Lorsqu'enfin sa grand-mère vint le chercher, elle lui annonça fièrement qu'il était sorcier et qu'il ferait sa rentrée à Poudlard moins de deux semaines plus tard. C'était une surprise totale. Jamais il n'avait pensé être sorcier. Il se croyait tout à fait comme sa mère. L'idée d'entrer à Poudlard rendit son cœur plus léger. Il termina ses vacances chez sa grand-mère, occupé à préparer ses affaires et à en apprendre le plus possible sur le monde des sorciers tout en réfléchissant à comment il allait pouvoir survivre à tous ces changements. Pour la première fois depuis bien longtemps, il se sentait libre.
Sa scolarité bien qu'il fut chez les Serdaigle n'eut rien de facile. Il était doué pour apprendre et pour appliquer bêtement ses connaissances. En revanche, se mettre en situation réelle était une véritable torture pour lui. Sa mère ne lui avait jamais inculqué la confiance en ses capacités ni la confiance envers les autres. Il ne connaissait que la méfiance et la peur. Il avait donc beaucoup de mal à pratiquer vraiment la magie, se ridiculisant fréquemment par ses réactions apeurées. De même, il était incapable de se lier d'amitié avec qui que ce soit. Après tout, il avait toujours vécu seul. Il s'était trouvé des jeux également seul pour s'occuper. Alors ce n'était pas ça qui aller l'empêcher de devenir un bon sorcier. Au final, tout ce qu'il avait pour lui était sa volonté de se battre et de vaincre ses peurs, fortement encouragée par sa grand-mère. Le seul moment où il pensa à abandonner fut lorsqu'on lui demanda ce qu'il voulait faire comme métier plus tard, en deuxième année. Aaron voulait devenir auror. Il voulait protéger les gens, empêcher que des vies soient brisées comme l'avait été la sienne, il voulait défendre la justice, et surtout, il espérait trouver des indices sur la disparition de sa soeur. Bien sûr, des éclats de rire ricochèrent de toute part dans la classe lorsqu'il énonça sa volonté. Ce fut un moment très humiliant...
Encore une fois, ce fut sa grand-mère qui l'encouragea. Elle le poussa à persister et à montrer à tous ces imbéciles qu'il était loin d'être le nul qu'ils croyaient. Elle lui offrit également un présent qui fit grand effet sur Aaron. C'était une baguette magique en bois de mélèze et ventricule de dragon, appartenant à la famille Peterson depuis de nombreuses générations. Normalement, son père aurait du hériter de cette baguette censée rendre son porteur plus courageux mais sa défection fit qu'Aaron en hérita plus tôt que prévu. Cela lui fit plaisir. C'était une petite revanche sur la lâcheté de cet homme. Comme il croyait dur comme fer que la baguette lui conférait un plus grand courage, il n'eut aucun mal à en devenir le maître légitime et il se sentit plus apte à vaincre ses peurs et fit d'énormes progrès de ce côté là. Il devenait plus rationnel, plus sage, même s'il n'avait toujours que très peu d'amis au sein de l'école.
En quatrième année, il rencontra celle qui resterait sa meilleure amie même une fois sortis de Poudlard. Leur rencontre fut pitoyable puisqu'elle le fit pleurer à le fustiger alors qu'il avait voulu l'aider par pure gentillesse, mais leur amitié dura et dure encore à l'heure actuelle. Cette fille d'un an sa cadette l'aida à se construire en tant que sorcier mais aussi en tant qu'homme. En bouleversant ses habitudes, en l'obligeant à être créatif et débrouillard, ainsi qu'en le poussant dans ses retranchements lorsqu'elle l'emmenait dans des endroits parfois dangereux, elle l'aida à grandir et à s'affranchir toujours plus de ses frayeurs. Elle croyait peut-être plus en lui que sa grand-mère. Sans Cleo, peut-être auraitèil finalement abandonné...
L'année suivante, alors qu'Aaron prenait encore plus conscience de la dangerosité du métier auquel il se destinait pour lui comme pour les autres, son aïeule, legimens, lui apprit l'occlumencie. Il fallut à Aaron une longue année de travail acharné pour commencer à maîtriser cette difficile discipline, et deux autres pour en obtenir la maîtrise totale et parfaite. C'est cette maîtrise couplée à d'excellentes notes qui permirent à Aaron de se présenter comme auror avec une confiance plutôt bonne. Il montra rapidement que, malgré ses inquiétudes et son extrême prudence, il était tout à fait capable d'exercer cette profession. D'ailleurs, son obsession pour la sécurité lui serait sans aucun doute très utile par les temps qui courent.
Aaron a parfaitement conscience de ce qui se joue actuellement dans le monde sorcier. Et il lutte de tout son coeur contre toutes ces mauvaises choses qui menacent sorciers et moldus pour protéger ceux qu'il aime mais aussi ceux qui ne peuvent pas se protéger eux-mêmes. Depuis quelques mois, il a intégré l'Ordre du Phénix afin d'être plus près encore de l'action. Il n'a pas eu de mal à convaincre qui que ce soit qu'il pouvait parfaitement intégrer ce groupe secret. Son honnêteté, sa bonté et ses capacités parlaient pour lui. Il est utile à l'Ordre tout comme l'Ordre lui est utile. Le ministère ne sait pas tout, ou alors il ne dit pas tout. L'Ordre a l'avantage d'avoir ses propres sources, ce qui permet une plus grande efficacité. Aaron veut être sûr de faire tout ce qui est en son pouvoir. Bien sûr, il est terrifié intérieurement à l'idée de perdre la vie ou de perdre ceux qu'il aime et ceux qu'il protège, mais il n'en montre rien. Il se contente de donner le meilleur de lui-même pour fournir le meilleur travail possible. Il ne recule pas devant le danger, à l'instar de sa tête brûlée de meilleure amie qui n'a pas hésité à recueillir des sorciers lors de l'attaque du marché par les mangemorts avant de l'appeler à la rescousse.
Non, Aaron Ethan Peterson ne paye pas de mine, avec son air chétif un peu naïf et simple. Mais il a vraiment sa place parmi les aurors.
Dernière édition par Aaron E. Peterson le Mer 22 Juil - 23:28, édité 7 fois