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 Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen

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Message Sujet: Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen   Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen Icon_minitimeMer 3 Sep - 15:56


Une passion ça ne se discute pas, ça se vit
Lumen & Olivier
De l'excitation. Oui, de l'excitation. C'était le mot qui pouvait le mieux décrire l'état d'Olivier en se levant ce matin, il était rayonnant, affichait un sourire à toute épreuve, il était complètement en forme, et rien n'allait pouvoir lui gâcher cette belle journée qui s'annonçait. Pas même le temps maussade et grisâtre qu'il faisait à l'extérieur. Oui il était heureux, il était heureux parce qu'il pensait à l’entraînement de Quidditch qu'il aurait en fin d'après-midi, il avait tellement hâte! Il faut dire qu'il avait tellement peur de ne pas être prit dans l'équipe, il avait eu vraiment peur d'échouer et de ne pas pouvoir participer aux matchs de Gryffondor. Il voulait vivre sa passion pour ce sport plus que tout au monde, et c'est ce qui l'avait finalement décidé à candidater pour le poste d’Attrapeur. Il se rappelait de tout ses doutes inutiles, car oui il le savait, il stressait pour un rien, il doutait souvent, il avait avait toujours peur d'échouer et tout ça était totalement inutile. Pourquoi fallait-il toujours qu'il doute de lui? Il se le demandait bien...et quelques-fois détestait cette partie de lui. Enfin, en tout cas, il avait mit ses doutes de côté, pour le Quidditch. Et il avait bien fait, parce qu'au final il avait été prit. Comme quoi, quelques-fois les décisions que l'on prenait pouvaient nous apporter de bonnes choses. Qu'en aurait-il été si il avait écouté ses doutes, si il c'était dit qu'il n'avait pas sa place dans cette équipe et qu'il valait mieux lui éviter une occasion de se ridiculiser? Et bien il n'aurait pas été prit vu qu'il n'aurait pas postulé pour le poste. C'était aussi simple que ça. Olivier était vraiment content d'avoir prit la bonne décision, d'avoir osé essayer, parce que maintenant il allait vraiment pouvoir se donner au maximum pour sa passion et pour son équipe. Il allait aussi pouvoir oublier tout ses soucis pendant les entraînements et les matchs, les doutes qu'il avait en lui s'estompaient à la seconde où il montait sur son balais volant, comme...par magie. C'était un peu comme si le Quidditch était le remède à son manque de confiance en lui, bien étrange n'es-ce pas? Quand il jouait, il se sentait vraiment lui même, il avait l'impression de voler, d'être dans un autre monde, il allait bien et rien ne pouvait l'atteindre. Oui, c'était tout ça qu'il ressentait, il était ailleurs et se sentait dans son élément.

Bref, facile de comprendre que pendant toute la journée il n'attendait qu'un seul moment, le moment où sonnerait l'heure de l'entraînement, sauf que bien évidemment à chaque fois que l'on est vraiment pressé de faire quelque chose, on à la drôle d'impression que le temps passe extrêmement longuement. En même temps, si Olivier n'avait pas cessé de regarder l'heure toutes les 10 minutes, peut-être que le temps serait passé plus vite, qui sait. Il ne pensait qu'à ça, ne parlait que de ça, et donnait l'impression de sautiller de joie à chaque fois que quelqu'un venait lui en parler. Ça pouvait prêter à sourire d'ailleurs, parce que sincèrement à lui tout seul il devait bien contenir toute la joie du monde. En tout cas c'était l'impression qu'il avait, il lui semblait à chaque fois qu'il avait mangé une boule d'énergie ou quelque chose du genre, quelque chose en tout cas qui le rendait en forme. Tic, tac, tic, tac...les secondes avançaient...tic, tac, tic, tac...les minutes passaient...c'était long, tellement long...tic, tac, tic, tac...les heures défilaient...tic, tac, tic, tac...la journée avait enfin fini par s'écouler! Au moment où approchait l'heure de l'entraînement, Olivier c'était hâté de passer au dortoir pour vérifier que toutes ses affaires étaient bien là. Et au moment de traverser le château, de descendre les escaliers, il avait sans doute du battre un record tant il allait vite. Quant au moment de traverser le parc...et bien disons qu'il y était allé en courant, il voulait arriver le plus vite possible au Stade et surtout commencer dès que possible à s'entraîner. Il voulait que son équipe gagne la Coupe, il voulait qu'elle donne à tout Gryffondor de belles victoires, il le fallait, et pour lui il ne devrait pas en être autrement. Déjà, rien qu'en y pensant, il sentait une confiance toute particulière monter en lui. C'était bien l'une des rares choses, si ce n'était la seule, pour laquelle il ne doutait pas. Il ne doutait pas parce qu'il voulait que son équipe gagne, il voulait montrer ce dont il était capable, il voulait que sa famille puisse être fière de lui, mais surtout et c'était le plus important pour lui, il voulait ressentir des choses. Il voulait que toute son âme, tout son corps, sente le bien-être que lui procurait le fait de voler sur un balais, de foncer vers le vif d'or, Saint-Graal des joueurs de Quidditch. Il voulait pouvoir s'envoler, se donner à fond, toucher les nuages, sentir toute cette excitation à l'état pur, cette adrénaline qui lui donnait tant d'envie. Pour ça il fallait s'entraîner, quoi de plus normal, il fallait s'entraîner à fond, donner toutes ses tripes pour que lors des futurs matchs l'équipe de Gryffondor l'emporte et puisse se réjouir dans la victoire. Perdre? Hors de question pour Olivier qui était extrêmement déterminé, il refusait même cette idée, il leur fallait gagner, ni plus ni moins. Alors certes, ça serait peut-être compliqué, car il savait que toutes les autres équipes avaient elles aussi d'excellents joueurs, il savait qu'il ne fallait pas les sous-estimer mais les affronter avec respect, mais il voulait gagner. Dira-t-on que le plus important c'est de participer, certes, en temps normal peut-être qu'Olivier serait parti dans cette optique, mais pour lui même il était hors de question de rester sur ça. Il espérait que son équipe allait enchaîner les victoires, après bon, il est sûr qu'il préférait de loin faire un bon match...mais il avait un but, un objectif qu'il entendait réaliser et qui ne pouvait que le tirer vers le haut et le motiver à un tel point que sa motivation serait bien capable de déteindre sur les autres. Ses adversaires lui diront qu'il rêvait, et que Gryffondor ne gagnerait pas, seulement lui leur rétorquerai à cet instant, sue lui même rêvait d'intégrer l'équipe de Quidditch de sa maison, et que son rêve c'était réalisé. De quoi bien remettre à leur place les plus vantards et sournois des démotivateurs. Personne, personne, ne pourrait arriver à briser sa confiance ici, personne.

Lorsqu'il était arrivé au stade, bien évidemment il fila aux vestiaires pour se changer et se mettre en tenue pour l'entraînement, après cela il était concentré. L'euphorie bien sûr était toujours là, mais il était concentré – utiliser un tel mot pour lui relevait du miracle et il n'y avait bien que le Quidditch pour réussir à le concentrer à ce point. Il allait faire tout pour montrer qu'il méritait sa place dans l'équipe, il était hors de question pour lui que l'on croit que si on l'avait prit c'était sur un coup de chance. Totalement hors de question. Lors de l'entraînement il retrouvait donc ses coéquipiers, mais aussi Lumen, sa meilleure amie, une meilleure amie qu'il connaissait depuis ses premiers pas à Poudlard...depuis bien avant en fait puisqu'il s'étaient rencontrés dans le Poudlard Express. Il ne l'avait pas beaucoup vu de la journée aussi surprenant que ça puisse l'être, parce qu'ils étaient souvent ensemble normalement. Mais en tout cas il était bien content de l'avoir pour coéquipière, après tout pour qu'une équipe marche il fallait que les joueurs soient complices entre eux et s'entendent bien! Aucun soucis sur l'entente, mais avoir sa meilleure amie près de soit sur le terrain, lors d'un match, c'était vraiment un plus. Oh oui, ça l'était, Olivier n'en était que plus content, et puis en plus ils pouvaient partager leur passion ensemble, c'était vraiment super! Olivier s'éclatait vraiment sur le terrain, et juste avant que l'entraînement ne commence il glissa à Lumen un petit mot tout en souriant.

"On s’attend après l'entraînement?"

Après avoir obtenu une réponse positive de la part de son amie, il se recentra sur les mots du capitaine qui leur avait préparé un entraînement assez particulier et il faut le dire, une fois terminé,  vraiment éprouvant – ben oui, il faut bien se fatiguer un peu pour pouvoir ensuite être capable de donner le meilleur de soi-même –  mais au moins les résultats étaient vraiment positifs et tout c'était bien passé. Olivier était d'ailleurs très content de voir que tout le monde dans l'équipe se donnait à fond, c'était vraiment génial d'être avec des gens qui partageaient la même passion et la même envie de donner à leur maison de quoi être fier de son équipe. Ça le motivait d'avantage, et ça lui donnait vraiment envie de continuer à se défoncer pour eux, parce que dans une équipe, c'est le collectif qui prime, et chacun à envie que les autres membres de l'équipe puissent être fiers les uns des autres. Oui, il s'agissait de pouvoir tous être unis. Une fois, terminé, c'est un Olivier quand même fatigué parce que toute son énergie y était passé – et puis il se faisait tard aussi – qui parti rejoindre Lumen.

"Alors Lumen, on c'est pas beaucoup vus aujourd'hui hein? En tout cas je sens que je vais bien dormir moi tout à l'heure."

     
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Message Sujet: Re: Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen   Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen Icon_minitimeJeu 4 Sep - 2:34





Olivier & Lumen
Une passion ça ne se discute pas, ça se vit

Sur un terrain de quidditch, Lumen se sentait libre et le moins que l'on pouvait dire était qu'elle adorait ce sport, tellement qu'elle en pratiquait et avait rejoint l'équipe de sa maison en tant que poursuiveuse. C'est d'ailleurs pourquoi elle était l'entrainement de quidditch des gryffondors ce jour-là.  Et d'ailleurs, elle avait même prévu de passer l'après entrainement avec son meilleur ami Olivier. Elle le reconnaissait depuis quoi ? Quatre ans et demi ? Et ils étaient toujours fourrés ensemble, du moins de ce qu'en disaient les gens. Il leur arrivait bien sûr de se séparer et d'ailleurs, ils ne s'étaient pas vus tant que ça de la journée finalement. Il fallait bien le reconnaître. Avant de monter sur leurs balais, il lui avait demandé de l'attendre à la fin de l'entrainement et bien sur elle n'avait guère hésité à lui dire oui. Passer du temps avec son meilleur ami était bien entendu un rituel pour elle et elle n'aimait pas vraiment passer en seconde dans ses préoccupations. Légèrement possessive ? Oui, ça elle le reconnaissait sans problème pour ne pas vous le cacher, mais il ne fallait pas chercher quelque chose d'ambiguë là-dedans, c'était une amitié des plus simples. Olivier venait tout simplement combler le vide que sa jumelle avait laissé avec le temps et Lumen le considérait clairement comme ce qu'elle pourrait appeler "le frère dont elle avait toujours rêvé." Et il ne valait mieux ne pas se mentir, Lumen et le reste de Macmillan n'étaient pas vraiment en de bons termes, même avec sa petite soeur, c'était une véritable catastrophe. Alors Lumen se construisait une deuxième famille et famille en question, elle l'avait trouvé en la personne d'Olivier, simplement, il ne fallait pas chercher plus loin. L'entrainement ne fut pas particulièrement difficile, assez long certes, mais par chance, Lumen ne voyait pas le temps passer. Dés qu'elle était sur son balai, de toute façon, elle ne faisait plus attention aux heures qui s'écoulaient. Un entrainement particulier avait dit le capitaine. Finalement l'objectif restait le même, mais Lumen ne fit pas sa capricieuse et donna le meilleur d'elle-même, un peu comme à chaque fois d'ailleurs.  

A la fin de l'entrainement, Lumen fit quelques pas en direction de la sortie, mais s'arrêta en se souvenant qu'elle avait promis à Olivier qu'elle l'attendrait. En plus, elle savait qu'il ne lui pardonnerait pas dans le cas où elle partirait. Elle profita de l'atteinte pour tirer ses cheveux en arrière et faire une sorte de chignon bien désordonné. Elle plongea alors une main dans une de ses poches dans laquelle elle trouva quelques chocogrenouilles. Son ventre criant famine, elle en avala une et observa la carte. Elle roula des yeux : Merlin. Elle l'avait déjà en six ou sept exemplaires celle-là. Mais elle ne put exprimer davantage son exaspération quand la voix de son meilleur ami retentit à ses oreilles. C'est à l'entente de son prénom qu'elle réagit principalement. Relevant la tête, un sourire se dessina sur son visage et elle l'écouta prononcer ces quelques phrases. Elle fit alors un simple hochement de tête alors qu'elle attrapait son balai qu'elle avait posé à terre pour se recoiffer.  « En même temps, tu m'as un peu abandonné aujourd'hui, difficile de se voir dans ce cas-là. » Rit-elle. Bien sûr, ce n'était pas vraiment le cas, mais Lumen avait trouvé bon de dire quelque chose dans ce genre-là. Elle lui tendit une chocogrenouille dans l'espoir qu'il l'accepte. « Tiens, je te l'offre et malgré tout ce que pourra dire l'infirmière, le chocolat c'est toujours bon pour la santé. »  Apparemment cela dépendait beaucoup du chocolat. Il semblait que le chocolat noir apportait plus de bénéfices que le chocolat blanc. Mais qu'importe. Elle lui attrapa ensuite le bras de sa main libre comme elle avait tendance à le faire. « Et si je comprends bien, je ne peux même pas te kidnapper ce soir, juste parce que tu préfères ton oreiller à moi ? C'est vraiment pas très gentil de ta part. » Puis elle éclata de nouveau de rire. L'idée de le kidnapper était ridicule. Du haut de son 1 mètre 68, elle ne pouvait pas battre un garçon comme Olivier. « Force est de constater que tes instincts de marmotte reviennent à la surface, je me vengerais. Par chance, j'ai déjà un plan. Je viendrais jouer les réveils à 5 heures du matin, tu verras. Et tu t'en rappelleras toute ta vie. Et surtout, tu te souviendras que je t'ai appelé Napoléon, mais tu auras été incapable de me tuer comme tu le menaces si souvent.   » Elle marqua une pause, essayant de ne pas rire une nouvelle fois tellement son discours était décousu et idiot. Se venger, en voilà une chose qu'elle détestait et ne supportait pas. Mais dans ce cas-là, c'était une petite vengeance toute sympathique, qui promettait des éclats de rire. « Mais ne me regarde pas comme ça, tu sais aussi bien que moi que je suis capable de telle cruauté. »  Ajouta t-elle en arquant un sourcil.

Non plus sérieusement, il fallait qu'elle passe à autre chose, sinon, elle allait finir sa soirée à rire bêtement toute seule. Mais elle ressentait toujours le besoin de dire des bêtises et de faire le pitre. Elle porta son attention sur le château. Les lumières s'allumaient déjà tandis que la nuit tombait à peine. Il devait être à peu près 17 heures et par chance Lumen voyait encore clair. Il ne neigeait pas et sur le sol, il y avait seulement une fine pellicule de neige, même le lac était encore gelé, rien de surprenant avec des températures aussi basses. « Alors racontes moi ce que tu as fait ce matin et surtout parle moi de ce qu'il y a de beau dans ta vie en ce moment. Et ne me parle pas de quidditch, il suffit de voir comment tu regardes le vif d'or quand tu l'attrapes pour comprendre qu'il s'agit de ta plus grande passion. D'ailleurs, je pense que nous avons de grandes chances de gagner la coupe de quidditch cette année, tu ne penses pas ?  » Elle parlait vraiment beaucoup, mais cela faisait son charme, que voulez-vous ? Elle choisit alors de se taire dans l'attente d'une réponse, enfin de plusieurs réponses aux vues des longues phrases qu'elle avait déblatéré jusqu'à maintenant.  


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Message Sujet: Re: Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen   Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen Icon_minitimeJeu 4 Sep - 18:54


Une passion ça ne se discute pas, ça se vit
Lumen & Olivier

Il arrivait quelques-fois qu'Olivier se demande ce que ça aurait été si il était resté en France, non pas qu'il ne se plaise pas à Poudlard bien au contraire, il s'y sentait vraiment comme chez lui. Mais, ça faisait parti des quelques questions sans réponse que parfois les gens pouvaient se poser sans véritable raison. Qu'es-ce qui se serait passé si...comment ça aurait été si...qu'es-ce que ça aurait donné si...bref, des questions inutiles qui polluaient l'esprit de presque tout le monde, on peut même dire de tout le monde vu qu'Olivier serait surpris de trouver quelqu'un qui au moins une fois dans sa vie aurait pensé à l'éventualité de sa vie dans tel ou tel cas. En tout cas, il ne regrettait pas le moins du monde d'avoir été envoyé à Poudlard, il y avait déjà passé quatre ans et demi de pur bonheur, et y avait rencontré des personnes toutes aussi différentes les unes que les autres, dont certaines avec qui il c'était lié d'amitié et crée des liens vraiment forts. Étudier à Poudlard si ça avait son lot de contraintes – et oui les cours – c'était vraiment une chance exceptionnelle, et puis en plus il pouvait désormais y mêler sa passion pour le Quidditch, ça ne pouvait que continuer à bien se passer. C'est quand même vrai qu'il était difficile pour Olivier qui est issu de deux cultures totalement différentes, française et anglaise, de ne pas se demander comment ça aurait été à Beauxbâtons, d'autant plus que ses origines sorcières sont elles françaises et pas anglaises. Il avait d'ailleurs tous ses cousins et ses cousines qui y étaient - pour ceux qui étaient en âge d'y rentrer - et à chaque fois qu'il les revoyait lors de vacances, et bien eux ne cessaient de parler de ce qu'ils faisaient. Quelques-fois il se sentait un peu à part, ne pouvant pas parler des mêmes choses qu'eux, mais il s'y intéressait, il essayait de s'immiscer dans les discussions, et à son tour il leur racontait comment c'était Poudlard. Mais, bon il n'y avait pas que ça qui le mettait mal-à-l'aise...certes, il pensait que le sang n'avait aucune valeur...mais Olivier était quand même le premier sang-mêlé - à priori - chez les Leblanc...et même si avec ses cousins et cousines il avait de super relations, il n'avait pas forcément les même manière de penser...parfois en raison de son éducation - bah oui l'éducation se fait par les deux parents - il pouvait réagir un peu à la manière moldue. Oui bon, il se faisait sans doute des idées tout seul, et en fait c'était idiot de croire qu'il sentait une différence. Enfin, bon ce n'était pas grave. Parce qu'en tout cas, ce qui était sûr c'est que lorsqu'il avait annoncé à ces derniers qu'il avait été prit comme Attrapeur dans l'équipe de Quidditch de Gyffondor à Poudlard, ils n'en avaient été qu'admiratifs et content pour lui. Oui donc Olivier s'inquiétait pour rien...ça changeait pas de l'ordinaire d'ailleurs.

En tout cas, il avait trouvé en Lumen une véritable amie, et autant vous dire que l'amitié pour Olivier ça ne passait pas à la légère, il pouvait tout à fait apprécier quelqu'un sans le considérer comme étant son ami...il y avait plein de choses qui faisaient qu'il pouvait considérer quelqu'un comme étant son ami, oh oui, ça devait être une relation très particulière. Il n'avait d'ailleurs en soi pas tellement d'amis que ça, mais il savait qu'il pouvait leur faire confiance et compter sur eux pour tout et n'importe quoi. Pour lui un ami c'était ça, quelqu'un avec qui en plus de bien s'entendre était capable d'être là pour l'autre, on pouvait compter sur lui quoi. Après bon, il faut dire qu'Olivier ne faisait pas de sélection à proprement parler, ça arrivait comme ça, et tant mieux. Lumen était elle sa meilleure amie, alors imaginez un peu à quel point elle comptait pour lui, elle était importante et il aimait vraiment beaucoup passer du temps avec elle. En même temps c'était drôle quelques-fois comme la vie était surprenante...il se sont rencontré dans l'un des multiples wagons du Poudlard Express et ils s'étaient mit au même endroit, qui aurait cru qu'ensuite ils seraient devenus meilleurs amis hein? Quelques-fois les coïncidences ne se comprenaient pas, et il ne valait mieux pas chercher à les comprendre d'ailleurs. L'amitié c'était l'une des choses les plus importantes pour Olivier, il ne prenait pas ça à la légère. En tout cas il était bien content de pouvoir aller discuter un peu et passer un peu de temps avec Lumen, c'est vrai qu'à force de passer pas mal de temps ensemble ça pouvait lui manquer de ne pas la voir de la journée. Lumen semblait visiblement d'humeur blagueuse puisqu'il venait lui dire qu'il l'avait un peu abandonné aujourd'hui avant de rire, Olivier sourit à cela et décida de suivre sur le chemin de la plaisanterie.

"Oh ben excuse moi d'essayer de prendre des cours de cuisine et de jardinage."

Olivier faisait bien sûr allusion à ses talents particuliers pour les potions et la botanique, les deux matières où il fallait le dire il était une vraie catastrophe ambulante et avec lesquelles il ne s'entendait pas particulièrement compte tenu de ses résultats. Oh oui, ces deux matières là, il n'y arrivait vraiment pas, et pourtant il essayait d'en faire des efforts! Mais non, il n'y arrivait pas. Lumen lui tandis une chocogrenouille, autant dire qu'il saliva aussitôt intérieurement parce que lui et les confiserie ça faisait vraiment deux, il tombait dedans, et en avait généralement toujours sur lui parce qu'il aimait se gaver de confiseries. N'allez pas chercher comment ça se fait qu'il n'est pas devenu énorme à force, il ne prend étrangement pas de poids - d'ailleurs faut en profiter tant que ça dure hein - ce que beaucoup de gens ne manquent pas de lui faire remarquer par envie. Et oui, il avait un poids tout à fait normal pour sa taille et son âge alors qu'il se gavait de confiseries. En tout cas c'est visiblement ravi qu'il accepta le cadeau de Lumen en lui glissant un petit "merci" au passage. Oui bon, Olivier étant encore un peu comme un gamin devant des confiseries? Et alors? Chacun à ses petits plaisirs hein! Et lui ne vient pas faire des remarques dessus. De toute manière il ne s'en cachait pas, alors. Bref. Il continua d'écouter Lumen et rit avec elle, ben oui, son sommeil en même temps c'était sacré, et puis après un bon entraînement il fallait bien dormir pour pouvoir être en forme pour le lendemain.

"Tu sais bien que rien ne m'attire plus que le monde des rêves, faut pas toucher à mon sommeil ou sinon je suis grognon. Et puis on dirait pas comme ça, mais je peux être paresseux quand je veux."

Un peu d'auto-dérision ne faisait pas de mal, et puis à quoi bon nier la vérité? Olivier rêvassait un peu trop et était bien souvent distrait, alors hein, autant pouvoir en rire aussi. Lumen continuait de parler et lui dit qu'elle viendrait se venger, il manqua alors de s’étouffer de rire, du moins jusqu'à ce qu'elle ne l'appelle Napoléon. Aaaah! Mais il détestait cet horrible prénom insupportable qui l'énervait comme rien ne pouvait l'énerver!!! Pourquoi fallait-il que ses parents lui ait donné ce prénom comme premier prénom! En deuxième prénom personne ne l'aurait embêté!!

"Ah non mais tu n'as pas intérêt à venir me réveiller à 5h du mat! Et puis de toute façon si tu réveille tout le dortoir j'en connais qui te tueront à ma place...

et...ne m'appelle pas Napoléon!"
dit-il en grimaçant cette fois-ci.

Il n'était pas du tout fâché, non, non pas du tout, enfin sauf pour le "Napoléon" mais ça c'était pas de la faute de Lumen puisqu'en fait il s'énervait contre son prénom...fort heureusement, depuis le temps elle savait qu'il s'énervait contre lui même et son prénom idiot. De toute façon il savait parfaitement qu'elle plaisantait pour la vengeance, vu que de toute manière il n'y avait pas matière à vengeance non plus. Alors retrouvant son sourire habituel - parce que l’appeler Napoléon le faisait si tôt disparaître - il lui répondit 'un air moqueur.

"Toi cruelle? Tu me fais la blague de l'année là!"et il éclata de rire.

Qu'es-ce que Lumen avait le don de le faire rire, Olivier ne pourrait pas passer une journée sans l'entendre sortir l'une de ses blagues, ça lui manquerait trop à force! Il la vit alors regarder le château au loin, et remarqua que la nuit menaçait de tomber, normal à cette période de l'année. La nuit arrivait tôt, il faisait froid, vive l'hiver, il fallait sortir habillé en pingouin, Olivier n'aimait cette période de l'année que pour la neige, parce que se trimbaler avec des couches de vêtements lui donnait l'impression de porter au moins 20kg en plus, oui bon c'est un peu exagéré, mais c'est pour l'image. Elle lui demanda ensuite de lui raconter sa journée et de ne pas parler de Quidditch, et là il dit en plaisantant.

"Je ne vois absolument pas de quoi tu parles..." il ria alors.

C'était vrai que lorsqu'il attrapait la petite balle volante en or, il exprimait visuellement toute sa joie intérieure...et quand il était content et ben il était content et ça se voyait et s'entendait surtout.

"Ma journée? Ben à part avoir failli me faire bouffer par une salade sur patte, ce n'était pas très excitant. Faut dire que j'attendais l'entraînement depuis le réveil..."

La salade sur patte était en fait une plante carnivore, ou quelque chose de ce genre, et il avait bien eu la trouille de sa vie quand il l'avait vu refermer sa mâchoire à quelques centimètres de ses doigts. Oui, il avait voulu trouver un moyen d'être meilleur en botanique...et ben c'était pas encore gagné et ça durait bien 4 ans et demis justement...ce n'est pas grave il n'abandonnerait pas comme ça.

"Et un peu qu'on va la gagner cette coupe! On va tout rafler tu va voir!"

Oui, pour lui il n'y avait aucun doute, et il pourrait encore en rajouter d'avantage si il n'avait pas envie à son tour de savoir ce que Lumen avait fait de sa journée.

Et toi alors? Tu ne me dis pas ce que tu as fait aujourd'hui? C'est un secret d'état?et il lui fit un petit sourire comme si il voulait l'embêter un peu à son tour.

     
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Message Sujet: Re: Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen   Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen Icon_minitimeJeu 11 Sep - 15:06





Olivier & Lumen
Une passion ça ne se discute pas, ça se vit

L'entrainement de quidditch terminé, Lumen fit quelques pas vers la sortie pour patienter. Elle attendait seulement que son meilleur ami vienne la rejoindre comme prévu. Et elle n'appréciait pas vraiment de rester plantée à un même endroit plus de deux minutes. Il la rattrapa et prit la parole aussitôt. Elle sourit doucement, tout en méditant sur cette affirmation. En effet, l'occasion de lui parler s'offrait seulement à ce moment. Ainsi, elle choisit de se montrer taquine et de lui reprocher d'un abandon inexistant. Alors qu'elle riait bêtement, elle lui tendit une chocogrenouille tandis qu'il répondait à son accusation. Elle arqua un sourcil et fit une grimace. Elle comprit plus ou moins l'image. Des cours de cuisines collaient apparemment aux potions et de jardinage, inutile d'être Merlin pour saisir ceci, il parlait de botanique. Comment lui reprocher de tenter l'impossible pour obtenir de meilleurs résultats ? De plus, elle partageait les mêmes difficultés que lui dans ces deux domaines, un point de plus en commun. Ils s'en sortaient et avaient des bilans catastrophiques dans le mêmes cours.  « Bon, ça va, je te pardonne, mais seulement parce que tu es toi.  » Maladroitement, elle lui disait qu'elle tenait beaucoup à lui, mais Lumen n'était pas une experte dans l'art de l'expression de ses sentiments. De toute façon, il n'avait pas besoin de l'entendre pour le savoir si ? Elle faillit se moquer quand il eut une réaction de petit garçon devant cette chocogrenouille. Elle trouvait cette attitude si touchante qu'elle ne la dérangeait pas plus que ça au final. Elle fit un haussement d'épaules, tout en souriant, trouvant ce présent tout à fait normal. Elle pensait qu'il s'agissait d'une certaine logique quand on savait qu'elle le considérait comme le frère dont elle avait  rêvé enfant. Autant dire que Caleb, celui dont elle partageait le sang, portait très mal les vêtements de ce que Lumen aurait voulu qu'il soit. A dire vrai, on ne pouvait même pas dire qu'il endossait mal son rôle, il n'était même pas ce qu'on pourrait appeler un frère. Les relations qu'elle entretenait avec lui étaient quasi nulles. Et elle s'en portait très bien, du moins c'est ce qu'elle laissait croire.

Elle se mordit la langue tout en l'écoutant terminer sa réplique. Lui paresseux ? Elle n'y aurait jamais cru, voyons. « Toi fainéant ? Comment est-ce possible ? Jamais, je n'y aurais pensé. » Et elle rit de bon cœur. Elle le savait rêveur, parfois un peu à l'ouest, perdu dans ses songes, mais elle ne lui en voudrait pas d'être ainsi, jamais. Elle s'aventura dans l'idée de se venger. Quelle drôle de mascarade. Oserait-elle seulement se glisser dans le dortoir des garçons dans l'unique but de réveiller son ami ? Surtout à cinq heures du matin. De toute façon, elle ne se pensait pas capable de se lever elle-même à une heure aussi matinale. « Oh non, ils n'oseraient pas.   » Dit-elle comme si elle était sur d'elle pour le coup. Elle resta quelques secondes muettes, se débattant contre elle-même pour ne pas s'esclaffer tellement la situation lui paraissait aussi ridicule. La manière dont il avait de lui dire de ne pas l'appeler Napoléon l'avait toujours fait sourire. Et elle le taquinait souvent sur le sujet. « Arrête, c'est joli comme prénom... disons que c'est original, insolite, curieux... historique. »  Elle essayait de trouver tous les qualificatifs possibles pour faire passer l'idée que ça pouvait être joli. D'accord, d'ordinaire, elle aurait vu ce prénom pour un chat, ça sonnait tellement mieux, mais on ne pouvait pas se battre contre ses racines longtemps. Et ce n'était pas si terrible si ? C'est pas comme si on l'avait affublé d'un prénom comme Ulysse ou Argos, un nom mythologique, mais trop connu, dont on se serait moqué tout autant. « Non, non, c'est pas une blague, je sais montrer les crocs, être d'une cruauté sans nom, tellement que tu en seras traumatisé. Tu n'as juste pas eu l'idiotie de t'attirer mes foudres, c'est tout. » Elle n'était pas d'un naturel méchant, mais savait très bien se montrer dure en toute circonstance. Comme elle le disait, il ne fallait pas la chercher.  Finalement, ils changèrent de sujet et passèrent à ce qu'ils avaient fait de leur journée. Pour sa part, sa journée n'était pas des plus passionnantes à raconter. Elle haussa un sourcil quand il lui répliqua "je ne vois pas de quoi tu parles." Devait-elle rire ou pleurer ? Elle préféra ni l'un ni l'autre et continua à l'écouter.  « Oh.  » Simple réaction à la formulation 'salade sur pattes'. Dans sa tête se dessinait quelque chose de peu effrayant et même de mignon. Gagner la coupe de quidditch était une optique qui lui plaisait bien. Et il fallait reconnaître que gryffondor en avait bien besoin. Leur but premier n'était pas d'obtenir la coupe des quatre maisons, mais s'ils pouvaient l'avoir ainsi que celle de quidditch, ils en seraient plus que ravis. Savoir qu'ils battaient les serpentard (leurs ennemis de toujours) deux fois dans une même année leur faisaient toujours plaisirs, même s'il leur arrivait de le nier. Puis il lui retourna sa question. Un secret d'état ? Peut être bien ? « J'avoue que ça aurait été dommage que tu te fasses manger par une plante, mais tu en es sorti indemne de cette aventure, bravo.  » Il ne s'agissait pas d'un sarcasme, enfin pas en premier lieu, mais elle se moquait gentiment de lui. « Un secret d'état ? Je ne vois pas d'aurors qui me protègent pourtant. »  Dit-elle en faisant semblant de les chercher. Elle se passa brièvement une main dans ses cheveux et choisit donc de lui répondre. « Oh bah rien de particulier non plus. J'ai passé ma journée à écouter les filles de mon dortoir parler bigoudis et ongles. Ca va cinq minutes et au bout d'un moment c'est très chiant. Admets que t'en aurais assez si je venais à ne parler plus que des potins et les nouveautés de sorcières hebdo.  »  De toute façon, elle ne s'imaginait pas parler de cela à longueur de journées, elle avait bien d'autres préoccupations, comme le quidditch. Ça ne la dérangeait pas de faire des choses qui paraissent superficielles, mais elle aimait le fait de passer à autre chose quand même. « Heureusement qu'il y a l'entrainement aujourd'hui, sinon, je n'aurais pas survécut à cette journée de bavardages.  » Ajouta t-elle en haussant légèrement les épaules.


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Message Sujet: Re: Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen   Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen Icon_minitimeVen 12 Sep - 19:14


Une passion ça ne se discute pas, ça se vit
Lumen & Olivier

Olivier appréciait vraiment les moments passés avec sa meilleure amie, ils s'entendaient tellement bien, lorsqu'il était avec elle plus rien d'autre ne comptait pour lui, il souhaitait simplement parler avec elle de tout et n'importe quoi, elle était son petit rayon de soleil journalier. Lumen, il la considérait aussi un peu comme une sœur, elle avait de l'importance pour lui, et à vrai dire si elle n'était pas là, sans doute que beaucoup de moments passés seraient ennuyants. A peine engagée, la conversation était déjà parti sur le trait de l'humour, ce qui avait le don de bien amuser Olivier d'ailleurs. En même temps, c'était souvent comme ça, ils étaient là à se taquiner, à rire ensemble. Rien que le fait de passer du temps avec elle, ça illuminait la journée, et en même temps les études sans les amis pour Olivier, ça serait franchement désespérant. Parce que oui, rester tout seul dans un coin - tant bien même que les cours soient passionnant - pour lui c'était tout bonnement et tout simplement impossible. C'est vrai qu'il y pensait quelques fois...qu'es-ce que donneraient les études à Poudlard sans ses amis? Rien que d'y penser ça lui faisait froid dans le dos, non pas que Poudlard, c'était pas génial, bien au contraire, c'était vraiment une super école, mais en fait...les amis c'était un peu ce qui lui donnaient du sourire. Toujours là à rire avec eux, c'était de loin ce qui permettait de tenir tous ces mois loin de chez lui, loin de sa famille. Et oui, que ferait-on sans des amis? D'ailleurs Olivier en était sûr, même sa passion pour le Quidditch ne le sauverait pas de l'ennui si il avait du être un loup solitaire. Cette pensée lui fit froid dans le dos, et comme bien évidemment il aimait bien chercher les "et si" ça n'était guère surprenant...et guère inhabituel. En tout cas Lumen après avoir cherché à le faire culpabiliser, même si ça n'était pas sérieux hein, et ça Olivier le savait pertinemment - heureusement qu'il n'était pas du même genre que ceux qui prenaient tout au premier degré, même si en fait si il l'avait prit au premier degré, il ne se serait rien passé - ce qui le faisait bien sûr rire. Non parce qu'avec le temps, il la connaissait bien Lumen, et ce n'était pas avec lui que ses talents - ou pas ça dépend du point de vue - de comédienne allaient marcher. Et bien, Lumen, laissa une petite faille entrouverte à Olivier pour répliquer...ah oui, lui aussi il allait sortir quelque chose...dur dur de résister après qu'elle lui eu dit qu'elle le pardonnait parce que c'était lui.

"Je suis un privilégié à ce que je vois. Merci votre majesté de votre divin pardon si rarissime."

Bien évidemment puisqu'il était sur le ton de la moquerie, ça s'accompagnait d'une petite courbette comme le faisaient tous ces gens qui cherchaient les bonnes grâce d'un Roi ou d'une Reine dans le temps...ou même d'une personne un peu importante. D'ailleurs Olivier avait toujours trouvé ça surprenant...quelle idiotie de s'écraser devant quelqu'un sous prétexte qu'il avait un peu de pouvoir.  En même temps, si il trouvait ça intéressant, lui et le protocole ça n'avait jamais fait deux, même si il faut dire que son père l'a très bien éduqué à la manière familiale ancestrale. Oui, parce que si les Leblanc ne sont plus aujourd'hui ce qu'ils étaient autrefois - par choix d'ailleurs - ils tâchaient de toujours montrer aux autres familles qu'ils restaient nobles et dignes. Tout un chichi pour lequel Olivier éprouvait un certain dégoût parce qu'au final, les apparences ne l'intéressait guère lui, tout ce qu'il voulait connaître c'était la personne qui se trouvait en face de lui. Après tout, on pouvait avoir une bonne image sans être une bonne personne. Enfin bon,  en tout cas près son petit numéro, il ne put non plus s'empêcher de rire de sa bêtise. En même temps après cet entraînement - en fait après tous les moments où d'une manière où d'une autre il faisait du Quidditch - il était joyeux, plus que d'habitude, et c'était dire vu qu'il était rare de ne pas trouver Olivier en train de sourire ou de rire à une blague qu'on lui faisait ou que lui même faisait. Si jamais il ne trouvait pas sa voie pour après Poudlard, parce que pour le moment, il ne savait pas vraiment ce qu'il allait faire à la sortie de l'école des sorciers, et bien il pourrait toujours essayer de devenir joueur de Quidditch. Au moins, sa passion continuera, il pourra en vivre. Ceci dit, il voulait plus que ça, le Quidditch était certes une passion, mais il s'imaginait autre chose pour sa future vie...des voyages peut-être...cette drôle d'envie de voyager il devait la tenir de son bougeur de père...enfin...tant qu'il arrivait à fonder une famille, peut lui importait son futur travail en réalité...il ne voulait juste pas...rester seul. C'était peut-être aussi pour ça dans le fond qu'il accordait tant de valeur à l'amitié, parce qu'il n'aimait pas être seul...ça oui, on peut dire qu'Olivier n'avait rien d'un solitaire, être là sans personne à ses côtés, ça ne le rendait pas franchement enthousiaste.  

Lumen sembla rire au sujet de sa réflexion sur le sommeil, faignant même de ne pas y croire, oui bon Olivier avait un peu exagéré la chose, il était tout simplement attaché à ses heures de sommeil...et à son oreiller. Mais bon de toute manière il n'y avait pas de mal à ça hein! Ne rien faire, ça pouvait être bien parfois...ouais en fait non...ne rien faire tout court ça devait être ennuyant...mais comme techniquement Olivier lorsqu'il donnait l'impression de ne rien faire...lui partait dans un tout autre monde, et bien en fait il faisait quelque chose. Quoi? Ça n'a aucun sens? Bah pour lui si, ça en avait un, et puis même si quelques fois il aimerait être un peu plus attentif à ce qui l'entourait...au fond il aimait bien s'évader comme ça, par la simple force de l'esprit. Du coup puisqu'il était de bonne humeur et très enclin à plaisanter, il se décida à poursuivre sur la lignée.

"Ah non mais je t'assure!" il lui glissa un petit sourire en coin tout en se glissant derrière elle et en plaçant sa tête légèrement au-dessus de son épaule droite et à côté de son oreille avant de continuer.

"Je peux t'assurer que tu as encore bien des choses à apprendre sur moi." il retira alors aussi rapidement sa tête avant de se replacer en face de Lumen très amusé.

Lumen pensait qu'elle ne se ferait pas littéralement tuer sur place si elle réveillait tout le dortoir à 5h du matin? Ah mais elle ne les connaissait pas les garçons de 5ème année! De vrais feignants attachés pour la plupart à leurs heures de sommeil...les réveiller à 5h du matin c'était s'exposer à de graves représailles collectives...ah mais si, faut le croire.  

"Tu sais je peux t'assurer qu'il y en a qui seraient prêt à tuer si on leur enlevait leur 8-9h de sommeil quotidien. D'après ce qu'on dit le manque de sommeil peut changer un Homme."

Le manque de sommeil peut changer un Homme? Oui, il avait un peu inventé cette phrase, ceci dit c'était bien vrai, parce que sans sommeil réparateurs, vive l'afflux matinal de grognons en tout genre, grommelant au réveil qu'ils aimeraient bien dormir plus longtemps. Ils faisaient tous une belle bande de paresseux...ou presque dans le dortoir. En même temps, qui n'apprécie pas les grasses matinées? Ah ça oui, si les cours avaient lieu un peu plus tard, Olivier lui aimerait bien flemmarder un peu plus longtemps dans son lit, bien au chaud. Et si il pouvait poursuivre ses passionnantes aventures dans ses rêves un peu plus longtemps, ça ne pourrait être que génial. Mais bon, il fallait se lever tôt, pour manger tôt, pour aller en cours tôt, c'était comme ça et puis c'est tout.

Ah mais elle continuait à l'embêter avec son affreux prénom, qu'il trouvait juste complètement ringard pour son temps et totalement ridicule! Joli comme prénom? Tu parles, une vraie plaie!!! Ah mais quelle idée de l'avoir appelé comme ça! Non mais qu'es-ce qui était passé dans la tête à ses parents...enfin à son père surtout parce que vu que c'était un nom français ça ne pouvait venir que de lui!! Fichu prénom qui lui gâchait sa vie - bon il exagérait peut-être un peu - et qu'il ne pouvait supporter. C'était presque comme si ses oreilles lui faisait mal en l'entendant, tout de suite ça l'énervait et ça l'insupportait...fichu prénom!

"Non mais ne te fiche pas de moi je déteste ce maudit prénom infernal qui me donne envie d'aller me fracasser la tête à chaque fois que je l'entends! Non mais franchement mes parents auraient au moins pu me le passer en second prénom!! Mais non, fallait qu'ils me collent ce sobriquet en premier..."

Oui, Olivier qui entendait son premier prénom sortir de la bouche de quelqu'un ça donnait à peu près ça...il s'énervait presque tout seul sans vraie raison apparent pour maudire son prénom de toutes les tripes de son âme. Quelques-fois il ignorait ceux qui le prononçaient, quelques-fois il faisait mine d'être un peu vexé, d'autres il était totalement en train de piquer sa crise...bref, vous l'aurez comprit...il déteste son premier prénom Napoléon. En fait, il répétait presque toujours la même chose avec des mots variés, et sans aucun doute que ça devait être drôle à voir et à entendre...mais lui ça l'exaspérait tellement!

Oubliant cette histoire de prénom, Olivier retrouva sa quiétude habituelle comme si de rien était. Il se concentra alors bien d'avantage sur la "soit-disant cruauté de Lumen" qui au passage lui donnait plus envie de se taper une barre qu'autre chose...cela dit...à bien y réfléchir...il ne faut pas réveiller le chat qui dort...et c'était la même chose pour lui d'ailleurs. Il avait beau être hyper-calme, détester la violence et tout le reste, mais quand on le cherchait trop ou qu'on dépassait ses limites, ça pouvait faire très mal...en a témoigné le pauvre moldu qui avait osé le coller dans un espace réduit pendant son enfance, alors que ce pauvre Olivier était claustrophobe...le pauvre c'était fait refaire le portrait...d'ailleurs même si Olivier a toujours considéré que c'était injuste parce que le moldu l'avait bien mérité...et bien il avait à l'époque été puni. Olivier décida de continuer une nouvelle fois sur le chemin de la plaisanterie, faisant semblant de ne pas la croire.

"Ah bon? Toi des crocs?" il prit un air étonné puis dit bêtement "Fait cheeeeeseeee!!" tout en faisant mine de vouloir regarder la dentition de Lumen. Après cela il éclata totalement de rire.

Hum...hum...bref, passant sur cette drôle de blague, Lumen et Olivier se racontèrent leur journée, rien donc de bien passionnant pour ce dernier hormis le fait d'avoir failli se faire bouffer par une saleté de plante sur laquelle il travaillait...non mais des machins pareil ça ne devrait franchement pas exister! Enfin Lumen glissa un "Oh" qu'il ne savait pas du tout comment interpréter avant que cette dernière - qu'il soupçonnait de se moquer alors de lui - lui dit que ça aurait été dommage qu'il se fasse manger par une plante...non mais c'était pas drôle! Il avait eu la frousse de sa vie en voyant ces dents pointues et aiguisées s'approcher de ses doigts dont la plante n'aurait sans aucun doute fait qu'une bouchée! Et après on s'étonnait qu'Olivier n'avait pas la main verte...se faire bouffer par une plante, ça n'allait pas l'aider.

"Hééééé! Mais c'est pas marrant! J'aurais pu y perdre mes doigts!" d'ailleurs en disant sa il ne pu s'empêcher de vérifier qu'ils étaient tous bien là....un, deux, trois...dix...un, deux,...dix...ouf.

Enfin bon, Olivier failli ensuite exploser de rire en entendant Lumen lui dire qu'elle ne voyait pas d'Aurors pour la protéger et qui faisait mine de les chercher...ah non mais ça fallait le faire hein! Ensuite elle continua en parlant plus sérieusement de sa journée...ah pas très passionnante non plus se disait Olivier. Des trucs de filles...et visiblement Lumen en avait eu marre à force...ce qu'il pouvait tout à fait comprendre.

"Je pense que je te comprends..." s'imagina un instant un tel scénario et en eu des frissons.

"Oui...c'est pas du tout génial comme discussion...et en plus moi et les ragots..."

Oh oui, Olivier détestait ce genre de choses, il ne trouvait rien de plus ennuyant et stupide que le fait de parler de ragots...qui en plus au passage n'étaient pas forcément vrais...et qui pouvaient embêter les personnes concernées par la dite rumeur...ça il ne le supportait pas. Alors, si il croisait une commère sans doute qu'il la remettrait en place après l'avoir écouté et après avoir fini par perdre patience. Du coup Lumen disait qu'elle était bien contente qu'il y est eu l'entraînement aujourd'hui...oh ça il pouvait bien la comprendre!

"Je veux bien te croire ça oui!" puis bien évidemment puisqu'elle abordait le sujet...

"Alors t'as vu sympa l'entrainement hein? Moi j'ai adoré!"

     
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Message Sujet: Re: Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen   Une passion ça ne se discute pas, ça se vit - Lumen Icon_minitimeVen 19 Sep - 21:47





Olivier & Lumen
Une passion ça ne se discute pas, ça se vit

Lentement, mais surement, la blague de Lumen se retournait contre elle. Elle arqua un sourcil, tout en grimaçant, ce qui laissait présager un éclat de rire prochain. Un divin pardon ? La gryffondor se dit qu'il se moquait simplement d'elle, mais ne releva pas, choisissant de  le laisser finir. Elle roula des yeux quand il fit une sorte de courbette. Lumen ne lisait pas beaucoup, mais elle connaissait suffisamment les traditions qu'elle jugeait antiques pour identifier le message de ce geste. Et venant de Olivier, cela ne lui paraissait pas pompeux, et davantage amusant. Car elle ne put se retenir de s'esclaffer purement et simplement. Et dans un ton assez ironique, mais toujours amusé, elle répondit : « J'ai toujours rêvé de faire partie d'une famille royale. » Elle passa une main dans ses cheveux pour les rejeter en arrière et sourit ensuite de toutes ses dents. Elle s'imaginait mal devenir reine et n'aspirait pas à l'être un jour. Etre soumise à l'autorité de quelqu'un, perdre ses manières quelque peu rebelle et être une princesse de glace -ce qu'elle méprisait par dessus tout- tout ça ne l'intéressaient guère. Elle préférait faire partie du commun des mortels comme au moment où elle parlait. Mais malgré ses airs sauvages souvent dus à ses cheveux indomptables, il fallait lui reconnaître une allure quelque peu aristocrate. Lumen avait depuis longtemps compris que Olivier était enclin à la paresse, un peu comme elle en somme, toutefois, il ne pouvait pas l'être davantage qu'elle. Non, non. La poursuiveuse prenait un malin à plaisir à travailler moins pour avoir plus. Elle ne donnait que très rarement le meilleur d'elle-même pour les cours. Et plus elle se tenait loin des livres de cours, mieux c'était pour elle. Du coup, elle flânait dans le parc à rien faire, à ne plus penser, à ne plus bouger, seulement à admirer la beauté du parc, même si son côté rêveur était quasi inexistant. Parfois, elle écrivait, faisait voler des choses ou même dormait au pied d'un arbre. Il lui arrivait même de somnoler en cours, notamment en histoire de la magie. La seule matière où elle restait éveillée était la défense contre les forces du mal. Les nombreuses questions que lui posaient le professeur Selwyn la maintenait éveillée durant toute l'heure. Ce qui relevait du miracle.  Alors comme ça elle avait encore bien des choses à apprendre sur son meilleur ami ? Lumen ne s'imaginait pas autre chose, malgré les plusieurs années scolaires à Poudlard qui les liaient, elle ne pouvait pas dire qu'elle le connaissait aussi bien qu'elle l'aurait voulu. Elle ignorait bien sûr certaines choses à son sujet. Et c'était pas plus mal. Même si elle pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert, il devait bien avoir ses petits secrets. « Alors que me cache Monsieur le cachottier ? Une passion pour le tricot. Une obsession pour les plumes d'hippogriffes. Ou alors une fascination pour les trolls des montagnes peut être ? En même temps, je comprendrais que tu ne m'ais pas confié de telles choses, il faut reconnaître qu'il s'agit de loisirs bien surprenants.   »  Elle éclata ensuite de rire à l'idée que Olivier tricote des chaussettes ou qu'il possède une collection de plume dans sa malle. Il avait tendu le bâton pour se faire battre. Alors forcément, Lumen ne laisserait pas une occasion pareille lui filer sous le nez. Moqueuse, taquine et blagueuse jusqu'au bout des ongles. Elle roula des yeux. Le sommeil. Apparemment, le manque de sommeil changeait un homme. Lumen resta perplexe. Oui, certes, il arrivait souvent que quelqu'un soit grognon, mais les cours servaient à quoi dans ce cas-là ? Elle secoua alors la tête.  « Tu veux me faire croire qu'avec ma gueule d'ange,  je n'arriverais pas à leur faire passer l'envie de me tuer ? En plus, j'ai des talents d'actrice, je te jure que je parviendrais à leur faire croire que je ne suis qu'un rêve, une chimère, si, si.  »  Elle arqua un sourcil. Vexée l'était-elle ? Peut être. Enfin pas en apparence. Mais en tout cas, elle rit tout simplement, comme précédemment.  « De toute façon, mon plan n'a aucun intérêt, je ne serais pas capable de me réveiller moi-même à cette heure-ci. » Ajouta t-elle dans un sourire et en continuant d'avancer. Si elle abandonna l'idée de le réveiller en pleine nuit, elle n'oublia pas celle de le titiller avec son prénom. Napoléon. Digne d'un chat, pas d'un être humain. Quand il s'énerva... tout les mots qui s'imposèrent à l'esprit furent : drôle, mignon, épique, mais pas effrayant. Elle trouvait que son meilleur ami abusait un peu avec ce prénom, ce n'était pas aussi terrible que ça, et elle ne l'aurait jamais qualifié de "sobriquet". « Ça va, t'énerve pas. En plus, il faut que tu saches que tu n'es pas très menaçant. Je reconnais tout de même que ce prénom serait bien pour un animal de compagnie, pourquoi pas un chat ? Non, non oublie.  »  Dit-elle se rendant compte qu'elle ne faisait que remuer le couteau dans la plaie. Malheureusement, elle ne possédait pas beaucoup de tact. Elle lui attrapa le bras et lui fit un bisous sur la joue comme pour se faire pardonner de quelque chose dont elle ne se sentait pas fautive.« Ce prénom n'est pas génial, peu commun, mais historique, mais ça fait partie de ton identité, que tu le veuilles ou non. Un jour, peut être, tu l'accepteras, il le faudra bien, mais ce genre de petits riens qui te rend unique. Tu ne serais peut être pas le même avec un autre prénom. » Elle essayait vraiment de le rassurer, le 'consoler' un peu, mais elle le pensait vraiment. Sincèrement, à ses yeux, Olivier était singulier.

Sa prétendue cruauté... que Lumen y croit vraiment ou non, elle pouvait l'être, dans certaines circonstances. Il suffisait simplement de la mettre hors d'elle, même si avec ses ennemis, elle se montrait froide et d'un calme olympien qui ne lui ressemblait pas. Des crocs, elle avait bien parlé de crocs. Et quand Olivier lui demanda de faire "cheese". Elle se contenta d'obéir -enfin plus ou moins- et eut un sourire qui découvrit toutes ses dents. Après cela, elle haussa les épaules et dit alors comme s'il s'agissait de la chose la plus banale du monde. « Quand je te disais que j'avais des crocs. »  Elle continua sa marche toute seule, parcourant plusieurs mètres pour mieux voir le château dont les lumières apparaissaient petit à petit. Elle se stoppa et pencha la tête sur le côté. Elle aimait beaucoup de Poudlard, mais c'était une prison dorée. Encore deux ans à fouler l'herbe du parc, les couloirs, à monter les escaliers capricieux. Tout cela représentait une sorte de liberté, tout en restant sous la coupe de ses parents. Elle ne pouvait décemment prendre son indépendance sans avoir abandonné ses études. « Franchement, tu crois que je me moquerais de toi si t'avais perdu un doigt ?  »  Demanda t-elle pensive tandis qu'il semblait les compter. Sa journée à elle ? Inintéressante. Ennuyeuse. Nulle. Un temps passé avec des idiotes qui ne pensaient qu'à leurs bigoudis et leurs ongles. Superficielles. Voilà le mot qu'elle utilisait pour les qualifier. « Ah les ragots ? J'en entends tous les jours, c'est terrible. En plus, les potins courent vite. A Poudlard, on ne sait pas garder un secret très longtemps. Tout le monde en a entendu parler, même toi, sauf que tu ne fais pas attention. Et c'est ce qui est bien justement.  » Elle affectionnait particulièrement les conversations simples avec Olivier, au moins, elle pouvait songer à autre choses que les banalités de la vie. La vie à Poudlard ne serait pas la même sans lui. L'entrainement sympa ? Elle approuvait totalement, et hocha bêtement la tête. Elle n'était pas toujours expressive dans ses sentiments. « J'admets que cet entrainement était génial, et d'ailleurs, je me dis que c'est bien que nous nous retrouvions pas qu'avec des filles, ça serait crêpage de chignon à tous les entraînements. Je n'envie pas du tout l'équipe de serpentards, que des filles, je te jure. Comment six filles peuvent-elle cohabiter sans se crier dessus toutes les cinq minutes ?  » Elle secoua la tête, grimaça et soupira. Elle se mordit la lèvre inférieure en imaginant la scène. Entre celles qui se tiraient les cheveux, celles qui hurlaient pour arrêter le spectacle... Mais Lumen exagérait dans son cliché. Il arrivait bien sûr que les filles peuvent grandement s'entendre pour le bien de quelque chose, surtout que les serpentards étaient rusés. « J'espère qu'il y aura du gâteau au chocolat ce soir, j'ai une faim de loup.  » Dit-elle en tournant la tête vers Olivier. Elle lui fit un sourire et patienta une quelconque réponse. « Un entrainement de quidditch, ça creuse. C'est ton cas à toi aussi ?  » Interrogea t-elle ensuite en pensant à son ventre qui allait bientôt gronder. Sa question paraissait un peu naïve, mais elle n'avait trouvé que cela à dire et ne voyait pas quoi à ajouter. Elle verrait bien selon les affirmations ou négations apportées par son ami.  


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